Jules M. Campbel ►Naya Rivera

Je suis née le 17 juillet 1992 à Cancún, au Mexique. Née d'un père Américain et d'une mère Mexicaine. Je suis une petite fille toute mignonne mais trop mignonne en apparence, au début mes parents ne savaient pas que j'avais un problème au cerveau, je les sus quand j'avais 2 ans je crois au moment du rentré à l'école maternelle. Je suis née dans une famille unis, heureuse et déjà composé d'un grand frère de deux ans de plus que moi, on est très proche, il m'a toujours protégé. On n'a jamais manqué de rien sauf d'amour peut-être. Mon père était un grand milliardaire, il travaille beaucoup, il est producteur de films et acteur également. Ma mère était une chanteuse très peu connue disons qu'elle chantait pour nous et dans un petit bar le soir à Cancún, elle était sinon mère au foyer. Toute notre enfance, Noam et moi on était heureuse et toujours collée à notre mère. Notre père n'était pas souvent là mais quand il rentrait il venait toujours nous voir quand on dormait. Puis ma mère est tombée enceinte d'une petite fille et mon problème au cerveau à commencer à s'aggraver. On a découvert que j'étais bipolaire et que je devais avoir des médicaments car sinon mon état s'aggraverait mais je m'y suis faite et au fur à mesure mon problème c’est « régler »en quelque sorte je ne suis plus obligé à prendre des médocs toujours les jours juste quand je sens que j’en ai besoin. Ma mère est tombée enceinte d'une petite fille et j'avais à peu près 3 ans d'écart avec elle. On était très heureux, mon frère et moi d'avoir une petite sœur que quand elle est née on était très proche d'elle, on a commencé à s'attacher. Mais la vie et une chienne ambulante, notre petite sœur est morte quand elle avait trois ans d'une malformation au cœur, on n'a pas pu la sauver. Ma mère était effondrée on a essayé de la soutenir mais comme mon père n'était jamais là c'était très dur. Mais la vie passe et notre mère à finir par s'en remettre avec le temps mais perdre un enfant est très dure.



On l'a soutenu, on a grandi et mon frère à commencé à traîner avec les gens des bas quartiers et tout a changé. Notre lien était devenus différent, moi j'avais deux ans de moins alors à 10 ans j'allais pas sortir. Mais pourtant je l'ai suivi un peu, j'ai perdu ma virginité à 11 ans et j'en suis pas très fière. On était au collège, je devais avoir 14 ans quand une femme est venue nous voir moi et mon frère et qu'elle nous a dit que nos parents avaient eu un accident et que les médecins n'ont pas pu les sauver, ils sont mort tous les deux à cause d'un pauvre mec qui était complètement ivre. Quand on perd quelqu'un de proche, on passe par le déni, la colère, la culpabilité mais surtout la dépression. Moi j'ai commencé par les dénis, je voulais voir personne, cette phase a duré à peu près 3 mois, mon frère ne savait pas quoi faire pour me rendre le sourire, je pleurais toujours, je restais enfermée dans ma chambre et le pire c'est que je regardais nos albums photos et toutes les photos n'étaient avec mon frère, ma petite sœur, ma mère mais jamais mon père. Puis je suis rentré dans la phrase colère, j'ai pété les plombs j'ai commencé à me droguer et j'ai fini par essayer de me suicider et c'est mon frère qui m'a trouvé. Cette phrase a duré 6 mois. J'avais seulement 14 ans à la mort de mes parents et en plus de ça, ma tante et mon oncle sont venus habiter chez nous jusqu'à ce qu'ils aient notre garde. Noam, lui il est repartis en cours mais moi j'y arrivais, même quand mes amis m'appelaient je ne répondais pas. Je n'ai pas vraiment eu de culpabilité pour ma mère car je l'ai toujours soutenue, toujours était présente mais plus pour mon père, je me sentais coupable de ne pas avoir de photo avec lui, de moments inoubliables non rien je n'avais rien de mon père. J'ai trié les affaires de ma mère sans vraiment pouvoir le faire, j'ai pris ses affaires et je l'ai mis dans ma chambre je voulais avoir son odeur, je ne pouvais pas faire autrement. Puis j'ai fini par rentrée dans la dépression et là j'ai commencé à me droguer, à sortir, à faire la fête profiter de la vie comme on doit le faire comprenant que la vie était trop courte et qu’il fallait en profiter au maximum chaque minute, certains pensent que je suis devenues une adulte trop vite mais dans un monde de chiens on n'a pas le choix !

J’ai grandi et j'ai fini par me faire à l'idée que je ne reverrais plus jamais mes parents. Je m'entendais pas vraiment avec ma tante et mon caractère était assez dur, je faisais n'importe quoi, je rentrais à 5 heures du matin alors que j'avais cours le lendemain. Malgré tout ça j’importais une importance à mes études comme mes parents auraient voulu que je le fasse, j'ai eu mon bac. Et ouais malgré mes nuits passées à me droguer ou autres j’ai eu mon bac exploit ! Mes parents auraient aimé que j’aille à l’université donc j’y vais à L’université de Cancún.
Mon caractère s’affirma de plus en plus pour tout le monde j’avais changé j’étais passé d’une gentille petite fille à une vraie garce sans aucun scrupule qui ne pense qu’à elle et à son plaisir. Et il n’avait pas tort , les seules personnes qui me tenaient à cœur c’était mon frère et deux trois amis que j’avais sur Cancún. Mais je compris assez vite après mes premières années universitaires à Cancún que si je voulais continuer ma vie, il fallait que je quitte Cancún.


J'ai donc décidé de me retirer à Cambridge dans le Massachusetts pour aller à l'université d', , tandis que mon oncle et ma tante eux restent à Cancún avec mon frère, moi j'ai choisi de partir de mon côté préférant vivre ma vie seule qu’avec eux malgré l’amour que me porte mon frère et aussi car tout le monde sait qu'il y a les meilleurs mecs et les meilleures fêtes universitaires à Harvard. J’y étudie … depuis mai 2013 et oui son fait un peu plus d’un an que j’y suis mais je m’y sens bien très bien même. En septembre je vais entamer ma cinquième année dans la communication (journalisme) et l’art en mineur (Design de mode). Je veux vivre ma vie comme dans les films, faire la fête, boire de l'alcool et me droguer et baiser jusqu'à en perdre haleine. Oh yeah. Ça c'est le vrai vit et croit moi qu’Harvard se souviendra de moi. Bon maintenant c'est fini. Donc j’y vais moi !

Oh ! Et avant que je parte je voudrais juste vous faire une petite description du caractère de Jules (c'est-à-dire moi) : Jules est une jeune femme sûre d'elle ; elle soigne son apparence car elle aime être sexy ; elle ne fait pas attention à l'image qu'elle renvoie, tu l’aimes tant mieux, tu l’aimes pas . Bah va voir ailleurs ! ; elle ne boit que du café, non je rigole elle boit tout ce qui peut la faire délirer ; elle fume de tout que ça soit du tabac ou autres; elle arrive toujours à obtenir ce qu'elle veut, même si elle doit passer par la manipulation ou le chantage pour y arriver ; elle ne se laisse pas marcher sur les pieds ; elle dit toujours tout haut ce que tout le monde pense tout bas, elle peut se montrer agressive ; elle s’en fout d'être en retard à une cour, elle ne supporte pas le mensonge ; elle a beaucoup de relation d’un soir ; elle n’aime pas être sérieuse ; Bon on a un peu dit tous les points négatifs donc en positif c’est quelqu’un qui est très soudé tu t’en prends à l’un des siens et elle t’arrache la tête. Elle tient à ses proches malgré son côté garce, et si vous creusez bien vous verriez qu'elle a un côté assez attachant....