Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOn pose nos valises et nos fesses (Poppy)
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On pose nos valises et nos fesses (Poppy)

Anonymous

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Poppy & Maëlys
On revient aux sources.
La fin du SC avait sonné, on avait été dans un avion pendant de longues heures où j'avais dormi d'ailleurs, pour enfin arriver à Cambridge, des valises lourdes comme des éléphants... Enfin bon, la galère. J'avais emprunté un taxi pour venir jusqu'à la Cabot House, ayant sur le dos, un gros sac à dos plus une valise géante rose. On était pourtant pas beaucoup vêtu l'été. Je poussais les portes de la Cabot House, c'était tout... vide, propre, enfin, y avait pas de vie là-dedans et d'ici les prochaines semaines, ça allait considérablement changé. Je me retournais en voyant que tu arrivais toi aussi, tout comme moi, je ne pu m'empêcher de sourire grandement "J'suis pas la seule à venir poser de nouveaux mes affaires ici alors.."
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Polys + on pose nos valises et nos fesses.
Le Summer Camp touchait enfin à sa fin et je pouvais dire que j'en étais particulièrement ravie. Ces vacances n'avait pas été les meilleures de ma vie, je n'étais presque pas sortie de mon bateau et je m'étais refermé sur moi même. Retrouver enfin la Cabot House était donc pour moi un enchantement certain. Ca faisait du bien de revenir aux sources et de retrouver une famille sur qui vous pouvait compter. Je n'avais pas beaucoup de valises, juste une et qui n'était même pas remplie. On pouvait dire que je n'avais pas vraiment fait attention à mon look cet été et que je m'étais un peu négligée. Mais ce retour à Harvard allait tout changé. J'avais bien l'intention de faire des prouesses et de me surpasser, de retrouver ma motivation et d'être une élève toujours aussi exemplaire. J'avais pris une autre orientation en ce qui concernait mes études et j'en étais assez fière. Je marchais jusqu'à la Cabot House qui était assez vide puis souriait sincèrement, posant mon regard sur Maëlys qui arriva en même temps que moi. Apparemment. C'est ma maison ici, jamais je ne serais partie. J'haussais les épaules en étant plus que sincère, j'aimais les Cabots et je ne m'en cachais pas, elles étaient ma véritable famille.
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Poppy & Maëlys
On revient aux sources.
Apparemment, je n'étais pas seule à arriver à la Cabot House pour monter mes affaires et me poser enfin. Tu étais là, pleine comme un mulet aussi, on avait trop d'affaires c'était incroyable, et je te souriais, contente de te voir là. "Apparemment. C'est ma maison ici, jamais je ne serais partie. " on était bien entre filles "Tu as raison.." Je souriais, regardant partout, fallait avoir le courage de monter aux chambre maintenant, je posais mon regard sur toi et tes valises "On monte?" on allait avoir l'embarras du choix avec toutes les chambres normalement vides encore..
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Polys + on pose nos valises et nos fesses.
Fin des vacances et début des cours. J'allais enfin pouvoir reprendre un rythme de vie régulier et être plus saine d'esprit, chose qui ne m'était pas arrivé depuis des lustres. Je venais tout juste d'arriver à la Cabot House et il nous fallait maintenant, Maëlys et moi même que nous montions jusqu'au chambre pour voir celles qui été encore libre. Chose qui ne devrait pas être bien compliqué, vu que c'était encore le début d'année. Oui allons-y. J'hochais positivement la tête en esquissant un fin sourire à l'attention de la Cabot qui se trouvait à mes côtés. J'attrapais alors la poignet de ma valise qui en somme n'était finalement pas si lourde que ça puis je m'avançais vers les escaliers pour en monter les premières marches.
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"Oui allons-y" je te souriais en montant après toi, les escaliers. Les valises étaient lourdes et c'était un vrai supplice ces escaliers interminables. Je souriais quand même "Oh, j'ai trop hâte de voir les chambres.. On se met ensemble ou t'as prévu d'être avec une autre fille?" on sait jamais! Puis ça pouvait permettre de se retrouver un peu, de se connaître encore plus et de créer de nouveaux liens.. On arrivait enfin à l'étage et je soufflais un bon coup, regardant mes biceps tout féminins "J'ai mal aux muscles...." me retenant de rire, je relevais mon regard noisette au tien.
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