Les colocs (a) + Range ta culotte, fais à manger et laisse toi te faire baiser.

Une nouvelle vie, j'avais besoin de recommencer depuis le début. Je n'arrivais pas à oublier cette femme que j'avais aimé pendant plusieurs mois, plusieurs semaines. Rien n'était simple, rien n'était compliqué, bref une relation presque impossible et pourtant... Les sentiments étaient venu petit à petit, s'installant au plus profond de moi. Mais, c'était bel est bien fini, je n'avais plus envie de souffrir comme j'avais pu souffrir pendant des heures, jours, semaines et mois. Même encore maintenant, j'y pensais tellement, mais je préférais balayer chaque pensé en buvant plusieurs verres ou en tirant quelque fois sur mon joint. Je n'avais pas honte, j'étais ainsi, j'étais devenu ainsi depuis son départ. J'avais déménagé plus d'une fois pour au final me retrouver dans une villa, au sein d'une colocation. Du moins, je ne connaissais pas grand monde, j'avais juste contacté l'homme en question pour avoir une chambre. Marre de dormir dans une chambre dans la confrérie, après tout, j'avais le droit d'avoir mon chez moi non . J'avais embarqué mes vêtements, mes chaussures et mes autres affaires dans trois gros sacs de sport. Pleins à craquer, j'avais décidé de foutre tout ça dans ma voiture, même si la villa n'était pas si loin. Je n'avais pas envie de marcher, me promener en voiture allait me changer un peu les idées. À force de travailler, de réviser, mon cerveau avait fini par déconnecter entièrement. J'avançais doucement, me retrouvant rapidement dans les bouchons. Chose que je détestais, mais je préférais laisser couler, allumer la radio et profiter du beau temps. Un peu de soleil, un peu de chaleur et une musique parfaite, que demander de plus ? En trente minutes, je me trouvais près de la villa, les clés en main, les sacs sur le dos. Je ne savais pas qui se trouvait à l'intérieur, qui travaillait et qui ne travaillait pas. Que des hommes ? Des femmes ? Plusieurs mathers ou aucun ? Je m'en foutais, au final, je vivais pour m'amuser et non pour faire la guerre. Après tout, je n'étais plus dans l'enceinte de l’université et loin de la confrérie, donc je ne risquais totalement rien. Je marchais sur l'allée en pavé et j'ouvrais la porte d'entrée, tournant deux fois la clé dans la serrure. Un immense hall donnant sur un grand salon, j'écoutais chaque bruit, mais aucun ne venait à mes oreilles. J'étais seul, ou l'autre personne dormait déjà paisiblement. Je traversais donc le premier étage, visitant chaque pièce, il n'y avait qu'une chambre d'habitée, certainement celle du propriétaire. J'avais décidé de prendre une grande chambre à l'étage avec une salle de bain, donnant sur le jardin. Au final, le choix avait été plutôt compliqué, chaque chambre avait son avantage. Je balançais les sacs sur le lit, me laissant tomber sur le matelas, allongé comme une loque. Mais, je n'étais pas venu pour dormir, je devais vider mes sacs. Je commençais déjà à ranger, empoignant plusieurs bouteilles que je descendais pour les poser sur le bar. À peine arrivé, que je déballais déjà l'alcool, mais je n'avais pas honte. Je déposais à mes lèvres une clope, m'éclipsant sur la terrasse pour m'asseoir sur une chaise, face à la magnifique vue.

(Invité)

Les joies de la coloc' !

ft. Les dingues.

Les cours étaient fini depuis pas mal d'heures pour moi. C'était une petite journée aujourd'hui et je ne profitais pas de ce temps libre pour m'amuser. Je suis une jeune fille qui s'amuse très peu. C'est désolant. J'avais pris la décision de ne plus vivre à la Cabot House et de prendre mon envol. Disons que ce que j'y avais vu dernièrement ne me donnait pas envie de rester. J'étais comme traumatisée. J'avais peur qu'en ouvrant à nouveau la porte d'une chambre de l'une de ces filles, j'allai tomber sur quelques choses de plus choquant à chaque fois. Dieu merci, elle y avait survécu mais je ne voulais plus jamais revivre ça, plus jamais voir ça. Je ne sais pas ce qui peut nous pousser à ce point à vouloir mettre fin à nos jours mais elle devait vraiment être au plus bas pour avoir prit cette décision. Je n'avais jamais vu autant de sang et vu les études que je faisais, c'était bel et bien la dernière fois que j'en verrai, du moins, je l'espérai sincèrement. Et c'est en rangeant mes dernières affaires dans ma valise que je repensais à tout ça. A ces dernières années passées dans cette chambre, avec ma colocataire. A cette dernière soirée sombre que j'avais passé avec Zara avant que nous découvrions cette Cabot presque morte dans sa salle de bain. Je repensais au Housing Day des Cabot passé avec mes consoeurs et surtout mon Darnell adoré. J'avais vraiment vécue de bons comme de très mauvais moments ici. Je fermais ma valise, mes sacs avant de poser la clef de ma chambre sur la guéridon près du lit de mon ancienne colocataire. Et avec toutes mes affaires, je me dirigeais vers ma voiture. Je balançais toutes mes affaires dans le coffre de celle-ci puis, direction mon nouveau chez-moi. Je m'endormais presque sur la route. C'était long. Non pas que la villa soit loin de la résidence des roses, mais il y avait tant de bouchons. Hallucinant ! En même temps, j'avais pris tellement de temps à ranger mes affaires que je n'avais pas vu qu'il se faisait tard et que c'était à présent l'heure de pointe. Tout le monde faisait exactement comme moi, ou presque. Ils voulaient retrouver leur domicile. Enfin, moi je ne voulais pas le retrouver mais le connaître. Et je finis par y arriver. L'extérieur était beau et ça avait l'air tellement immense. Je me garais devant. Une fois prête, je déchargeais mes affaires, avançant très timidement vers l'entrée. Je ne savais pas qui était déjà présent. C'était ça qui me stressait en réalité. Mais j'allai le découvrir. J'ouvrais la porte, découvrant un hall immense. Bonjour ! Y'a quelqu'un ? En attendant une réponse que je n'étais pas sûre d'avoir, je pris seulement mon sac, laissant le reste de mes affaires à l'entrée et je commençais à visiter les lieux. Je montais à l'étage, découvrant plusieurs chambres. Il y en avait déjà deux de prises. Ça va, j'étais pas trop à la bourre ! Et c'est en découvrant LA chambre, que je bloquais. Rose pâle, avec une vue magnifique donnant sur notre jardin. Il n'y avait pas de salle de bains, j'allai sûrement devoir en partager une avec quelqu'un mais ça, je m'en fichais. Ca y est, je l'avais trouvé, ma chambre. Je posais mon sac à main comme pour faire comprendre à ceux qui passeraient par là qu'elle était à moi et je redescendais à l'entrée pour prendre le reste de mes affaires et les charger dans ma chambre...

texte ocean wings / img onyxeyes@tumblr / code diesel

(Invité)

❝ Mes colocs ಇ ❞
Ce nouveau départ à Cambridge pour moi était important. L'espoir de retrouver une nouvelle vie meilleure. J'étais tellement bouleversée par la mort de ma grand mère que j'avais presque commencer à faire une mauvaise dépression en Australie, donc j'avais décider de prendre mes affaires et partir pour revoir mon meilleur ami d'enfance et ainsi continuer mes études et prendre un nouveau départ. Une nouvelle vie. Je l'avais revu et j'avais fait de sacrés connaissances ici. J'avais fait le bon choix de venir m'installer ici , mais le mauvais choix d'avoir pris un appartement seule , vivre seule n'arrangeait pas la situation , il me fallait de la présence afin de penser à autre choses. J'avais vu cette fameuse annonce d'un membre Eliot , il s'appelle Elios , il recherchais à vivre avec des colocataires dans sa grande maison , disait-il. J'étais complètement intéressée, pas pour la belle maison j'avais les moyens , mais surtout pour vivre avec d'autres personnes , cela me permettrait de m'ouvrir un peu plus. Surtout , le fait de voir d'autres personnes , de confrérie différentes ma plaisait bien. Malgrès ma timidité , j'arriverais à y faire face. Je suis adulte maintenant et je dois prendre un vrai nouveau départ. J'aurais pu choisir de prendre une chambre dans la maison de ma confrérie , mais je ne voulais pas. Après avoir faire mes valises , je pris ma voiture , mon dieu qu'avais-je fait ? Je m'étais décider trop tard de partir , puisque un sacré bouchon y était. Quel horreur ! Je pris sur moi et avançais tout doucement. Arrivé au bout d'une heure alors qu'à l'habitude j'y serais en dix minutes , je me garais devant cette belle demeure , magnifique de l'extérieur , je sortis mes affaires du coffre. M'arrêtant un moment sur le perron , je décidais d'ouvrir la porte grâce à la clef que m'avait était donné par Elios. Ouvrant la porte et prenant mes affaires avec moi , je rentrais à l'intérieur et à l'entrée je vis une jeune femme que je ne connaissais pas du tout , je lui souris timidement. « Bonjour ... Je suppose que tu es ma colocataire ? ... » Je vis que dès l'entrée , la maison était immense et resplendissante , trop bien entretenue même.

© toxic heart.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)