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(flashforward) w/ charlie ✗ nobody's perfect

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Les couloirs du lycée, ils étaient de loin bien plus effrayants que ceux de l'université, pour Caym. Elle qui y marchait sans assurance, aujourd'hui s'affirmait comme jamais. Et malgré que certains, ou plutôt, que le campus entier ait eu vent de son amourette avec celui qu'elle eut nommé un jour "patron", elle ne baissait jamais la tête, jamais dans les couloirs, jamais dans le campus. Pourtant, il y avait bien des personnes qui lui rappelait cet épisode de sa vie; habituellement, elle répondait de son air hautain, et continuait son chemin, comme si rien ne l'atteignait. Comme si rien n'avait jamais eu d'importance. Bien entendu, c'était faux. Ses erreurs, elles martelaient son coeur jusqu'à ce qu'elle n'ait des regrets. Jusqu'à ce qu'elle en souffre, et qu'elle reconnaisse qu'elle avait tort. Mais parfois, reconnaître sortait totalement de son vocabulaire. Qui la cherchera la trouvera, il n'était pas de principe plus simple que celui-là. Ce jour-là, elle quittait sa salle de classe alors que la sonnerie venait de retentir, s'étirant rapidement avant de s'avancer vers les casiers. La journée l'avait fatiguée, sûrement ne tarderait-elle à rentrer. Bien entendu, c'était sans compter la présence de quelqu'un qu'elle connaissait plutôt bien, dans le même couloir qu'elle, au casier juste à côté. Il ne faut pas irriter Caym lorsqu'elle commence à se fatiguer. Bien entendu, même quelqu'un qui ne la cherche pas aura droit à ses foudres, cela allait sans dire. Mais lui, il savait. Et elle, elle savait aussi. Tout deux avaient tendance à jouer de quelque chose qu'ils savaient sur l'autre, à la différence que ce que savait Caym, n'était pas connu de tout le campus. « Tu comptes rester encore longtemps planté là? »  Ce naturel agacé faisait le charme de la jeune fille, tout comme elle en devenait insupportable. Non, bien entendu, elle n'aurait pas fait la remarque si ç'aurait été quelqu'un de sa confrérie, ou une personne qu'elle ne connaissait simplement pas. Mais lorsque Caym a le moindre petit sentiment de haine envers quelqu'un, ce sentiment se profile de façon à ressortir verbalement à chaque fois qu'elle recroisera cette personne. Et chose importante, elle agirait bien différemment s'il s'agissait de quelqu'un de son rang. Manque de chance, en plus d'être d'une confrérie différente, lui n'était pas du même rang social que la demoiselle, si ce n'était que leurs casiers étaient à la même hauteur, et que le sol qu'ils foulaient ne se trouvait pas être plus haut pour la demoiselle que pour lui. Hautaine et orgueilleuse, voilà comment se définissait la Caym qui haïssait. La Caym qui aimait était tellement différente. Quoi que même son côté sombre était différent. Avant, bien longtemps auparavant. Et aujourd'hui, tout le monde faisait les frais de sa mauvaise humeur constante. Sauf ceux qui prenaient le dessus sur elle. Mais bien entendu, ce genre de personnes n'existaient que temporairement. Lorsqu'on est une Burnfald, on s'arrange toujours pour avoir le dernier mot.
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Comme chaque matin, qu'il pleuve ou qu'il vante, j'étais en cours entrain d'essayer de comprendre enfin l'anglais et tous ses mystères. Je comprenais à présent pourquoi cette langue était si dur, si seulement j'étais né bilingue, ça m'aurais bien aidé. Je parlais d'autant plus anglais ici que Français mais j'arrivais toujours à avoir de putain de lacune difficile à combler. Je pensais prendre prochaine des cours particuliers dans cette matière afin de me perfectionner et d'une fois pour toute ne plus avoir de barrière avec cette matière. Concentré, j'écoutais avec attention ce que le professeur pouvait bien raconté. Je n'étais pas le genre d'élève en apparence studieux puisque j'avais des valeurs concernant les fêtes, l'alcool et surtout profiter mais je savais faire la part des choses. Le travail était pour moi une forme de repos, mon esprit pouvait enfin réfléchir et apprendre. J'aimais vraiment étudier, et m'instruire, je comptais avoir un bon boulot dans les années à venir. Finir caissier dans le supermarché pour moi, c'était loin d'être un rêve, et je pense que ça l'est pour personne. Si cette réussir m'importe tant, ce n'est pas par hasard bien évidemment. Je voulais montrer à ses petits merdeux, nés avec une cuillère en or dans la bouche, que même venant d'une famille aux revenues modeste je pouvais terminer avec un boulot bien payé. Bien sûr, il fallait travailler pour réaliser son rêve. J'avais même soulagé mes parents d'un poids en commençant à travailler en tant que garagiste à mi-temps afin de gagner un peu d'argent. Je commençais peu à peu à devenir indépendant et je trouvais cela très encourageant pour la suite. Mais montrer aux Eliots que j'avais réussis ne me suffisais pas, j'avais en tête d'être enfin fière de moi, même si je suis à la base un enfant batard, comme un peut le dire. Déterminé, c'est ce qui me représentais et si quelqu'un se mettait en travers de mon chemin, à coup sûr, je le virais. C'est alors que la cloche retentit, le cours était à présent terminé. Je me rendais compte alors que ma haine avais resurgit le temps de quelques minutes, rien que pour me rappeler ma détermination. Je soupirai un instant avant de ranger mes affaires et de me rendre à mon casier. J'avais quelques livres à ramener et surtout à lire. Puisque j'avais fini mes cours de la journée, je prenais tout mon temps. Je sentais déjà que j'allais fondre dans mon lit pour rattraper mon sommeil en retard, mais une voix féminine et grisante se fit entendre. Je levais les yeux aux ciels avant de les poser sur sa personne. Caym. Tiens. « Je comptais même manger ici, y'a un problème ? » Dis-je ironiquement et sans prendre de gant. Une Eliot, et ne vous étonnez pas que je puisse préférer les Mather après. On ne me regarde pas de haut avec eux, je suis moi et ça leur suffit. Elle peut être jolie, même très jolie pour avoir un caractère comme celui-ci. Et oui, pour moi, beauté ne rime presque jamais avec intelligence et dans ce cas, ça se confirmait tout simplement. « Va t'acheter un sac Chanel, parce que là, j'en ai pour un moment, allez dégage. » Dis-je en lui jetant un regard qui en disait long sur ce que je pensais d'elle. Non, je n'étais pas de bonne humeur et ça s'entendait tout simplement. Un problème ? Tu me cherches ? Tu va me trouver.
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Toujours physiquement très arrangée et d'un naturel perfectionniste, Caym aurait pu clamer haut et fort une place chez les cabots qu'elle n'y aurait, à tout les coups, sûrement pas été refusée. Cela dit, les eliot représentaient absolument tout de la jeune fille, et elle y avait trouvé une place bien plus sûre, et bien plus correspondante à son mode de vie, et particulièrement sa façon d'être. Une hautaine petite peste en apparence. Mais une peste qui n'était pas sans savoir, et une peste avec de l'ambition. Et dans ce modèle de perfection qu'elle suivait à la trace les yeux fermés, Caym en avait oublié ce que c'était d'être agréable au reste du monde; une valeur qu'elle avait effacée dès que sa cousine avait décidé de partir d'Harvard. Preuve en était qu'aujourd'hui, les rares personnes qui lui parlaient, étaient souvent présentes pour lui dire qu'elle n'était qu'une futile héritière sans grande importance. Les autres étaient des personnes qui supportaient ce coeur de glace. Ce jour-là, ce n'était pas tant dans son meilleur jour qu'était la petite princesse, et alors qu'elle venait pour prendre ses fiches pour ses cours de relations internationales, qu'elle suivait depuis un moment déjà, et enregistrait de manière magistrale comme si elle y avait baigné toute sa vie, elle avait croisé le type de personnes qu'elle préférait ne pas croiser. Si la jeune fille cumulait de loin les défauts, il était des personnes qui les faisaient rapidement ressortir, au désarroi des personnes qui la veulent changée. « Je comptais même manger ici, y'a un problème ? » De son regard prétentieux, elle croisa le sien. Il comptait réellement jouer à ce jeu dangereux avec elle? A ses yeux, lui n'était rien. Aux yeux de la société, il n'était rien, selon elle. Caym n'aurait de mal à détruire quiconque se mettrait sur son chemin, d'une façon ou d'une autre. Cruelle était devenue l'héritière, après tant d'années. Elle avait été victime, la voilà tentant le rôle de dominatrice. « Ca deviendra un problème quand tu te mangeras la porte de ton casier, surtout. » dit-elle non sans rouler des yeux. Blasée? Pas qu'un peu. Cela la lassait presque d'avoir à faire à lui quant elle pourrait avoir à faire à un tas d'autres personnes bien plus intéressantes. « Va t'acheter un sac Chanel, parce que là, j'en ai pour un moment, allez dégage. » Ce n'est pas comme si elle ne l'avait jamais fait, cela dit dans sa tête résonna le fait qu'elle avait bien mieux que Chanel; la maroquinerie qu'elle dessinait et concevait elle-même. Ou du moins, qui se concevait dans la firme de ses parents. « Pourquoi t'es si pressé, t'as une prof à aller rejoindre? » demanda-t-elle alors, refermant la porte de son casier après avoir rangé ses affaires dans son sac. C'est une lueur de défi qui parut alors dans son regard, bien que l'envie soit bien évidemment de le provoquer. Jouer de ses connaissances, c'était de loin ce qu'elle savait faire de mieux. Et ce n'est pas comme si elle l'avait murmuré pour que personne ne puisse l'entendre, bien qu'elle n'ait pas haussé le ton non plus. Loin derrière elle étaient ce genre de gamineries. Cela dit, l'hypothèse qu'elle aimait simplement emmerder son monde n'était pas exclue. Tenant la lanière de son sac d'une main, elle avait l'autre posée sur la hanche, attendant une quelconque riposte, un sourire narquois placé sur le visage. Il n'est pas de bonne augure de provoquer une fille telle qu'elle, néanmoins certaines personnes le faisait à leurs risques et périls. Et quand la lutte est longue, elle en est sûrement bien plus palpitante, c'était ce dont elle se convainquait à chaque fois. Elle aimait jouer avec ses proies, et plus encore les blesser. C'était une vengeance contre tout les maux qu'elle avait eu au coeur. Une vengeance personnelle contre le reste du monde.
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Je ne détestais pas les Eliots. Du moins, j'arrivais à être amis avec certains d'entre eux mais quand une pimbêche monté sur dix centimètres vous accostes avec le plus beau regard mais aussi le plus hautain, je suis désolé, mais ça m'emmerde. Je ne suis pas un ange, j'avais pas mal de saut d'humeur en ce moment surtout à cause de Grace et de son bébé puisque tout cela me travaillais alors si elle comptait m'attaquer, je n'aurais aucun mal à riposter. On y prendrait presque goût à force de parler avec se genre de personne ingrate et mal éduqué. Attendez, pour être à ce point attardé, à croire que sa petite personne est au dessus de celle de tout le monde, on avait forcément raté quelque chose dans son éducation. Un père et une mère souvent en voyage ? Un mariage arrangé ? On croit souvent que c'est simplement une critique, un stéréotype de croiser des personnes riches avec aucune élégance et bien moi j'en avais une devant moi. Tous les mots sortant de sa bouche n'était qu'un ramassis de connerie. Et rien venant d'elle ne pouvait me toucher. J'aimerai, je souhaiterai seulement qu'elle perde sa fortune et qu'elle se mette à travailler, à toucher de l'argent à la sueur de son front. Et non s'acheter des vêtements de marque. Caissière, garagiste, nourrice.. Tant de métier tellement sous payé et pourtant, on met la main à la pâte. Les enfants capricieux nés avec une cuillère en or dans la bouche, ça me fait marrer deux secondes mais après c'est tout autre chose. Je n'en suis même pas jaloux, que ferais-je de tant d'argent ? Et si c'était pour adopter leur conduite, je préférai rester dans ma galère et faire face à mes problèmes sans l'aide de personne. La colocation, les aides financières, les petits boulots, les études. Ma vie se rimait à ce genre de mot et j'en étais très fière. « Ca deviendra un problème quand tu te mangeras la porte de ton casier, surtout. » J'haussais les sourcils en me foutant royalement de sa gueule. « J'en aurai presque les jambes qui tremblent. » Dis-je ironiquement. Ahlala, que c'est bon ce genre de moment, je dirai même délicieux. Je pouvais en une seconde l'a stabilisé sur le sol. Je lui lança alors un sourire faussement enjoué avant de détourner mon regard sur mon casier remplit de paperasse, de livre, et d'une pomme. Une fois mes livre dans mon sac, j'attrapais l'aliment et croqua dedans. Hum, j'avais tellement faaaaaim. « Pourquoi t'es si pressé, t'as une prof à aller rejoindre? » J'avais bien faillis avaler de travers. Quelle connasse ! C'était quoi son petit jeu ? Elle savait, et là, ça me dérangeais. Moi qui avait atterrit ici dans le but de tout oublié et de me construire une nouvelle vie, c'était assez difficilement avec ce genre de fouine. Je fronçais les sourcils en fermant mon casier. « C'est ça, et toi va retrouver ton homme, tu sais le patron de la célèbre boîte.. » Dis-je en me rappelant soudainement que je tenais un argument contre elle. J'avais peut être fauté dans le passé, mais sur ce coup, elle me suivait de près. Pour mon plus grand amusant. « T'as fini ou alors t'as autre chose à dire ? C'est vrai que les riches, ça n'a pas l'habitude de fermer sa grande bouche, enfin, seulement quand ça sort avec un autre riche. » Dis-je avant de poser ma langue contre ma joue et de faire un geste magistralement dégueulasse ; une félation. J'étais incroyablement impolis et vulgaire mais à chacun sa réparti. De plus je n'étais pas d'humeur, fallait pas me chercher, voila tout.
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Bien que tous pouvaient croire que Caym n'avait tout obtenu que grâce à sa fortune, il en était autrement. Depuis très jeune, on lui inculquait des leçons des plus ardues, et elle avait grandi dans un modèle studieux et très propice à des notes élevées et de bonne augures lorsque l'on veut intégrer une université comme Harvard. De plus, ceux qui disaient qu'elle n'avait de l'argent que par le porte-feuille de ses parents semblaient oublier que dans "aventure avec son patron", il y avait patron. Ce qui signifiait donc que la jeune fille travaillait, même si ce n'était pas un métier qui demandait un effort physique intense. Et puis, le métier qu'elle se préparait à faire n'était pas non plus des plus faciles, comme beaucoup pouvaient le penser. Mais c'était d'elle qu'émanaient les mauvaises ondes qui faisaient que tout le monde la pensait si gâtée et si imbue d'elle même parce que tout se faisait selon ses désirs. Elle provoquait le destin, comme n'importe qui d'autre. « J'en aurai presque les jambes qui tremblent. » L'ironie de son ton agaçait Caym. Autant dire qu'un rien agaçait la jeune fille, car c'était très souvent le cas. Mais lorsqu'il s'agissait de Charlie, il y avait une pointe d'irritation, également. Par la suite, Charlie attrapa une pomme dans son casier et ne tarda à la manger, lorsque la jeune fille lui rappela son aventure passée avec une professeure. Oh comme elle aimait user des faiblesses des autres à leur dépends. « C'est ça, et toi va retrouver ton homme, tu sais le patron de la célèbre boîte.. » Caym détestait qu'on lui rappelle cette partie de son passé à Cambridge, pour la simple et bonne raison qu'elle ne supportait pas l'idée d'avoir pu fauté quelque part. Elle qui aimait toujours gérer la situation, cette fois-là, elle s'était postée dans une situation de faiblesse. « En attendant, ma liaison n'avait aucun impact judiciaire de possible. » Calculant tout à l'avance, elle ne se serait jamais engagée dans quelque chose qui pourrait lui apporter des ennuis et nuire particulièrement à l'image des Burnfald, bien qu'elle ne soit pas fière de cette aventure, ou plutôt, mésaventure. « T'as fini ou alors t'as autre chose à dire ? C'est vrai que les riches, ça n'a pas l'habitude de fermer sa grande bouche, enfin, seulement quand ça sort avec un autre riche. » Caym tentait de garder son calme, mais intérieurement, elle lui faisait la guerre et l'avait déjà tué dix fois de toutes les manières possibles et inimaginable. Seulement, quand il fit un geste qui se caractérisait facilement par le fait qu'il était grandement déplacé, son côté impulsif ressortit, et c'est dans sa joue que sa main termina, dans un bruit de claquement. Oui, il avait dépassé les bornes, pour elle. « Mais tu te prends pour qui pour parler ainsi? Parce que tu crois vraiment que j'me fais appeler pute de luxe dans les rues? Eh connard, réveille-toi un peu! » Elle avait gueulé ça légèrement trop fort, ce qui faisait que les quelques autres personnes présentes dans le couloir s'étaient retournées sur elle. Non, Caym n'était pas un ange, mais ce qu'elle faisait avec les hommes se résumait le plus souvent à.. s'engueuler, se prendre la tête, et pas vraiment s'envoyer en l'air, surtout lorsqu'on parlait d'elle, qui n'était pas du genre à se laisser prendre dans les filets du premier venu. Autant dire qu'elle était sacrément énervée, la jeune Burnfald, car elle détestait qu'on la considère ainsi, et ne pouvait se permettre d'ignorer de telle remarque, même si cela encourait le fait qu'elle attire l'attention. Une prétentieuse, certes. Une fille facile, jamais. Oui, elle avait des valeurs, parfois erronées; mais jamais elle ne se laisserait marcher sur les pieds, encore moins par une personne comme lui. Surtout pas par une personne comme lui.
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