(Flashback - février 2014) I'm... BIP BIP

Aujourd’hui ça fait un an, un an que la bombe a explosé, un an que j’ai failli perdre la vie, un an que mon meilleur ami est mort devant mes yeux. Celui qui avait toujours été la pour moi avait cessé de vivre, les images de son vole plané dans la pièce me revenait, l’image de lui empalé sur un meuble explosé me hantait aujourd’hui. C’était atroce de plus sa faisait maintenant un an que je n’avais pas touché a une goutté d’alcool et que j’avais arrêté de consommé tout genre de drogues, accessoirement j’avait décidé de me rangé et d’arrêté les coups d’un soir. Cela faisait a peine quelque jour que j’avais réintégré Harvard, la bombe m’avait salement touché, alors faisant des études de sports mes médecins ne m’avait pas toute suite autorisé a reprendre mes cours. Quand j’avais franchie les porte de l’université, j’étais la bas en tant qu’un homme nouveau, j’avais changé de confrérie je n’étais plus un Mather, mais un Winthrop. Tout sa me pesait bien trop aujourd’hui, j’avais pris la décision de partir faire un tour sur ma moto, au moins elle ne me lâcherait pas. Pour la plus part de mes anciens amis jetait un lâche, je les avais abandonné. Je roulais comme d’habitude a une vitesse que beaucoup e monde ne supporterai pas, mais c’est cette adrénaline qui me permettait d’oublier. Quand un motard me doubla en me laissant un signe de tête, il accéléra je relevai le défie de le suivre. Cela donnerait un coté intéressant a cette journée si triste.

J’avais besoins de ma dose d’adrénaline. De me sentir sur la limite de la vie et de la mort. Quand un autre motard me doublat, je relevais le défie et nous nous lançâmes dans une course effréné. Quand les sirènes de police retentirent derrière nous. A bah forcement les flics nous avait pris en chasse. A peine le motard de devant lui fit signe qu’il accéléra. De toute façon je ne comptais pas se faire arrêter. 4J’avais déjà un casier bien trop fournit avec ma période de débauche. Consommation de substances illicites, usage de stupéfiant, conduite en état d’ivresse, ivresse publique, insulte à agents. J’en passe beaucoup mon casier était bien trop fourni pour que je le remplisse un peu plus j’étais censé me ranger et arrêté les conneries, mais celle la était celle pour confirmé la règle. Actionnant son accélérateur, mon collègue de fuite aussi. Au bout de quelque minute nous les avions déjà distancés. Non mais faut pas se lancé a la chasse quand on a rien sous le capot quoi. Je continuait a roulé ; même si je venais d’avoir une sacré dose d’adré j’en demandais plus toujours plus