Capturez ses propre rêves comme boire un nectar alcoolisé

and your heart is the heart of a life

Une soirée peu commune, enfin pas si extraordinaire que ça pour moi. Je dois dire que je n'étais pas du genre a rester planquer dans ma chambre. J'avais besoin de sortir, et d'explorer les alentours pour peut être trouver des trésors. Jack mon père, était du genre fou à lié. À inventer toutes genre de chose les plus hurluberlu que possible. Il y avais le sanglophone. C'était une boite de musique en bois vieillit, elle permettait d’enregistrer le son des sanglots des fantômes, il y avais deux molettes. L'une permettait de jouer sur la tonalité et l'autre sur la fréquence c'était très amusant. Cela dit se soir, je voulais capturer les rêves des gens. Grâce à une autre invention. Le Dreamoscope. C'était un vieux polaroid qui faisait des captures de rêves, quand je prenais quelqu'un en photo sur la photo je pouvais voir son rêve. Je ne comprenais pas le fonctionnement, mais l'idée de voir mon rêve de m'envoler me donner l'envie de continuer. J'ai quitté la Quincy house, il était 23 heures. La nuit était magnifique, malgré les luminaires qui gâchait se ciel plutôt magnifique en cette fin d'été. La fraîcheur se faisait sentir, je ne portait qu'un jeans avec un polo noir, armé de mon dreamoscope avec sa lanière de vieux cuir poser sur mon épaule ainsi qu'une sacoche en cuir assez vieillit par le temps qui appartenait à mon défunt père. Alors que je regardais mon téléphone pour enfiler pour casque Marshall sur les oreilles. Je mis alors une musique d'Alice cooper, cette madame cooper fortement affreuse me permettait d'apprécié mes soirées de solitude. J'arrivais alors pres de harvard street, alors que des jeunes était sur la terrasse d'un bar, je me suis assis les prenant en photo. Admirant le jeu de lumiere sortir du papier glacé. On pouvait observer des formes des plus etrange, certains je ne préfére même pas vous en parler, mais cela était très bizarre. Bien que le dreamoscope capture les rêves des gens, il peut aussi capturer les fantomes, ses ombres blanches aux formes humaine. Soudain en prenant une jeune fille en photo je remarquais assez vite que je la connaissais. C'était la jeune Mia. Elle était comment dire du genre rigide sur la confiance. Cela dit je pouvais constater qu'elle pouvait rêver d'aventure, je glissa la photo dans ma poche, je venais malencontreusement de violer son intimité. Je me suis toujours dit de ne jamais l'utiliser sur des gens que je connaissais personnelement, le plus beau est quand même de les prendre quand ils dorment leur rêves sont plus net a décrire. Je me leva m'approchant d'elle alors qu'une musique electronique, une reprise d'il était une fois dans l'ouest me cracha sourdement dans les oreilles, éteignant alors le volume je lui parla d'un air plutôt calme comme à mon habitude : « Bonsoir demoiselle, vous venez souvent dans le coin ? » disais-je alors un petit sourire en coin, aimant toujours commencer les conversations dans une dose d'humour cela mettait tout de suite l'ambiance n'est ce pas ? .

FICHE ET CODES PAR BROADSWORD.

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La normalité des choses était bien une chose que je n'acceptais guère, le coté normal des gens est aussi invisible que l'envie qui le sert. Pourquoi chercher toute formes de normalité dans ce monde ? Cela étant dit pour moi , la normalité n'a eu plus de sens le jour de ma naissance, trouver vous ela normal que je suis né avec un cœur litteralement gelé ? Pour moi tout avait un sens qu'on peut dire paranormal. Les fantômes qu'obseder mon père et ce qui se passait sous les jupes des filles. Choses pour moi lié au paranormal a mon enfance. Les Fantômes faisait partis de ma vie et de mon histoire, j'en ai entendu des histoires de fantomes, c'était peut être ce qu'il y avais de plus amusant. Cela vas t'en dire que je préfére encore les capturer que de jouer au ping pong sur ma tombe. Alors que je m'étais approché de la jeune femme, je ne pouvais m'empecher de jouer la carte de l'humour, autant en profiter avant la fin. Elle était intriguante, cette petite blonde tenait un charme lié presque divin je ne serais en dire plus d'avantage. Mais cela dit elle n'osa continuer de jouer avec moi :"Bonsoir jeune homme, je viens tout les soirs" Tous les soirs c'est le genre de phrase qui pourrait littéralement la faire passer pour une ivrogne qui voudrait s'abbreuver de larmes de jeune homme, car c'était ma nourrice qui me le disait souvent les larmes des hommes ont meilleurs goût, leurs larmes sont véritable et grosses ! De quoi en faire plaisir à Dionysos lui même ! «  Tous les soirs ? Cela m'étonnes, je n'ai pas l'habitude de voir des rêves aussi beau en cette fin de journée » Pourquoi je parlais comme cela je me suis pris pour une œuvre de shakespear ou quoi. Cela dit tout cela me faisait doucement rire. Je prenait alors une pose plus décontracté , bien que la situation était bien caucasse j'ajouta : «  Cela dit comment vas tu ? Trainais tard le soir dans les rues une jeunne fille fringuante comme toi c'est un peu... Suicidaire non ? »

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