valespe ◊ tu m'épuises mais je t'adores je crois

T’as beau être le fils intelligent de la famille, le beaugosse des Rosenbach t’as été un ado, et enfin de compte t’es petites habitudes d’ados sont restés. T’as toujours aimé les soirées pizza et jeux vidéos avec Zoé en France alors avec Despe ce sera macdo jeux vidéos. Tu sais même pas si elle aime bien ça, enfaîte tu t’enfou. Tu l’as invité chez toi, dans ton loft tout près de Harvard. T’es allé cherché le macdo, tu n’attends plus que la belle demoiselle avec qui tu entretiens une relations étrange. Vous vous êtres rencontré très bizarrement ouais. Mais le plus étrange c’est que tu daigne à rester avec elle.. Pourquoi ? T’en sais rien et ca te perturbes.

Y'a des fois où je me fais inviter chez les autres, j'ai rarement reçu d'invitations de la part de Valentin. Bon c'est vrai que quand une relation commence de cette façon.. une façon si classe et galante, d'ailleurs, on s'attend pas à ce qu'une "amitié" naisse de cela. Et même si je le connais et que beaucoup de ses traits de caractère me déplaisent au plus au point, je ne peux m'empêcher de l'apprécier pour.. le reste de ses traits de caractère. En plus, j'reçois rarement d'invitations en soirée, généralement c'est le genre de choses qui se préparent un peu à l'avance. Mais ça me permet de sortir de mon bel appartement de Cambridge, aussi. Alors j'avais accepté, et j'étais désormais à l'adresse que je connaissais. Et en sortant ma main de ma veste, j'appuyai sur la sonnette.

On pourrait te juger d’être con d’inviter cette fille là chez toi, votre rencontre c’est pas le genre total love de l’extrême ouais. Elle s’embrouiller avec un type puis toi t’es venu pour les regarder sans intervenir, juste pour regarder, dans le genre con t’es un pro. En bref notre relation à eu le droit à quelques renversement de carafe sur la gueule et des vannes à droites et à gauches. Mais t’y peux rien enfaîte, ce genre de relation t’en à que très peu, t’as confiance faut être exceptionnel pour l’avoir. Tu t’es levé de ton canapé quand la sonnette à retentit, t’as ouvert la porte en l’invitant à rentré. Azlejovitch est en retard d’exactement trois minutes cinquante et une, je sais pas si tu mérites d'être là du coup !

Azlejovitch est en retard d’exactement trois minutes cinquante et une, je sais pas si tu mérites d'être là du coup ! Quel accueil. Soupirant, j'allumai mon portable pour en confirmer l'heure. « Je mérite toujours d'être là, même si des personnes bizarres m'arrêtent dans la rue pour me vendre des cartes postales et que ça me fait perdre mon temps. » rétorquais-je tout en rentrant. Oui Cambridge est une ville étrange, et du plus lointain que je me souvienne, je n'y avais pas croisé que de bonnes personnes, bien que lorsque je sois seule, j'ai tendance à ignorer quelques peu ce qui m'entoure pour me concentrer sur ce que je dois faire. « Alors Rosenbach, que me vaux cette invitation? » demandai-je en français. J'adorais parler dans des langues différentes de l'anglais, surtout lorsque je les maitrisais à peu près parfaitement, en réalité.

T’es du genre chiant, et elle t’adore, non tu aime éperdument la taquiner. Elle est en retard que quelques minutes et ca ne t’as pas échappée au point que tu lui en fait pars. C’est vrai que t’as bien la tête d’une touriste ! Je l’ai invité à s’aventurer dans le salon, posé ses affaires. Il me fallait quelqu’un sur qui rigoler, et va savoir pourquoi tes cette personne pour ce soir ! Tu t’es affalé sur ton canapé comme un gros sac qui tombe. Bon ce soir c’est console, macdo. En gros elle a pas le choix, si elle est pas contente, fuck.