Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityEt le jeu commença ✎ PV SHAYANE
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Et le jeu commença ✎ PV SHAYANE

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    Un verre, elle avait besoin d’un verre. L’alcool devrait la détendre normalement. Cette journée avait été longue, trop longue à son gout. Le matin avait été horrible et l’après-midi encore plus. Le temps se faisait beaucoup plus long que d’habitude, le soleil de l’Italie lui manquait et elle détestait l’idée de voir son petit frère aussi niais, aussi énamouraché de cette donzelle française à deux balles. Il était bien trop naïf, il l’avait toujours été et elle ne voulait pas qu’il souffre, il avait déjà tellement souffert là-bas, dans leur famille. Sandro avait besoin de stabilité et l’amour n’offrait rien de stable, cette fille allait lui laver le cerveau et ensuite lui briser le cœur seulement parce qu’elle serait lassée ou pire encore, elle pourrait très bien tomber enceinte et lui pourrir tout son avenir, une chose qu’elle se refusait de croire. C’était bien simple, si elle faisait l’une de ses deux choses elle s’exposait à la rage de la demoiselle, elle s’exposait par la même occasion à ses foudre et à ses lames bien plus aiguisées que des lames de rasoirs.

    Valentina avait eut le plaisir de les voir se bécoter, se tenir la main et elle avait vu dans ses rêves les plus fous cette demoiselle disparaitre. Elle n’était pas jalouse, non, elle n’avait pas à être jalouse d’une petite pétasse dans ce genre, elle était plus sur ses gardes, surveillant cette fille qu’elle sentait mauvaise, voir manipulatrice. Elle aimait trop son frère, parfois il le lui disait, mais c’était impossible qu’elle fasse autrement. C’est pour cette raison qu’elle devait se détendre ce soir, sortir, se bourrer la gueule et complètement oublier où elle était. Elle se leva donc de son lit et alla enfiler n’importe quelle robe de soirée qui pouvait bien tomber sous sa main avant de s’observer dans son miroir pour admirer le résultat. Elle était jolie comme un cœur, superbe, adorable et pire encore. Elle alla se maquiller, enfiler des escarpins noirs aux talons rouges qui allaient avec sa robe d’autant plus rouge. Elle était superbe, ce genre de femme fatale que l’on voit dans ces pubs pour des parfums ou des conneries comme ça et on lui avait plusieurs fois dit qu’elle ressemblait à un mannequin. Elle était l’atout charme de la mafia, experte dans les hommes, les faisant succomber pour mieux les attraper. Elle attrapa son sac-à-main, y rangea une arme blanche, son portable et un peu de maquillage avant de sortir pour se rendre à la boite de nuit.

    Avoir une arme sur elle, un besoin presque vital, impossible qu’elle fasse sans, tout simplement parce qu’elle se sentait nue sans tout ça. La jeune femme se dirigea vers la boite de nuit la plus proche de chez elle et y arriva à pieds, elle montra patte blanche devant le videur comme pour lui faire croire qu’elle était innocente et entra dans les lieux. La musique battait son plein avec force, chaque coup alla de plus en plus fort dans son crâne. Elle se dirigea vers le bar et commanda un verre au serveur auquel elle sourit largement. Un billet fournit plus tard, elle tourna la tête avant de découvrir une demoiselle qu’elle connaissait il y a quelques temps déjà, une ex de son petit frère… Une vraie petite garce qui lui a brisé le cœur. Elle s’était jurée de lui faire payer ce qu’elle avait fait subir à cette partie d’elle-même qu’était Sandro, elle trouvait une bonne façon de le faire. Elle s’approcha d’elle, s’asseyant juste à côté avec un sourire délicieux, prenant cet air détendu et amical qu’on les filles normales dans cette ville. « Salut, je m’appelle Valentina… Dis-moi… Je m’ennuie un peu, tu pourrais m’occuper ? ». Elle était bi, tout du moins c’était ce que disait son dossier et cette phrase posait se comprendre de deux façon pour les deux types : une hétéro comprendrait qu’elle était nouvelle et qu’elle cherchait une amie avec qui s’amuser, une bi comprendrait qu’elle voulait quelqu’un avec qui finir la soirée… Dans les deux cas donc, Valentina avait tout bon dés le début du jeu.
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La Brésilienne passa son doigt sur ses lèvres afin d'y répandre le rouge à lèvres qu'elle venait d'appliquer grossièrement dessus. Elle secoua la tête afin de virer les cheveux qui la gênaient et continua à se maquiller avec application. Les apparences, voilà ce qui ramenait les hommes et les femmes à elle. Elle se savait attirante, sexy, bien faite en somme. Tout comme ses quatre sœurs, la brune avait du charme, des cheveux dont elle prenait particulièrement soin, de belles formes qu'elle n'hésitait pas à mettre en valeur. Dire qu'elle était une planche à pain n'était qu'une absurdité, elle avait de la poitrine à revendre et c'était aussi quelque chose qui plaisait aux hommes. Les anorexiques, c'était définitivement moche et elle aimait avoir les atouts dont elle pouvait se servir à bon escient. Alors elle se maquillait, n'hésitait pas à porter des robes un peu trop courte, assez décolletées pour que chaque homme puisse loucher sur sa poitrine. Et le pire, c'est que ça marchait... Un peu de far à paupière, de l'eye-liner, du mascara et le tour était joué. Elle n'était pas le genre de femme 'pot de peinture' et préférait les choses plus simples et plus discrètes, ses robes n'étaient pas extravagantes non plus, juste hors de prix. Ses chaussures ? Toujours des Louboutins, ça n'était pas le genre de chose qu'elle négligeait lorsqu'elle sortait. Elle avait largement les moyens de se les payer, était particulièrement fan de ce genre de chaussures et s'en procurait donc. Elle avait un statut à défendre, elle était une Eliot et le montrer, c'était capital.

Elle aimait changer de lieu pour faire la fête, trouver de nouvelles proies, parce que le changement c'est capital. Se taper toujours les mêmes personnes, ça n'était pas son trip. En fait, un certain nombre de ses plans culs réguliers étaient devenus des débiles bouffés par l'amour pour des pétasses avec lesquelles ils seraient en froid peu de temps plus tard. Elle le savait, elle le prédisait à chaque fois et ça allait arriver. L'amour éternel, ça n'existait pas, elle en était persuadée. Et elle avait sans doute raison. Les relations qui duraient deux semaines, deux mois, c'était parfaitement son rayon. Nate, Sandro, ils étaient tous de nouveau en couple, en trouple même... pour Nate. Débilité profonde de mecs faibles et sans aucun honneur, ils lui faisaient tous pitié Entre Sandro et sa blondasse de Cabot, Nate et son trouple à deux balles qui allaient certainement être disloqué dans deux mois... Les ex de la jeune femme lui faisait pitié, vraiment pitié. Sans parler de Trunks, qui s'était enfin mit avec Orphée, gros lol. Les histoires d'amour la dégouttait vraiment. Le must c'était quand même la peine que ressentait Ocean maintenant que cette pute d'Apple venait de se barrer avec Andy. N'importe quoi... Vraiment n'importe quoi ! Les Cabot, toutes dans le même sac. Toujours là pour lui voler ses plans culs réguliers.

Accoudée au bar, la jeune femme buvait une Caïpirinha, un cocktail venant du Brésil. La jeune femme n'était pas vraiment en pleine nostalgie, mais les soirées sur la plage avec ses sœurs lui manquaient un peu. La musique lui rappelait sans arrêt qu'elle n'était pas au Brésil, mais bien aux États-Unis et qu'elle n'aurait pas la chance d'aller s'étendre dans un transat ou de baiser dans un hamac. Ça aussi ça lui manquait d'ailleurs, le hamac, c'était plutôt cool comme endroit. Près d'elle, un mec lui parlait, elle ne l'écoutait pas. Elle en avait rien à foutre de sa vie, de ses problèmes familiaux et tout ça, rien à foutre de ses amours, de ses ennemis... « Bon écoute, ta copine là, tu la largues demain matin et c'est fini. Arrête de te prendre la tête pour des conneries et va voir ailleurs. » Ça avait le mérite d'être clair, elle avait été assez patiente. Ce qu'elle voulait, c'était du sexe, pas l'une des émissions de confessions intimes en direct live. Il ne semblait pas comprendre, tentait de se justifier et Shayane le coupa dans son élan, en plein milieu d'une phrase : « Dégage, tu me fais chier. » Elle tourna la tête vers le serveur, demanda un autre verre et c'est à ce moment qu'une voix retenti près d'elle, une voix de femme. « Salut, je m’appelle Valentina… Dis-moi… Je m’ennuie un peu, tu pourrais m’occuper ? » La brune se tourna légèrement vers elle, les sourcils froncés. Elle voulait quoi elle ? Elle resta perplexe cinq secondes et fini par répondre après avoir toisé la blonde du regard. « Shayane. Si t'es hétéro et que tu veux de la baise, s'tu veux j'te présente au mec super lourd que j'viens de virer. Si t'es autre chose, alors on peut s'entendre. », dit-elle sans un sourire. Cette fille ne semblait pas spécialement riche, elle avait un accent qu'elle identifiait comme Italien, elle s’appelait Valentina. Tous ces éléments la firent songer à Sandro, cependant les Valentina italiennes étant nombreuses, elle ne pouvait rien deviner quant à l'identité de cette Valentina. Ce qu'elle voyait, c'était les yeux de cette fille, le corps de cette fille et le charisme émanent d'elle. Son sourire, ses cheveux, ses lèvres l'attiraient, mais elle resta impassible.
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