MANUELA BOVARI ► hannah snowdon

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle nevada.stick et j'ai vingt et un ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à son nom est connu depuis des lustres, alors ça serait du bouche à oreille et bazzart et autres forums.  Le grand nombre de membre et tous se que l'on en dit, je suis toujours autant fascinée par le forum, du coup... fallait que je vienne le découvrir moi-même alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Hannah Snowdon comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par doudouw. Je fais environ 500 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

   Mot de la fin ? ▲ aimez moi ?
   Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
    adhérer un flood d'intégration (?)

Il était une fois dans l'ouest. Oh oui tu aurais aimé ça, le vent chaud sur dans tes longs cheveux d'ébène, le sable qui se glisse dans les yeux, larmes qui ruissèlent pour protéger ces organes précieux de ton corps. Tu aurais aimé un tas d'aventure. Un il était une fois, il y a fort longtemps. Un "dans une galaxie fort lointaine", tu aurais aimé des étoiles non élucidé, une herbes plus bleu que l'océan dessiné. Tu aurais aimé. Aimé c'est un verbe à ne pas mettre au passé, c'est un verbe a actualiser. Un verbe fait pour avancer. Aimer, rencontrer, trouver. Tu es le fruit d'une rencontre d'un pur hasard, tu es le fruit de chemins entre croisé, tu es le fruit de beaucoup de destiné, de destins pas forcément bien compliqué. Tu es le fruit de l'amour, tu es le fruit de la science, de la nature et de tant d'autres trucs. Tu es la génération compliquée, tu es la fille d'une ligné, t'es la descente de quelqu'un d'intéressant t'en à la certitude incrustée. Tu es le fruit simplement, comme des millions et des milliard. Entre six et sept à l'heure actuelle.

Minesota, 1945. Londres 1948. Londres 1949. Manchester 1952 Paris 1964. Chicago 1967. Des villes. Des chiffres, et tu pourrais remonter loin sur un arbre généalogique. Des origines un peu brouillées, des coins du monde pas mal exploré. Tu es la fille de Lily Adams, et Gerald Bovari. Tu es la petite fille tant attendu, tu es la seule et l'unique d'un couple qui a que trop attendu. Toronto, 1993. C'est le point de départ de ta vie, un jour brumeux, un jour à annoncé un hiver vigoureux. Un jour comme il y en a 365 ou parfois plus selon certaines années. Tu es un enfant de la brume, tu es un enfant du pays, du monde. Un enfant sur une planète. Une enfant attendue, aimée. Et ce jour d'octobre, tu ne l'oublieras pas que ce soit des tes photos ou dans tes années.

Ella', chérie tu ne vas pas réellement te faire cela ?... Voyons c'est un gros engagement, es-tu sur que tu ne le regretteras pas ? Seize octobre. Tu es penché sur la table du salon, tu relèves la tête avec un brin de sourire. Tu la laisses continuer d'observer ce dessin que tu viens de ramener. Tu ne veux pas lui rétorquer une phrase préformatée. Piques acérées, vannes bien câblées, tu n'es pas de ceux qui provoquent pour y arriver. Relation parentale non parfaite, pas à se plaindre. Tu hausses alors une épaule, simplement. Le rendez-vous est dans deux heures maman, vas-tu donc cesser de me questionner ? Vous avez dit oui. Tu répliques en finissant d'écrire ta rédaction. Rien à reprocher ainsi, tu préfères t'avancer. Prévenir que guérir, tel est ton crédo d'ado. Non pensions pas que ça serait aussi... réel. Tu ries, tu finis par te lever sur tes jambes qu'on dit trop frêle, tu récupères le papier dans ses mains. M'man, c'est qu'un minuscule petit tatouage, ça va pas être visible à plus de dix mètres, c'est trois fois rien...
Trois fois rien. Ceci était vrai il y a quelques années. Avant que ton corps en soit partiellement recouvert. Du noir, sur du blanc. Un blanc laiteux, un blanc parfois presque maladif. Un blanc que tu as décidé d'assumer de cette manière face à tous ces corps californien qui vendent du rêve. Ce combat avec ta mère sur cet art corporel ? Tu n'en parleras pas. C'est un accord silencieux entre toi et tes parents. Ils désapprouvent, tu le sais, ils le savent. Ils ne vont pas te critiquer, ces dessins sont inscrit en toi, critiquer serait te rabaisser. Mais ils n'aiment pas, et tu ne les as jamais forcé à le faire. Ta vie n'est pas un méli-mélo de drames compliqué. T'as vie est un méli-mélo du minuscule catastrophe appelées quotidien.

Tu ne sais pas d'où est venu ce goût pour le vieux, pour l'ancien, pour le quasi immuable. Cet intérêt étrange qui t'a fait étudier. Qui a d'un seul coup réussit à te faire oublier tes dessins et tes amis pour ouvrir un bouquin. Car il y a le dessin et cet art, totalement différent. Totalement fascinant. La FAC tu songeais même pas y aller, tes parents auraient pas été fâché, ils auraient peut-être compris. Non tu te voyais pas finir diplômée et continuer, et pourtant. Et voilà. Tu sais pas comment tu tiens ente beuveries et cours, entre coucheries et planches à dessiner. Mais tu y arrives depuis un moment, depuis que t'es arrivée ici. T'es pas la plus stable, t'as finis par t'en rendre compte, pas la plus studieuse, pas celle qui finit des jours avant. Non, mais tu bonne et ça te va. Plutôt très bonne même. Le genre de fille à sortir à une heure et demie d'une soirée et arriver le lendemain à 8heure en cours avec sa maquette de design d'espace entièrement terminée à temps. T'es le genre de fille a aimer te retourner la tête par des délais trop court. T'es le genre de fille à te dire que jamais tu voudras travailler, que l'université c'est ta destiné. Un campus, des amis, des garçons, des rencontres, des cours, ton art, ta passion. Qu'est-se qu'il pourrait bien t'arriver pour te donner envie de grandir ?! Toi l'éternelle gamine qui ne sais pas gérer les relations de couple. Toi la fille un peu jeté toujours à trainer avec ta bande de potes de tout horizon. Toi la fille qui veut voler son identité à Peter Pan. Non, le futur toi simplement tu n'aimes pas y penser.