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Maissa ♛ Akward Moment.

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Comme tout les matins depuis peu maintenant, j'avais reprit les cours et donc je devais me lever assez tôt. Déjà levé puisque ce matin j’étais plutôt de bonne humeur, je bougeais mon bassin au rythme du son que la radio envoyait tout en rangeant le bol que j'avais emprunter pour manger mes céréales. Je ferai la vaisselle en rentrant, j'avais bien trop la flemme dans l'immédiat. Je venais de plus de prendre une douche et je me prenais dans l'appartement en boxer, mes colocataires avaient l’habitude depuis le temps. Je filais rapidement dans la salle de bain en me brossant les dents, me nettoyant le visage avec de l'eau et du savon et enfin en me brossant légèrement les cheveux avant d'abandonner, les laissant en bataille. Par la suite j'attrapais mon sac et sortit de l'appartement. Pas besoin de le barrer je savais qu'on allait se réveiller encore après moi. Je descendis les marches et passais la porte afin de me rendre dans le parking du sous-col et d'entre dans ma voiture. Après plusieurs minutes de route à chanter comme une casserole les paroles d'une chanson bien connu, je me garais rapidement. Sortant de ma voiture, je la barrais et me dirigea dans le hall d'entrée. Cette année allait être très rude, j'entamais ma septième année. Encore quelques années et je pourrai enfin sortir de l’institution scolaire et commencer la vie que je voulais. M'installer en tant que vétérinaire en Australie et me poser enfin au niveau relation amoureuse et pour le moment, je gardais cet esprit de papillon qui préfère voler de fleur en fleur. J'avais d'ailleurs quelques papiers à remettre au secrétariat d'où mon passage ici. J'avais envie de me griller une clope mais ça allait attendre désormais. Une fois les bons papiers remit, je m'étais coincé dans un coin afin de les mettre dans mon sac sans gêner la circulation piétonne quand quelque chose attira mon attention. Une jolie jeune femme en robe, dévoilant de longues jambes bronzés avec une certaines classe je devais admettre, près d'un ascenseur. Ce n'est pas vraiment ce qui avait capté mon attention en premier bien qu'elle soit tout à fait à mon goût, non, je voyais petit à petit que l'ascenseur se refermait sur sa robe et c'est bien ça qui m'inquiétais. N'ayant pas eu le déclic de l'avertir, la jeune femme commençait à sentir sa robe se soulever et entre autre à paniquer. Je m'approchais alors d'elle et sans la prévenir je touchais ses mains présentent à tirer sa robe pour qu'elle lâche. Je pensais qu'en combinant nos deux forces, le tissus finirai par lâcher mais pour le moment c'était loin d'être le cas.
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Les cours avaient repris, Maissa n'était pas très enjouée à cette perspective. Elle n'était pas médiocre à l'école, mais elle préférait flâner une journée avec un joint entre ces lèvres, for sure.  À plusieurs reprises, Maissa avait pensée à abandonner Harvard pour se consacrer entièrement sur le mannequinat de lingerie fine, mais elle changeait rapidement d'idées. Être à moitié nue dans un magazine tout le temps n'était tout simplement pas pour elle même si elle était à l'aise avec son corps. Alors, la voilà de retour à Harvard pour reprendre les cours. Cette année, tu avais pris la décision de t'offrir pour donner des cours de langues, mais tu devais d'abord en parler avec la secrétaire pour voir si c'était possible. D'où ta venue au Grand Hall. Sortant des ascenseurs, elle s'arrêta pour prendre des papiers dans son sac et elle regrettait cette idée, maintenant. D'une part parce qu'elle s'était arrêtée trop près et d'une autre part parce que Maissa portait l'unique robe qu'elle possédait. Cette belle robe fleurie. Celle qu'elle portait toujours avec des bottes noires. Horrifiée de perdre sa robe, Maissa lâcha tout ce qu'elle tenait dans ces mains pour tirer sur sa robe afin qu'elle sorte des portes de l'ascenseur. Premier jour et Maissa allait faire un striptease sans le vouloir à tous les étudiants présents dans le Grand Hall. Elle tirait sur sa robe comme une forcenée, elle n'avait pas vraiment de forces. Puis, des mains vinrent rejoindre les siennes. Ce jeune homme touchait Maissa. Elle détestait. Lâchez-moi. Murmura-t-elle assez fort pour que cet inconnu l'entende. Sauf qu'il ne semblait pas l'attendre. Lâchez-moi. Retirez vos mains, immédiatement. Répéta Maissa en espérant qu'il comprenne cette fois. Elle était dans la merde, mais tout ce à quoi elle pensait c'était le contact établi entre lui et elle. Contact qu'elle détestait.
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Lâchez-moi. J'étais entrain d'aider une jolie femme en détresse, et une grondement aigu venait alors percuté mes tympans. Gentiment, avec toute ma bonne volonté je venais l'aider et j'avais des cris comme remerciement ? C'est une grosse blague j'espère, non ? Je fronçais alors les sourcils en craignant le regard des autres autour de moi. Avouez que la situation était comique, non ? Je tirai sur la robe de la jeune femme, et toutes personnes un peu fouteuse de merde aurait la bonne idée de dire que je suis entrain de l'attoucher sexuellement alors que c'est loin d'être le cas. Je préfère quand la personne est consentante. Lâchez-moi. Retirez vos mains, immédiatement. Je comptais répliquer en lui demandant de baisser le son quand les portes s'ouvrirent enfin, libérant le tissu. Ayant mit toute ma force pour ce but et par surprise, je reculais alors de plusieurs pas jusqu'à toucher le mur de l'autre côté du couloir, et finit par m'asseoir les yeux grands ouverts et les mains encore crispés. Reprenant peu à peu mes esprits à cause du choc, je me relevais légèrement frustré en regardant jusqu'à la jeune femme qui elle aussi avait glissé un peu plus loin. C'est qu'elle est a de la force la petite. C'est bon, je t'ai assez lâché là ? Dis-je avec ironie alors que je lui tendais la main afin de l'aider. J'étais un gentleman.. Même frustré. Sa chevelure brune et parfaitement lisse contrastait avec le sol en carrelage blanc, son visage basané était tout bonnement magnifique.. Avait-elle des origines indiennes, pakistanaise ? D'une certaine manière elle m'intriguait fortement. Mais visiblement son caractère était tout l'inverse.
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