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Verena & Jackson & Franz
Verena pour une fois, avait décidé de faire autre chose que de la plage. Elle avait opté pour un tour de la ville avec Jackson, ça leur ferait changement de toujours se croiser à la volé et par hasard, un truc prévu, comme ils en avaient pas fait depuis longtemps. Ca avait donné le sourire à Verena en un rien de temps, elle l’avait vu arrivé et elle était partie comme sur des roulettes, ça lui remontait le moral, c’était incroyable. Enfin, ca lui permettait de respirer un peu, ils avaient eu le temps de marcher pas mal, de regarder les boutiques, verena avait eu le temps de crever de chaud au presque malgré ses petit short et son top tout léger, il faisait une de ses chaleurs, au point où elle croyait avoir des hallucinations. Elle c’était malgré tout, arrêté, terrifiée à l’idée que cette image qu’elle avait en avant d’elle, soit une fausse. Il était là, celui qui lui avait donné la circatrice en plein milieu du visage. Elle n’arrivait pas à parler, elle frôla doucement la main de Jax, comme si, elle pensait être dans un rêve, mais ce touché était trop réel. Elle ne pouvait même pas partir en courant, elle ouvrait et fermait la bouche comme une idiote sans trop savoir quoi faire. (Invité)
Une bonne petite balade avec mon amie dans les rues de la Martinique, cette petite île idyllique où personne ne parlait notre langue, mais qu'importe, on était entre nous et on ne restait jamais assez bien longtemps sur une île pour faire de bonnes rencontres. A la place, on passe notre temps avec nos amis, et j'avais eu envie de le passer un peu avec Verena, histoire de faire couler toutes ces histoires, d'enterrer ses sentiments que j'avais toujours eu à son égard mais qui arrivaient à disparaître peu à peu. On était bien, rien ne pouvait faire nuage à notre soleil de bonheur. Excepté lui. Excepté Franz qui se mit en travers de notre chemin. Putain mais qu'est-ce qu'il foutait là sérieux ?! Je sentis la colère m'envahir, l'envie de le frapper pour ce qu'il avait fait subir à mon premier amour, au fait qu'il avait tout foiré, alors que moi j'aurais voulu être à sa place des millions de fois ! Je me sentais bouillir, comme si ça suffisait pas déjà avec la chaleur étouffante. Mais quand je sentis la main de mon amie venir frôler la mienne, je me calmais, pensant à sa détresse. Je n'attendis pas une seule seconde avant de prendre sa main dans la mienne pour lui faire comprendre que j'étais là avec elle, et que je ne la laissais pas seule avec ce type. Ce type qui osait parler, lui parler pour lui dire qu'il avait essayé de l'appeler Et t'as pas pensé que si elle ne te répondait pas, c'est qu'elle ne voulait plus voir ta sale face de rat ?! Crachais-je vraiment trop méchamment, chose qui ne me ressemble franchement pas, mais là j'étais vraiment dépassé par les évènements et je ne comptais pas être doux avec cet idiot que je n'avais jamais apprécié et que j'avais toujours jalousé.