Don't play with me [ Kay' & Damen ]

☆ i will try to fix you ☆

When you try your best but you don't succeed When you get what you want but not what you need When you feel so tired but you can't sleep Stuck in reverse When the tears come streaming down your face When you lose something you can't replace When you love someone but it goes to waste Could it be worse? Lights will guide you home And ignite your bones And I will try to fix you © CJ.Pomme'

Cela faisait presque une semaine que Kay ne s'était pas entraîner. Ses cours de Biochimie lui prenait tout son temps, et bien qu'elle adorait ce qu'elle étudiait, elle ne voulait pas pour autant délaisser la danse. Alors elle s'était promis que tous les mercredi, elle allait prendre quatre heures de son temps afin de danser comme une furie. Elle suivait bien un cursus mineur de danse, mais ce n'était pas suffisant pour elle. Il lui fallait s'exprimer et non pas seulement apprendre. Se lâcher, se défouler, laisser ses émotions prendre le dessus sans qu'aucunes personnes ne lui disent que ces gestes étaient trop saccadé ou au contraire trop fluide. Elle voulait être elle, et entré en symbiose avec sa mère et la passion qu'elle lui a laissé. Avant, quand elle était petite et que sa mère était toujours vivante, elles passaient leur mercredi entier à danser. Sans s'arrêter, sans répits. Elle délaissait leur vie, la mettait entre parenthèse afin de se retrouver entre mère et fille pour danser. Le père de Kay trouvait ça bizarre au début, et puis il a finit par si faire, rien que pour avoir le plaisir de voir les deux femmes de sa vie prendre le plaisir de laisser leur corps s'exprimer. Un jour, la petite fille qu'était Kayleen a l'époque, a demandé à son père pourquoi il versait une larme à chaque fois qu'il les voyait, elle et sa mère, dansé. Il lui avait répondu que c'était comme ci à ce moment là, il savait pourquoi il était née, c'était pour les voir danser, et voir ses deux anges lui donner une merveille incomparable. Il avait ensuite prit sa fille dans ses bras. Ce genre de paroles, d'un père à sa fille, reste gravé à jamais dans l'esprit de l'enfant. Le Pavilion, d'habitude remplit de basketteur en plein entraînement, était vide. Un match à l'extérieur sans doute, ou alors, un entraînement annulé pour une quelconque raison, le principal était que la jeune femme avait l'espace pour elle seule. Elle avait apporté sa station d’accueil pour son Ipod, et mis à fond sa musique préféré de Coldplay, Fix You. C'était une chanson calme et parfaite pour exprimer un peu la douleur qui encerclait parfois le coeur de Coleen quand elle dansait. Car inévitablement, quand elle dansait, elle pensait à sa mère, et il n'était pas rare qu'elle lâche quelques larmes quand elle se laissait aller. Cette chanson l'apaisait, lui donnait le sentiment de voler, qu'elle pouvait tout faire et tout réussir. Et surtout, c'était sur cette chanson qu'elle dansait le mieux, elle laissait la gravité la transporter, et ses émotions paraissaient encore plus à vif. En clair, elle était elle tout simplement. Lights will guide you home La phrase qu'elle préférait dans cette chanson. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'elle voudrait tellement le dire à sa mère. Lui dire de revenir parce que sans elle, elle a faillis sombrer, et que son père n'était plus pareil sans elle. Alors oui, ce moment était important pour Kay, et il ne fallait pas la déranger. Cependant, comme on le sait si bien, les choses ne sont pas toujours comme on voudrait qu'elles soient. Alors quand par dessus la musique, Kayleen entendit la porte du gymnase s'ouvrir et se refermer, et un ballon de basket frapper le sol, elle se dit que parfois il fallait vraiment qu'elle pense à fermer les portes à clé. Elle ne se manifeste pas, et continua à danser, après tout, il ne l'avait pas vu, et elle ne savait pas qui c'était, alors pourquoi faire quelque chose qui l'empêcherait de danser. La seule chose qu'elle fit, fut de changer la piste, ne voulant pas se mettre à pleurer à la fin. Cette chanson la faisait inévitablement pleurer, alors évitons le massacre de sa vie sociale. Elle dansa alors sur une chanson plus joyeuse, Lazy Song de Bruno Mars. Cette chanson était hilarante, et elle ne tarda pas à faire la folle sur cette musique entraînante. Today, I don't feel like doing anything Et oui, il y a des jours comme ça, où on sait qu'on ne fera rien. Cela arrivait quelque fois à Kay, pas souvent, car elle ne pouvait pas tenir en place très longtemps, mais tout le monde aime rester dans son lit à flâner en pyjama et grand chaussettes. Soudain, la musique s'arrêta, et la jeune femme tourna vite son regard vers la station audio. Un doigt était posé sur le bouton stop. Un sourire machiavélique sur le visage de Damen. Alors c'était lui. Kay aurait du s'en douter, il la voulait depuis que Roxy les avait présenté. Evidemment qu'au moment où il aurait vu que c'était elle, il aurait encore une fois tenté sa chance. Chance qu'il demandait depuis un certain moment, mais que la jeune femme repoussait pour le faire mariner. Elle le voulait aussi, mais plus l'attente est longue, meilleure est le résultat.

Le jeune homme avait très mal dormit surement parce qu'aujourd'hui on était le 20 Avril et que cette date resterait encré à jamais dans sa mémoire. Il avait eu ces flash de l'accident. Aujourd'hui cela faisait un an que son frère jumeau était mort, un an. C'est fou comme le temps passe vite c'est comme ci il l'avait perdu la veille. Il revoyait encore le visage de son frère sous l'eau, il se revoyait encore en train d'essayer de lui retirer sa ceinture, il se revoyait bloqué dans cette voiture priant pour que quelqu'un ne vienne les sauver. Une goutte de sueur perlait sur son front chaud.


-Tu n'peux pas me faire ça Roberto!! Je t'en suplie!! ne me fais pas ça!!! Il ré-entendait les bruits des défibrillateurs jusqu'à entendre un long « Biiiiiiiiiiiiiiip »"Roberto non!!!!!!!" Le jeune Winthrop se réveilla en sursaut et ceci s'était répété toute la nuit, à chaque fois il revivait l'accident. Il se recroquevilla sur lui-même, posant sa tête sur ses genoux. Sa respiration était heurtée, son rythme cardiaque était enfin en train de ralentir. Sa gorge était nouée son coeur serré. Il essayait en vain de se calmer il espérait tant que ceci ne soit jamais arrivé. Il prit son Iphone posé sur la table de chevet afin de voir il était quel heure, il était seulement 8 heures du matin. Il avait reçu un message vocal de son père, il ne voulait écouter ce message il savait pertinemment que ca allait être en rapport avec la mort de son frère, mais il était loin de se douter du message qui allait suivre, son père avait l'air d'être saoul. Son père parlait espagnol "Roberto, reviens je t'en supplie, pourquoi est-tu partis si tôt? j'aurais tant préféré que tu sois le survivant, reviens je t'en supplie..." Pour effacer ce message Taper 1, pour le réécouter Tapper 2, Damen avait lâché son portable sous le choc "j'aurais tant préféré que tu sois le survivant cette phrase résonnait en boucle dans sa tête, ça faisait toujours plaisir de se recevoir cela en pleine gueule. Secouant sa tête, il retint les larmes qui grésillaient au bord de ses paupières. Non. Un homme, ça ne pleure pas.



Il s'extirpa du lit avant de filer de foncer dans la salle de bain, d'où il en ressortit 20 minutes plus tard , lavé, parfumé, il partit dans son dressing afin de s'habiller il prit ses affaires de sport, il comptait aller jouer au basket pour se changer les idées. Il ne fallait pas qu'il y pense. Il avait refait son lit prenant au passage son Iphone, il ouvrit le tiroir de sa table de chevet et sortit une chaîne contenant une bague exactement la même que celle qu'il portait au pouce droit. Il enfila cette chaîne avant de descendre dans le salon. Il prit une bouteille de Téquila et se jeta sur son canapé tout en décapsulant son plus fidèle ami. Il avait engloutit au goulot la moitié de la bouteille qu'il posa sur la table base avant d'allumer sa XBOX, le deuxième ami le plus fidèle d'un mec. Il avait passé sa mâtiné à jouer à Call of Duty. L'alcool qui flottait dans ses veine ne lui permettait pas d'être saoul, mais il se sentait bien, la peine qui rongeait son coeur s'était envolé et ça lui faisait du bien. Il savait que ca n'allait malheureusement pas durer, il prit son sac de sport, ses clefs de voiture avant de sortir de chez lui. Il ne lui fallut que quinze minutes avant d'arriver aux campus où il gara sa belle Mazarati à sa place habituelle. Peu de personnes savaient que Damen avait perdu son frère il se devait d'arborer son jolie sourire qui le protégeait en quelque sorte. Gare à celui ou celle qui allait venir le faire chier aujourd'hui. C'est dans ses moment-là qu'on envie le looser invisible du campus afin que personne ne nous voit et que l'on puisse être tranquille. Il avait sérrer de nombreuses poignées de main essayant d'éviter le plus possible le contact avec les autres étudiants."Damen.. Damen!!!" Il n'avait même pas eu besoin de se retourner pour reconnaître cette voix celle d'une nana qui le collait à tout bout de champs. Il accéléra la cadence avant de se réfugier dans les toilettes du campus, en espérant qu'elle ne le suive pas. Il lâcha un soupire nerveux avant de se regarder dans le miroir l'image qu'il voyait ne lui déplaisait pas, on ne voyait pas trop ses cernes, qui montrait sa fatigue. Il ressortit des toilettes quelques minutes plus tard avant de se rendre au gymnase, il savait qu'il était vide à cette heure-ci, alors autant en profiter en plus il serait seul, personne pour le faire chier. Il entra dans le gymnase et fit rebondir sa balle avant de voir une jeune danseuse, qu'est ce qu'elle foutait ici alors qu'il y avait de nombreuses salles de danse à disposition à Harvard, qu'importe le gymnase était géant il pouvait prendre la moitié du terrain et lui laisser l'autre. Il la regardait danser sur The Lazy Song en souriant, il avait reconnu Kayleen une de ses conquêtes, qu'il avait connu grâce à sa meilleure amie Roxy, l'une des filles qu'il veut mettre dans son lit ceci dit elle lui résistait et quand elle venait l'aguiché il la repoussait également, le genre d'ambiguïté "fuis moi je te suis, suis moi je te fuis". Il fallait l'avouer elle dansait vachement bien elle dégageait une certaine énergie bonne à voir.
Le jeune espagnol était monté sur les bancs vers la station d'accueil et avait appuyé sur stop lorsque la musique prit fin. Un sourire machiavélique qui faisait plus ange que Démon s'étirait sur son visage. "Pas mal!" pas mal" lança t-il en guise de bonjour "Que fait tu ici?" demanda t-il curieux." Je n'savais pas que le gymnase était réservé..."

☆ Talk about it somewhere only we know ? ☆

A simple thing where have you gone I'm getting old and I need something to rely on So tell me when you're gonna let me in I'm getting tired and I need somewhere to begin I came across a fallen tree I felt the branches of it looking at me Is this the place we used to love ? Is this the place that I've been dreaming of ? © CJ.Pomme'

Se laisser emporter par un souvenir, vivre dans le passé, ressasser des moments perdus. Kayleen avait connu cet enfer durant près de deux ans avant qu'elle ne prenne conscience qu'elle se perdait. Durant près de deux ans, elle avait enchaîné les fêtes où elle buvait sans modération, se droguait comme une malade et oubliait même jusqu'à son nom. Elle a vécu cet enfer pour oublier que sa mère était partie, pour oublier sa peine, sa douleur, ce qui faisait qu'elle était encore en vie, ce qui faisait qu'elle pouvait encore marcher, parler, vivre. Elle voulait mourir, mais elle n'avait pas le courage de passer directement à l'acte, alors elle faisait tout pour oublier. Ce n'était pas une bonne tactique, c'était sur et certains, et la jeune femme ne prenait pas conscience que son corps pouvait avoir des dommages irréversibles. Heureusement pour elle, elle échappa à ces dommages, et recouvrit une santé physique normale. Seul son esprit fut encore malade durant quelques années. Elle consulta un psychologue durant de nombreuse années où elle dut évacuer toute la colère et la peine qu'elle ressentait vis à vis de la mort de sa mère. Elle ne comprenait pas pourquoi de magnifiques personnes mourraient alors que des meurtriers et des monstres vivaient et respiraient chaque jours en faisant du mal autours d'eux. Non, décidément, même aujourd'hui alors qu'elle était dans cet immense université, elle ne comprenait parfois pas le monde dans lequel elle vivait. Alors, quand elle dansait, elle se remettait en place. Ces pensées devenaient plus claires, elle trouvait des solutions à des problèmes pour lesquels elle se creusait la tête durant de nombreuses heures. Son esprit était plus clair, et réfléchir plus simple. Elle était libre.


« Pas mal ! Pas mal ! » Un fin sourire s'étira sur le visage de Kay. Il l'amusait, la faisait rire, et en sa compagnie, elle se sentait bien, même si parfois ils s'engueulaient quand la tension était trop forte. Après tout, personne n'est parfait. « Merci beaucoup ! » Un légère courbette pour parfaire le tableau. Il faut savoir rire. « Que fait tu ici ? » « Je danse ! Ca ne se voit pas ? » Kay eut un rire un peu cynique. Une mauvaise habitude qu'elle avait de rire comme ça quand une question l'agaçait ou l'énervait. « Je n'savais pas que le gymnase était réservé... » Oh, mais il ne l'était pas. Il est juste vide. Parfois, les gens avaient des questions un peu bêtes, mais Kay pardonnait Damen, ça se voyait sur son visage qu'il avait passé une sale nuit. Et puis, son joli minois lui donnait un avantage non négligeable. « Non, il ne l'est pas, mais comme je suis arrivée tôt et qu'il n'y avait personne, je me suis permise. » Elle débrancha la station et repris son Ipod. Elle remarqua alors que le jeune homme avait des cernes sous les yeux. Une nuit agitée en compagnie d'une jeune fille. Ou un mauvais rêve qui l'avait réveillé en sursaut. Elle vit aussi que son sourire était un peu tordu, comme si il cachait quelque chose. Ce garçon était décidément pleine de surprise. Kay reconnaissait bien les signes d'une personne qui avait rêvé d'un être chère, mort qui plus est. Elle avait arboré ce visage pendant plusieurs années avant d'accepter. Mais Damen devait être courageux, car c'était la première fois qu'elle voyait une fissure dans la carapace du jeune homme. « Tu m'apprends ? » Kay fixa son regard sur le ballon de basket qui était sous le bras de Damen. Elle ne savait pas trop en jouer, alors elle voulait essayer. Sa plus grosse faiblesse était de viser le panier. Un truc impossible pour elle. Quand il s'agissait de bien poser son pied pour faire un tour complet lors d'une chorégraphie, pas de problème. Mais quand il s'agissait de faire entrer un foutu ballon dans un panier, y'a rien à faire, elle est une calamité ! « Oui, je sais, c'est pas tous les jours qu'une fille te demande à lui apprendre à jouer au basket. Mais tu apprendras mon cher Damen que je ne suis pas comme toutes les filles. » Sur cette phrase, la jeune femme courut vers le garçon et lui arracha le ballon des mains. Elle voulait jouer, rire, se bagarrer comme quand elle était enfant. Et elle voulait voir un vrai sourire sur le visage du jeune homme, juste une fois, parce qu'il riait pour de bon, et non pas pour charmer les autres ou porter un masque. Elle n'avait aucune arrière pensée pour le moment, mais la partie ne faisait que commencer et ils avaient du temps devant eux avant que le vrai jeu ne commence pour de bon. Le jeu de la séduction auquel ils s'entraînaient dès qu'ils le pouvaient. « Allez, allez, on se dégonfle ! Tu veux pas jouer avec moi ? » Un grand rire sonna dans le gymnase qui se répercuta sur les murs en échos.

Somehow I feel I should apologize Cuz I'm just a little shaken by what's going on inside.I should go before my will gets any weaker and my eyes begin to linger longer than they should. I should go before I lose my sense of reason and this hour holds more meaning than it ever could, I should go

Tourner la page, Claes n'y arrivait pas, il ne pouvait pas il n'avait toujours pas accepté l'accident, il s'en voulait d'avoir laissé son petit frère conduire, peut être que s'iil avait été à sa place rien de tout cela ne se serait passé. Peut être qu'il serait toujours vivant. Peut être que s'il avait prit passer de respiration sous l'eau il aurait put continuer à essayer de sauver son frère. Il avait eu une relation très fusionnelle avec son petit frère ils étaient toujours fourré ensemble. Ils ne pouvaient pas passer plus d'une heure l'un sans l'autre. Mais la vie en a décidé autrement on lui avait retiré l'être le plus cher à son coeur, on lui avait retiré sa vie et son coeur par la même occasion. Depuis cette accident sa vie était un éternel combat, il avait fait une forte dépression du fait qu'il se renfermait sur lui même et qu'il refusait tout aide, bonne acteur, il avait réussi à faire croire qu'il avait accepté l'accident de son frère pour qu'il puisse vivre en paix. Il devait se battre seul , l'envie de se foutre en l'air ne lui manquait pas, mais il continuait à vivre pour sa mère, il ne pouvait pas lui faire cela. Son mal être il le noyait dans l'alcool et toute drogues. Ses seuleséchappatoire était bien le dessin, la musique et le basket. Certes ce n'était pas une bonne solution de se droguer, de de boire, le jeune homme en était conscient. Une chose est sur jamais on ne voyait Damen sans son sourire lorsqu'on le voit à Harvard ou même sur les couvertures des magazines on ne peut pas imaginer que c'est un homme blessé par la vie. Il cache bien son jeu...


« Merci beaucoup ! » répondit-elle, il lui avait demandé ce qu'elle faisait ici, question débile certes vu sa réponse « Je danse ! Ca ne se voit pas ? »- Il ne pû s'empêcher de sourire de plus belle « Je n'savais pas que le gymnase était réservé... »- « Non, il ne l'est pas, mais comme je suis arrivée tôt et qu'il n'y avait personne, je me suis permise. » Okay Damen réveille toi merde! regarde les paroles de con que tu lui sors. Ce devait être surement la fatigue. Il avait posé son sac de sport sur le banc juste à côté de celui de la jeune Eliot. Il était toujours un peu perdu dans ses pensées, mais il fallait qu'il se reprenne on ne montre jamais ses faiblesses au gens mec! « Tu m'apprends ? » Sortant de ses pensées, il haussa les sourcils tout en souriant, le seul cours de basket qu'il avait donné à une fille était Esfir et ça avait été plutôt épuisant étant donné que la Dunster détestait le sport elle lui en avait fait voir des vertes et des pamures, il n'était pas sûr de vouloir relever cette expérience, ceci dit contrairement à Esfir elle semblait plus déterminé et avait l'air de ne pas détester le sport ce qui était déjà un bon point.« Oui, je sais, c'est pas tous les jours qu'une fille te demande à lui apprendre à jouer au basket. Mais tu apprendras mon cher Damen que je ne suis pas comme toutes les filles. » Il arborait toujours ce petit sourire en coin. Oh non ce n'était pas une fille comme les autres puisqu'il la voulait. Quoi? C'est Damen... « Pourquoi pas. » A peine eut-il accepté qu'elle s'empressa de lui piquer le ballon, lui d'habitude tout aussi énergique voir hyperactif semblait tout molle."Aller Claes, ressaisis toi bordel, fais comme tous les jours souris puis ça va passer aller!!"« Allez, allez, on se dégonfle ! Tu veux pas jouer avec moi ? » Quoi se dégonfler? lui PFF jamais! Un sourire malicieux se posa sur ses lèvres, un sourire sincère, il se précipita sur le terrain avant de taper sur la balle pour la faire rebondir au sol, avant de se préparer à dribler; « Tu disais?» Il s'élança vers le panier avant de faire un dunk. « Tu veux vraiment apprendre le basket. » dit le jeune espagnol « Montre moi ce que tu sais faire. » Il lui envoya la balle en souriant, il avait prononcer cette ordre avec un ton de défis, il avait envie de s'amuser s'oublier c'était ce dont il était venu chercher ici.

☆ She dreamed of paradise ☆

When she was just a girl, She expected the world, But it flew away from her reach, And bullets catch in her teeth. Life goes on, It gets so heavy, The wheel breaks the butterfly. Every tear, a waterfall. In the night, the stormy night, She closed her eyes. In the night, the stormy night, Away she flied. And dreamed of paradise © CJ.Pomme'

Jouer. Ce mot avait un sens différent selon la personne qui le pensait ou le disait. Pour un enfant, jouer était une action qui permettait de s'amuser et de rencontrer d'autres enfants. Une action innocente et pure qui ne consistait qu'à vivre pleinement l'instant présent. Pour un adolescent, jouer pouvait s'apparenter à prendre des risques inconsidérés pour certains, ou alors pour goûter pour la première fois à d'autres plaisirs, tel que celui de la chair, de l'alcool, des drogues. Jouer pour un jeune adulte tel que peut l'être un étudiant d'Harvard est un peu le rassemblement de ce que peut faire un enfant et un adolescent. Jouer s'apparente à draguer, boire, coucher, explorer des espaces encore inexploités. Et jouer peut s'apparenter à simplement profiter d'un moment dans toute sa splendeur, comme faire une partie de cartes, jouer à cache-cache comme quand on est enfant. Pour Kay, jouer était une manière ou une autre de se divertir, avec ou sans amis, avec ou sans hommes, avec ou sans personnes. En compagnie de ses amis, elle pouvait soit mettre en marche son mode gamine écervelé, ou son mode je m'amuse autant que je veux. S'interdisant l'alcool depuis sa cure, elle ne finissait jamais soul, ou pompette, et c'était toujours elle qui prenait le volant après une soirée. Jouer quand elle était avec des hommes consistaient à les séduire, s'amuser d'une autre manière et finir par les mettre dans son lit avant de partir avant qu'ils ne lui demandent son prénom. Jouer quand elle était seule était seulement danser. Danser jusqu'à ne plus sentir son coeur qui battait la chamade, jusqu'à ne plus sentir la sueur qui coulait dans son dos, jusqu'à oublier le monde autours d'elle et sa peine qui était toujours là, tapis et l'attente dans son coeur. C'est quand elle jouait comme ça qu'elle se sentait le mieux.

Quand elle proposa à Damen de lui apprendre à jouer au basket, elle se dit qu'elle voudrait reprendre cette sensation de liberté. Elle entendait souvent des athlètes qui disaient que quand ils couraient, ou pratiquaient leur sport, pour eux, ce n'était qu'un jeu qui leur permettait de vivre, certes, mais un jeu tout de même où il fallait prendre du plaisir. Elle était presque sur que Damen faisait partie de cette catégorie. « Pourquoi pas. » Un " pourquoi pas " pas assez enjoué au goût de l'italienne qui s'empressa d'aller prendre le ballon des mains du jeune homme. Non ! Il fallait qu'il rit en jouant, qu'il prenne du plaisir. Qu'il soit lui même le temps d'une partie, avec un vrai sourire. Alors elle le provoqua, lui disant qu'il se dégonflait et ne voulait pas jouer avec elle. Il se prit au jeu et lui prit le ballon des mains en un coup net et précis que la jeune femme ne put percevoir. Il fit un panier comme on en voit dans les films en s'accrochant au panier. « Tu disais ? » La jeune femme en resta bouche bée. Elle était nulle au basket mais elle était contente de voir un vrai sourire sur le visage de son ami. Un sourire sincère. Un instant, elle s'imagine que s'était son devoir de lui faire avoir ce sourire durant cette journée, juste cette journée. Ensuite, il pourrait continuer à la draguer comme il en avait l'habitude, et cette fois-ci, peut-être qu'elle céderait, ou pas. On ne sait jamais avec Kayleen. « Montre moi ce que tu sais faire. » Il lui lança la balle. Par chance, elle l'a rattrapa. Elle était assez doué pour recevoir des choses ou les envoyer, c'était pour viser des choses qu'elle était nulle. « Très bien. Mais je dois t'avouer quelque chose. Je ne sais pas viser. Enfin plutôt, ce sont les paniers que je ne sais pas viser. Attraper, lancer, intercepter ! Tous ça, sa va. Mais viser, y'a rien à faire. » Ok, là, elle se dégonflait quelque peu. Elle regarda alors le ballon comme ci c'était une bête féroce, et se plaça devant le panier. Peut-être qu'en fermant les yeux, elle y arriverait mieux. Et c'est ce qu'elle fit. Elle lança la balle de basket en direction du panier. La-dite balle frôla son but avant de retomber sur la tête de Kayleen. « Ouch ! Putin mais ça fait mal un ballon de basket. C'est fait en quoi, en plomb ou quoi ! » Un rire nerveux lui parcourra le corps. Elle se frotta la tête en défaisant sa natte qu'elle s'était faite avant de venir dans le gymnase. « Bon, faut juste que tu m'apprennes à viser. Sa doit pas être compliquer. » Nouvelle tentative de la part de Kayleen, qui miraculeusement, avec l'aide de tous les saints qui doivent exister, réussit à faire entrer la balle dans le panier. « Oh, j'y crois pas ! J'ai réussis. Ah ! » Et là dessus, Kay sauta dans les bras de Damen, et lui plaqua un bisous sur la joue. En toute amitié bien sur !

Chacun oublie ses problèmes à sa façon Damen lui en avait plusieurs, il s'occupait de diverses manière ,soit il prenait son carnet à dessein et se mettait à dessiner des choses assez lugubres, soit il jouait d'un instrument ce qui le calmait ou bien il noyait sa peine dans l'alcool et la drogue comme les faibles, ceci dit il faisait attention à la drogue il ne voulait pas finir toxico c'est pour cela qu'il restait raisonnable. Aujourd'hui il avait choisi de noyer sa peine dans le sport le basket, il fallait qu'il accepte enfin la mort de son frère , mais il n'y parvenait pas, la mort d'un proche et bien la peine la plus douloureuse au monde également lorsqu'il s'agit de son jumeau, personne n'est apte à comprendre le lien qu'entretiennent deux jumeaux, Roberto était la moitié de Damen, son petit frère, son double, sa vie. Le lien qu'on a avec son jumeau est bien plus fort que celui qu'on a avec ses frères et soeur, les deux jeunes hommes était connectés si l'un était triste, l'autre l'était tout autant, si l'un était en danger, l'autre ressentait ce danger, comment expliquer cela ? Question philosophique à méditer... Mais rien ne se passe comme prévu le jeune homme voulait rester seul. Le destin en a décidé autrement en croisant son chemin avec la belle Kayleen, une fille qui le troublait. Elle le faisait languir d'une manière que le jeune homme détestait ce qui était plutôt saoulant à la longue.



Elle avait une énergie communicatif, la même énergie qu'avait le jeune homme la veille, il lui prit le ballon des mains avant de faire un dunk, elle resta bouche bée, a quoi s'attendait-elle à un minable joueur de basket ? Il lui avait passé la balle afin qu'elle lui montre ce qu'elle savait faire il s'accouda sur la barre du panier. Tout en l'observant « Très bien. Mais je dois t'avouer quelque chose. Je ne sais pas viser. Enfin plutôt, ce sont les paniers que je ne sais pas viser. Attraper, lancer, intercepter ! Tous ça, sa va. Mais viser, y'a rien à faire. » Visé était bien la chose la plus facile surtout lorsque l'on était immobile comme l'était la jeune femme il suffisait juste de regarder l'arceau et d'envoyer la balle sur la planche, le petit rectangle sur l'arceau, le tout était de trouver la bonne puissance. Il l'observait toujours pour voir comment elle allait lançé. Rien qu'en voyant qu'elle avait les yeux fermé le jeune mannequin savait ce qui allait se produire, il ne put s'empêcher de rire aux éclats « Ouch ! Putin mais ça fait mal un ballon de basket. C'est fait en quoi, en plomb ou quoi ! » Le Winthrop n'osait même plus la regarder dans les yeux tellement il était mort de rire. C'est pas tous les jours qu'on voit ça. « Bon, faut juste que tu m'apprennes à viser. Ca doit pas être compliquer. » Nouvelle tentative, Damen priait pour que la scène se renouvelle, ceci dit elle réussit à mettre un panier, l'Espagnol se mit à applaudir avant que celle-ci ne se jette dans ses bras déposant au passage un bisous sur sa joue, wow je savais pas qu'un panier pouvait mettre une femme dans un tel état. . « Oh, j'y crois pas ! J'ai réussis. Ah ! »-. «C'est un coup de chance... » lança t-il d'un ton taquin. Qui est-ce qui gâche toujours le délire des gens? Il se mit à la tourner en riant . « T'es une vraie pro en faite !».

☆ All alone in an empty room ☆

All alone in an empty room nothing left but the memories of when I had my best friend I don't know how we ended up here I don't know but it's never been so clear We made a mistake, dear. And I see the broken glass in front of me I see your shadow hang Ing over me and your face, I can see© CJ.Pomme'

Elle se sentait bien. Pour une fois qu'elle ne se sentait pas coupable d'être bien, elle en profitait. Elle se sentait légère et libre de toute entrave. Son bisou sur la joue de Damen le prouvait. Elle n'était pas aussi spontanée d'habitude avec lui. Elle se retenait et ne montrait pas qu'elle l'appréciait plus que de mesure. Sa fierté. Mais elle avait bien envie de se laisser aller à présent, alors quand elle avait réussi son panier, elle n'avait pas pu s'empêcher d'aller embrasser son ami. « C'est un coup de chance... » Mais bien sur ! D'habitue Kay aurait répondu d'une remarque bien singlante, mais sa bonne humeur l'emporta et elle lâcha un rire. « T'es une vraie pro en faite ! » Il tournait autours d'elle avec la balle. Elle le suivait des yeux et riait en même temps. Elle ne savait pas pourquoi, mais elle se sentait comme une petite fille. Alors elle riait encore plus. On la prendrait sans doute pour une folle, mais en ce jour, tous ce qu'elle voulait était s'amuser. Au début, elle s'était dit qu'elle était ici en toute amitié avec Damen, mais il était indéniable que la présence du garçon la troublait de plus en plus. Il l'attirait, c'était sur et certains. Sa fierté lui avait toujours empêcher de céder aux avances du jeune homme. Ça allait peut-être changé aujourd'hui. « Et oui, une superbe et magnifique pro ! » Un sourire aguicheur, et elle poursuivit le garçon afin de rattraper la balle. Elle allait tricher comme toute fille qui se respectait et qui savait qu'elle n'avait aucune chance face à un homme dans son terrain de prédilection. Elle avançait langoureusement, balançant ses hanches de gauche à droite dans un mouvement sensuel. Elle savait très bien utiliser cette tactique, c'était un moyen infaillible de distraire son adversaire et de subtiliser ce dont on avait besoin. Un battement de cil, un passage lent de la langue sur la lèvre supérieur, et hop, le ballon est pris et un baiser est déposé sur les lèvres du jeune homme afin de le figer sur place. Un léger clin d'oeil, et elle courut vers le panier et en fis un sans aucun problème. Dire qu'il y a même pas deux jours, elle n'arrivait même pas à effleurer le panier avec la balle. La présence de Damen devait sans doute l'aider. « Une vraie pro j'te dis ! »

Kay avait conscience que son comportement pouvait troubler le jeune homme, mais elle ne pensait plus à rien. Elle en avait marre de culpabiliser, et son thérapeute lui avait conseiller de lâcher la pression de son deuil quelques fois afin de ne pas retomber dans ce cercle vicieux de la culpabilité qui l'avait rongé durant des années. Et Kay savait très bien ce qui se passait quand elle était dans cet univers. Drogue, alcool, excès. Durant deux ans, la jeune fille avait écumé tant d'excès qu'elle avait oublié les noms de toutes les substances qu'elle avait ingéré. Et depuis cette époque, elle reconnaissait quand quelqu'un se sentait coupable pour une raison ou une autre. Elle était plus sensible aux autres en fait. Damen n'allait pas bien quand il était arrivé, elle l'avait tout de suite sentie et avait entamé cette partie de basket afin de lui changer les idées. Bonne samaritaine ? Non, définitivement pas le caractère de Kay. Juste une envie de faire plaisir à un ami en détresse. Elle avait encore envie de l'embrasser. Elle n'avait jamais permis le jeune homme de le faire avant car elle n'aimait pas qu'on la contrôle. ELLE avait le contrôle sur tous les aspects de sa vie, et quand on ne tournait pas dans son sens, elle se sentais frustrée et énervée durant un bon moment avant de se calmer et de prendre conscience que tous ne marchait pas comme elle le voulait. Avant, elle se serait drogué, aurait bu et fais des choses inavoué pou avoir le contrôle. A présent, elle réfléchissait plus, et relativisait. Alors, quand elle pouvait prendre le contrôle, elle le faisait avec beaucoup de plaisir. Elle voulait que Damen en bave pour l'avoir, elle le faisait baver. Elle voulait qu'un homme la courtise avant qu'elle ne cède à ses faveurs, elle choisissait le moment de céder, même si elle avait très envie de céder depuis un moment. Alors, aujourd'hui, elle avait décidé d'embrasser Damen, alors elle l'avait fait. Elle en avait envie encore, alors elle le referait. Elle s'approcha alors de Damen, lentement. Elle voyait déjà le sourire prétentieux et malheureusement craquant qui allait s'afficher sur son visage, mais elle n'en avait rien à faire. « Je te fais une faveur. » Elle écrasa alors ses lèvres sur celle du jeune homme. Advienne que pourra.

☆ All alone in an empty room ☆

I know things get hard But girl you got it, girl you got it there you go Can't you tell by how they looking at you everywhere you go Wondering what's on your mind, it must be hard to be that fine, when all these mutha... wanna waste your time It's just amazing, girl, and all I can say is...© CJ.Pomme'

Le désir pour une personne est quelque chose de fascinant. Vouloir quelqu'un au point de faire tomber ses barrières, au point de laisser la personne entre dans notre jardin secret. Les désirs sont tous unique, certains mènent au même point, certains non, d'autres détruisent une relation, d'autre ne fait que l'amplifier encore plus. Le désir peut-être physique, ou émotionnel. Désirer quelqu'un, c'est lui accorder assez d'importance pour qu'il puisse faire ce qu'il veut de vous, c'est s'abandonner à ses instincts primaires. « Sulfureuse pro tu veux dire » Un clin d'oeil de la part de Damen. Kay rit, il la faisait rire. Elle sentait que son désir pour le jeune homme commençait à être insoutenable. Elle se laissa aller alors, et posa une fois ses lèvres sur celle de son ami. Le jeu continuait, les deux jeux d'ailleurs. Entre séduction et partie de basketball, Kayleen se demandait sur lequel elle devait se concentrer le plus. Les deux étaient intéressant, et les deux l'amusaient au plus haut point. Damen jouait aussi, elle le voyait à ses yeux malicieux qui lançaient des éclairs. Son regard n'était pas innocent et celui de Kayleen était loin de l'être aussi. Le contrôle sur soit et ceux qui lui faisait face. Voici son credo. Elle aimait ça le contrôle, le pouvoir qu'elle avait sur sa vie et ce qu'elle en faisait, mais elle aimait aussi pouvoir contrôler la personne en face d'elle. Manipulatrice, oui. Le pouvoir, elle l'aimait. Qui n'aimait pas contrôle. Quand elle était en train de faire des expériences, elle aimait le contrôle qu'elle avait sur les éléments, sur les réactions chimiques qui se produisaient. Certaines étaient incontrôlables et Kayleen n'en prenait même pas compte. Seules celle que l'on pouvait contrôler la fascinait. Alors contrôler sa vie et celle des autres étaient quelque chose de jouissif pour elle.

La partie continuait, et Kay l'embrassa encore une fois. Cette fois-ci, Damen y répondit. Avec ferveur qui plut est. Il la souleva en la prenant par ces hanches et elle enroula ses jambes autours de la taille du jeune homme. Elle prit se cheveux dans ses mains, enroulant sa langue avec celle du jeune homme avec envie. Elle avait envie de lui depuis longtemps, elle avait cédé en ce moment même. Elle savait qu'elle ne pourrait pas retourner en arrière et elle en avait cure. Tout ce qu'elle voulait était sentir le jeune homme. Elle l'avait fait languir durant de nombreuses semaines, ils s'étaient engueulé plus de fois qu'il n'en faut pour le compter sur les doigts d'une main. Un incessant jeu du chat et de la souris. Kayleen aimait ce jeu, car elle aimait séduire et être séduite. Elle avait beau avoir un charme fou, toutes les filles aiment qu'on les veuille en s'acharnant à la tache. Damen avait un peu essayé, et à la fin, quand elle refusait ses avances, ça finissait toujours à en dispute mémorable. Cette fois ci, elle baissé ces barrières. Il l'entraîna dans les vestiaires, leur langue toujours enroulé et les mains de Kayleen dans ses cheveux noirs. Elle haletait, elle avait besoin d'air. Elle déplaça ses lèvres sur le cou du jeune pendant qu'il la plaquait contre un casier. Elle déposa ses pieds à terre, et noya le cou de Damen sous une pluie de baiser. « Finalement, tu as gagné cette partie ! » Son souffle était haché, mais pas parce qu'elle n'avait pas assez respirer, mais parce qu'elle avait trop envie du jeune homme. Elle sentait son désir pour elle, et elle plaqua encore une fois ses lèvres sur celle de Damen. Elle commença à descendre ses mains sur le t-shirt de son ami, afin de l'enlever. Elle leva les yeux vers ceux de son partenaire, ils étaient brillants, enflammé. Tant de désir dans un si beau corps.[/color][/b]

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