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elwenn ✗ mais qu'est-ce qu'elle veut celle-là?

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NOLWENN & ELIOS ✗ Mais qu'est-ce qu'elle veut celle-là ?
Cette journée ? Merdique. Je sais pas ce qui m'était arrivé, je m'étais déjà réveillé en retard. M'enfin, vu le boucan que mes colocs avaient fait la nuit dernière j'avais été dans l'impossibilité de fermer l'oeil. Donc en m'étant réveillé du mauvais pied, il avait fallu que j'ai une journée chargé par les cours. Je n'avais adressé la parole à personne aujourd'hui de peur que mon mauvais caractère prenne le dessus. J'entrais donc dans ma nouvelle magnifique villa. Je me voyais déjà trempé mes pieds dans la salle de bain et m'endormir sec dans l'eau. Apaisant n'est-ce pas? Je balançais les clés sur la table, ma veste aussi dans l'élan et je montais en haut pour allumer la baignoire. Sauf que.. Je soupirais et tapais sur la porte. " Qui c'est ? Steuplait fais vite je me sens pas très bien je dois me doucher." Voilà, voilà, vive les joies de la colocation. Je savais que j'aurais dû prendre cette maison avec une salle de bain pour chaque chambre.
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ft. Andrew.
Encore une journée épuisante à souhait où j'avais aidé le petit nouveau à être serveur, caissier, barmaid, enfin, multifonction quoi et je n'en pouvais plus. C'était certes bien payé mais c'était très épuisant. Il fallait vraiment avoir besoin d'argent pour travailler et étudier à côté. Mais genre, travailler tout les jours. Sauf mon jour de repos évidemment. Mais disons que j'avais besoin de sous. Il fallait que je vive et surtout, que je paie à présent le loyer de la villa dans laquelle je vivais en colocation et il m'en fallait des sous pour ça. Car oui, selon moi, il était temps de prendre mon indépendance et de vivre loin des Cabot, de prendre mon envol. Il était peut-être temps à présent de vivre pour moi et pas pour les principes de mes parents et pas non plus uniquement pour mes études. Je savais que la vraie vie commençait ici et maintenant. J'étais dans les nuages là. L'eau coulait le long de ma peau, enlever tout résidu de savon que j'avais étalé sur mon corps juste avant. Mais des coups de mains, de poings ou de pieds me sortaient de mes pensées. J'allai hurler, demandant à la personne de s'en aller jusqu'à ce que je reconnaisse sa voix. Elios, mon petit Elios. On dit bien les femmes d'abord Elios, alors laisse moi finir ! J'avais fini et le savon, bah j'en avais plus sur mon corps. Je pourrai sortir de là, oui mais j'en avais envie. Mais alors là, pas du tout. Je laissais alors les minutes passer mais trop, c'est trop alors je finis par en sortir, enroulant une serviette très courte et laissant mes cheveux mouillés et ébouriffés sécher à l'air libre, j'ouvrais la porte. Je ne parlais pas. Je me contentais de le regarder dans les yeux, mes mains poser sur les pourtours de la porte. Je ne comptais pas le laisser passer. Mais comme je ne tenais pas ma serviette, j'espérai qu'elle n'allait pas tomber. Heureux ?
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NOLWENN & ELIOS ✗ Mais qu'est-ce qu'elle veut celle-là ?
Et devinez qui était à l'intérieur ? Ma chère Nolwenn. Je sais pas si je devrais rire ou défoncer la porte. Parce que chieuse comme elle était, j'étais sûr et certain qu'elle mettrait très exactement (attendez je sors ma montre) 7 minutes 4 secondes à sortir. J'avais le temps en attendant d'aller lui préparer une petite farce. " Ok je t'attends madame, prends ton temps." Je souriais et marchais donc en direction de la chambre de la demoiselle. Hum, je me raclais la gorge avant d'y entrer. J'avais presque l'impression de craindre sa chambre, à croire qu'elle avait fait du vaudou pour tout gars rentrant dans son chateau rose. Finalement je posais un pied dans sa chambre, puis un autre. Non il n'y a rien. Je rigolais un peu de ma connerie et me permettais donc d'ouvrir les placards de la jeune femme. Toc ! Les sous-vêtements. Je fouillais un peu histoire de voir ce qu'elle avait. Ouhla, coquine avec ses ensembles celle-là..! Non, là n'était pas la question. Je sortais donc le premier truc qui me venait à la main, avec le soutif qui allait avec. Combien de minutes là ? 6 minutes 50 secondes. Je souriais et revenais devant la porte de la salle de bain. Ses affaires cachées derrière mon dos, j'attendais patiemment. Nolwenn finit par sortir avec une petite serviette ultra courte et ses longs cheveux mouillés dégoulinant. Trop prévisible. Elle ne tenait même pas sa serviette qui était prête à tomber par terre. Bordel rien que d'y penser, je me demandais si je serais capable de détourner les yeux. " Apparemment on est seul à la maison, c'est pas une tenue très décente en présence de ton coloc.. Mais tu peux toujours enlever ta serviette, ça me gênerait pas vu ce que tu as, y aurais sûrement rien à voir." Je la taquinais et je savais qu'elle allait pas aimer mes dernières paroles. " Bon laisse moi passer maintenant."

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ft. Andrew.
Madame ? Non, sérieusement, j'avais horreur que l'on m'appelle ainsi. Pour moi, cette appellation était soit pour les vieilles dames, soit pour les femmes mariées, ce qui n'était pas encore mon cas. Puis, j'étais à Cambridge et plus précisément à Harvard où Tromperie est le mot d'ordre alors je savais parfaitement que l'homme de ma vie, je ne le trouverai pas maintenant et certainement pas ici. Di-Fabio, tu finiras par me trouver ! Mais pas maintenant. Là, il fallait que je sorte de la douche et c'est ce que je faisais. Il m'attendait patiemment, comme un bon petit gars qu'il était. " Apparemment on est seul à la maison, c'est pas une tenue très décente en présence de ton coloc.. Mais tu peux toujours enlever ta serviette, ça me gênerait pas vu ce que tu as, y aurais sûrement rien à voir." Et voilà qu'il recommençait avec ses petites pics perpétuelles. Il méritait des gifles et même plus par moment, mais je ne suis pas du genre violente, du moins, pas physiquement. Mais j'adorai provoquer verbalement par contre et avec lui, ça marchait tout le temps. On passait nos journées à ça et je trouvais ça amusant, voire même très jouissif. Bien sûr ! Ta petite brindille risquerait de se soulever rien qu'à la pensée de ma poitrine. Ne te mens pas à toi même Di-Fabio ! Dire son nom de famille au lieu de son prénom faisait tellement hautain. J'adorai ça !. Dis-moi, on ne t'as pas appris la politesse en Italie ? Et la galanterie, tu connais ? Je levais les yeux au ciel comme pour implorer une quelconque divinité de rendre Elios pour attentionné, gentil mais je pouvais toujours rêver évidemment. C'est comme s'il avait accepté que je fasse partie de la coloc' pour me pourrir la vie. Si c'était le cas, disons que son plan marchait à merveille, malheureusement pour moi. Je n'avais vraiment pas de chances. Le seul point positif dans tout ça, c'était la demeure en elle-même.
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NOLWENN & ELIOS ✗ Mais qu'est-ce qu'elle veut celle-là ?
C'est vrai que j'étais peut-être un peu rude avec Nolwenn, mais depuis le premier jour de la colocation ça m'était apparu comme une évidence qu'elle et moi allions jouer à ce petit jeu. Et c'est elle qui l'avait cherché, pas quelqu'un d'autre. C'est elle qui commençait toujours ses petites piques, c'est pas moi qui me trimbalait en mini-short juste devant mon coloc. Mademoiselle venait de sortir de la douche justement, seulement un bout de serviette couvrait son corps. Intérieurement je pouvais dire qu'elle avait un corps de malade, mais quand ça sortait de l'auditoire, je préférais la charier. Bien sûr ! Ta petite brindille risquerait de se soulever rien qu'à la pensée de ma poitrine. Ne te mens pas à toi même Di-Fabio ! Je rigolais. Elle avait vraiment le sens de l'humour. J'haussais les épaules pour lui répondre. Dis-moi, on ne t'as pas appris la politesse en Italie ? Et la galanterie, tu connais ? Je lui fis un clin d'oeil en souriant. " Bien sûr on m'a apprit, tu pourras même sortir et aller sur le campus ce que les gens pensent d'Elios le prince d'Italie, ils seront heureux de te dire que je suis un pacifiste très galant et gentleman. Mais faut mériter ma reconnaissance." Nolwenn jouait parfois sa diva mais j'avais l'impression que c'était qu'en ma présence donc je comprenais pas vraiment à quoi elle jouait. Peut-être parce que c'était une cabot ? " Tu veux pas te pousser hein ?" En voyant qu'elle n'allait vraiment pas se pousser je soupirais. Je lui montrais donc ses sous-vêtements en souriant. " Tiens ce sera déjà mieux si tu portes ça." Je lui balançais ses bas. " Bon tu vas pas les mettre non plus ?" Il ne me restait donc qu'une seule chose à faire. Je m'approchais de Nolwenn et vins la prendre par les jambes et la porter sur mon épaule droite. " Si tu ne veux pas bouger, je le ferais pour toi ma belle." Avec une aisance incarnée je la ramenais dans sa chambre et la déposais sur son lit. Je crois qu'elle avait pas trop aimé ce que je venais de faire..

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ft. Andrew.
Meriter sa reconnaissance ? Merci, mais non merci. Je ne voulais rien mériter venant de lui. Je le regardais de haut, bien que je sois plus petite que lui, mais vous m'avez comprise. J'en avais marre de son air hautain, de son ton condescendant. Il ne méritait rien d'autre qu'un coup de pieds dans les parties intimes. Ou un coup de genoux. Là je suis sûre que le coup serait placer au bon endroit. Juste là où ça fait mal. Houlà ! Je m'étais perdue dans mes pensées, imaginant la scène. Je souriais et je voyais qu'il ne comprenait pas forcément ce petit sourire qui se dessinait lentement sur mon visage. " Tu veux pas te pousser hein ? " Je faisais non de la tête. Pourquoi je me pousserai alors qu'il me le demande comme si j'étais l'une de ses servantes. Ce que je ne suis pas. Alors il pouvait toujours courir, ou se foutre un doigt dans l'oeil. Comme il le souhaite, je m'en fiche royalement après tout. Puis il me montrait un vêtement qui m'appartenait. Ou plutôt, l'un de mes sous-vêtements. Je fis une grimace de dégoût. Sérieusement, c'est à ça qu'il s'amuse quand je suis sous la douche ? Non je vais pas les mettre ! Je sais pas ce que t'as fait avec ! J'avais sûrement des idées crades en tête à ce moment là... Non en fait, c'était sûr, j'en avais en tête en le voyant avec mes sous-vêtements en main mais je ne pouvais pas les dires à voix haute. J'en avais des frissons rien qu'ne y pensant. " Si tu ne veux pas bouger, je le ferais pour toi ma belle." Je le voyais s'approcher de moi en disant ça et surtout se pencher. Il m'attrapais pour me poser sur son épaule tel un sac à patate. Je ne me souciais de rien à part de mon fessier apparent sous ma serviette vu la façon dont il me tenait. Il m'emmenait jusqu'à ma chambre où il me déposait sur me lit. Une fois dessus, je le pris par le cou avant qu'il ne recule. J'approchais son corps, son visage du mien. Bon, j'en avais des frissons mais je ne montrais rien. Il ne fallait pas qu'il devine l'effet qu'il avait sur moi. Surtout pas. J'approchais mes lèvres de son oreille et au lieu de chuchoter, je parlais à voix haute, histoire qu'il entende parfaitement ce que j'avais à lui dire. Plus jamais tu me prends comme ça c'est compris ? Je n'attendais pas sa réponse, je le repoussais en arrière avant de rouler sur le côté pour me dégager et me lever. Je tapais sur son bras musclé. Ca me faisait mal à la paume alors je grimaçais un peu.
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La prendre comme ça, comme si elle était un sac à patate, ça me faisait rire en fait. On aurait dit 2 gamins et c'était loin de ce que j'étais. Pourtant la jeune femme, je sais pas à quoi elle jouait mais je voyais bien qu'elle me prenait pour un salaud, un profiteur, bref un vrai gamin qui jouait de son statut de prince. Or c'était loin de ce que j'étais. Je n'osais pas tourner la tête lorsque je la portais, de peur d'être en tête à tête avec son fessier. Elle méritait que je la dégage comme ça non ? Attends elle se prenait pour une véritable diva à la maison fallait que je la calme un peu. J'allais la déposer dans son lit mais la jeune femme se tint à moi ce qui m'empêcha de me relever. Je me retrouvais collé serré à elle ce qui me fit un drôle d'effet. Fallait pas jouer avec moi comme ça sinon j'allais déraper même si mon sang froid m'aidait énormément. En approchant ses belles lèvres de mon oreille, elle me dit : Plus jamais tu me prends comme ça c'est compris ? Puis elle me repoussait en arrière, ce qui me fit presque perdre l'équilibre. " Wow, mais t'es vraiment une violente toi ! Je pourrais savoir ce que je t'ai vraiment fait pour que tu me fasses des trucs comme ça ?" disais-je en montrant du doigt sa tenue. En plus elle en rajoutait une couche en tapant sur mon bras. Je souriais en la voyant grimacer. " Oh, tu m'as fais mal." Je la feintais pour trouver une raison de me retrouver comme elle. J'ôtais mon t-shirt, laissant apparaître mon corps de rêve (elwenn ✗ mais qu'est-ce qu'elle veut celle-là? 208576344). "Que tu te sentes moins seule." Je lui faisais un petit clin d'oeil avant de tourner les talons direction la salle de bain.
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" Wow, mais t'es vraiment une violente toi ! Je pourrais savoir ce que je t'ai vraiment fait pour que tu me fasses des trucs comme ça ?" Cette phrase me faisait bien rire. Je n'avais absolument rien fait... à part me promener en petite serviette devant lui. Mais je savais qu'au fond, ce qu'il voyait lui plaisait, sinon il m'enverrait me rhabiller plus sérieusement. Puis, s'il avait vraiment une sainte horreur de moi, de mon corps, etc... il n'irait fouiner dans le tiroir où se trouvaient mes sous-vêtements. Des trucs comme quoi ? Je sortais de ma douche, normal que je sois en serviette tu trouves pas ? Ma réponse m'amusait, sa façon d'être également. Ce jeu entre nous deux, j'adorai vraiment et je n'échangerai ça pour rien au monde. Ca animait mes journées dans la villa. Sachant que quand j'y suis, je n'ai pas forcément envie de m'enfermer seule dans ma chambre à étudier ou à regarder la télé. C'est ma façon d'être sociable.
Je ne répondais pas à sa petite blague absolument pas marrante. Je savais parfaitement que je ne lui avais pas fait mal étant donné que la douleur se trouvait dans ma main et non pas dans son bras. Quelle idée d'avoir tapé sur son bras fort, musclé... mais je m'égare légèrement là. Il venait tout juste de me déstabiliser enlevant son haut. Intérieurement, je bavais sur son corps de rêve mais à l'extérieur, je levais les yeux au ciel comme pour lui faire comprendre qu'il m'exaspérait. Puis, pourquoi pas entrer dans son petit jeu encore un peu ? Je voulais pousser la chose un peu plus loin. Non non, pour que je me sente moins seule, tu dois aussi enlever le bas. Je n'ai aucun vêtement sur moi ! Il voulait peut-être que je lui montre qu'en effet, je n'avais absolument rien sous ma serviette malgré le bas qu'il m'avait emmené jusqu'à la salle de bains.
texte ocean wings / img onyxeyes@tumblr / code diesel
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