R. HELA-BABE JAGGER ► Nastassia Lindes

Bonjour tout le monde !   Sur internet on m'appelle wild wave et j'ai dix-sept ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Toujours aussi beau, toujours aussi actif, fuck comment suis-je trop faible     alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Nastassia Lindes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Sugar Slaughter. Je fais environ quinze ou dix lignes minimum  par RP et mon personnage est un personnage inventé

Mot de la fin ? ▲ Oh boy, vous êtres des canons. :frenchkiss:
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

Enfance.
Un regard de maman et un baiser de sa part que tu vis ses larmes couler. Son ombre s’en aller. Tu l’appelles, doucement. Tu attends, patiemment. Mais elle disparait comme une fumée. Elle était une jolie fumée, maman. Elle n’était pas sale comme celle des usines, ni noir comme le souvenir. Maman était pure comme le diamant, belle comme la jument. Mais elle est partit. Et tu as continué à l’aimer, un peu, beaucoup, passionnément, à la folie.

Papa lui, est resté. Papa sort souvent pour danser. Avec de jolies femmes bien coiffées. Et parfois, ces jolies femmes viennent à la maison. Et finalement, elles ne sont pas jolies, que des serpents. Elles sont méchantes. Aux yeux de papa, appétissantes.

Puis un jour, tu voulais maman. Papa. Pourquoi maman est partie ? Papa se retourne. Te regarde. A côté, une traînarde. Elle lâche un rire moqueur. Tu lui sors un imaginaire doigt d'honneur. Tu aimes pas ses connasses. Vouloir remplacer maman, quelles p*tasses. Papa te prend dans ses bras. T'éloigne de ce matelas. Chérie, maman est partie rendre visite aux étoiles et t'en apporter une. Elle tardera, un peu. Te manquera, beaucoup. Mais c'est pas grave, hein ? Elle reviendra. Un jour. Tu baisses la tête. Insatisfaite. Par une vérité imparfaite.



Adolescence.
Papa a toujours les yeux rouges. Vous faites partis des bourges. Toi, avec tes yeux de biches, tu regardes la fin de ton monde. Une vérité immonde. Au revoir âme vagabonde. Rêves enfantins. Doux matins... Gueule de bois. Fille de bourgeois. La boîte est ton échappatoire. Tu commences à boire. Tu finis parfois dans une baignoire. Toi, tu aimes danser, chanter, fumer, baiser. Tu te caches dans la beauté. Efface ta fragilité. Tu deviens une autre. Tu n'es plus une enfant. Ni ce petit être innocemment craquant. T'es belle. Mais cruelle.

Tu t'es fiancé à Satan. T'es un démon. Un démon craquant. Tu sors avec les beaux mecs. Ceux qui te ramènent chaque jour un cupcake. Ceux qui n'ouvre jamais trop le bec. Ceux avec qui ça finit mal.

Avec tes hauts talons, tu écrases les débris de cœurs qui restent. Tu n'es pas comme toutes les autres filles, toi. Toi, t'es tout. Toi, t'a tellement pas de problèmes que tu en cherches. Toi, tu fais des courses de voitures au centre-ville. Toi, tu bois et conduis, à tes risques et périls. Toi, tu te drogue devant les flics. Toi, toi, toi...

Ton père crie, se drogue et ses doigts deviennent aventuriers, baladeurs, voyageurs. Dans tes forêts secrètes, intimes. Il te dégoûte et à chaque fois, tu le repousses et tu fuis. T'as pas envie de faire face à sa gueule, ce pervers, ton père, lui. Et puis un jour, il ferme la porte à clef. Tu vois la fin de tes jours approcher. Il s'approche de trop près, et essayes de mettre fin à toute pudeur, intimité. Couper le fil qui fait de lui ton père, et toi sa fille. Et puis, toi, tu ne veux pas vivre avec ça, pour toujours. Tu voudrais encore baiser les autres sans penser à ce connard. Non, t’aime juste trop ta fierté. Alors tu le pousses. Mais il revient, aussi collant qu'une mouche. Tu appelles papi, tu lui racontes tout ce qui s’est passé. Tu dis vouloir sa fortune pour te venger. Alors, papi, le grand homme riche se bat pour toi. Mais il t’emmène d’abord voir un psy. Il ne veut pas perdre sa princesse, papi. Tu reprends tes esprits. Sauf que tu t’endurcis. Et papa, lui aussi est parti. Parce que finalement il n’avait plus rien en poche. A cause de toi, fille au cœur de roche. C’est quand il devint misérable et minable que tu portes plainte. Toi, la fille mineur pleine aux as. Tu réussis à le mettre dans une situation cocasse. No Pride. No Money.

... Jusqu'à la fin des temps :
Maintenant, tu as l'héritage de papa, une putain de belle fortune rien qu'à toi. P’tet, c’est tout ce qui compte, l’argent. Parce qu’à la place de papa, t’as papi, toi. Quand tu ne sais que faire de cet argent, tu demandes à papi de t'aider. Papi, lui, te montre juste le chemin et te laisse choisir, que suivre ? Papi ou ta stupide folie ? Papi est beaucoup mieux. Mais la stupide folie est beaucoup plus drôle. Alors, parfois, tu joues avec les deux chemins. Un peu pour papi, et un tout petit peu pour la folie. Équitable, ça l'était, pour une gamine de ton âge. Puis finalement, papi aime pas te voir trainer avec les méchants et vous foutre des gentils, papi a pas envie de te retrouver, gueule de bois, papi, lui, il veut que tu réussisses, papi, lui, veut que tu vives. Alors papi, un jour, t’envoie à Cambridge. L'école d'Harvard. T’aime pas, toi. Changer de ville comme ça. Bref. Tu suis papi. Sans un mot. Cette fois-ci, tu obéis.
Papi, papa m'avait dit que maman m'apporterait une étoile. Je la veux, cette étoile, papi.
Il te sourit. Te prend dans ses bras. T'embrasse. Te regarde et finit par dire : Je t'en apporterais une, ma chérie, croix de bois, croix de fer. avant de partir.
Et tu ne l'a plus jamais revu, jusqu'au jour où on t’appelle, où tu su, pour son méchant cancer.