LAUREN S. K-BURBERRY ► Jennifer Aniston

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Tweety et j'ai 23 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à Zara et Aaliyah, puis j'y étais aussi.  Le forum est géniale et ce design est... je trouve pas de mots pour le décrire, c'est l'un des meilleurs alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Jennifer Aniston comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par .gasoline, Vodka paradise et tumblr. Je fais environ 15 lignes par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer au Summer Camp (?)

Je n'aime pas parler de mon enfance. Et puis, à quoi bon en parler, tout ça fait partie de ma vie de petite fille. Je préfère raconter ma vie de femme.

Tout à commencer à l'université. Ma première année à Oxford. J'y suis allée avec ma meilleure amie. Je savais qu'avec elle au moins, je ne me sentirai pas trop perdue dans ce monde universitaire un peu trop rapide à mon goût. Je ne vais pas vous parler de ma vie universitaire en elle-même mais plutôt de ma rencontre avec l'homme qui je pensais partagerait avec moi le restant de mes jours. Mon amie m'avait proposé de venir avec elle à une fête. Ce genre de soirée plutôt, BCBG qui se passe dans des grandes boutiques de luxe. Etant une fille mordue de vêtements, de mode -j'avais grandis dans ce milieu là hein- j'avais tout de suite accepter. C'était dans la grande enseigne, Burberry. Le père comme le fils se trouvaient là, car oui, mon beau père était encore en vie à cette époque. Et peut-être que s'il ne nous avait pas quitté aussi tôt, mon très cher époux ne serait pas devenu cet pourriture d'homme en costard très absent qu'il est aujourd'hui.
Lors de cette soirée donc, j'avais réussi par on ne sait quel miracle à approcher les hommes Burberry. Le regard que le fils posait sur moi eu l'effet d'une bombe. Mes mains tremblaient et je rougissais sans arrêt. Je pense qu'il avait due le remarquer car quelques jours après, je reçu une lettre, une invitation. Elle n'était pas adressée à ma meilleure amie mais bien à moi. Je n'en revenais pas. Elle était écrite par lui. Je ne savais pas comment il m'avait retrouvée. Quoique, je lui avais donné mon nom et mon prénom, mais je ne savais pas que ces simples informations allaient lui suffire pour me retrouver, mais si.
Invitée à au restaurant. Et pas n'importe lequel, le plus beau de tout Oxford. Sincèrement, je viens d'un milieu aisée alors tout ce truc tape à l'oeil m'importe peu mais qu'il me sorte le grand jeu me plaisait assez. Et ce rendez-vous fut le premier d'un tas d'autre tout aussi excitants, inoubliables, romantiques et j'en passe... Je tombais amoureuse de lui après quelques semaines, me demandant sans cesse pourquoi moi ? Qu'est-ce que j'avais que les autres n'avaient pas ? Je me surpris même un jour à lui poser la question. "Tu es toi !" Voici ce qu'il me dit en guise de réponse et sincèrement, ça me suffisait amplement. Je tombais enceinte quelques mois plus tard. Mes parents accusèrent très difficilement le coup mais ils firent finalement avec une fois que mon ventre eu grossit. Ils n'avaient pas tellement le choix après tout car je voulais cet enfant. Et contrairement à ce que l'on pourrait croire, ça ne m'empêcha pas de continuer mes études. J'étais très épuisée après l'accouchement qui s'était passé à Londres alors que je rendais visite à mes parents, mais je tenais quand même le coup. J'allai même à des soirées. Je vivais comme une jeune de mon âge, une jeune maman de 20 ans étudiante à Oxford. Un an plus tard, je devins madame Burberry. Tout ça était-il allait trop vite ? Sincèrement, à ce moment là, je pensais que non. Je vécue avec mon mari et ma fille dans une belle maison à Oxford. Mon beau père nous quitta très rapide à la suite d'une crise cardiaque. Et je me dis qu'aujourd'hui, il pourrait arriver la même chose au père d'Aaliyah s'il continue comme ça.
Ma fille était tout pour moi et je trouvais ça vraiment triste, ça me désolait vraiment de ne pas pouvoir être présente pour elle plus que je ne le voulais. Mon mari travaillait toute la journée, toutes les nuits et moi j'étudiais et même après l'obtention de mon "diplôme" je n'étais pas très présente pour elle. J'avais des horaires inimaginables. Elle passait donc la plupart de son temps avec sa gouvernante. En grandissant, elle m'avoua qu'elle ne m'en voulait pas, qu'elle m'admirait même. Elle en voulait surtout à son paternel. Il l'avait en quelques sorte forcée à étudier à la maison. Il n'avait qu'une idée en tête, qu'elle étudie pour un jour lui succéder. Pour lui, c'était la mode, l'empire Burberry et rien d'autre. J'avais beau essayer de lui donner toujours une image positive de son père, il faisait toujours tout pour qu'elle voit que je mentais en quelques sortes et que ce que je disais était faux.
Ma fille ne voulait de l'empire Burberry, elle ne voulait pas succéder à son père, ni à son défunt grand père. Elle voulait simplement suivre mes traces et devenir chirurgien tout comme moi. J'en avais les larmes aux yeux quand elle m'avoua cela et je pense que c'est à cet instant là que j'eus ce déclic. Un beau matin, je décidais que je ne pouvais plus vivre ainsi. Je ne supportais plus cette vie. Je vivais avec lui et j'avais une fille avec cet homme mais c'est tout. Nous n'étions plus un vrai couple alors en ce beau matin, j'engagea un avocat et après quelques heures, la demande de divorce était arrivé aux oreilles de mon futur ex mari et ma fille.
Je pensais que la personne qui serait toucher par cet acte, qui serait la plus affectée par tout ça serait Aaliyah, mais non pas du tout, elle était heureuse pour moi, pour nous. En comprenant à quel point elle était mal, triste de vivre avec son père, je décidais de l'envoyer dans une université loin de l'Angleterre et c'est comme ça qu'elle atterrit à Harvard.

Quant à moi, j'ai continué ma vie aux côtés de mon mari jusqu'à ce que la sentence soit rendu, ce qui n'est toujours pas le cas. Car en effet, aujourd'hui, je suis toujours une Burberry. Mais j'hésite sincèrement à présent à divorcer. Car quand j'ai perdue mon frère cette année, il a été présent pour moi, ce qu'il n'avait pas fait depuis des années et encore mieux, quand Aaliyah était vraiment mal en point il y a de ça quelques mois, il a été un vrai père pour elle. Aimant, présent, à l'écoute et surtout très protecteur. Quand ma fille fut donc guérit et de retour à Harvard, je pris la décision de la rejoindre, sans qu'elle soit au courant de quoique se soit. Je n'avais plus rien en Angleterre, hormis mes frères et soeurs et je voulais m'éloigner de mon mari car oui, j'avais pris ma décision, je voulais vraiment divorcer. Rien ne pouvait me faire changer d'avis.
Oui, je venais juste de me reconvertir dans l'éducation, mais toujours dans mon domaine de prédilection car pendant les grandes vacances, j'eus un accident de voiture et je fus blessée à la main, je dirai même aux deux mains. 2 mois dans le plâtre et encore, je ne m'en servais pas très bien. Il m'était donc impossible pour le moment d'opérer alors je préférais transmettre mon savoir à tout ces sublimes étudiants. Le Doyen m'accepta au sein du corps enseignant de sa prestigieuse université après avoir vu mon CV et suite à notre entretien. Me voici aujourd'hui à vos côtés.