Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCe serait un privilège d'avoir le coeur brisé par toi. + dixie
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Ce serait un privilège d'avoir le coeur brisé par toi. + dixie

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Samedi. Ca faisait déjà six jours que t'étais partie quand une voleuse, n'en parlant qu'à tes parents. Tu pensais que se serait plus dur que ça, que t'aurais la tête ailleurs plus longtemps, que ton coeur serait encore prisonnier de Warren, mais ça allait. C'était comme si tu étais partie pile au bon moment, pile avant que ça ne soit trop dur. Troy. C'était surement ça le plus dur, te dire que t'avais laissé derrière toi ton petit frère. Tu le reverrais, c'était sûr, t'allais pas faire comme Jorden et ne jamais donner de nouvelles pendant six ans, mais la question c'était quand ? Tu m'as offert une éternité dans un nombre de jours limités, et j'en suis heureuse. Fin du chapitre vingt. Ce livre, The Fault in Our Star dégueulait d'amour, c'était surement pour ça que tu l'aimais tant. Tu détestais l'amour pourtant, c'était assez contradictoire finalement. Les larmes aux yeux, posée dans un des nombreux canapés de la Mather House, tu tournas la page pour entamer un nouveau chapitre. Et tu savais, dores et déjà, que tu allais avoir ton petit coeur tout fendillé.
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C'est toujours avec ta canne que l'on te voyait sur le campus. Autrefois, c'est avec une canne d'aveugle, aujourd'hui, c'était plutôt une canne d'handicapée. Eh oui, avec ton accident, où tu y avais presque laissé tes jambes, et ta vie d'ailleurs, tu n'arrivais plus tant à marcher correctement, mais tes médecins te prétendaient que tu retrouverais un train de vie normal d'ici quelques semaines. Tu étais quelque peu déprimée ; peut-être à cause de tous ces puissants médicaments que tu devais prendre chaque jour pour diminuer la douleur, pour t'endormir le soir, pour t'empêcher de faire trop de mauvais rêves, et t'en étais presque aux anti-dépresseurs. En fait, tu n'en avais pas tant besoin, puisque tu avais un anti-dépresseur sur deux pattes : Adam. Ton meilleur ami, ton âme-soeur, ton homme parfait. Il vivait maintenant avec toi, principalement pour prendre soin de toi et te protéger, ce qui te rassurait. Tu dormais déjà mieux. Aujourd'hui, t'avais décidé de faire un petit tour à la Mather House, sans raison précise, peut-être pour retrouver d'anciens souvenirs, puisque tu y avais vécu pendant 4 ou 5 ans. Peut-être avais-tu juste envie de te reposer ailleurs, aussi. En arrivant, c'est vers une petite salle que tu te dirigeas, une espèce de salle détente, mais sur ton chemin, tu croisas une jeune fille méconnue, mais qui te disais vaguement quelque chose, sans pour autant l'avoir déjà vue ; une jeune femme qui semblait peinée et tenait en ses mains un livre, que tu reconnus d'emblée. The fault in our stars. Tu souris. " Il fera chialer tout le monde, ce putain de livre, n'est-ce pas? "
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C'était insupportable, tout était insupportable, chaque seconde était pire que la précédente. Alors c'était ça que l'on était censé penser lorsque l'on perdait l'être aimé ? C'était injuste. La vie avait été injuste pour Augustus Waters et Hazel Grace Lancaster. Une larme s'échappa de ton oeil et tu eus vite le réflexe de l'essuyer. Jamais personne ne devait te voir pleurer. Il fera chialer tout le monde, ce putain de livre, n'est-ce pas? Tu relèves la tête pour découvrir le joli visage d'une jeune femme. Elle ne devait pas être bien plus âgée que toi, surement même qu'elle était dans cette confrérie. Sinon, que ferait-elle ici ? Tu pouffas de rire avant de lui adresse un sourire. Ce livre transpire l'amour, ça m'dégoute en fait. dis-tu finalement avant de placer ton marque page dans la rainure du livre et de le refermer, le serrant contre ta poitrine.
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Parce que sans savoir pourquoi, tu observais attentivement cette fille que tu ne connaissais pas. Ce livre transpire l'amour, ça m'dégoute en fait. Avec un bref rire, tu fixas tour à tour le bouquin qu'elle venait de refermer, puis la sa joue encore mouillée par une larme à présent morte, puis le visage de la jeune femme. " Ça t'dégoûte parce que ça t'as fait pleuré, ou parce que c'est pathétique comment la réalité ne sera jamais ainsi? " T'avais l'impression de t'y connaître ; t'avais l'impression de pouvoir écrire un roman de mille pages sur l'amour, mais t'y connaissais rien, et c'est plutôt ça qui était pathétique. Toi, grande romantique dans l'âme, tu espérais souvent, tu aimais passionnément et tu te retrouvais les mains vides, le coeur brisé, sans savoir comment ni pourquoi. À chaque fois. " J'peux m'asseoir dis? J'suis venue sans but précis, alors j'vois pas c'qu'il y a de mieux à faire. C'quoi ton p'tit nom à toi? ", demandes-tu en souriant gentiment : parce que c'était toujours bien de faire de nouvelles rencontres et de se faire de nouveaux amis, pas vrai?
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Ça t'dégoûte parce que ça t'as fait pleuré, ou parce que c'est pathétique comment la réalité ne sera jamais ainsi? Tu réfléchis un instant. Elle savait que t'avais pleuré et ça t'embêtait. T'aurais très bien pu l'envoyer sur les roses mais elle venait de rentrer dans un débat qui t'tenais à coeur. L'amour. Ce truc que t'évitais depuis des années maintenant, ce truc que tu supportais pas. C'est toujours comme ça dans la réalité. Ils s'aiment, puis l'un part et l'autre souffre. C'est débile et ridicule. Ca m'dégoûte. Elle te demanda ensuite si elle pouvait s'installer sur ce canapé, qu'elle n'était venu sans but précis. Elle te demanda même ton prénom. Tu hochas la tête doucement, dans décrocher un mot. Ta pause lecture était désormais terminée, visiblement. Fait comme chez toi. J'suis Olive. dis-tu finalement après qu'elle se soit installée. Et toi ?
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C'est toujours comme ça dans la réalité. Ils s'aiment, puis l'un part et l'autre souffre. C'est débile et ridicule. Ca m'dégoûte. Immédiatement, un sourire se dessina sur tes lèvres. Un sourire bien visible, alors qu'à l'intérieur de toi, ça bouillonnait intensément ; c'était le feu dans ton coeur depuis des mois. Un feu ardent qui te consumait dangereusement. Mais tu ne laissais rien transparaître, parce que tu avais déjà bien suffisamment laissé couler des larmes là-dessus. Mais plus maintenant! " T'as compris le truc, toi. C'est si simple, mais pourquoi le rend-t-on si compliqué? ", demandes-tu en haussant les épaules. " C'était chez moi, autrefois! ", glisses-tu discrètement en prenant place. En fait, c'est surtout parce que tu ne pouvais pas encore rester debout trop longtemps, sinon tu ressentais une vive douleur à la jambe droite. Horrible. " Moi c'Dixie. Alors, t'es nouvelle? Parce que j't'ai jamais vue du temps que je vivais ici. Tu t'plais bien, j'espère? " C'est pas parce que tu ne vivais plus ici que tu ne pouvais pas t'intéresser aux habitants de ta confrérie.
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