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Martinique. Une toute petite île française à l'odeur parfumé et délicieuse. Je ne pouvais m'empêcher de me rendre compte de la chance qui m'étais donné de faire ce genre de voyage. Et à chaque fois que je posais pied à terre, mes yeux se retrouvaient éblouit par le paysage et les jolies jeunes femmes présentent sur chaque île. Elles étaient semblable à des sirènes, envoûtantes, parfaite et croqueuses d'hommes. Bon nombre d'entre nous avait succombé aux jeunes femmes venant nous accueillir gentiment en pensant que nous sommes des touristes. Oh oui, et moi le premier certainement. Je n'étais pas insensible à cette peau basané, à la senteur du soleil et de nature chaude. Bien que j'ai un faible pour les blonde en habitude, je tombais rapidement dans les bras de magnifique brune. Mais n'étant pas ici que pour s'amuser, j'avais décidé de faire un tour dans les horizons. C'était bien la première fois que mes pieds étaient posés sur un sol français et je voulais découvrir ce que la Martinique avait de si exceptionnelle. C'est donc après une bonne douche, bien froide en raison d'une température presque insupportable, que je me vêtu de mes baskets, mon short Hawaï acheté récemment, ainsi que mon tee-shirt préféré où quelques écritures étaient inscrites. Et ayant prévue le coup, j'avais préalablement préparé un sac à dos avec plusieurs bouteilles d'eau, de quoi manger en court de route ainsi qu'une corde. Pourquoi ? J'avais vu le film Hunger Games la veille. Et j''en avais conclus que ça pouvait toujours être utile. Après tout, si je croisais une connerie de tigre, je pourrais me sauver en grimpant dans un arbre.. Si j'ai le temps de sortir la corde. Plus je réfléchissais et plus j'avais le don de me perdre dans ma propre logique. C'est donc sur un coup de tête que je m'aventurais dans le commencement de la forêt. Forcément j'étais seul, je détestais traîner quelqu'un dernière moi et connaissant les grosses feignasses présentes dans ma cabine, c'était préférable. Après plus d'une heure de marche, pas vraiment rassuré au son que j'entendais, je m'arrêtais en m'asseyant sur une pierre, histoire de boire une gorgée. C'est alors que je me rendis compte de ma bêtise. J'avais oublié naïvement cette putain de carte qu'on nous donnait à chaque fois qu'on parait un peu plus loin, justement pour ne pas se perdre. Cherchez l'erreur. J'étais dans la merde. Paumé. Et dans la merde. J'avais certainement pas envie de finir comme dans la série Lost où un ours blanc débarque alors qu'il fait chaud. En y repensant, j'avais bien faillit m'étouffer avec mes pop cornes devant ma télé ce soir la. WTF ? Faisons vivre requins dans le ciel, pourquoi pas ? Bref, j'étais en total délire, me demandant comment j'allais faire pour vivre si je n'arrivais pas à retrouver mon chemin quand j'entendis une branche craquer. Ouais. Ouais. Ouais. Je pouvais commencer à m'inquiéter la ? J'avais pas envisager encore une mort douloureuse, déchiqueter par un tigre, mais je commençais soudainement à y penser. C'est donc doucement et sans bruit que j'attrapais la corde dans mon sac à dos, en faisant un noeud, de sorte que cela ressemble à un laceau. Ouais, les trucs pour les vaches. J'avais apprit ça pour une raison qui m'étais inconnue mais je commençais à comprendre la raison. C'est alors qu'à pas de loup je m'approchais de la chose et lança la corde quand le moment se montrait le plus opportun. Tirant quelques coups secs, j'étais persuadé d'avoir une prise. Mais laquelle ? Là était la question.
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