Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(ff + théo) be alone with me
-67%
Le deal à ne pas rater :
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ (nouveaux clients / ...
4.99 € 14.99 €
Voir le deal


(ff + théo) be alone with me

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
(ff + théo) be alone with me Tumblr_mxw0215qWT1r6ul7mo1_500

Oui, tu te retrouvais seule avec toi-même, depuis ce 16 août 2014. Cette sensation que tu détestais tant et qui venait toujours te retrouver avec ce plaisir malsain. Ça s'appelait la solitude. Ou bien le manque d'amour. On ne pourrait pas te qualifier de dépendante affective, puisque ce n'est pas ce que tu es. Mais tu aimais recevoir de l'amour, et en donner, tu tombais facilement amoureuse, sans pour autant l'être de n'importe qui et de tout le monde, non plus. Avec les deux premières expériences amoureuses qui s'étaient transformées rapidement, même trop rapidement en déceptions amoureuses, ça ne rendait la troisième que pire encore, surtout qu'elle avait été plus difficile à bâtir, et si facile à briser. Ça te faisait mal, mais tu ne voulais pas te laisser abattre ; plus maintenant. Être faible, tu ne voulais plus l'être et pourtant, on pourrait te trouver en miettes si l'on regardait bien. Tu ne cherchais pas la pitié ni la sympathie des autres, juste de la solitude. En fait, tu cherchais la solitude, comme tu la fuyais. Elle t'étais si belle et pourtant si laide à la fois. Toi qui te croyais invincible, c'est une faiblesse que tu ne te reconnaissais pas qui s'accaparait à présent de toi. Tu avais repris le dessin, même que tu t'étais enfermée là-dedans : tu traînais ta tablette avec toi partout, à tout moment, sans faute, sans jamais aucune exception. C'est le seul truc qui t'empêchait de sombrer et pourtant, il te semblait avoir perdu ton talent. Mais tu le retrouverais bien vite, oui. Étendue sur l'herbe fraîche du Charles River, ton crayon en main, tes bras étendus le long de ton corps de femme fatale et brisée, ta tablette sur ton ventre, tu regardais avec lassitude le ciel au-dessus de toi. Si tu cherchais le calme, c'est ici que tu le trouvais, toujours et encore. Le Charles River faisait partie de tes endroits favoris et maintenant, tu ne t'en délaisserais plus. Pourtant, dans ce calme et ce silence parfaits, tu crus entendre à un moment, des feuilles mortes et séchées craquer sous les pas de quelqu'un. Aux aguets, surtout depuis ton accident, tu te relevais, prête à prendre tes jambes à ton cou si quelqu'un cherchait à te retrouver pour te faire du mal. Oui, tu avais toujours aussi peur, encore plus depuis ton coma, et tu ne pouvais plus t'en cacher, maintenant...
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Comment dire que parfois j'avais littéralement envie que la terre ne s'ouvre sous mes pieds et qu'elle ne m'avale tout entier ? Lorsque j'avais appris l'accident de Dixie par le bouche à oreille, j'avais cru durant de brèves secondes que je n'allais pas pouvoir le supporter. Ce genre d'accident me rappelait trop de mauvais souvenirs, allant de ma rupture avec Elia jusqu'à ma perte de mémoire. Et je devais reconnaître que je tenais trop à la jeune femme pour lui souhaiter qu'il ne lui arrive quelque chose de mal. J'avais aussi malheureusement appris bien trop tard l'accident qu'elle avait souffert et cela m'avait arracher limite quelques larmes et j'avais cependant du attendre la fin du Summer Camp pour pouvoir lui rendre visite surtout après avoir appris qu'elle avait été quelques jours dans le coma et comme durant ces deux mois d'été j'avais été vice-capitaine de mon équipe, je n'avais pus la quitter ainsi pour rendre visite à la jeune femme, malgré mon bon vouloir. Cela se voyait d'un autre côté que l'été se terminait d'ailleurs progressivement et que l'automne commençait tout doucement à pointer le bout de son nez. Après mon retour, j'étais néanmoins passé rapidement à mon propre appartement pour découvrir que celui-ci n'avait pas changé afin d'y déposer mes valises et j'avais ensuite tout de suite cherché à prendre contact avec Dixie mais sans succès, ne l'ayant pas vu depuis de nombreuses semaines déjà. Quand une idée subite me vint en tête, j'ouvris mon ordinateur portable afin de localiser la jeune femme avec sa tablette qu'elle apportait avec elle et fut légèrement surpris de la découvrir dans un parc, le Charles River. Refermant le tout, je sortis en trombe de mon appartement, songeant déjà que je voulais repartir ailleurs et ne pas rester à Cambridge et que tout n'était que question de temps. Lorsque mes pieds se posèrent sur l'herbe de ledit parc après une brève course, un rapide coup d’œil me permis de découvrir où se trouvait la jeune femme allongée limite sur le sol. « Dix'... ? » M'approchant doucement et à pas de loup, je jetais néanmoins un regard à mes alentours sur le paysage et inspirait un bon coup. « Dixie c'est toi ? » Oui, car encore de là où je me trouvais j'avais du mal à bien voir si c'était elle.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Spoiler:

(ff + théo) be alone with me Tumblr_mxw0215qWT1r6ul7mo1_500

Sur tes gardes, tu étais prête à bondir pour te cacher derrière un arbre, ou bien prendre tes jambes à ton cou et te sauver loin, très loin d'ici. Ce fou furieux te suivait-il encore? Il s'était sauvé des lieux du crime, savait-il que tu étais de retour à Cambridge et que tu étais à présent sortie d'hôpital. Il pourrait réitérer ce qu'il t'avait fait, une nouvelle fois, et cette fois, tu ne pourrais compter sur Andrew, ni personne pour te sauver d'une hémorragie ou d'un coma ou de blessures quelconques. « Dix'... ? » Cette voix... elle t'était familière, mais en même temps, tu ne pouvais être certaine. Tu reculais de quelques pas, avec comme seules armes ton crayon et ton carnet. Ah et... ton portable pouvait peut-être aussi servir de missile, qui sait? En plein front, ça pouvait être dangereux. « Dixie c'est toi ? » Pivotant ta tête de quelques centimètres vers la gauche, tu plisses les yeux, observe, analyse, et ton coeur bat vite, très vite. C'est la peur, une peur que tu connais bien. Mais mon dieu, ce que tu es soulagée en reconnaissant les traits de Théophyl, un Winthrop et ami à toi. En reconnaissant ses traits et sa carrure, tu te sens vite soulagée, et les battements de ton coeur ralentissent petit à petit. " Théo, tu m'as fait peur... " Déposant tes trucs au sol, prenant de grandes respirations, tu t'approches doucement de lui, les mains tremblantes par la soudaine panique qui t'avait prise d'un coup et qui ne cessait de grandir à mesure que le son de sa voix masculine et puissante se rapprochait de ta position. Vaincrais-tu un jour cette peur qui te torturait et t'empoisonnait? " Que fais-tu ici? Tu me suis? ", demandes-tu pour rigoler, affichant un fin sourire sur tes lèvres. C'est vrai, peut-être étais-tu un peu parano, mais voilà, c'était toi, maintenant. Sa présence suffisait à te rassurer, pour le moment. Ce n'était pas le grand méchant loup, heureusement pour toi.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Trouver Dixie n'avait pas été une mission bien difficile, je devais le reconnaître. Mais j'avais quand même du la chercher et cela m'avait néanmoins posé un petit problème. Dans tous les cas, depuis que j'avais appris pour son accident, je n'avais eu qu'une envie qui avait été de quitter le Summer Camp afin de la voir. Mais cette chose-ci je ne me l'étais pas permise car j'avais quand même de sacrées responsabilités. J'avais alors réussi grâce à un logiciel sur internet à accéder au gps de son téléphone et découvrir sa localisation. La jeune femme se promenait ni plus ni moins que dans un parc et sans attendre mon reste, je venais à aller la retrouver sans la moindre hésitation. Plus j'avançais et plus je me rendais compte que j'avais envie de voir la jeune femme et j'espérais bien qu'elle avait des choses à me dire tout comme moi j'avais à lui dire certaine confidences. M'approchant alors à grands pas, je cru la reconnaître et prononçant son prénom à voix haute, il s’avéra que je ne me trompais pas. « Théo, tu m'as fait peur.. » Me reprochant d'elle alors avec une allure vive, je reconnu les symptômes de la personne traumatisé par un accident assez important. Étant médecin, je savais facilement décerner les signes d'un traumatisme, en ayant moi-même souffert. « Je ne voulais pas désolé... » Déposant alors ses affaires au sol, la jeune femme se leva et décida de s'approcher doucement de moi, me forçant à la suivre avec mon regard tandis que je terminais de me rapprocher d'elle. « Que fais-tu ici? Tu me suis? » Me laissant aller à un sourire, je repris bien vite mon sérieux. « Étant introuvable, j'ai du te traquer en effet...J'ai appris pour ton accident...Bon sang, comment vas-tu ? » J'avais envie de la serrer dans mes bras mais je n'osais pas pour autant, je ne cherchais ni à la brusquer ni à la rendre mal à l'aise et je ne voulais pas non plus me faire repousser. « J'aurais aimé venir te voir plus tôt...mais je n'ai pas pu. Pardonnes-moi. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je ne voulais pas désolé... » Ah. Il était mignon, de s'excuser de t'avoir fichu la trouille. C'était pas de sa faute si tu étais ainsi sur tes gardes et que tu avais peur au moindre bruit suspect autour de toi. Un plancher ou des feuilles qui craquent, une porte qui grince, une présence qui se sent, mais invisible pour les yeux... Doucement, il se rapprocha de toi afin de mettre fin à cette distance qui vous séparait. Il n'y avait pas de raison de préserver une proximité. Après tout, ce n'était pas un psychopathe qui te cherchait du mal, encore. " T'inquiète pas. C'est pas de ta faute.. " Tu souris doucement, alors que tu relèves les yeux vers lui. Des yeux emplis de... vide. Un vide causé par tous les derniers événements de ta vie. Tu n'avais pas envie d'être faible et pourtant, on aurait dit que tu l'étais. Qui considérait les faibles un tant soit peu? Qui s'en souciait? Personne. Les gens aimaient les plus forts, ceux qui savaient se tenir debout et cette règle se pliait à n'importe quelle situation. [« Étant introuvable, j'ai du te traquer en effet...J'ai appris pour ton accident...Bon sang, comment vas-tu ? »/i] Rapidement, tu portes ton regard ailleurs, avalant difficilement ta salive. Te remémorer ces souvenirs t'étais difficile, surtout qu'il t'en manquait des bouts. Du moins, par rapport à l'attaque contre toi. Sinon, la seule chose dont tu te rappelais parfaitement bien, c'était ta rupture avec Charlie. Il devait déjà être en train de voir d'autres filles, ça ne te surprenait même pas. Afin de ne pas te retrouver avec les larmes aux yeux, tu hausses les épaules en reniflant subtilement un coup, puis tu lui réponds d'un air tout à fait stable : " Ça va... J'ai encore un peu de mal à marcher tu vois. Je me suis fait frapper en plein dans les jambes, donc parfois, j'ai besoin d'une canne. Ma canne d'aveugle m'est utile, encore une fois. " À bien y penser, plus jamais tu n'irais au Summer Camp ; à chaque fois, tu revenais à Harvard avec des blessures. Soit l'absence de tes yeux. Enfin, de ta vue. Soit, le presque manque de tes jambes. T'aurais préféré mourir. Comme ton frère qui était mort de la même façon que l'on t'avait blessée en Dominique. [i]« J'aurais aimé venir te voir plus tôt...mais je n'ai pas pu. Pardonnes-moi. » Tu secoues la tête de gauche à droite en émettant un léger rire, mi-amusé, mi-sincère. " Voyons, t'as pas à être pardonné. T'es là, là. C'est ce qui compte, non? " Tu pousses un soupir, puis regardes derrière toi, en apercevant le lac de la Charles River. Sincèrement, si tu t'étais vue dans un miroir, tu t'aurais toi-même traité de fille fragile. Car tu en avais tout l'air... " Tu viens? On va s'asseoir là? ", demandes-tu en pointant la rivière derrière toi. " Je crois que j'ai besoin de quelqu'un, aujourd'hui. Pour discuter, au moins. Ça te dit? "
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Évidemment à présent, je devais m'excuser. Sous toutes les coutures possible car d'un côté, je n'avais pas pu passer la voir bien avant et je le regrettais amèrement. Et d'un autre côté, je m'étais comporté limite comme un paranoïaque voyeur en venant la localiser grâce au gps de son téléphone...mais peu importe. J'étais avec elle à présent, je l'avais enfin retrouvé et d'ailleurs je la regardais de façon étrange, scrutant son visage sous tous les moindres détails. Je franchissais donc la distance qui nous séparait encore avec un sourire, conscient qu'elle devait probablement fuir le contact humain suite à son accident récent. « T'inquiète pas. C'est pas de ta faute.. » Son sourire fut alors communicatif et je le lui rendis avec entrain tandis que je lui parlais de son accident et du comment elle se trouvait. « Ça va... J'ai encore un peu de mal à marcher tu vois. Je me suis fait frapper en plein dans les jambes, donc parfois, j'ai besoin d'une canne. Ma canne d'aveugle m'est utile, encore une fois. » Grimaçant, je baissais mon visage vers le sol en plissant les lèvres avec regret. Elle en avait vécu des malheurs dans sa vie et j'étais le mieux placé pour la comprendre. « Mais...ton accident..Il s'est passé quoi exactement ? » Je me montrais peut-être trop curieux et cela était sûrement trop frais, si bien que je me repris. « Enfin, je veux dire, tu en parles que si en as envie je ne te force pas du tout. » Je posais délicatement et tranquillement ma main contre son bras en un geste protecteur avec un sourire tandis qu'elle continuait après que je lui eus aussi présenté des excuses pour ne pas être venu plus tôt. « Voyons, t'as pas à être pardonné. T'es là, là. C'est ce qui compte, non? Tu viens? On va s'asseoir là? » La voyant jeter un coup d’œil sur le lac, j'hochais positivement la tête. «  Je crois que j'ai besoin de quelqu'un, aujourd'hui. Pour discuter, au moins. Ça te dit ? » Je souriais alors avec un soupir ravi. « Je n'ai pas fait tout ce chemin à peine rentré, rien que pour te voir trois secondes... » Je laissais mes paroles flotter dans l'air, alors que agrippé à son bras, je l'aidais à marcher doucement vers l'endroit qu'elle voulait pour s'asseoir. Je l'aidais d'ailleurs à réaliser ce geste même si elle ne me l'avait jamais demandé. Mais j'étais comme ça et c'était probablement mon âme de médecin qui reprenait le dessus. Je m'installais donc à ses côtés avant de regarder longuement la rive et les canards qui semblaient plus heureux que le reste du monde. « Tu peux te confier tu sais...Je suis une vraie tombe. » Je tournais finalement mon visage vers le sien, avec un sourire tout en me délectant de sa beauté.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)