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(flashback) faith&william ✗ when you're good to mama

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D’ici quelques jours allait avoir le Housing Day des Lowell, sur le thème de Chicago. William était loin d’être prêt, il avait un trac monstre, ce qui l’empêchait de danser convenablement. Déjà qu’il était rouillé, mais alors là, c’était ses pauvres compagnons qui en faisait les frais. Espérons qu’aujourd’hui, Faith soit plus chanceuse. Faith, c’était une jeune femme avec laquelle Will allait danser sur le numéro « When You’re Good to Mama » lors de la fameuse soirée. Tous les deux, ils avaient durement buché sur la préparation du numéro pour le rendre accessible à la demoiselle qui était contrainte de se déplacer en fauteuil roulant. Une chose était sûr, William ne le percevait pas comme un handicap, du moins, pas pour cette soirée. Il n’était pas elle, il ne savait pas ce que ça faisait de buter sur des escaliers, de faire gaffe au verglas pour ne pas jouer les autos-tamponneuses, il ne pouvait qu’imaginer. Bref, avec tout le temps qu’ils avaient consacré à ce numéro & après quelques répétitions, aujourd’hui, ça ressemblait enfin à quelque chose. Le Kane s’était donc dirigé vers le Théâtre après les cours, le lieu qu’il trouvait propice aux répétitions de par son calme. Il brancha son portable sur sa station d'accueil avant de se changer rapidement, revêtant un tee-shirt & un pantalon ample. La jeune femme ne tarda pas à arriver & il lui adressa un grand sourire, il commençait à apprécier ces répétitions. « Mademoiselle Hoover ! Comment vas-tu ? » La salua-t-il depuis les planches d’un grand geste de la main. Il en sauta, se dirigea vers elle pour pousser son fauteuil rapidement jusqu’à la scène. Eh oui, aujourd’hui, il était impatient de débuter, ravi du numéro qu’ils montaient brique par brique. Enfin, pas par pas. Il n’en oubliait toutefois pas ses bonnes manières, lui tendant une petite bouteille de jus d’orange. « Tu as soif ? » lui demanda-t-il, leurs fiches posées sur ses genoux. En ayant réinventé le numéro, une fiche était nécessaire, au Kane du moins. Il était tête en l’air, il pouvait ainsi s’entraîner de son côté sans avoir à appeler Faith au moindre doute.
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Je commençais sérieusement à en avoir marre. Je me demandais ce que la vie avait contre moi. Ce que j'avais pus faire à ce bon monsieur là-haut qui était censé vouloir du bien à tout le monde. C'est vrai ! Je suis née près de Washington et j'ai été abandonnée par mes parents. Ils n'avaient pas jugé bon de m'élevé donc m'ont laissé à un orphelinat, j'imagine. De là, une famille de bourges m'a adopté, comme si j'avais besoin de ça. Maintenant je fais partie de la famille Hoover, ma mère me déteste et mon père la suit. D'un autre côté, c'est pas comme si j'essayais de gagner l'amour de mère. J'veux dire, j'lui parle mal et je parle d'elle en disant "la snob". Ensuite, j'étudie à Harvard, une bombe éclate. ET HOP. Coma pendant un an, maintenant fauteuil roulant et rééducation. Je en pouvais plus me lever, marcher, sauter, courir et mettre en valeur mes longues jambes interminables dont j'étais fière.
Je rentrais dans le théâtre avec ces idées pleins la tête. En respirant l'air du théâtre, je me sentais déjà mieux. Le théâtre était un endroit que j'adorais, un endroit que je vénérais. Un endroit où je me vidais et je pouvais vivre ma passion. Même si là, ce n'était pas pour jouer dans une pièce que je m'y trouvais. Mais c'était pour répéter le Housing Day avec William, qui s'était proposé de m'aider à trouver un moyen de pouvoir faire le numéro de Whan you're good to mama malgré mon fauteuil.
William était un gars que j'appréciais de plus en plus, et ces répétitions étaient de plus en plus cool. Mademoiselle Hoover ! Comment vas-tu ? Il vint vers moi et poussa mon fauteuil, ce qui me fit rire un peu, j'essayais de partager ma joie de vivre. Je levais les bras en l'air pour m'étirer un peu.
Ca va ! Et toi ?
Puis, Will me tendit une bouteille de jus d'orange en me demandant si j'avais soif.
Très, merci !
Je pris la bouteille et l'ouvrit, je bus quelques gorgées avant de refermer la bouteille, la tripotant en lui parlant.
De nouvelles idées ? Du nouveau tout court ? Tu veux qu'on répète de suite ou tu veux qu'on discute un peu avant ?
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Faith venait tout juste de franchir les portes du théâtre, William s’était donc arrêté dans ses préparatifs & l’avait saluée, ravi de la voir débarquer. Il appréciait Faith, il ne la connaissait pas depuis longtemps puisqu’ils s’étaient rencontrés lors de la répartition des numéros pour le Housing Day, mais l’un n’empêchait pas l’autre. La bouteille de jus d’orange en mains, la demoiselle en bus quelques gorgées avant de passer aux choses sérieuses. Il secoua négativement la tête, pas grand-chose avait bougé de son côté. Il lui retourna donc la question ;  « Non, pas vraiment. Et toi alors ? » Maintenant, avait-il de nouvelles idées ? Il en avait une, oui. Dans le film, Mama était la Queen de la prison, elle savait être gentille avec les prisonnières avec, évidemment, une bonne contrepartie. En gros, elle maîtrisait le jeu, jamais elle ne perdait au change, et ce serait plutôt sympa de montrer ça dans le numéro, non ? Du moins, ça ne semblait pas être une mauvaise idée aux yeux de l’anglais, restait à savoir ce que miss Hoover en pensait. Il lui exposa donc ; « Sinon, j’ai peut-être une idée. Tu sais que Mama est le maître du jeu avec les prisonnières, je me suis dit qu’on pourrait investir l’espace en illustrant ça. Reste à savoir comment maintenant. » Il se retourna, regardant l’espace derrière yeux comme si cela pouvait faire germer une graine d’idée dans son cerveau. Il imagina plusieurs choses mais rien de bien convainquant, il s’assied donc près de Faith, ajoutant ; « Si ça te plait & que tu as une idée de comment procéder, je suis preneur. » Il bu quelques gorgées dans sa propre bouteille avant de poser son menton dans sa main, pensif.
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Dans le théâtre avec William, il était temps de répéter. De s'amuser aussi. Je l'aimais bien, j'esperais qu'au delà de ce Housing Day on allait se revoir, être amis. Quand je lui demandais s'il y avait du nouveau dans sa vie -du nouveau dont il voulait me parler, bien sûr- il secoua la tête et me dit que non. Alors je lui souris.
Non plus ! C'est une bonne nouvelle ! Pas de nouveau égal : pas de mauvaise nouvelle ! Toujours positiver. souris-je. J'arrête pas de penser au mariage de mon frère. Tu te maries pas avec quelqu'un que t'aimes pas. Je comprends vraiment pas. Tu pourrais, toi ? Promettre amour, fidélité et éternité à quelqu'un dont tu n'es pas amoureux ?
Puis William me parla de son idée : Sinon, j’ai peut-être une idée. Tu sais que Mama est le maître du jeu avec les prisonnières, je me suis dit qu’on pourrait investir l’espace en illustrant ça. Reste à savoir comment maintenant. Il était vraiment plein d'idée, ça me fit sourire. Il me dit que si je savais comment faire ça, il était preneur. Alors je me mordis les lèvres.
Hum.. je sais pas trop. Je suis pas aussi inventive que toi. Cherchons ensemble.
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Pas faux, pas de nouveau = pas de mauvaises nouvelles. Et les bonnes nouvelles, alors ? Visiblement, la jeune femme n’était pas complètement au théâtre avec l'anglais, son entrain avait soudainement laissé place à de l’inquiétude. Le mariage de son frère la travaillait, et lorsqu’elle énonça les raisons, William comprit très bien pourquoi. C’était un mariage d’intérêts, il en avait déjà vu plus d’un. Il soupira, secouant négativement la tête. Il fut un temps où il était particulièrement mauvais & vaniteux mais jamais il n’avait pu supporter les mariages d’intérêts, même si ce n’était pas ses affaires. Il lui répondit donc ; « Je ne pourrais pas. Mais d’autres personnes ont moins de scrupule à faire souffrir les autres. » A moins que ce mariage ne soit qu’une question de vie ou de mort, mais Faith n’en aurait pas parlé de la sorte, si ? Il demanda, afin d’être sûr de ne pas dire n’importe quoi ; « Tu connais les vraies raisons de ce mariage ? » Après tout, son frère avait pu lui cacher des choses, il ne le connaissait pas. Le sujet du Housing Day revint immanquablement sur le tapis & William proposa une idée à Faith, qui cependant ne savait pas comment mettre ça en place. William y alla par étapes, l’idée viendrait petit à petit ; « Cette chanson est consacrée à Mama, ça retire déjà le problème de la répartition des rôles pour le chant. » Et puis de toute façon, il n’avait jamais chanté de sa vie. Faith serait une super Mama. Il balaya la scène du regard, se creusant les méninges pour leur dégotter un super plan.
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J'aimais de plus en plus passer du temps avec William, je sentais qu'on pouvait devenir amis. Il était sympa et savait s'investir dans le travail, là par exemple, aux répétitions de la Housing Day, il était plein d'idées mais ne savait pas trop comment les mettre en place. A deux, on allait trouver, c'était sûr. J'avais commencé à lui parler du mariage de mon frère. Je ne savais pas trop pourquoi mais c'était sortit tout seul, j'avais comme besoin de parler à quelqu'un. Il était là et même si on était pas encore tout à fait amis, j'avais confiance en William. Il n'était pas le genre de personne à raconter des choses, à faire sa mauvaise langue ou je ne sais quoi. En général, j'ai un bon feeling sur les gens. Ma première impression est toujours la meilleure. Et là, j'avais eus une très bonne impression dès qu'on s'était vus pour la première fois. Un lien était en train de se créer derrière ces séances de répétitions, je le sentais. Je ne pourrais pas. Mais d’autres personnes ont moins de scrupule à faire souffrir les autres. m'avait-il répondu avant de me demander les raisons du mariages. Aux dernière nouvelles et à ce que je savais, y'avait rien de plus.Tout ce que je sais c'est que c'est un mariage d'argent, d’intérêt. Pour moi l'amour c'est sacré. Que l'amour soit physique ou sentimentale, tu ne te donnes pas à n'importe qui. Je sais que pour eux, ce mariage est un moyen de lier les noms Hoover-Kennedy, tu vois le genre ? "Ca fait bien" de s'appeler Hoover-Kennedy, n'est-ce pas ? Bien sûr, la dernière phrase, je l'avais prononcé avec un ton ironique. Jamais je ne tiendrais de tels propos sérieusement.
Cette chanson est consacrée à Mama, ça retire déjà le problème de la répartition des rôles pour le chant. On avait reprit la conversation sur le spectacle, après tout, on était là pour ça, non ? Ses idées et ses pensées tenaient la route. Alors, réfléchissant en me mordant les lèvres, j'hochai la tête.
Exact, la personne qui jouera Mama sera sûrement au centre de la scène. Il va falloir qu'on s'entraîne à chanter aussi. J'avais pris un an de cours quand j'étais petite mais je crois bien que j'ai tout perdu. Tu as déjà chanté toi ? Puis, comme une sorte d'illumination, une ampoule s'alluma dans ma tête.
Ca pourrait faire bien que Mama soit au centre mais dans une mise en scène du genre.. une ombre tu vois ce que je veux dire ? Qu'on trouve un moyen de créer une atmosphère un peu mystérieuse. Avec de la fumée ou quelque chose comme ça.
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