franz preston wagner ►jake gyllenhaal.

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle unbroken. et j'ai dix neuf années. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Le forum est parfaitement compliqué, mais j'ai littéralement craquée pour le scénario de Verena alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Jake Gyllenhaal comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par harley de bazzart. Je fais environ entre 150 et plus de 450 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par R. Verena Grimm.

Mot de la fin ? ▲   
Je souhaite ▲
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)

Né d'une famille plutôt assurément aisée, tu n'as manqué de rien durant toute ton enfance. Pourtant, lorsque tu avais l'âge de pouvoir comprendre les choses comme il le fallait, tes parents t'ont annoncé que tu étais adopté. Malgré tout l'amour, la compréhension qu'ils avaient pu te transmettre, tu n'as jamais réellement accepté le fait d'avoir été abandonné. Peut-être que tu as une vie plutôt cool, que tu n'as jamais manqué de rien, que tu portes le nom d'une personne plutôt connu en Autriche. Cela ne t'expliquait pas pourquoi tu avais été abandonné à l'enfance. Au départ, tu pensais que tu n'étais simplement pas assez bien pour tes parents biologiques, que tu avais été un poids plutôt qu'un cadeau. Tu as réellement fait le tour de toutes les scène inimaginable qui pouvait expliquer le geste de tes parents biologique. Mais jusqu'à aujourd'hui, tu n'es pas certain de vraiment vouloir savoir. Parce qu'au fond, cela te fait peur.
Enfant gâté, tu as toujours eu ce que tu voulais. Et ben évidemment, même si les choses n'étaient pas simple à obtenir, tu faisais tout ce qui était en tout pouvoir pour pouvoir avec ce que tu voulais. Complètement têtu, tu ne pouvais pas ne pas avoir ce dont tu avais besoin. Littéralement, tu étais le petit emmerdeur de service dans tes années lycée. Le grand sportif, qui bien évidemment, avait toutes les femmes rien que pour lui. Tu n'as jamais touché à la drogue ou ce genre de chose, tu étais le genre de mec à faire de grosse soirée tout les week-end, à débarquer en cour seulement lorsque cela t'arranger. A bien évidemment, rendre le lycée populaire dans ton domaine: le sport. Tu ne vivais que de ça, le sport. C'était quelque chose qui te motivais, quelque chose qui te donnait réellement envie de bouger. Entêté, tu ne faisais que ce que tu voulais, rien ne te plaisais. Tu faisais le strict minimum à l'école, juste assez pour pouvoir garder ta place au sein de l'équipe de sport du lycée. Même si tu te faisais souvent viré parce que tu faisais d'énorme farce à tes professeurs, que tu te fichais pas mal des autres. En fait, tu étais insouciant et tu aimais ça.
On dit souvent que l'amour nous change, tu penses plutôt que c'est nous qui changeons afin de pouvoir vivre une histoire d'amour. Tu avais beau collectionné les filles à ton époque, une seule te plaisait sincèrement. Tu pouvais te forcer à ne pas y penser, à aller voir ailleurs pour te satisfaire autrement. A ne plus lui parler pendant un certain moment. Rien ne marchait. Elle était celle pour qui tu ressentais réellement des choses. Mais, tu ne voulais pas t'engager. Tu avais bien trop peur. Parce que l'engagement, c'est beaucoup trop sérieux pour toi. Mais tu savais que sans elle, tu ne serai rien. Imaginez-vous le sentiment que Franz a pu ressentir lorsqu'elle lui a dit qu'elle l'aimait? Pur bonheur. Tu t'es littéralement jeté à l'eau, tu as foncé tête baisser dans une relation pendant plus de sept ans. Tu as passé sept ans de ta vie au côté de Verena, le seul amour de ta vie. Tu étais amoureux, tu étais heureux, tu étais vivant. Tu te sentais si bien, tu n'avais jamais ressentis ce sentiment avant. Pendant cinq ans tu as vécu avec elle, pouvoir la voir continuellement, la toucher autant que tu voulais. Pouvoir la regarder dormir des heures, savourer chaque moment en sa présence. Tu étais bien avec elle. Tu vivais ton grand amour d'ailleurs, tu es certain que quoi qu'il arrive, tu finiras avec elle. Pourtant, en quelques semaines, tout s'était enchaîné pour toi. D'abord, tu t'étais fait licencié du seul boulot que tu avais pu obtenir afin de subvenir à vos besoins à toi et Verena puis, tu as appris ton doublement de ta sixième année. L'accumulation des échecs qui te rendaient si mal. De plus, il y avait ta petite amie qui n'arrêtait pas de parler d'enfant, de mariage. Mais toi, tu n'avais qu'en tête ces échecs qui te rongeais de l'intérieur. Pour toi, tu n'étais pas prêt. Tu n'arrivais pas à garder un emploi normalement, comment penser à avoir des enfants? Tu venais de doubler, comment se marier alors que tes études n'étais même pas encore terminer? Tu n'avais pas la tête à pense à ce genre de chose, pourtant, elle insistais. Tu avais beau lui dire que tu n'avais pas envie de discuter de cela, elle répétait, encore et encore. Tu commençais à littéralement te noyer dans l'alcool afin de pouvoir oublier tes soucis. Avec, tes recherches sur tes parents biologiques qui ne menaient à rien. Tu n'en pouvais plus. Tu as craqué. Tu as dépassé les limites, tu as commis l'impardonnable. Pris de nerf, de honte, de mépris pour sois-même, tu ne t'ai pas contrôler. Nerveux de naissance, l'assiette s'était presque balançais seule. Tu l'avais frapper, tu n'avais pas même pas prit le courage de le faire de tes propres mains. Tu ne t'étais à peine rendu compte. Tu avais honte. Tu savais que tu n'aurais jamais du le faire. Tu ne pourrais expliquer comme tu avais fait cela. C'était sur le coup de l'énervement.

A tête reposé, tu t'es longuement questionné sur ton comportement. Tu aimerais tant revenir à ce moment et pouvoir te contrôler et casser l'assiette loin du visage parfait de ta petite amie. Aujourd'hui, tu as tout perdu. Ton boulot, tes années d'études, ta petite amie et ta famille s'était retournée contre toi au départ de la blonde. Tu te retrouvais seul face au monde. Et, c'est comme ça que tu t'es rendu compte que tu devais réagir. Que tu ne pouvais pas rester les bras croiser à te morfondre encore et encore dans l'alcool jusqu'à te tuer. Tu devais faire quelque chose. Alors, tu venais de prendre une décision, énorme. Tu quittais l'Autriche, ton pays, ta nation, pour rejoindre Verena, à Harvard. Totalement déterminé à la récupérer, à lui expliquer que tout était une erreur, que tu en étais bien conscient. Mais surtout pour lui dire à quel point tu l'aimais. Parce que, tu avais enfin ouvert les yeux: sans elle, tu n'es plus rien. Tes parents étant complètement d'accord avec ton choix ont décidés de faire jouer leurs contacts afin de te faire entrer à Harvard sans qu'il puisse avoir de souci. Bien que tu ne supportes pas le fait que tes parents soient mêlé à des choses louches, tu fermais littéralement les yeux dessus. Cela ne te concernait pas, tu ne préférais pas savoir ce que c'était réellement. Tu espérais seulement que ça ne leur tombera pas dessus.