Accueil
Invité
est en ligne
Invité
Fiche Étudiant
C'est le 4 août 1990 à Trinité-Et-Tobago, que les membres de la famille Braxton-Scott m'ont accueilli(e) dans leurs bras, ils m'ont prénommé(e) Naomi Rose. Je suis célibataire et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine depuis sept ans et travaille en parallèle de mes études en tant que interne à l'hôpital. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Cabot House ou les Master House.
Pourquoi CABOT HOUSE ou MATHER HOUSE ?
CABOT HOUSE.
Si vous connaissez Naomi, vous ne pouvez pas ignorer la grâce et la classe dont elle sait faire preuve. Étant issue d'une famille mondaine, son père, où en tout cas sa gouvernante, lui ont appris à très bien se tenir en toute circonstance. De plus la défunte mère de Naomi fut une présidente de la Cabot House lorsqu'elle était elle-même à Harvard, Monsieur Braxton aimerait donc que sa fille rende hommage à sa mère en rejoignant à son tour cette prestigieuse sororité et ça ne déplairait pas à Naomi. Elle sait qu'en rejoignant cette maison, elle se fera immédiatement des amies sur qui elle pourra compter tout le long de son cursus universitaire. Cabot House correspond donc très bien au tempérament de feu de Naomi mais toujours en accord avec des valeurs telles que la loyauté, la classe & la sérénité.
MATHER HOUSE.
On peut dire que Naomi a deux facettes. Celle gentille, calme et douce, que vous pouvez voir tout les jours à condition qu'elle soit de bonne humeur et la Naomi fêtarde, sans limite, qui adore danser jusqu'au bout de la nuit et boire avec ses amies. En revanche, elle ne toucherait jamais à la drogue, elle a le goût des fêtes magnifiques, des grandes réceptions mais la défonce n'est pas vraiment son truc. Elle peut se laisser aller à un blunt de temps en temps mais en général elle préfère déguster des bons cocktails et délirer dans les bains à mousse, les champagne showers et tout ce qui peut rendre une fête inoubliable. La Mather House serait donc un bon choix mais Naomi craint que cela fasse pâtir ses études, voilà pourquoi son premier choix se tourne vers la Cabot House.
Si vous connaissez Naomi, vous ne pouvez pas ignorer la grâce et la classe dont elle sait faire preuve. Étant issue d'une famille mondaine, son père, où en tout cas sa gouvernante, lui ont appris à très bien se tenir en toute circonstance. De plus la défunte mère de Naomi fut une présidente de la Cabot House lorsqu'elle était elle-même à Harvard, Monsieur Braxton aimerait donc que sa fille rende hommage à sa mère en rejoignant à son tour cette prestigieuse sororité et ça ne déplairait pas à Naomi. Elle sait qu'en rejoignant cette maison, elle se fera immédiatement des amies sur qui elle pourra compter tout le long de son cursus universitaire. Cabot House correspond donc très bien au tempérament de feu de Naomi mais toujours en accord avec des valeurs telles que la loyauté, la classe & la sérénité.
MATHER HOUSE.
On peut dire que Naomi a deux facettes. Celle gentille, calme et douce, que vous pouvez voir tout les jours à condition qu'elle soit de bonne humeur et la Naomi fêtarde, sans limite, qui adore danser jusqu'au bout de la nuit et boire avec ses amies. En revanche, elle ne toucherait jamais à la drogue, elle a le goût des fêtes magnifiques, des grandes réceptions mais la défonce n'est pas vraiment son truc. Elle peut se laisser aller à un blunt de temps en temps mais en général elle préfère déguster des bons cocktails et délirer dans les bains à mousse, les champagne showers et tout ce qui peut rendre une fête inoubliable. La Mather House serait donc un bon choix mais Naomi craint que cela fasse pâtir ses études, voilà pourquoi son premier choix se tourne vers la Cabot House.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case, 12 cases à cocher, sous la forme "l'un ou l'autre")
APRÈS LA BOMBE
Lorsque la bombe a explosé, j'étais à la bibliothèque. Je révisais avec des amies lorsqu'une putain de détonation a raisonné, faisant expl suivis d'autres, je me suis immédiatement mise sous la table, entraînant mes amies. Nous nous sommes serrées le plus fort possible, fermant les yeux, priant le seigneur qu'ils nous épargnent. Nous ne comprenions rien de ce qu'il se passait, nous avons vu un de nos amis rentré dans la bibliothèque paniqué pour nous signifier qu'il y avait une prise d'otage. Notre ami était recouvert de sang, je le revois encore parfois dans mes cauchemars le soir. Par chance, mes amies et moi avons fais partie d'un des trois petits groupes qui a réussi à échapper à la prise d'otage en elle-même. Même si le temps a passé, les souvenirs restent et certains bâtiments en reconstruction nous rappellent chaque jour lorsque nous allons en cours que cet événement est réellement arrivé. La seule chose positive que je tire de cette tragédie est que ça sans aucun doute rapproché les étudiants mais cela a aussi instauré un climat de méfiance vis à vis de l'inconnu qui peut parfois rendre l'intégration des nouveaux plus difficiles.. Mais personnellement, je suis parvenue à passer à autre chose lorsque le Président Obama nous a promis de mettre en place un plan vigipirate qui ne laissera plus jamais la place à de tels événements.
EXTRAVERSION - INTROVERSION
SENSATION - INTUITION
| PENSÉE - SENTIMENT
ORGANISATION - ADAPTATION
|
APRÈS LA BOMBE
Lorsque la bombe a explosé, j'étais à la bibliothèque. Je révisais avec des amies lorsqu'une putain de détonation a raisonné, faisant expl suivis d'autres, je me suis immédiatement mise sous la table, entraînant mes amies. Nous nous sommes serrées le plus fort possible, fermant les yeux, priant le seigneur qu'ils nous épargnent. Nous ne comprenions rien de ce qu'il se passait, nous avons vu un de nos amis rentré dans la bibliothèque paniqué pour nous signifier qu'il y avait une prise d'otage. Notre ami était recouvert de sang, je le revois encore parfois dans mes cauchemars le soir. Par chance, mes amies et moi avons fais partie d'un des trois petits groupes qui a réussi à échapper à la prise d'otage en elle-même. Même si le temps a passé, les souvenirs restent et certains bâtiments en reconstruction nous rappellent chaque jour lorsque nous allons en cours que cet événement est réellement arrivé. La seule chose positive que je tire de cette tragédie est que ça sans aucun doute rapproché les étudiants mais cela a aussi instauré un climat de méfiance vis à vis de l'inconnu qui peut parfois rendre l'intégration des nouveaux plus difficiles.. Mais personnellement, je suis parvenue à passer à autre chose lorsque le Président Obama nous a promis de mettre en place un plan vigipirate qui ne laissera plus jamais la place à de tels événements.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle FuryLove et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à top-site. Le design est incroyable et l'activité est excellente alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Rihanna Fenty comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Goldness. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.
Mot de la fin ? ▲ J'ai hâte de faire des rps de fifou avec vous !
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
participer au Summer Camp (?)
Mot de la fin ? ▲ J'ai hâte de faire des rps de fifou avec vous !
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
participer au Summer Camp (?)
(Invité)
Monsieur Braxton s'essuya les yeux pour cacher ses larmes. Lui, plus grand promoteur immobilier de l'île, homme de caractère ne pouvait contenir son émotion devant son bébé de 18 ans qui s'apprêtait à monter dans un avion en direction de la prestigieuse université d'Harvard située aux États-Unis. Il lui avait promis, si elle obtenait des A à tous les semestres, Harvard lui était offert, Naomi n'avait rien lâché, avait travaillé d'arrache-pieds, et aujourd'hui elle partait enfin réaliser son rêve de devenir médecin. "Tu feras bien attention, hein ma petite fille, tu feras bien attention à toi là-bas. Mon dieu ta mère serait tellement fière." Naomi sent son coeur se serrer comme à chaque fois que son père faisait référence à sa mère. Cela faisait deux ans qu'elle était décédée, un cancer des poumons fulgurants, ce n'était pas faute de lui avoir dis cent fois de ne pas fumer, Sharon avait voulu vivre sa vie comme elle l'entendait. L'ex top-model avait payé le prix fort. "Toi aussi Papa prend soin de toi et n'oublie pas que je peux revenir ici comme tu peux venir me visiter sur le campus si jamais on se manque trop." Elle sentit son nez la piquer mais on lui avait appris à rester digne, alors elle chassa de quelques battements de cils les larmes qui menaçaient de couler avant de se tourner vers sa gouvernante. "Aimée tu vas tellement me manquer.. Merci, merci pour tout ce que tu as fais pendant toutes ces années." Aimée avait tout représenté pour Naomi, elle avait été sa mère, sa confidente, sa meilleure amie, sa nourrice. Personne ne prenait soin de Naomi comme le faisait Aimée et c'était sans doute sa plus grande déchirure en partant aux États-Unis. Elle était habituée à l'absence de son père mais pas à celle d'Aimée. "Je vous aime Mademoiselle Naomi, prenez soin de vous. On se revoit vite." Le haut parleur de l'aéroport émit un bruit, annonçant que son avion à destination de New York n'allait pas tarder à décoller. Elle prit sa gouvernante puis son père dans ses bras. "Un ami à moi qui habite à NYC a envoyé son majordome à l'aéroport afin qu'il t'accompagne jusqu'à l'avion qui te déposera à Cambridge. Je t'aime, fais bon voyage." Naomi lui répondit d'un sourire et se dirigea vers la sécurité, elle ferma les yeux, se mordit les lèvres. Elle qui avait toujours voulu quitter cette île, elle était à présent terrifiée devant l'inconnu. Mais aussi tellement excitée.
La fac était encore plus grande qu'elle ne l'avait imaginé, les cours plus passionnants qu'elle ne l'avait espéré… Le seul problème était peut-être les gens, particulièrement les filles. Il semblait que toutes la détestaient, Naomi avait toujours eu du mal à se faire apprécier par la gente féminine mais depuis qu'elle était à Harvard cela atteignait des sommets. Comme aujourd'hui, à la cafétéria. Une grande blonde venait de lui renverser son verre de jus d'orange sur son jean noir. "En fait tu veux que je te colle la tête dans une table c'est ça ?" pesta Naomi en regardant la blonde droit dans les yeux. "Qu'est-ce que tu crois que tu vas faire ? C'est Harvard ici, petite garce, pas ton ghetto des îles. Tu dois suivre nos règles. J'ai entendu dire que tu voulais rejoindre la Cabot House, c'est bien d'y croire, l'espoir fait vivre. J'ai entendu que ta mère en avait fais partie, dommage qu'elle soit pas là pour te pistonner n'est-ce pas." Ce fut le mot de trop, Naomi lâcha son plateau par terre et se jeta sur la fille tandis que ses amies hurlaient son nom. Visiblement elle s'appelait Kate, mais Naomi s'en tapait complètement, tirant les cheveux de cette fille et lui distribuant des claques elle se déchainait sur elle. "PAS MA MÈRE, JAMAIS, MA MÈRE !" hurlait-elle comme une tarée à travers toute la cafétéria. Elle se foutait complètement de qui pouvait la regarder, obsédée par l'idée de faire passer à cette petite garce l'idée de lui parler de sa mère. Comment était-elle au courant ? Les gens savaient-ils déjà tout d'elle alors qu'elle n'avait adressé la parole qu'à quelques-uns d'entre eux ? "Comment t'es au courant ?" se mit-elle à hurler à deux centimètres de son visage. La fameuse Kate lui répondit par un sourire arrogant qui fit vriller Naomi, elle s'apprêtait à lui mettre une deuxième tarte lorsqu'elle sentit deux bras la saisir pour la dégager, envoyant ses pieds Naomi se débattait comme une furie. "Laissez moi tuer cette pute !" Les copines de la fille continuèrent de l'insulter, lui hurlant de se barrer avant qu'elles ne la défoncent "Je vous attends, je vous attends !" les provoquait Naomi. "Tais toi, vas y calme toi, tais toi !" s'exclamait le mec qui la tenait, Naomi tenta encore de lui échapper mais ce dernier la tenait fermement, il parvint à la dégager, la faisant reculer pour la mettre dans le couloir. Il lâcha une fois qu'il soit sûr qu'elle n'y retournerait pas. Naomi shoota dans un mur et appuya son front contre le mur froid. Excédée. Putain. Elle avait pété les plombs en plein milieu de la cafétéria ce n'était vraiment pas une bonne idée. "Tu l'as très mal joué là… Si tu comptes rentrer chez les Cabot c'est pas en te comportant comme ça." Naomi serra les dents, plissant les yeux. "Il me semble pas qu'on se connaisse ? Qui t'a permis de me tirer de là déjà hein ? Si tu couches pas avec moi ou que tu payes pas tes factures t'as pas ton avis à avoir." Lorsque le jeune homme éclata de rire, Naomi en fut tellement déconcertée qu'elle oublia de rester énervée. "Allez viens on va boire un café, le temps que tu te fasses un peu oublier. Je m'appelle Dorian." Et c'est ainsi que Naomi se fit son premier ami à Havard, le hasard avait bien fais les choses il était aussi en médecine. Ils commencèrent donc par des sessions révisions, puis par des soirées à boire et rire jusqu'au petit matin.
Sept ans déjà qu'elle était dans cette fac. Naomi était sur le point d'atteindre tous ses objectifs. Elle pouvait toucher le métier de ses rêves du bout des doigts, son père était rempli de fierté, ses tantes aussi. Naomi se rendait à peine compte du chemin qu'elle avait fait. Là dans sa chambre, aux côtés de sa meilleure amie, allongée l'une à côté de l'autre devant un film, Naomi fermait les yeux se sentant lentement emporter par la fraicheur de la climatisation qu'elle avait fait installée il y a un mois tellement Cerceï et elle n'en pouvaient plus de transpirer. Il était 20heure, les sushis étaient commandées, la soirée s'annonçait tranquille. "Naomi, décale toi, tu prends tout le lit sérieusement, t'es une garce." Naomi soupira et fit exprès de s'étaler encore plus montant à moitié sur Cerceï elle fit mine de s'être endormie. "Oh putain qu'est-ce que t'es lourde sérieux, Naomi dégage j'ai chaud." La métisse éclata de rire avant de redresser dans le lit et de prendre son iPhone sur la table basse. "T'en as pas marre de me faire chier tout le temps ?" lui balança t-elle avec un sourire plein de malice. Cerceï était tout aux yeux de Naomi, elle était son alliée, sa meilleure amie, sa soeur, sa confidente. Personne ne comprenait la relation qu'elles entretenaient mais Naomi et Cerceï n'en avaient que faire. Même si elles détonaient drastiquement l'une de l'autre pour rien au monde elles n'auraient voulu se quitter pour faire plaisir aux autres. Elles se correspondaient en bien des points, elles étaient devenues chacune indispensable à la vie de l'autre. Elle ne pouvait pas passer plus de deux jours sans elle et aujourd'hui ne dérogeait pas à la règle. "C'est mon anniversaire je fais absolument tout ce que je veux." lui répéta Naomi pour la centième fois aujourd'hui provoquant une moue sarcastique de Cerceï. Déverrouillant son téléphone, Naomi alla dans ses messages et ce fut la stupéfaction. "J'y crois pas ! Ce connard m'a envoyé un message pour mon anniversaire !" Cerceï se redressa d'un coup. "Darren t'a envoyé un message ? Non tais toi je te crois pas il t'a dit quoi !" Naomi non plus n'en revenait pas. Darren, le mec qui la faisait galérer depuis cinq ans venait de lui envoyer un message pour lui souhaiter son anniversaire. "Il me semble que c'est un jour spécial pour toi aujourd'hui, j'aimerais pouvoir fêter ça avec toi. Joyeux Anniversaire. Darren" Cerceï s'esclaffa. "Alors lui est quand même très très fort après tout ce qu'il t'a fait il continue d'en remettre une couche il a vraiment un grain. Dégage le définitivement Naomi, si tu le fais pas t'es une faible." Elle le savait, ça elle le savait mais bon dieu elle l'avait dans la peau et ce n'était pas si facile que de fermer la porte au nez à celui pour qui elle aurait fait l'impossible. "T'as raison je vais même pas lui répondre, il en vaut pas la peine." Pour la première fois depuis qu'elle la connaissait, Naomi ne disait pas la vérité à sa meilleure amie. Dès que leur soirée sushis serait terminée, elle s'empresserait de lui répondre. C'était le texto qu'elle n'attendait plus. Elle ne pouvait pas laisser passer ça.
