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Fiche Étudiant
C'est le 1 juin 1991 à Paris, que les membres de la famille Saint-Laurent m'ont accueilli(e) dans leurs bras, du moins ceux de la nourrice, et m'ont prénommé Enzo ( et Thomas. Ils sont pris la tête pour se décider en fait et mon père a cédé mais pas de bonne volonté). Je suis célibataire et je le revendique (pas le temps pour ces conneries de couple, une gangrène mentale) , et si vous voulez tout savoir je suis .... un peu tout et n'importe quoi. En théorie Hétéro. En théorie. Y'a certaines choses pour lesquelles j'me suis peut-être un peu trop laissé aller, mais j'suis pas du genre à avoir des regrets alors... rien à foutre au final, et j'en suis fier. Je viens d'une classe sociale très aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de biochimie en études majeur et neuroscience d'études mineur depuis 5 ans ans, et mon niveau est... outrageusement bon au point que les profs me regardent d'un œil dégouté. Quoi, on peut pas être Mather et avoir un cerveau? Dommage, je déteste les préjugés, j'vais me faire un plaisir de les outrer davantage. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Mather ou les Students (en cas de refus).
Pourquoi Mather ou Student ?
LA MAISON MATHER
Le non conformisme par excellence. Arrogant, hautain, a tendance exécrable, fumeur, fêtard, dragueur, obscène à ses heures, à la franchise déroutante, Enzo n'est pas un exemple. Mais il a aussi une particularité, il est foutrement intelligent. C'est pas rare que son labo perso, qu'il a construit pour ses études dans le sous sol de la maison qu'ils ont acheté pour lui dans Cambridge, soit à l'origine de certaines nouvelles substances qui circulent en douce dans Harvard, sans que personne ne sache ce que c'est. Chiant, a tendance solitaire, c'est aussi le premier à faire le con avec ses potes, à t'envoyer un fuck parce qu'il a la flemme de parler, et à se jeter dans une baston histoire de s'y défouler. Mais c'est aussi un sale type qui n'a pas vraiment de scrupules à séduire, à dire ce qu'il pense (y compris avec les profs) quitte à se prendre une sanction il s'en fout, il sait que ses résultats scolaires ne sont pas en péril. Du coup, l'expérience de l'appartenance à une maison lui semble une chose intéressante et un excellent moyen de peaufiner ce qu'il est.
LES STUDENTS
Il faut dire que Enzo n'aime pas rentrer dans un moule. Outre la maison mather pour laquelle il pourrait faire une exception, il refuse catégoriquement les autres. trop guindées, trop restrictives, et il abhorre l'idée de faire partir d'une élite , non pas parce qu'il ne sent pas à la hauteur, mais surtout parce qu'il a tendance à les regarder de haut, et ne veut rien avoir à faire avec. Assez fuyant des concepts classiques, il aime suivre ses règles, avec ses principes et ne supporte pas qu'on lui dise quoi faire ou comment se comporter. Ça impliquerait de respecter une hiérarchie et à moins d'avoir de très bons arguments pour le convaincre, ce qui avec lui est un vrai challenge. Et puis c'est aussi un excellent moyen d'envoyer se faire voir tout ceux qui aimerait tant le voir dans des maisons prestigieuses. Il préfère rester tranquille. Il a un sérieux esprit de contraction quand il s'agit de respecter les règles et son égo le rend amer à l'esprit grégaire. Quoi de mieux pour être au dessus que de n'appartenir à aucun groupe, car c'est bien là qu'il veut que soit sa place: au dessus.
Le non conformisme par excellence. Arrogant, hautain, a tendance exécrable, fumeur, fêtard, dragueur, obscène à ses heures, à la franchise déroutante, Enzo n'est pas un exemple. Mais il a aussi une particularité, il est foutrement intelligent. C'est pas rare que son labo perso, qu'il a construit pour ses études dans le sous sol de la maison qu'ils ont acheté pour lui dans Cambridge, soit à l'origine de certaines nouvelles substances qui circulent en douce dans Harvard, sans que personne ne sache ce que c'est. Chiant, a tendance solitaire, c'est aussi le premier à faire le con avec ses potes, à t'envoyer un fuck parce qu'il a la flemme de parler, et à se jeter dans une baston histoire de s'y défouler. Mais c'est aussi un sale type qui n'a pas vraiment de scrupules à séduire, à dire ce qu'il pense (y compris avec les profs) quitte à se prendre une sanction il s'en fout, il sait que ses résultats scolaires ne sont pas en péril. Du coup, l'expérience de l'appartenance à une maison lui semble une chose intéressante et un excellent moyen de peaufiner ce qu'il est.
LES STUDENTS
Il faut dire que Enzo n'aime pas rentrer dans un moule. Outre la maison mather pour laquelle il pourrait faire une exception, il refuse catégoriquement les autres. trop guindées, trop restrictives, et il abhorre l'idée de faire partir d'une élite , non pas parce qu'il ne sent pas à la hauteur, mais surtout parce qu'il a tendance à les regarder de haut, et ne veut rien avoir à faire avec. Assez fuyant des concepts classiques, il aime suivre ses règles, avec ses principes et ne supporte pas qu'on lui dise quoi faire ou comment se comporter. Ça impliquerait de respecter une hiérarchie et à moins d'avoir de très bons arguments pour le convaincre, ce qui avec lui est un vrai challenge. Et puis c'est aussi un excellent moyen d'envoyer se faire voir tout ceux qui aimerait tant le voir dans des maisons prestigieuses. Il préfère rester tranquille. Il a un sérieux esprit de contraction quand il s'agit de respecter les règles et son égo le rend amer à l'esprit grégaire. Quoi de mieux pour être au dessus que de n'appartenir à aucun groupe, car c'est bien là qu'il veut que soit sa place: au dessus.
Mon personnage c'est le plus beau
APRÈS LA BOMBE
Et bien quoi, après la bombe....? Certains pays sont en guerre constamment, et nous, on se repose sur nos lauriers, en se disant que ça n'arrive qu'aux autres. Croyez-moi, je sais que non, ça m'a détruit, et ils n'ont rien vu. C'est tellement commode quand on sait faire. Je venais d'arriver quand c'est arrivé. Tiens, même ici, ils font péter des trucs? Intéressant? C'est qui le petit malin qui a remis les esprits en place, que je lui fasse un autel? Trouvez moi cruel, salop, insensible, j'assume. Pour moi c'est dans l'ordre du monde. Il faut que la minorité morfle pour que les autres percutent et s'inquiètent. Y'a que quand on vous montre une pub dégueulasse sur les accidents de la route, que les gens comprennent. Bah c'est la même. L'homme agit comme un égoïste envers les siens, jusqu'à ce que le destin frappe et remette les pendules à l'heure, et bizarrement, l'altruisme accoure, les larmes semblent apporter cette vraie humanité qui devrait exister partout. Depuis cet incident, j'ai l'impression qu'ils sont plus ouverts les uns aux autres et surtout plus inquiets. C'est pas si mal, ils ont compris qu'ils étaient vulnérables. Maintenant ils sont prêts pour la vie. Et moi dans tout ça? Oh ça fait longtemps que je suis prêt. Je les ai aidé? J'ai été affecté ? Blessé? Touché par cet évènement?Non. Et j'm'en fous j'crois... Personne n'était là pour me ramasser quand j'ai eu Hiroshima dans le corps et dans le cœur. Qu'ils se démerdent. J'ai autre chose à foutre qu'à ramasser les faibles.
EXTRAVERSION - INTROVERSION
SENSATION - INTUITION
| PENSÉE - SENTIMENT
ORGANISATION - ADAPTATION
|
APRÈS LA BOMBE
Et bien quoi, après la bombe....? Certains pays sont en guerre constamment, et nous, on se repose sur nos lauriers, en se disant que ça n'arrive qu'aux autres. Croyez-moi, je sais que non, ça m'a détruit, et ils n'ont rien vu. C'est tellement commode quand on sait faire. Je venais d'arriver quand c'est arrivé. Tiens, même ici, ils font péter des trucs? Intéressant? C'est qui le petit malin qui a remis les esprits en place, que je lui fasse un autel? Trouvez moi cruel, salop, insensible, j'assume. Pour moi c'est dans l'ordre du monde. Il faut que la minorité morfle pour que les autres percutent et s'inquiètent. Y'a que quand on vous montre une pub dégueulasse sur les accidents de la route, que les gens comprennent. Bah c'est la même. L'homme agit comme un égoïste envers les siens, jusqu'à ce que le destin frappe et remette les pendules à l'heure, et bizarrement, l'altruisme accoure, les larmes semblent apporter cette vraie humanité qui devrait exister partout. Depuis cet incident, j'ai l'impression qu'ils sont plus ouverts les uns aux autres et surtout plus inquiets. C'est pas si mal, ils ont compris qu'ils étaient vulnérables. Maintenant ils sont prêts pour la vie. Et moi dans tout ça? Oh ça fait longtemps que je suis prêt. Je les ai aidé? J'ai été affecté ? Blessé? Touché par cet évènement?Non. Et j'm'en fous j'crois... Personne n'était là pour me ramasser quand j'ai eu Hiroshima dans le corps et dans le cœur. Qu'ils se démerdent. J'ai autre chose à foutre qu'à ramasser les faibles.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Low et j'ai 30 ans. Je suis français et j'ai connu le forum grâce à top-site. Actif et un chouette design, et surtout qu'un contexte large qui permet énormément de choses. Et les scénarios m'ont attiré donc j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Stephen James comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Low. Je fais environ 500 mots (voir plus ça dépend la personne en face)par RP et mon personnage est un scénario crée par Kol F. Parker.
Mot de la fin ? ▲ Je n'ai pas besoin de parrain, mais je risque d'avoir du mal à tout faire au début, ça me semble énorme oo.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
adhérer un flood d'intégration (?)
participer au Summer Camp (?)
Mot de la fin ? ▲ Je n'ai pas besoin de parrain, mais je risque d'avoir du mal à tout faire au début, ça me semble énorme oo.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
participer au Summer Camp (?)
Il était une fois...
Il était une fois un gamin qui pensait que tout pouvait s'acheter... Il était une fois l'arrogance personnifiée qui prenait de plein fouet la déesse de l'humilité... Il était une fois deux yeux, deux mains, de la poussière de cœur et une ambition démesurée... il était une fois le début de la déchéance, transformé en un trésor de savoir... Il était une fois Enzo.
Il ne suffit pas d'être riche pour tout avoir. Dans les yeux d'un gosse, ça parait pourtant si peu évident. A six ans, quand on a un caractère de prince, qu'on a des envies et qu'en plus, on ne vous a jamais rien refusé, on pense qu'on peut avoir le monde. Seulement voilà, tout n'est que mensonge, parce que ce qui détruisit le petit Enzo, fut justement ce qu'on ne lui avait pas appris. Ce fut ce qu'on avait oublié de mentionner comme étant important: certaines choses n'ont pas de prix. L'ont-ils fait exprès? Les desseins ont-ils des plans pour lui au final? Toutes ces douleurs sont-elles vouées à un meilleur avenir? Il n'y croit pas et aujourd'hui, il vous crachera froidement en étant occupé à autre chose: j'm'en branle.
Quelle importance l'âge qu'on a au final, pour Enzo , la plupart des humains seront des cons finis toute leur vie, qui se satisferont de l'à peu près ou du minimum alors qu'ils pourraient être bien plus. Tous des êtres suffisants. Même plus âgés, certains ne comprennent rien et d'autres vous échappent. En fait, tout lui échappe, alors il essaie de maitriser tout ce qu'il peut. Avec le temps, ce je m'en foutisme, ce besoin de savoir et ce contrôle s'est installé, au même titre qu'une certaine froideur et une opinion très tranchante sur l'humanité. Il n'a bien souvent aucune tolérance envers ceux qui chialent ou ceux qui se contentent du peu. Les scrupules et la solidarité? Où ça? Il n'y voit un intérêt que si ça sert ses finalités à lui. Manipulateur, un temps soit peu trop sadique, à faire des expériences avec tout ce qui passe, considérant autrui comme un singe de labo, il se complait à voir sa détresse et ne le soignera qu'avec le vaccin de la franchise. La vérité fait mal. Mais la vérité construit. Qu'on le critique, qu'on le déteste, qu'on l'aime et qu'il fascine, c'est noir ou blanc avec lui, le milieu c'est pas son fort. Et pourtant dieu seul sait qu'il est intelligent et il le sait. Il pourrait aider. Il pourrait avoir plus de tact et être un peu plus docile? Sauf qu'il dit qu'il n'a pas le temps, il dit qu'il a à faire et que ce ne sont pas dans ses priorités de prêter un peu de compassion.
Et tout ça... c'est de leur faute. Ouais. Enzo ne s'est pas fait tout seul. Il a bien fallu le sortir de quelque part ce foutu démon dépravé, agréable en fête et bon vivant, mais qui déteste presque la planète entière et se ronge d'une solitude forcée et d'une torture non exhumée. En réalité, il se punit. Puni de ne pas avoir été assez bon. Pour quoi? Pour tout. Alors aujourd'hui, il se pousse pour être visible de tous, pour qu'on se souvienne de lui, et s'il doit être mauvais pour ça, s'il doit faire mal, et bien soit. Après tout, à chaque fois qu'il a tenté de montrer qu'il aimait ou appréciait, personne n'a vu. Pire encore, il s'est fait rejeté.
" Darwin disait : La survie ne dépend ni de la force physique, ni de l'intelligence, ni d'aucun caractère unique. L'espèce qui survit est celle qui est le mieux adaptée à son milieu naturel. Alors je m'adapte. Que peut-on me reprocher si ce n'est de survivre? Certes, j'ai une personnalité souvent détestable, mais je le vis bien. Quand j'étais gosse, ma famille avait tout d'un conte de fée. De l'argent, une mère câline, un père qui passait de temps en temps, mais comme disait ma mère, si on veut vivre dans l'aisance et que je ne manque de rien, il doit travailler. Un grand parfumeur. Pour moi, il était un magicien d'odeurs, je l'ai idéalisé. Et mon oncle était un grand couturier, qui rendait les femmes heureuses. Voila ce que je voyais jusqu'à 6/7 ans. Tous les week ends, une autre famille, amie de la notre venait, les Parker, et je m'étais lié avec un garçon de mon âge: Kol. Un frêre. Je suis enfant unique, j'avais besoin de lui. Avec le temps, on était inséparables quelque part, même si je crois que j'ai toujours eu plus besoin de lui que lui de moi... J'ai appris à le comprendre, à l'apprivoiser. J'étais plus expansif que lui, plus fort. Même gamin, il était le calme et j'étais le casse cou. Mais avant sept huit ans, on ne comprend pas toujours tout...
Et puis, comme dans toute histoire d'amitié, quand une nana se pointe et qu'elle se met au milieu, que ce soit à 10, 12 ou 25 ans, c'est le bordel. Mais comment on peut savoir ça quand on a dix ans, douze ( je sais plus )... Je sais juste qu'elle est arrivé et que tout a changé pour moi. En moi. Cette fille, non seulement elle était jolie, mais en plus elle était gentille, et simple. Du moins je trouve qu'elle l'était... Moi le sale petit merdeux, au caractère bagarreur qui voulait tout tout de suite, elle m'a pris comme j'étais , et nous a fait croire qu'on serait le trio infernal et que jamais elle nous ferait de mal. Je l'admirais. Rien qu'à la voir, elle m’apaisait... J'suis tombé fou amoureux d'elle... J'suis mauvaise langue parce que je sais qu'au fond, elle ne voulait pas nous faire de mal, du moins j'en sais rien... Merde, elle aurait pu percuter qu'elle pouvait pas nous avoir tous les deux, sans qu'il y ait de conséquences. Je sais pas à quoi elle a pensé. Et Kol, mon frère... j'étais enfant unique. On a passé tellement de temps ensemble... Tu parles, sa notion de fraternité hein... Ils étaient tout... Ma famille n'était et n'est que superficielle... je l'ai découvert très tôt , mais dans cet univers... dans ces familles mondaines... montrer est un défaut. On me l'a appris. J'aurais du me douter que ... qu'on l'avait aussi appris à Kol et j'ai pas vu sa détresse, du moins pas pendant un temps... Mon arrogance, mon caractère, ma compréhension des choses n'ont pas fait trainé le suspens. J'ai vite compris. Ses bleus, ses secrets. J'ai eu envie de tuer son père. J'étais un gosse, mais même si j'avais eu vingt ans, je l'aurais fait. La maturité n'a jamais été un problème. Enfin si, ça l'a été. Je l'étais. J'aurais préféré être puérile et naïf. J'aurais été gentiment aveugle....
Sauf qu'on ne peut pas dire les choses dans ce monde. On ne doit pas. Ça mine l'image des familles, ça détruit leur prestige. Kol était mon frère et quand j'en ai parlé à ma mère, elle m'a dit de ne pas m'en mêler, m'a dit d'oublier ce que je savais. Pourquoi ?? Je devais laisser croupir mon seul frère juste pour leurs principes à la con? Quand t'as douze ans, tu finis par fermer ta gueule. Mon père? Je ne le voyais plus beaucoup... Ma mère me disait qu'il avait besoin de se consacrer à son boulot. Et moi dans tout ça? J'étais moins bien que son travail? Pourquoi m'a-t-il donné cette importance quand j'étais petit si c'était pour me faire ça maintenant? Je n'étais pas assez bien peut être? J'ai commencé à me mettre la pression, à me rebeller, à faire des conneries, parce que c'est comme ça qu'on fait non , quand on est ado ? En fait , j'ai juste tenté de me faire une place. De conserver ce qu'on m'avait appris. Des règles de merde. Des règles qui ne marchent que pour ceux qui sont bénis. Ils ont du visés à coté pour moi. Et comme si ça suffisait pas... dans la foulée, Kol et la belle Elizabeth , pour qui j'avais le coeur en vrac à en crever ... se sont rapprochés. Je les ai vu faire, mais je n'ai rien dit parce que j'avais encore son attention et ça me suffisait. Je me mentais en me disant que je devais halluciner, que c'était mon amour pour elle qui me rendait possessif et que c'était une mauvaise chose. Alors je lui ai laissé de la liberté, j'ai jamais osé lui dire. J'étais bien plus dissipé, beaucoup plus que Kol. Je comprends qu'elle ait pu flanché pour lui... il avait tout ce qui lui fallait. Et puis il le méritait. Il avait morflé, il méritait de l'amour. Et moi dans tout ça ? Même rituel... j'ai laissé faire, en me rongeant les sens, les organes, me défoulant dans le sport, la baston, les excès, et sans le montrer à personne , les cours... J'ai rapidement aimé les cours de sciences... C'est dingue comme c'est facile à fabriquer les bombes artisanales... la chimie...je me suis jeté dedans. J'étais étouffé par une amertume qui venait de tout. Pourquoi est-ce que j'étais toujours second bordel ! je passais après le travail de mon père, je passais après Kol! Ils me faisaient tous chier à ne jamais me voir pour ce que j'étais. On est ce qu'on montre. Ça je l'ai très vite compris.
J'ai commencé à voir noir. Noir de ne pas avoir pu aider Kol quand son père était trop con, Noir de ne pas avoir été assez bien pour mon père, noir de ne plus compter pour ma mère quand elle a du aller aider mon père à son boulot prenant de l'essor, noir de rester seul chez moi dès l'âge de treize ans et de ne rien pouvoir dire... Noir de perdre contre Kol... noir de voir mon frère m'échapper.... Noir de sentir mon cœur se nourrir d'une chose impossible et de les voir s'embrasser... se toucher... leurs regards amoureux... Noir de me voir me décomposer de l'intérieur... J'étais trop sensible? j'en sais rien. Je ne le suis plus. Pas le choix. Derrière moi je laisse des cendres chaque jour que je respire cet air pourri que je partage avec d'autres humains. Noir et aigri , voila ce que je suis devenu. A quinze ans, j'étais déjà enclin à devenir une saloperie intelligente. Un de ces cons qui détruira probablement des centaines de vies dans l'espoir de guérir son ego.
Et vous vous êtes séparés. Tu l'as trahi. Tu as baisé une autre fille. Et quand t'es parti comme un couard, tu m'as demandé de lui dire que tu l'aimerais toujours? Et que tu t'éloignais d'elle pour la préserver? Mais merde, tu t'entends!!? T'es juste une couille molle. Je ne lui dirai pas. Et d'ailleurs je ne lui ai pas dit. Et en plus, tu le demandes au mec qui l'aime, plus que t'aimeras jamais une seule fille??? Pauvre con, tu ne sais même pas ce que je suis devenu. Tu veux que je te dise quoi à cet instant? J'ai juste envie de te coller une beigne et de te jeter dans le fleuve pour que tu t'y noies, toi et ta connerie d'infidèle. Elle t'a tout donné et toi , tu baises cette... cette ... marie couche toi là ... Un vagin qui braille, tout au plus. Tu me dégoutes, tu m’écœures, alors prends ça pour une trahison , mais... je lui dirai pas.
Et j'ai même fait pire... On a couché ensemble...
En fait, j'y ai cru, con que je suis... J'y ai cru... J'ai cru qu'elle allait revenir vers moi vu que Kol l'avait heurté... mais que dalle. J'ai pris la plus grosse claque de ma vie en pleine poire et ça a fini de m'achever... Je me souviens de tout. De son toucher, de sa voix, de son étreinte... La pire des sentences pour me donner la mort. L'impression pour la première fois de ma vie d'être entier.... Et la dernière fois. Elle a appuyé où ça fait mal sans s'en rendre compte. Jusqu'à ce que je craque.... Mes valeurs se sont effondrées ... Mon univers s'est éventré. Elle ne me veut pas. Elle t'aime. La douche froide. Non. Un iceberg en pleine gueule. Hiroshima.
J'ai été longtemps perdu. J'ai pété une durite. Alcool, drogue, et un autre univers s'est ouvert à moi. Personne ne comprenait , j'en avais rien à foutre. J'étais suffisamment intelligent pour ne rien montrer à mes vieux, et paraitre parfait à leurs yeux. Ils m'ont fait confiance et ma liberté s'est accrue, et bordel ce que j'ai aimé, et j'aime encore. J'en ai besoin. Un univers ou plus rien n'a d'importance à part ce que, moi, je suis. Je ne veux plus rien entendre et peu à peu , mon être se compose, comme la pire des partitions, un requiem intérieur, qui va ordonner telle une symphonie âcre l'enfant surdoué refoulé, qui s'affirme en études. Et ce souvenir qui m'obsède. Elle ne comprend pas. Elle dit que si , mais elle ne comprend pas. Je me fais une raison , j'en ai marre de souffrir. j'ai pleuré. J'en ai ras le cul de pleurer, et puis j'ai arrêté. Plus rien n'est sorti. je ne sais pas quand cela à commencé... Je ne sais plus, mon cerveau devient sélectif, il s'optimise et je me découvre des capacités pour la chimie, et un intérêt pour la biologie... Je finis par prendre un recul sur l'humanité entière. Je suis un sale con aujourd'hui et je le revendique, ça éloigne les cafards superficiels. J'ai eu le privilège d'accéder à une école prestigieuse à Paris, et je suis arrivé depuis une année sur Cambridge, à Harvard. Je vais poursuivre ici, et j'irai loin. Si on ne se souvient pas de moi pour le bien que je fais, alors on s'en souviendra autrement. Je sais qu'elle est là. Oui? Et ? J'ai passé le cap. Je n'ai pas envie de rechuter. Je ne sais même plus si je suis capable d'aimer quelqu'un. Elle me rend dingue mais pas dans le bon sens et ça je le sais ... J'espère juste qu'elle est partie. Je ne sais même pas si elle sait que je suis là, mais l'année passée, je n'ai pas souvent trainé dans le campus.... Seulement cette année... Je vais probablement faire partie d'une des maisons... Je les côtoie souvent alors je me dis que peut-être....
De toute façon, je ne me prends plus la tête. C'est fini ça... Aujourd'hui, je sais qui je suis, je sais ce que je veux... Et je décide où je vais, quand et avec qui. Ceux qui me fréquentent le savent... Je suis certes un fêtard mais quand je dis de me foutre la paix, que je suis occupé, je le suis. J'ai un caractère très décalé et discutable dira-t-on...
Il ne suffit pas d'être riche pour tout avoir. Dans les yeux d'un gosse, ça parait pourtant si peu évident. A six ans, quand on a un caractère de prince, qu'on a des envies et qu'en plus, on ne vous a jamais rien refusé, on pense qu'on peut avoir le monde. Seulement voilà, tout n'est que mensonge, parce que ce qui détruisit le petit Enzo, fut justement ce qu'on ne lui avait pas appris. Ce fut ce qu'on avait oublié de mentionner comme étant important: certaines choses n'ont pas de prix. L'ont-ils fait exprès? Les desseins ont-ils des plans pour lui au final? Toutes ces douleurs sont-elles vouées à un meilleur avenir? Il n'y croit pas et aujourd'hui, il vous crachera froidement en étant occupé à autre chose: j'm'en branle.
Quelle importance l'âge qu'on a au final, pour Enzo , la plupart des humains seront des cons finis toute leur vie, qui se satisferont de l'à peu près ou du minimum alors qu'ils pourraient être bien plus. Tous des êtres suffisants. Même plus âgés, certains ne comprennent rien et d'autres vous échappent. En fait, tout lui échappe, alors il essaie de maitriser tout ce qu'il peut. Avec le temps, ce je m'en foutisme, ce besoin de savoir et ce contrôle s'est installé, au même titre qu'une certaine froideur et une opinion très tranchante sur l'humanité. Il n'a bien souvent aucune tolérance envers ceux qui chialent ou ceux qui se contentent du peu. Les scrupules et la solidarité? Où ça? Il n'y voit un intérêt que si ça sert ses finalités à lui. Manipulateur, un temps soit peu trop sadique, à faire des expériences avec tout ce qui passe, considérant autrui comme un singe de labo, il se complait à voir sa détresse et ne le soignera qu'avec le vaccin de la franchise. La vérité fait mal. Mais la vérité construit. Qu'on le critique, qu'on le déteste, qu'on l'aime et qu'il fascine, c'est noir ou blanc avec lui, le milieu c'est pas son fort. Et pourtant dieu seul sait qu'il est intelligent et il le sait. Il pourrait aider. Il pourrait avoir plus de tact et être un peu plus docile? Sauf qu'il dit qu'il n'a pas le temps, il dit qu'il a à faire et que ce ne sont pas dans ses priorités de prêter un peu de compassion.
Et tout ça... c'est de leur faute. Ouais. Enzo ne s'est pas fait tout seul. Il a bien fallu le sortir de quelque part ce foutu démon dépravé, agréable en fête et bon vivant, mais qui déteste presque la planète entière et se ronge d'une solitude forcée et d'une torture non exhumée. En réalité, il se punit. Puni de ne pas avoir été assez bon. Pour quoi? Pour tout. Alors aujourd'hui, il se pousse pour être visible de tous, pour qu'on se souvienne de lui, et s'il doit être mauvais pour ça, s'il doit faire mal, et bien soit. Après tout, à chaque fois qu'il a tenté de montrer qu'il aimait ou appréciait, personne n'a vu. Pire encore, il s'est fait rejeté.
" Darwin disait : La survie ne dépend ni de la force physique, ni de l'intelligence, ni d'aucun caractère unique. L'espèce qui survit est celle qui est le mieux adaptée à son milieu naturel. Alors je m'adapte. Que peut-on me reprocher si ce n'est de survivre? Certes, j'ai une personnalité souvent détestable, mais je le vis bien. Quand j'étais gosse, ma famille avait tout d'un conte de fée. De l'argent, une mère câline, un père qui passait de temps en temps, mais comme disait ma mère, si on veut vivre dans l'aisance et que je ne manque de rien, il doit travailler. Un grand parfumeur. Pour moi, il était un magicien d'odeurs, je l'ai idéalisé. Et mon oncle était un grand couturier, qui rendait les femmes heureuses. Voila ce que je voyais jusqu'à 6/7 ans. Tous les week ends, une autre famille, amie de la notre venait, les Parker, et je m'étais lié avec un garçon de mon âge: Kol. Un frêre. Je suis enfant unique, j'avais besoin de lui. Avec le temps, on était inséparables quelque part, même si je crois que j'ai toujours eu plus besoin de lui que lui de moi... J'ai appris à le comprendre, à l'apprivoiser. J'étais plus expansif que lui, plus fort. Même gamin, il était le calme et j'étais le casse cou. Mais avant sept huit ans, on ne comprend pas toujours tout...
Et puis, comme dans toute histoire d'amitié, quand une nana se pointe et qu'elle se met au milieu, que ce soit à 10, 12 ou 25 ans, c'est le bordel. Mais comment on peut savoir ça quand on a dix ans, douze ( je sais plus )... Je sais juste qu'elle est arrivé et que tout a changé pour moi. En moi. Cette fille, non seulement elle était jolie, mais en plus elle était gentille, et simple. Du moins je trouve qu'elle l'était... Moi le sale petit merdeux, au caractère bagarreur qui voulait tout tout de suite, elle m'a pris comme j'étais , et nous a fait croire qu'on serait le trio infernal et que jamais elle nous ferait de mal. Je l'admirais. Rien qu'à la voir, elle m’apaisait... J'suis tombé fou amoureux d'elle... J'suis mauvaise langue parce que je sais qu'au fond, elle ne voulait pas nous faire de mal, du moins j'en sais rien... Merde, elle aurait pu percuter qu'elle pouvait pas nous avoir tous les deux, sans qu'il y ait de conséquences. Je sais pas à quoi elle a pensé. Et Kol, mon frère... j'étais enfant unique. On a passé tellement de temps ensemble... Tu parles, sa notion de fraternité hein... Ils étaient tout... Ma famille n'était et n'est que superficielle... je l'ai découvert très tôt , mais dans cet univers... dans ces familles mondaines... montrer est un défaut. On me l'a appris. J'aurais du me douter que ... qu'on l'avait aussi appris à Kol et j'ai pas vu sa détresse, du moins pas pendant un temps... Mon arrogance, mon caractère, ma compréhension des choses n'ont pas fait trainé le suspens. J'ai vite compris. Ses bleus, ses secrets. J'ai eu envie de tuer son père. J'étais un gosse, mais même si j'avais eu vingt ans, je l'aurais fait. La maturité n'a jamais été un problème. Enfin si, ça l'a été. Je l'étais. J'aurais préféré être puérile et naïf. J'aurais été gentiment aveugle....
Sauf qu'on ne peut pas dire les choses dans ce monde. On ne doit pas. Ça mine l'image des familles, ça détruit leur prestige. Kol était mon frère et quand j'en ai parlé à ma mère, elle m'a dit de ne pas m'en mêler, m'a dit d'oublier ce que je savais. Pourquoi ?? Je devais laisser croupir mon seul frère juste pour leurs principes à la con? Quand t'as douze ans, tu finis par fermer ta gueule. Mon père? Je ne le voyais plus beaucoup... Ma mère me disait qu'il avait besoin de se consacrer à son boulot. Et moi dans tout ça? J'étais moins bien que son travail? Pourquoi m'a-t-il donné cette importance quand j'étais petit si c'était pour me faire ça maintenant? Je n'étais pas assez bien peut être? J'ai commencé à me mettre la pression, à me rebeller, à faire des conneries, parce que c'est comme ça qu'on fait non , quand on est ado ? En fait , j'ai juste tenté de me faire une place. De conserver ce qu'on m'avait appris. Des règles de merde. Des règles qui ne marchent que pour ceux qui sont bénis. Ils ont du visés à coté pour moi. Et comme si ça suffisait pas... dans la foulée, Kol et la belle Elizabeth , pour qui j'avais le coeur en vrac à en crever ... se sont rapprochés. Je les ai vu faire, mais je n'ai rien dit parce que j'avais encore son attention et ça me suffisait. Je me mentais en me disant que je devais halluciner, que c'était mon amour pour elle qui me rendait possessif et que c'était une mauvaise chose. Alors je lui ai laissé de la liberté, j'ai jamais osé lui dire. J'étais bien plus dissipé, beaucoup plus que Kol. Je comprends qu'elle ait pu flanché pour lui... il avait tout ce qui lui fallait. Et puis il le méritait. Il avait morflé, il méritait de l'amour. Et moi dans tout ça ? Même rituel... j'ai laissé faire, en me rongeant les sens, les organes, me défoulant dans le sport, la baston, les excès, et sans le montrer à personne , les cours... J'ai rapidement aimé les cours de sciences... C'est dingue comme c'est facile à fabriquer les bombes artisanales... la chimie...je me suis jeté dedans. J'étais étouffé par une amertume qui venait de tout. Pourquoi est-ce que j'étais toujours second bordel ! je passais après le travail de mon père, je passais après Kol! Ils me faisaient tous chier à ne jamais me voir pour ce que j'étais. On est ce qu'on montre. Ça je l'ai très vite compris.
J'ai commencé à voir noir. Noir de ne pas avoir pu aider Kol quand son père était trop con, Noir de ne pas avoir été assez bien pour mon père, noir de ne plus compter pour ma mère quand elle a du aller aider mon père à son boulot prenant de l'essor, noir de rester seul chez moi dès l'âge de treize ans et de ne rien pouvoir dire... Noir de perdre contre Kol... noir de voir mon frère m'échapper.... Noir de sentir mon cœur se nourrir d'une chose impossible et de les voir s'embrasser... se toucher... leurs regards amoureux... Noir de me voir me décomposer de l'intérieur... J'étais trop sensible? j'en sais rien. Je ne le suis plus. Pas le choix. Derrière moi je laisse des cendres chaque jour que je respire cet air pourri que je partage avec d'autres humains. Noir et aigri , voila ce que je suis devenu. A quinze ans, j'étais déjà enclin à devenir une saloperie intelligente. Un de ces cons qui détruira probablement des centaines de vies dans l'espoir de guérir son ego.
Et vous vous êtes séparés. Tu l'as trahi. Tu as baisé une autre fille. Et quand t'es parti comme un couard, tu m'as demandé de lui dire que tu l'aimerais toujours? Et que tu t'éloignais d'elle pour la préserver? Mais merde, tu t'entends!!? T'es juste une couille molle. Je ne lui dirai pas. Et d'ailleurs je ne lui ai pas dit. Et en plus, tu le demandes au mec qui l'aime, plus que t'aimeras jamais une seule fille??? Pauvre con, tu ne sais même pas ce que je suis devenu. Tu veux que je te dise quoi à cet instant? J'ai juste envie de te coller une beigne et de te jeter dans le fleuve pour que tu t'y noies, toi et ta connerie d'infidèle. Elle t'a tout donné et toi , tu baises cette... cette ... marie couche toi là ... Un vagin qui braille, tout au plus. Tu me dégoutes, tu m’écœures, alors prends ça pour une trahison , mais... je lui dirai pas.
Et j'ai même fait pire... On a couché ensemble...
En fait, j'y ai cru, con que je suis... J'y ai cru... J'ai cru qu'elle allait revenir vers moi vu que Kol l'avait heurté... mais que dalle. J'ai pris la plus grosse claque de ma vie en pleine poire et ça a fini de m'achever... Je me souviens de tout. De son toucher, de sa voix, de son étreinte... La pire des sentences pour me donner la mort. L'impression pour la première fois de ma vie d'être entier.... Et la dernière fois. Elle a appuyé où ça fait mal sans s'en rendre compte. Jusqu'à ce que je craque.... Mes valeurs se sont effondrées ... Mon univers s'est éventré. Elle ne me veut pas. Elle t'aime. La douche froide. Non. Un iceberg en pleine gueule. Hiroshima.
J'ai été longtemps perdu. J'ai pété une durite. Alcool, drogue, et un autre univers s'est ouvert à moi. Personne ne comprenait , j'en avais rien à foutre. J'étais suffisamment intelligent pour ne rien montrer à mes vieux, et paraitre parfait à leurs yeux. Ils m'ont fait confiance et ma liberté s'est accrue, et bordel ce que j'ai aimé, et j'aime encore. J'en ai besoin. Un univers ou plus rien n'a d'importance à part ce que, moi, je suis. Je ne veux plus rien entendre et peu à peu , mon être se compose, comme la pire des partitions, un requiem intérieur, qui va ordonner telle une symphonie âcre l'enfant surdoué refoulé, qui s'affirme en études. Et ce souvenir qui m'obsède. Elle ne comprend pas. Elle dit que si , mais elle ne comprend pas. Je me fais une raison , j'en ai marre de souffrir. j'ai pleuré. J'en ai ras le cul de pleurer, et puis j'ai arrêté. Plus rien n'est sorti. je ne sais pas quand cela à commencé... Je ne sais plus, mon cerveau devient sélectif, il s'optimise et je me découvre des capacités pour la chimie, et un intérêt pour la biologie... Je finis par prendre un recul sur l'humanité entière. Je suis un sale con aujourd'hui et je le revendique, ça éloigne les cafards superficiels. J'ai eu le privilège d'accéder à une école prestigieuse à Paris, et je suis arrivé depuis une année sur Cambridge, à Harvard. Je vais poursuivre ici, et j'irai loin. Si on ne se souvient pas de moi pour le bien que je fais, alors on s'en souviendra autrement. Je sais qu'elle est là. Oui? Et ? J'ai passé le cap. Je n'ai pas envie de rechuter. Je ne sais même plus si je suis capable d'aimer quelqu'un. Elle me rend dingue mais pas dans le bon sens et ça je le sais ... J'espère juste qu'elle est partie. Je ne sais même pas si elle sait que je suis là, mais l'année passée, je n'ai pas souvent trainé dans le campus.... Seulement cette année... Je vais probablement faire partie d'une des maisons... Je les côtoie souvent alors je me dis que peut-être....
De toute façon, je ne me prends plus la tête. C'est fini ça... Aujourd'hui, je sais qui je suis, je sais ce que je veux... Et je décide où je vais, quand et avec qui. Ceux qui me fréquentent le savent... Je suis certes un fêtard mais quand je dis de me foutre la paix, que je suis occupé, je le suis. J'ai un caractère très décalé et discutable dira-t-on...
(Invité)