SILVIA A-T. CASTIEL ► alicia whitten

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle weakness et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à haheum qui ne le connait pas ? ^^.  Il est toujours aussi magnifique et actif bien que j'avoue que j'aimerais bien voir apparaitre des possibilités de doublon car pour trouver un vava fille ou mec OMG *pleure* alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Alicia Ann Whitten comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par hook qui m'a fait mon sublime kit et lolize qui a accepté de me donner ses stocks et sa découverte magnifique. Je fais environ 400-500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ KOWABUNGAAAA  :excited: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)

"Papa ! Maman ! Je me casse !" une histoire pleine d'émancipation dirons nous. Je n'avais jamais été très douce avec ma bouche, à vrai dire je n'avais jamais trouvé l'intérêt de tourner autour du pot pendant trois ans. A quoi bon faire de belles phrases et les enrouler dans des petits rubans si ça doit vous prendre des plombes ? non. Tout ça n'était définitivement pas pour moi. Je me rappelle encore la tête de ma mère ce jour là. Je n'ai d'ailleurs toujours pas défini la couleur qu'avait pris le teint de son visage. Entre le rouge, le violet et le blanc. Mon père en revanche, n'avait pas semblé si surpris que ça. Déjà depuis toute jeune j'étais quelqu'un d'indépendante, avec ses idées. Et ça des idées j'en avais croyez moi. Venant d'une famille d'italiens, le sang chaud, ça nous connait, je démarre au quart de tour, je râle... j'ai fais un peu de la vie de mes parents un vrai calvaire, mais ils savaient se rattraper alors je dirais que c'est 50-50. Je suis née à Pasadena. Le bout de Los Angeles au pied des montagnes de San Gabriel, dans l'État de Californie. Je pourrais vous donner le nombre d'habitants aussi mais ma connexion internet bug trop pour que je me casse la tête. J'ai toujours vécu dans le coin. Évidemment j'ai beaucoup de famille en Italie et c'est là bas que je passe la plupart de mes étés. C'est ma langue maternelle, je sais que ça tenait à coeur à beaucoup de monde que je fasse perpétuer la tradition en apprenant la langue et les traditions et autant dire que ça j'ai adoré. Moi qui suis une grande gourmande, je ne vous raconte même pas comment allé manger là bas est un vrai plaisir. Entre les pizzas, les plats de pâtes et j'en passe, je me demande comment je fais pour garder ma taille de guêpe. Concernant mes parents je vais vous faire un petit résumé simple. Mon père et son frère tiennent une grosse société de high tech et ma mère est une femme changeante selon ses envies. En même temps, vu la fortune que mon Padre rentre tous les mois, elle peut bien se le permettre. Dernièrement je sais qu'elle a fait un peu de mannequinat et après elle est repartit à bosser comme esthéticienne, son job de base. L'avantage c'est qu'avec une famille pareil on ne risque pas de manquer d'option, il y a toujours quelqu'un qui veut nous faire travailler. Et c'est d'ailleurs là que le drame a commencé. L'idée était que je reprenne l'entreprise familiale, mais ça ne m'a jamais intéressée. Mon frère lui, en revanche, a toujours été branché. Haha. Pour quelqu'un qui bosse dans l'informatique c'est le cas de le dire. Non plus sérieusement, lui il a ça dans le sang alors même si je suis l'ainée de deux ans, il n'en reste pas moins qu'il fera un bien meilleur PDG que moi.

En parlant de "ça", de cette.. "chose", je ne vous ai pas parlé de lui encore. Grand, musclé, boutonneux, je vous présente Javier, mon petit frère. Il a 21 ans et n'aime pas sa vie. Comme tous les jeunes. On a toujours eu de très bon rapport. Comme tous les frangins on se chamaillent, mais en dehors de ça il sait qu'en cas de soucis je suis là et inversement. Chez les Castiel, tout le monde est soudé. Enfin bon, je ne vais pas approfondir car je crois que sa vie à lui ne vous intéresse pas alors revenons à nos moutons.

Quand j'étais petite, j'étais toujours un model de travail, imperturbable. Je mixais mes études et mes loisirs sans mal. J'ai enchainé plusieurs école de classique et de jazz avant de vraiment m'intéresser à la danse en elle même, à l'art. Très curieuse, je passais mon temps à poser des questions, je voulais toujours en savoir plus, en découvrir plus. Épanouie, heureuse, c'est le jour ou ma meilleure amie, ma confidente : ma grand-mère.. celle qui avait toujours été là pour moi, est morte, que les choses ont basculé. J'avais 14 ans, pleine crise d'ado alors je vous laisse imaginer la cata. J'ai déconné, j'avais des notes catastrophique, je séchais, je mentais, je me foutais de tout. Une rebelle dans l'âme et je dois admettre que si courber l'échine avait son bon côté, savoir dire 'merde' à un moment donné faisait un bien encore plus violent. J'ai fini par switcher ces deux personnalités quand mon deuil fut passé, et j'ai ainsi commencé à faire ma loi dans la maison, affirmant mon côté Torrens -celui de ma mère-. Grande gueule elle aussi, elle semblait fière que je tienne tête à son mari. En fait ça semblait leur plaire à tous les deux. Que serait une Castiel sans un minimum de caractère ?

Ce fut à l'obtention de mon baccalauréat que je décidais soudainement de m'inscrire à Harvard pour suivre mes cours, d'histoire de l'art cursus danse avec en mineur la sexologie, que la famille a commencé à voir rouge. Ils ne voulaient pas que leur petite princesse s’envole, mais je ne leur ai pas laissé le choix. Je suis partit, j'ai claqué la porte. Je me suis trouvée un boulot en plus de ce que je recevais chaque mois, et j'ai fais ma vie. Ils ont eu du mal à accepter l'idée mais ils s'y sont fait et depuis ça se passe plutôt bien. Quelques tentatives pour me faire venir dans l'équipe mais bien vite mon padrino a arrêté, voyant que ça m'énervait. Je savais très bien que mon père l'envoyait. Une vie paisible en soit. Presque digne des contes de fée. J'avoue que j'ai de la chance. En revanche, si on parle de moi, les choses se gâtent. J'ai refusé d'intégrer une maison à mon arrivée car je trouvais ça tout simplement stupide. Je n'ai jamais eu besoin que quelqu'un me dicte comment je devais m'habiller ou me comporter pour avoir du succès, alors je continuerais sur ma lancée. Boulot, étude, fête, danse, joint par ci par là, alcool, vie de débauche... je vis la nuit. Je m'en sors pas trop mal, l'histoire de la bombe m'a un peu perturbée je dois le reconnaitre et il y a encore des jours ou je sursaute pour un rien. Ma mémoire me joue des tours sur des petits détails mais je travaille dessus.. avec le temps ça ira m'a dit le médecin.

Quoiqu'il en soit.. si tu veux rencontrer la vampire qui sommeil en moi, j'espère que tu es bien accroché car tu n'en ressortiras pas... intact. Du moins j'espère que toi aussi tu as du caractère, mais rassure toi, je suis un vrai nounours, il parait même que je suis marrante, alors n'ai pas trop peur quand même.