Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(m) Ces sentiments de vengeance et de manque qui refusent de partir
-20%
Le deal à ne pas rater :
Drone Dji DJI Mini 4K (EU)
239 € 299 €
Voir le deal


(m) Ces sentiments de vengeance et de manque qui refusent de partir

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

 
Theodore Prénom² Nom
   30 ans ● date de naissance au choix
   kinésithérapeute ● hétérosexuel
   célibataire ● citizens
   
fiche de présentation à lire
 

 
Son histoire
 
alors, l'histoire est relativement libre! Sachez simplement que :
* Il a vécu a Dublin depuis au moins 6 ans jusqu'à maintenant, ou il y a un mois ou deux.
* Il a vécu une relation sérieuse avec Eden qui a duré un peu plus de cinq ans (même si les débuts étaient très difficiles et que cela a été entrecoupé de difficultés).
* Il est kiné, travaillait dans un centre de rééducation à Dublin, et il adore son métier.
* Il a quitté l'Irlande pour retrouver Eden et cherche à tout prix à entrer comme kiné à Harvard.Il refuse de la perdre, il en est toujours fou amoureux, mais il lui en veut terriblement. Il vient la voir mais veut la faire ramper et se venger...
Pour le reste... je n'ai pas grand chose d'autres à vous dire! :rvmp:
Les liens prédéfinis
 
Eden Lochlaine ft. Kirsten Dunst
 
Lorsque je l'ai rencontrée pour la première fois, elle était là, allongée dans ce lit d'hôpital, à ne rien pouvoir faire. Une attaque cérébrale à cause d'un caillot... un bébé perdu... elle était au trente-sixième dessous. « MAIS FOUTEZ-MOI LA PAIX BON DIEU! », les premiers jours furent difficiles. Eden n'acceptait pas ma présence, et elle refusait que je l'aide à se lever et à se bouger. Elle refusait même que je la masse pour la soulager. C'est au bout du cinquième jour de rejet complet que j'ai pris le taureau par les cornes : malgré les petits coups désordonnés qu'elle me donnait, je l'ai prise dans mes bras pour la mener jusqu'au fauteuil. Un premier pas qui semble minuscule, mais qui lança tout.
Six mois plus tard, les choses avaient déjà bien changé. Cette fille était d'un courage incroyable. J'avais rarement vu quelqu'un évoluer aussi vite, et j'étais persuadé qu'elle marcherait à nouveau dans les semaines à venir. Il ne restait plus que cela... la marche. Le plus difficile pour elle. « Allez Eden... tu peux y arriver! », elle forçait, je le voyais bien. Ce n'était pas encore "le" jour, celui où elle alignerait dix pas de suite. Elle était encore trop faible, son cerveau n'avait pas encore retrouvé toutes ses capacités. Une fois de plus, elle s'effondra au sol, mais cette fois, éclata en sanglots. J'étais désemparé, mais j'en avais vu d'autres... « Eden... Eden, regarde-moi! Je te promets, tu vas y arriver! », « Six mois, Theo! Six mois, et je n'arrive toujours pas à faire fonctionner ces foutues jambes! Je ne suis même pas capable, parfois, de porter mon verre à ma bouche! Comment veux-tu que je continuer comme cela au juste? Comment veux-tu? », je m'étais installé alors face à elle, assis en tailleur. Elle était furieuse, mais toujours aussi belle. Ces six derniers mois, mes sentiments avaient beaucoup évolué. Comment passer à côté d'une fille comme elle? « Tu te rappelles de la première fois que je suis venu te voir? », elle avait hoché la tête négativement. « Tu pesais quinze kilos de moins pour commencer. Ces cinq semaines de coma t'avaient réduite quasiment à néant. Tes bras te portaient à peine, tu devais être aidée pour boire et manger. Tu ne savais même pas bouger tes jambes, tu devais y aller avec tes propres petites mains, Eden. Tu étais comme un légume. La première fois que je t'ai levée pour t'emmener au fauteuil, j'ai dû finalement te prendre dans mes bras pour t'y mener. Tu me rappelles ce que tu fais aujourd'hui? », « Je me lève seule... je vais au fauteuil en me tenant aux meubles. », « Et tu te laves seule, tu manges et bois seule, tu sais même aller te promener dans l'hôpital. En fauteuil pour l'instant, certes, mais cela changera. Tu comprends le but de ce que je te dis là? », elle hochait négativement la tête une nouvelle fois, même si, au fond de moi, je savais qu'elle savait. « Tes progrès ont été énormes Eden. Tu es l'une des femmes les plus courageuses que je connaisse. Et tu en es capable. Plus que tout autre. Tu marcheras à nouveau, et tu pourras diriger tes classes de théâtre, comme tu le souhaites, tu m'entends? Tu feras tout ça, et tu épouseras un homme qui te mérite, et tu auras des enfants avec lui. Je ne doute pas de toi, Eden. Jamais. », et je le pensais sincèrement. Elle me remercia à voix basse et, ce jour-là, nous échangions notre tout premier baiser.

Cinq ans. Bon, bien sûr, les débuts avaient été très difficiles. Je n'avais pas le droit d'être avec elle, et elle n'était pas assez sûre d'elle pour assumer d'être avec moi. Je continuais de m'occuper d'elle chaque jour, mais j'avais dû attendre ses premiers vrais pas, un mois plus tard, pour que l'on échange un second baiser. Le sexe? J'ai dû prendre mon mal en patience. Pas avant le troisième mois suivant sa sortie de l'hôpital. Nous avions échangé notre premier baiser plus de six mois avant.
Notre relation était faite de plus de bas que de hauts. Elle avait un caractère de merde, il fallait le dire. Elle me quittait au moindre couac, elle ne croyait pas vraiment en nous. Pour elle, je l'avais prise en pitié, et c'était pour cela que je restais à ses côtés. Le sexe n'était pas au top, elle n'y mettait pas du sien. Elle complexait énormément, je le sentais, mais préférais me taire. Jusqu'à une bonne explication, il y a de cela deux ans. J'en avais eu marre. Plus que marre en fait. Fatigué de me laisser berner, de lui courir après sans arrêt sans rien avoir au retour. Alors, je m'étais fâché. J'avais hurlé. Je lui avais dit tout ce que j'avais sur le coeur. Que je la détestais de me faire cela, de ne pas y croire, de ne pas y mettre du sien. Mais que je l'aimais à la folie et que je ne pouvais pas me résoudre à la perdre tant qu'elle ne me dirait pas clairement de sortir de sa vie. Elle avait pleuré, sans répondre. Et nous avions passé la meilleure nuit qui soit depuis nos débuts. À partir de ce moment, j'avais découvert une nouvelle Eden. Une fille aimante, amoureuse, toujours un peu colérique, mais qui tentait de faire des concessions. Elle avait compris. Compris que je l'aimais, et que non, ce n'était pas par pitié que j'étais là. Les deux plus belles années de ma vie. Jusqu'à ce jour de février, peu avant la Saint Valentin, où elle était venue chez moi.
« Il faut qu'on parle, Theo... », je n'ai jamais aimé cette phrase. Encore moins quand elle avait les larmes aux yeux. Je sentis mon coeur s'accélérer dans ma poitrine et je m'effaçais pour la laisser entrer. Elle ne retira pas sa veste et ne s'installa pas dans mon sofa, comme elle avait pourtant l'habitude de le faire. « Qu'est-ce qu'il y a mon amour? Un souci? », ma voix me trahissait, je le savais. Elle tremblait légèrement. Eden n'osait pas me regarder. Elle se remit alors à parler. « Je m'en vais Theo. Je m'en vais et... et je m'en vais seule. », mon coeur et ma gorge se serrèrent en même temps. Que voulait-elle dire par là? Je n'eus même pas à poser la question. « On m'a proposé un poste. Loin d'ici. Je ne peux pas refuser. Ca fait des mois que j'y réfléchis, et je ne peux pas refuser. », « Pourquoi tu ne m'en as pas parlé? », ma voix était bourrée de reproches. La colère montait en moi. « Parce que tu aurais cherché des solutions. Cherché à me faire rester, ou à me suivre. Et je ne veux pas que tu me suives. », mon coeur se brisa à ses derniers mots. Elle ne voulait pas que je la suive. « J'ai besoin de repartir à zéro. Tout ici me rappelle trop de choses douloureuses. Même toi. C'est trop douloureux. », je restais muet comme une carpe durant plusieurs minutes. Eden se mit finalement à bouger pour quitter mon appartement, mais j'attrapais son bras, retrouvant miraculeusement la parole. « Où vas-tu? », « Cela n'a aucune importance. », « Je t'ai demandé OÙ VAS-TU BORDEL?! », j'avais hurlé. Malgré mon tempérament, ce n'était pas arrivé souvent avec elle. Les larmes roulaient le long de ses jours maintenant. « A Cambridge... je pars donner cours à Harvard... », et ce furent les derniers mots que j'entendis de sa bouche.

 
Tout d'abord, merci d'avoir lu mon scénario au complet, je sais qu'il est long, mais je suis ultra inspirée! :rvmp:
J'attends avec impatience ce personnage qui compte énormément pour mon Eden. Je construirai un énorme temple en chocolat (noir/au lait/blanc, au choix (m) Ces sentiments de vengeance et de manque qui refusent de partir 2474380249 ) à la personne qui le prendra! :giggle: Trêve de bavardages, voilà pour le reste :
PSEUDO Il est libre, même si je trouve que Theodore alias Theo lui va vraiment, mais genre, VRAIMENT bien :rvmp:
  ❖ AVATAR Alors, vous allez remarquer que, mis à part Jay Ryan, les autres avatars que je propose sont déjà pris. Il s'agit en fait d'exemples pour vous montrer à qui je pense quand je pense à Theo (m) Ces sentiments de vengeance et de manque qui refusent de partir 2474380249 Vous n'êtes pas du tout obligés de prendre Jay... mais j'aimerais un grand brun baraqué :giggle: Et je me laisse le droit de refuser si je n'aime pas l'avatar tout de même...
  ❖ PRÉFÉRENCE DE GROUPE Pour moi, il est Citizen. Mais si vous voulez qu'il reprenne des études, ça peut se discuter dirons-nous :rvmp:
  ❖ ACTIVITÉ DEMANDÉ J'aimerais quelqu'un qui se connecte souvent, au moins tous les jours. Du rp deux à trois fois par semaine si possible.
  ❖ NIVEAU RP DEMANDÉ Alors, j'aime l'orthographe. Qu'il y ait deux-trois fautes, je m'en fiche. Mais une à chaque phrase, ça va pas le faire :evileye: Un minimum de grammaire est bienvenu. Concernant le nombre de lignes, bah peu importe en fait, je sais m'adapter! Mais pourquoi pas du plus court pour pouvoir faire plus de réponses rapidement? :rvmp:
(Invité)