mia and karim► I just don't want you to be in pain anymore

La préparation pour cette chirurgie était maintenant arrivé. J'étais à l'hôpital depuis une semaine maintenant, car les médecins avait aussi découvert quelque chose d'anormaux chez moi avec la médication qu'il m'avait donner pour accélérer la production d'insuline naturel de mon pancréas. Mon sang était devenu clair et mes globules rouges avait commencé à agir différement dans mon corps. Ma pression était basse et je faisais des crise d'anxiété avec la douleur que je ressentais.J'étais devenu stable après plusieurs jours, mais j'étais encore sous surveillance. Tout le monde à la Winthrop House était au courant de ma situation et même que d'autre étudiant que je connaissais était au courant. J'étais étendu sur mon lit et ma soeur était avec moi. Mon père était venu me voir avant qu'il reparte pour la Suisse où est-ce que le camp d'entraînement des Bruins se passait. Depuis que mon père est en charge de l'équipe, il fait découvrir à tout le monde notre pays natale. Je ne m'étais pas sentie tombé endormi et ma soeur était encore avec moi avant qu'elle quitte l'hôpital quelques minutes après mon profond sommeil causé par une autre chute de sucre.

J'était très épuisé. L'équipe de hockey du campus avait peur que je ne revienne pas pour la nouvelle saison. Je fais confiance aux médecins qu'il prenne charge de mon dossier depuis le début de mon diabète. Je vais revenir en force après quelques semaines de réhabilitation. Je dormais profondément après ma baisse de sucre. Ma soeur avait intervenu au bon moment pour avertir les infirmières. Je commençais à me réveiller après quelques heures de sommeil. Je voyais toute embrouiller avant de voir clairement. J'évitais de m'étirrer parce que j'avais une douleur à bas ventre. J'avais oublier qu'on m'avait aussi opéré pour retirer mon happendis. Je retournais vers la porte et un sourire très fin se dessinait sur mon visage. Mia était-là. Elle pouvait maintenant voir pourquoi j'étais distant. Je la regardais. J'étais content qu'elle soit venu me voir. "Je suis content que tu sois ici. Tu vois pourquoi j'ai été aussi distant... c'est dernier semaine... s'était difficile pour moi et pour toi aussi et je m'en excuse..." 

Je le sais que je vais le regretter, mais je n'avais le choix et je lui donnait tout mon attention envers elle parce que je ne pouvais pas non plus lui donner encore plus de souffrance avec ce qui m'arrive en ce moment. Je la regardais et mon rythme cardiaque avait augmenté. Le moniteur commençait à me taper sur les nerfs. J'essayais de me contenir, mais faut croire que mes les hommes ont des émotions comme les femmes, mais beaucoup plus refouler. "Je croyais être capable, mais malheureusement, je n'avais pas la force. Si je ne fais pas ça... je... je... je peux mourrir. Ma maladie n'est pas facile et j'ai peur aussi. J'ai eu peur de te perdre Mia parce que j'essayais tellement de faire quelque chose de bon, mais je n'ai pas été capable. Je t'aime Mia, mais je peux pas... j'ignore comment ça va se passé..." Dis-je en laissant mes larmes couller sur mon visage qui était maintenant devenu chaud. J'avais soif. J'appuyais sur mon bouton pour appeler une infirmière, car je me sentais vraiment inconfortable.