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Andrew is back to play a bad Game (feat. Prudence)

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Nul ne savait quand Andrew Kenworth, devenu récemment Lord Andrew Henry Rosebu-ry, allait se réveiller de son coma profond. En effet il était plongé dans ce coma profond depuis le 4 août de l’année 2014 et ce parce qu’il avait été victime d’une grosse fusillade alors qu’il prenait tranquillement un verre avec son ex-petite amie Prudence Rothschild à une table en terrasse d’un café sur l’île de Sainte Lucie alors qu’ils étaient en plein Summer Camp. Presque aussitôt ce fut un branle-bas de combat, tout le monde avait été en alerte, ses gardes étaient en Delta Rouge donc ils devaient protéger coûte que coûte les personnes qu’ils étaient censées protéger comme par exemple Quinn, la sœur jumelle d’Andrew. En gros dans cette alerte, ses gardes avaient le droit et le devoir de tuer la moindre personne qui osait trop importuner les personnes à pro-téger. Le jeune Comte britannique avait été renvoyé aux Etats-Unis où il pouvait être mieux suivi médicalement mais aussi et surtout, il aurait une bien meilleure protection. Nul ne savait ce qu’il s’était réellement passé parce que tout article sur la fusillade avait été immédiatement détruit par l’équipe de sécurité. Cela faisait des jours et des jours que le beau blond anglais était allongé sur son lit d’hôpital et que les infirmiers et infirmières venaient le voir toutes les demi-heures afin de constater des changements sur lui mais pour le moment, il n’y avait pas d’améliorations. Néanmoins sa vie n’était plus du tout en danger, il se battait maintenant pour revenir dans le monde des vivants. D’après les médecins, ce n’était plus qu’une question de temps maintenant. Bref, il n’y avait pas eu d’améliorations de l’état d’Andrew jusqu’à ce jour… En effet, en cette matinée du vingt-deux août deux mille quatorze, alors que l’infirmière en charge ce jour-là venait remplacer sa perfusion, elle avait eu un cri de surprise en voyant que le jeune homme avait ouvert les yeux. Aussitôt les gardes qui se trouvaient de part et d’autre de l’entrée de la chambre, surgirent rapidement dans celle-ci dégainant leurs armes comme s’ils craignaient des ennemis. Mais l’infirmière secouait l’air de dire qu’il ne se passait mais elle leur demanda de faire prévenir Miss Rothschild parce que son homme venait de se réveiller. Le médecin qui s’occupait d’Andrew avait accouru rapidement auprès de son patient pour constater ce qu’il se passait. « Mr Rosebury, vous m’entendez ? » demanda-t-il avant de se mettre à examiner le jeune homme. De m’examiner plutôt… Oui je repasse à la première personne parce que je viens de revenir à la vie donc je n’ai plus besoin de parler à la la troisième personne. J’avais un peu de mal à faire sortir un son de ma bouche mais j’hochai tout de même la tête. Que m’était-il réellement arrivé bon sang ?
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Les bras croisés, mon regard se perdait dans l’horrible contemplation d’un homme inconscient. Ma main avait toujours les siennes qui étaient alors, si inerte. Derrière la vitre, mes yeux continuaient de se poser sur lui avec le vain espoir qu’il se batte. L’espoir qu’il revienne à nous, à moi. Combien de temps avais-je passé dans cette position ? Une heure, deux heures ? Peut-être même plus. Forte, j’étais resté rigide. Aucuns mots n’étaient sortis de ma bouche. Aucuns sons, n’avaient voulu se faire entendre. Son visage à la structure quasi-parfaite, restait vide comme si aucune émotion ne subsistait. Ses beaux yeux bleus ne c’étaient pas rouverts. Alors qu’une guerre interne se préparait, mon être tout entier réclamait sa présence. Cette fusillade m’avait ouvert les yeux sur l’importance qu’il représentait. A vrai dire, j’en avais déjà eu conscience, mais par fierté, je ne me l’étais jamais avoué, car c’était ainsi que je fonctionnais. Je ne voulais qu’aucun homme, qu’aucune personne n’est le dessus sur mon esprit, car je voulais tout contrôler. Y compris ma personne. Pourtant, je n’avais rien contrôlé. En me mettant en couple avec lui, je n’avais pas pu éviter le crash. En s’aimant, nous nous étions détruit mutuellement et si jamais, il allait se réveiller, si jamais il y avait le mince espoir qu’il revienne à moi…Il ne me pardonnerait jamais ce que je lui avais fait. Quelques jours suivant mon arrivé, j’avais perdu une vie. Une vie qui avait décidé de s’installer en moi. Preuve que tout contrôle avait déserté mon esprit. Je devrais me sentir triste et je devrais être mal, mais ce n’était pas le cas. Egoïste étais-je, car il n’y avait que lui qui comptait. Lui seul avait son importance. Lui seul avait le pouvoir de me rendre heureuse comme de me rendre malheureuse. Fermant les yeux un instant, je chassais une larme d’un battement de cils. Douloureuse sensation qu’était l’amour. En le regardant aussi inerte, je repensais à ce que m’avait dit mon père quelques jours plus tôt : ‘’Pourquoi lui accordes-tu autant d’importance Méredith ? Il ne t’apportera pas du bien.’’. M’entêtant dans mes idées, je m’étais refusé d’accorder une importance à ce commentaire, mais j’avais tort. Tort, parce que quoi que je fasse, à chaque fois, je pensais à la réaction qu’il pourrait avoir en apprenant certaines choses, mais peu importe. Peu importe, car je l’aimais. Je l’aimais de tout mon être. Je l’aimais et les conséquences de cet amour n’avaient aucune importance à mes yeux. Soupirant, je me détournais de cette vision cauchemardesque. C’est en prenant l’air dehors qu’un des hommes d’Andrew était venu m’annoncer la nouvelle : il s’était réveillé. Le cœur battant fortement contre ma poitrine, je m’étais précipité à l’intérieur, mais arrivé dans le couloir qui menait à sa chambre, j’avais ralentie l’allure. L’impression de marcher dans une bulle de magnétisme. M’ouvrant la porte de sa chambre, je manquais un battement lorsque mon regard se posait sur ses doux yeux bleus.
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Le Docteur Ross s’occupait du jeune Duc Anglais qui était dans le coma actuellement et il se demandait quand est-ce que celui-ci daignerait finalement ouvrir les yeux pour revenir dans le monde des vivants afin de redonner le sourire à ses proches. Surtout à la jolie jeune femme qui passait le plus clair de son temps à son chevet en lui tenant la main avec une tendresse infinie… Elle devait sérieusement l’aimer pour tenir autant le coup alors que beaucoup de personne auraient déjà décidé d’en finir parce qu’elles n’auraient pas pu voir leurs conjoints ou conjointes se trouver entre la vie et la mort. Mais non, cette jeune femme qu’était Prudence Rothschild avait foi en son homme, ce qui était totalement admirable. Cependant Avery Ross ne voulait pas lui donner des faux espoirs, cela faisait plus de deux semaines qu’Andrew avait intégré l’hôpital mais il n’y avait pas eu d’améliorations jusque là malheureusement. Au contraire, le vieux docteur ne parvenait à avouer à la jeune femme que Drew avait failli les quitter aux alentours du quinze août. En effet le cœur du jeune homme avait cessé de battre mais il était reparti quelques secondes plus tard. Le médecin ne souhaitait pas l’avouer à Prudence parce qu’elle était déjà assez détruite et il ne voulait pas qu’elle le soit encore plus, il y avait de l’espoir pour qu’Andrew revienne à la vie et elle devait garder cet espoir en tête… Et comment dire, cette volonté de croire à un retour d’Andrew avait finalement payé en ce jour du 22 août ! En effet Andrew était finalement réveillé mais il avait encore du mal à parler.

***

Je regardais autour de moi, me demander ce qu’il se passait mais surtout la raison pour laquelle je me trou-vais une chambre d’hôpital. Il y avait des gens autour de moi dont un médecin qui venait de me demander si je l’entendais, or comme je ne parvenais pas encore vraiment à émettre un son de ma bouche, j’avais simplement hoché la tête pour lui confirmer que je l’entendais tandis que je m’étais mis à regarder autour afin de chercher à comprendre ce que je faisais ici. Et c’était au moment où je me tournais vers la porte d’entrée que je la vis… La femme de ma vie, l’amour que j’avais perdu par ma faute… Je ne pus retenir mes larmes en la voyant… « Andrew, tout va bien » me rassurait le médecin. Non ça n’allait pas bien, je voulais lui dire cela ! Mais aucun son ne sortit de mes lèvres. Je déglutis légèrement avant de demander d’une voix brisée : « Pouvez-vous… » mais je ne pus terminer ma phrase tellement j’avais du mal ! Mais il semblerait que le médecin avait compris ce que je voulais parce qu’il hocha la tête et fit signe à tout le monde de sortir nous laissant seuls, Prudence et moi. Je tendis la main pour qu’elle vienne près de moi.
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Il s’était réveillé. Sous mes yeux ébahis, les lourdes paupières d’Andrew s’étaient levées. Le voir s’en sortir aussi vite était presque miraculeux. Choqué, plusieurs secondes s’écoulèrent, avant que je ne bouge. « Pouvez-vous… » Le murmure de sa voix me ramenait à la réalité. Non, je n’hallucinais pas. Il était bien réveillé. A ses mots, les médecins quittèrent la chambre. Ainsi, je me retrouvais seule avec lui. Les yeux rivés dans les siens, j’oubliais la culpabilité qui m’avait envahi un peu plus tôt. Il était vivant et c’était tout ce qui comptait. Levant sa main avec une infinie lenteur, il m’intimait de le rejoindre. Ce que je fis sans attendre. Glissant ma main dans la sienne, je savourais la chaleur de sa peau. Elle n’était plus aussi tiède qu’avant. Signe qu’il était vraiment là. En l’observant, les mots restaient bloqués dans ma gorge. Finalement, je m’asseyais sur la chaise près de lui. Avec précaution, je posais ma tête sur son torse, tout fermant les yeux pour imprimer cette image en moi. « Tu m’as manqué » C’était un murmure à peine audible, mais le silence de la pièce le rendait parfaitement identifiable. Fermant les yeux, je pouvais entendre son cœur battre, mais cette fois-ci, il était bien réveillé. Doucement, un sentiment de bonheur s’infiltrait en moi. Chassant les larmes de joie, je relevais mon visage pour lui faire face. Sur la table de nuit était posé une cruche d’eau et un verre. Aussitôt, je remplissais se dernier. Après tout ce temps passé dans le coma, il devait avoir la bouche pâteuse. « Tiens » Approchant le verre de ses lèvres, je lui faisais boire quelques gorgées.
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Que faisais-je sur un lit d'hôpital ? Je me le demandais totalement parce que je n'avais aucun souvenir de ce qu'il m'était arrivé et en plus à ce que je voyais - du moins ce que je parvenais à entrevoir avec mes yeux demi-ouverts - je ne me trouvais plus dans les Caraïbes, ce qui voulait dire que j'avais été transféré du Summer Camp jusqu'ici... Mais où étais-je ? Les médecins qui s'occupaient de moi semblaient totalement soulagés de me voir réveillé mais cela me surprenait parce qu'il ne m'était rien arrivé de grave non ? Qui pourrait répondre à mes questions bon sang ? La réponse se trouvait à l'entrée de la chambre : la seule personne que j'aimais ! Prudence... Accompagnée d'un homme en noir qui ressemblait étrangèrement à un mec du Secret Service chargé de protéger le Président des Etats-Unis. C'était à ce moment-là que j'avais essayé de parler pour demander au corps médical de nous laisser ma Prudence et moi, néanmoins ayant rapidement compris ce que je voulais, toutes les personnes présentes dans la chambre en sortirent rapidement nous laissant ainsi seuls Prue et moi. D'ailleurs, je lui tendais ma main pour qu'elle vienne me rejoindre et elle n'hésita pas plus d'une seconde. Je me souvenais que c'était tendu entre nous depuis le début du Summer Camp, ce qui me fit comprendre qu'il avait du m'arriver quelque chose de grave... Elle prit ma main dans la sienne avant de s'installer sur la chaise à côté de mon lit puis elle posa sa tête sur mon torse avant de me murmurer d'une petite voix que je lui avais manqué. Je voulus lui répondre mais aucun son ne sortit de mes lèvres... Que m'était-il réellement arrivé ?J'avais besoin d'elle là. Elle se redressa soudain pour me verser de l'eau avant de m'aider à boire. J'avais vraiment la bouche pâteuse et c'était horrible. " Mer....ci.. " j'avais vraiment du mal à parler donc je lui demandais un stylo et je pris une feuille où je notais ma question. J'avais eu du mal à écrire aussi mais c'était finalement noté : Qu'est-ce qu'il s'est passé, Prue ?
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" Mer....ci.. " Voir Andrew dans cet état, n’était pas quelque chose de simple. Il semblait aller mieux et ses capacités mentales ne semblait pas avoir étés touchés, mais en étais-je sûr ? Après tout, son apparence ne voulait rien dire. Sans plus attendre, il prit un carnet et un stylo qui avait été mis à sa disposition. Au premier abord, ce fut sa facilité à prendre ces affaires d’un simple mouvement. Apparemment, ses capacités motrices avant fonctionnaient correctement. Après plusieurs secondes d’essaies, il arrivait à écrire quelque chose. C’était une écriture très primaire, mais j’arrivais à en comprendre la signification. Qu'est-ce qu'il s'est passé, Prue ? Ne savait-il donc pas ? Doucement, mais surement, je commençais à être envahi par l’inquiétude. « Tu ne te rappelle pas ? » Comment cela était possible ? Avait-il oublié autre chose ? Bon sang, faite qu’il ne me la fasse pas à la Théo. «Tu es dans le coma depuis plusieurs jours et…enfin… » Incertaine, je me demandais si tout lui révéler était une bonne initiative. Peut-être devrais-je attendre l’avis des médecins ? Seulement, il paraissait si sincère, que je lui devais la vérité. « Tu t’es fait tirer dessus pendant que nous prenions un café » Ses mots résonnaient difficilement à mon oreille. Me remémorer cette journée n’était pas agréable. Cela me rappelait à quel point j’avais eu peur. A quel point, j’avais faillis le perdre. Sans cesse, je repensais à cette atroce fusillade. On se serait crus durant le défiler de Kennedy. Il s’en était fallu de peu pour qu’il se prenne une balle dans la tête. Heureusement, elle avait touché un endroit beaucoup plus malléable. C’était la seule chose dont je pouvais m’estimer chanceuse. La seule chose qui ne me faisait pas perdre pied. A présent, il était réveillé et son regard se rappelait parfaitement de ma personne. A l’inverse, je ne sais pas comment j’aurais réagis.
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Ce réveil était assez étrange tout de même mais j'étais de retour parmi les vivants, néanmoins j'ignorais la raison pour laquelle je me trouvais en ces lieux. Alors lorsque j'avais vu que ma Prudence était là, j'avais rapidement demandé aux médecins de nous laisser seuls et maintenant qu'elle se trouvait près de moi. Je ne savais plus quoi dire, surtout que j'avais encore du mal à aligner des mots et après qu'elle m'ait donné à boire, j'avais pris un carnet avec le stylo et grossièrement j'avais tenté d'écrire quelque chose dessus. En gros je lui demandais ce qu'il s'était passé pour que je me retrouve ainsi dans un lit d'hôpital... La réaction de Prue ne se fit attendre, elle était inquiète ! J'étais à ce point devenu amnésique ?! Je ne le savais pas encore mais elle se mit tout de même à m'expliquer que cela faisait des jours que je me trouvais dans le coma et après une petite hésitation elle m'avoua que je m'étais fait tiré dessus pendant qu'on prenait un café... Je la regardais avec des yeux ronds tandis que mon coeur s'était mis à battre de plus en plus et que je fus soudainement projeté au jour de l'incident... Je revivais la scène de ma fusillade en mode accélérée ! Je voyais le regard plein de détresse de la femme que j'aimais, le sang qui coulait longuement de mon corps... Et puis plus rien... Mais je venais de retrouver la mémoire... Je rouvris les yeux, les larmes coulant lentement sur mes joues. " Prue... Pardonne-moi... De t'avoir mise dans cette situation... " j'étais en train de m'effondrer mais je devais me ressaisir, alors j'inspirai longuement avant de reprendre de nouveau le carnet pour écrire ces mots : C'est mon père n'est-ce pas ? Il doit jubiler sur le fait qu'il n'y aurait pas procès
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" Prue... Pardonne-moi... De t'avoir mise dans cette situation... " Il n’avait pas à s’excuser pour cela. En soit, ce n’était pas vraiment de sa faute. La personne qui avait fait cela était dingue. Dingue, parce que si les dires de Drew étaient corrects, il s’agissait de son père. Comment pouvait-on faire cela à sa progéniture ? Il n’y avait pas de mots pour décrire cet acte. « Ce n’est pas de ta faute » Posant ma main sur la sienne, je tachais de le rassurer. Inutile qu’il s’emballe, alors qu’il venait de se réveiller après plusieurs mois de coma. Reprenant son carnet, il écrivait une autre question : Il doit jubiler sur le fait qu'il n'y aurait pas procès Vraiment ? Pourquoi les hommes avaient se besoin de vengeance aussi précipité. ‘’Il’’ autrement dit son père, n’était pas le sujet le plus important pour l’instant. Le plus important était sa sécurité. Je ne voulais pas prendre le risque qu’il y est une seconde tentative. Surtout, qu’il était invulnérable dans sa chambre d’hôpital. « Repose-toi. Ce n’est pas le moment de penser à cela. On a eu tellement peur pour toi… » Je parlais bien entendu de ses amies et de sa sœur. Le voir en assez bonne santé me comblais de joie, mais est-ce que cela allait durer ? Est-ce que cela ne cachait pas autre chose ? Je l’espérais réellement. Tout allait dépendre de ce qu’allait dire les médecins. « Tu te sens comment ? » lui demandais-je pour en savoir un peu plus et lui faire changer de sujet. Comment se sentait-on après avoir vécu une telle épreuve ? Est-ce qu’on allait dans un autre endroit comme le disait la plupart des cas ?
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Je n'arrivais vraiment pas à parler en fin de compte, c'était sûrement un contre coup de ce qu'il s'était passé ou bien parce qu'il fallait du temps pour mon cerveau de reconnecter mes synapses mais toujours est-il que je n'arrivais pas trop à parler à l'heure qu'il était. D'où le fait que j'utilisais un petit bloc note où je posais mes questions à mon ex-petite amie. Je m'excusais auprès d'elle de l'avoir mise dans cette horrible situation mais elle me rassura aussitôt en disant que ce n'était pas de ma faute. Néanmoins je n'en croyais pas un mot, c'était ma faute et je ne voulais plus qu'elle vive ce genre de situation... J'avais peur de la perdre et j'ignorais ce qu'il allait se passer pour nous désormais. M'aimait-elle toujours ? Je n'en savais rien... Lorsque je lui demandai si mon père devait jubiler sur le fait qu'il n'y aurait pas de procès, elle me dit de me reposer parce que ce n'était soi-disant pas le moment de parler de ça... Et alors que je reposais ma tête sur mon cousin, je ne pus empêcher mes larmes de couler lentement le long de son visage tandis qu'elle me demandait comment j'allais... Je me tournais vers elle, les yeux brillants de larme que je me mis aussitôt à refouler avant d'écrire la réponse sur le bloc. J'ai l'impression d'être vide... Je ressens encore la douleur causée par les balles. J'ai envie de mourir parce que c'est trop douloureux....

HRP:
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Pendant un instant, il tentait de cacher son visage ou plutôt de cacher les larmes qui coulaient. Puis, se tournant vers moi, il reprenait le calepin pour écrire quelques phrases. J'ai l'impression d'être vide... Je ressens encore la douleur causée par les balles. J'ai envie de mourir parce que c'est trop douloureux.... Mourir ?! Après tout ce qu’il a vécu ?! Rectification, ce que j’avais vécu ?! Pendant quelques minutes, j’avais crus le perdre. « Je t’interdis de dire ça » Mes mots étaient secs, alors que je refoulais les larmes de colère qui montaient. Ses larmes me brisaient le cœur. Aussi, je me rapprochais un peu plus de son visage. Fébrilement, je déposais des baisers sur ses larmes avec une tendresse infinie. Il était en vie et il avait l’air d’avoir toute sa tête. C’était tout ce qui comptait. « Tu n’as pas le droit de penser ça. Pas maintenant. » lui murmurais-je, le visage à quelques centimètre du sien. Enfermé dans notre bulle, je me rapprocher de ses lèvres pour les frôler des miennes. Avec timidité, je déposais un baiser chaste sur ses lèvres. Sans aucune réaction de sa part, je m’aventurais plus loin en insistant sur le baiser. Le sentir contre moi me procurait un terrible bien. Etait-ce égoïste de profiter de lui de cette manière, après tout ce qui c’était passé ? Je ne me sentais pas capable de lui dire pour ma fausse couche. J’avais été mise enceinte par un autre homme et je n’en avais pas été au courant. Je ne pouvais pas lui dire cela, alors qu’il venait de revenir à lui. A coup sûr, il me détesterait. De plus, je me sentais incapable de lui faire cette aveux, alors que moi-même, je n’avais pas réellement conscience de ce qu’il c’était passé. D’après les médecins, on appelait ça un choc post-fausse couche.
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