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What's wrong with you ? { Justine

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I hate you so much
that I hate me.

 


J'avais encore un peu de mal à me dire que je sortais définitivement avec Madisson. Je n'avais aucune idée si cette histoire allait réellement fonctionné. Après tout, cela faisait déjà la deuxième fois que nous essayons, mais je devais bien l'avouer que c'était en partie de ma faute et ma fierté à la con. Je n'aimais pas vraiment le statu d'être en couple, car ça rimait pour moi de ne plus avoir aucune liberté, perdre ce que nous avions toujours entretenu, c'est à dire une belle amitié et une belle complicité et je me disais parfois si j'avais bien fait de lui demander ne serai-ce qu'une fois d'être ma petite amie. Voilà même pas trois jours que je sortais avec la demoiselle et je me posais déjà tout un tas de questions. Enfin, pour le moment, c'était plutôt le cas Justine qui m'avait légèrement mis hors de moi ces derniers jours. Nous nous avions longtemps ignoré depuis notre premier et dernière rencontre au parc d'attraction, mais je sentais cette tension peu plaisante, placer au-dessus de nos tête et j'aurais pu laisser ça comme ça, faire si de rien n'était et l'à laisser dans son cas bien tranquille, se vidant la tête au soleil, mais j'en avais décidé autrement. Il faut dire que l'alcool ne m'aidait pas à peser le pour et le contre de ce qui était approprié ou non dans ce genre de situation.

J'avouais faire un peu alcoolique, ma bouteille de rhum à la main, mai c'était ma façon à moi de rendre hommage à mon équipe. Bouteille déjà bien entamée d'ailleurs. Elle avait l'habitude que je pète un câble pour un oui et pour un lorsqu'on me frottait trop et les effets de l'alcool n'aidaient en rien. « Je peux savoir c'est quoi ton problème ? » Lui balançais-je sèchement tandis que je me tenais debout à côté d'elle. Je n'avais pas franchement envie de rigoler et encore moins croiser son regard qui m'avait fait autrefois craqué, car j'avais toujours peur de craquer à nouveau pour elle. Je savais que l'histoire du « le premier amour ne s'oublie pas » était vrai et je peux vous dire que ça me faisait royalement chier, alors cette frustration je l'extériorisais en passant mes nerfs sur la demoiselle et a fonctionnait plutôt bien.

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T'es juste ce genre de personne qui se sont étouffée quand elle se retrouve coincée entre quatre murs. Alors, tu décides de sortir, armée de ton téléphone, tu marches, marches, des questions se bousculent dans ta tête. Tu te tortures l'esprit avec ça. Cette garce. Enfin... Garce, tu ne la connais pas si bien que ça et tu n'as certainement pas envie de la connaître plus que ça. Bref. Cette garce, sortait désormais avec Austin. Et puis pourquoi toi, Justine Harris, est tellement obsédée par ce mec ? Un brun aux yeux verts, il y en a des milliards sur terre alors pourquoi lui ? Le charme des bouclettes ? Mouais... Bordel. T'as plus envie de l'aimer, t'as juste envie de virer ce mec égoïste de ta tête mais tu n'y arrives pas parce que tu as encore plus envie d'aller étrangler cette chose qui sort désormais avec lui pour être tranquille mais t'es pas une sauvageonne. Tu ne te saliras pas les mains avec ça. T'avais envie de baffer ce connard aussi. De l'eterer vivant. Mais tu es sûre que toutes ses envies meurtrières disparaîtront quand tu le croiseras. Alors, tu préfères avoir envie de le tuer que croiser son regard. T'as pas envie de te dire que tu ne pourras l'oublier. T'as pas envie de voir sa tronche. Point. Sauf que ce putain de destin. Un destin bien tordu à décide de vous réunir, sur la plage. Alors que tu étais plonger dans tes sms, tu entends la voix d'Austin et tu te retournes pour lui faire face. Hein ? Tu le dévisages. Tout s'explique. Tu soupires. T'es claqué... Laisse moi tranquille. Va gueuler sur ta chose, elle supportera mieux que moi tes crises. Lui lançais-tu froidement.
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J'imaginais que c'était un rire nerveux qui venait tout juste de s'échapper de mes lèvres. Même si j'étais un peu éméché, je n'en restais pas moins lucide quant aux propos que la demoiselle venait de lancer par rapport à ma petite amie. C'était assez déplacé, mais je ne savais toujours pas pourquoi, ça me faisait rire. "Soit pas jalouse" Balançais-je du tac au tac. C'était ce qu'elle m'inspirait dans ces paroles et je pouvais facilement décelé de la haine envers Madisson, alors qu'elle n'avait pourtant rien fait. "Ecoute si tu as un putain de soucis, on en parle, mais ton comportement agressif et puéril j'vais pas le supporter longtemps !" Lui crachais-je à la gueule, tandis que je buvais une énième gorgée de ma bouteille d'alcool. Je continuais croire que elle et moi ne pourrions plus jamais s'entendre ne serait-ce qu'en tant qu'amis. C'était bien triste à penser, mais rien que de la regarder et penser à notre histoire, ça m'énervait, me rendait fou, parfois triste et loin de moi l'envie de retrouver les sales moi que j'avais passé à cause de soit disant sentiment appeler l'amour. J'avais horreur de ça. Alors oui, je sortais avec Madisson et oui j'en étais peut-être amoureux -toujours moins que je l'avais été avec Justine, mais ça viendra peut-être avec le temps- mais je refusais de me perdre à nouveau dans ce cercle vicieux qui nous amenait tout droit vers un trou noir. Maintenant que j'avais retrouvé le goût à la vie depuis de nombreuses années aujourd'hui, je n'allais pas tout faire foirer.
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Tu ne le détestes pas. Il t'énerve. Voilà tout. T'as juste parfois de le baffer, de le tuer, de l'assassiner, mais dès que tu croises son regard tu te rappelle de combien tu l'aimais, combien tu en étais follement amoureuse. C'est moche. Dommage. Désespérant. Mais t'allais pas pleurer au seuil de sa porte. Tu n'allais pas rêver de lui matin et jour sous l'espoir qu'il retombe dans tes bras. Tu n'allais pas parler de lui à tout le monde. Tu allais simplement le balancer hors de ta vie et le laisser faire la sienne, parce que tu n'es pas Madison, tu n'aimes qu'une fois. C'est égoïste, mais c'est toi. Tu avais tout foiré, tu avais déprimé pendant des années, mais le passé est passé, tout ceci est fini. Terminé. Mais tu avais toujours ce petit pincement au coeur quand tu le vois, quand tu croises son putain de regard. Quant à lui... Il n'avait pas l'air de vouloir oublier. Du moins... De t'oublier. Je ne jalouse pas des pouffiasses. Tu lui offres un sourire hypocrite. Il rigole et tu le laisses dans son délire. Tu ne t'énerves point. Tu le regardes. Froidement, sèchement. Jusqu'au moment où il se mit à crier. Tu n'es pas un souffre-douleur, tu ne le seras jamais. Alors, tu ne lui laisses point le temps de crier victoire que tu ajoutes, au tac-tac. Je n'ai aucun soucis, c'est toi qui vient m'agresser. Répondais-tu avant de regarder un instant sa bouteille, ton regard se reposa sur lui. Tu soupires et passe ta main dans tes cheveux avant de plonger ton regard bleuté dans le sien. Tu voudrais pas qu'on arrête de s'déchirer deux secondes ? Demandais-tu plus calmement.
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Visiblement, elle ne connaissait pas ou plus la politesse et le respect. "J'vois pas c'qu'elle t'as fait, alors baisse d'un ton et tu parles d'elle sur un autre ton ! Car c'est de la personne qui a été la pour moi quand tu t'es cassé, que t'es en train d'insulter !" Et ça, je ne le supportais pas vraiment, car avant d'être ma petite amie aujourd'hui, elle n'en restait pas moins ma meilleure amie. La personne qui m'a supporté quelque soit les circonstances et qui a toujours été là pour moi. J'étais presque fatigué de toute cette histoire qui pour dire vrai, me saoulait grandement. J'étais en vacance pour me détendre et pas me prendre la tête avec mon ex quoi. "J'agresse personne, je demande des explications" Je buvais une autre gorgée avant d'arquer un sourcil. Elle était sérieuse ? J'avais du mal à déceler le vrai du faux maintenant avec elle, mais elle avait l'air assez épuisé de cette histoire. De toute façon, il faudra bien un jour ou l'autre passer l'éponge, mais j'ai jamais été un as du ménage. "Tu dis ça pour avoir ma bouteille avoue, si tu crois que j't'ai pas vu loucher dessus !" On sentait tout de suite que mon ton était plus détendu. Ma voix avait un ton plus joyeux, un peu celui que j'employais autrefois pour l'embêter, mais en ce moment, on va dire que j'étais trop défoncer pour peser le bien et mal et j'avais pourquoi pas envie de faire une trêve le temps des grandes vacances. J'aurais tout le temps de la détester et même de l'oublier une fois le break fini.
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Tu redeviens d'un coup cette fille méchante, froide, distante, égoïste et méprisante, c'est alors que tu ne peux lui laisser le dernier mot, tu la regardes la défendre. Sa petite amie. Tu détestes ça mais seule un petit sourire moqueur apparaît au coin de tes lèvres. Tu croises les bras et le laisse finir. Finir son discours. Ses phrases à deux balles qui te rappellent qu'une autre pauvre fille t'a remplacé. Tu le regardes et fini par ajouter. Sans pitié envers sa petite-amie. Tu couches tous les jours avec des pouffiasses. Désolée si tu as l'impression que je la vise quand j'utilise le terme "pouffiasse". Disais-tu en souriant. Sauf que plus tu le regardais, plus ton sourire disparaissait, sa gueule et ses yeux te faisait rappeler de si beaux souvenirs que tu ne pouvais être méchante longtemps avec lui. Tu fronces les sourcils dans l'incompréhension quand il disait vouloir des explications. Des explications... Tu lui avais tout dit à votre première rencontre, que voulait-il de plus ? Quelles explications ? Ton regard fini par dévier sur sa bouteille. Tu soupires. T'en a marre. Tu veux pas lui parler de la sorte, mais il t'y oblige, alors tu lui demandes d'arrêter et pour ton plus grand bonheur, sa voix se fit plus détendu ce qui t'arrachait un petit sourire avant que tu ne lui tendis la main. Bon allez, passe, on va faire la paix avec cette bouteille.
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Je riais jaune à sa remarque et là, je ne pouvais pas m'empêcher de rétorquer. Rester statique sans rien dire, ce n'était vraiment pas mon truc. "Ouais, faut croire que je les attire, je ne couche qu'avec des pouffiasses" Et là, pour le coup, elle pouvait se sentir visé, avec mon petit sourire hypocrite et narquois. En fait, je n'incluait pas du tout Madisson dans le lot, et certaines filles étaient loin de l'être, d'autres, je n'avais pas pu apprendre à mieux les connaître et c'était par choix, je n'en avais pas envie tout simplement. "Sur ton comportement merdique de gamine capricieuse" Lui balançais-je à la gueule. L'explication de sa disparition soudaine, je l'avais eu et je n'avais plus envie d'en entendre parler à présent. Ce qui était fait était fait, tant pis pour elle, elle avait fait un choix, l'histoire était close, mais je ne comprenais pas ses agissements, ses regards limites menaçant et sa façon de traiter Madi'. Elle n'avait pas à être jalouse, car si elle l'aurait voulu, elle aurait toujours pu être avec moi à cette heure-ci. Mes yeux fixèrent son bras tendue et sa main qui demandait ma bouteille. Une petite trêve avec de l'alcool. J'avais hésité quelques secondes avant de là lui donner. Je n'étais pas très convaincant, je voulais bien le croire, mais c'était quand même un peu douloureux de se dire qu'on allait faire une trêve et se comporter ll est vrai que je passais au-dessus de ça et que je n'en avais presque plus rien à foutre. Que je n'en avais presque plus rien à foutre. "C'est bien parce que je veux pas gâcher mes vacances pour des histoires à la con" Je ne partais pas souvent en vacance pour ne pas dire jamais -faute de moyen- alors grâce aux aides financières de Harvard et aux quelques sous de ma mère, j'avais tout de même réussi à parti, alors croyez-moi que je comptais profiter de chaque secondes, car je n'avais aucune idée si cela serait possible l'année prochaine. Après tout, on ne sait pas de ce que peut être fait le lendemain.
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Il va trop loin, tu ne peux t'empêcher de lui adresser un sourire purement hypocrite. Tu ne réfléchis point quand tu lui balança, sans le moindre remords. T'as complètement changé de registre quand je t'ai laissé tomber. La dépression ne t'as pas vraiment réussie. Tu le dévisages en souriant. Tu es méchante avc lui. Tu es horrible. Mais il t'avait cherché, te traiter de pouffiasses pour défendre Madison était dégoûtant, tu ne te laisseras jamais rabaissé pour une autre. Tu ne le te laisseras jamais rabaissée, point. Il finit par qualifier ton comportement de "merdique" digne d'une "gamine capricieuse". Tu arques les sourcils et maintiens ton regard, tu n'allais pas le baisser, c'était signe de faiblesse, et tu étais loin d'être faible devant lui. Ça ne te conserne plus, je n'ai pas d'explications à te donner. Il fallait qu'il calme un peu ses hormones parce qu'il commençait à s'exciter pour un rien. Tu décidais de laisser tomber pour essayer de faire la paix avec lui, c'est alors que ta main tendue vers lui, tu attendais qu'il te passe la bouteille. Chose qu'il fit. Good Boy. Tu lui souris avant de boire une petite gortee. L'alcool te brûla la gorge et tu te pinçais les lèvres avant de lâcher un long soupir. Arrête de faire le con, c'est aussi parce que tu m'aimes bien.
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Je ne dirais rien quant à sa remarque déplacée, car elle n'en valait pas la peine, mais je n'en pensais pas moins, car oui, j'avais passé une sale période durant laquelle j'avais broyé du noir durant des mois avant que je finisse par remonter la pente pour au final devenir l'homme que je suis aujourd'hui. L'un dans l'autre, notre séparation m'avait plutôt bien réussi. Peut-être serait-je une toute autre personne si elle n'avait jamais décidé de rompre avec moi alors que j'étais dingue d'elle à l'époque. "Holalala mademoiselle se vexe !" Reprenais-je en levant les mains pour lui montrer que j'étais tout ce qu'il avait de plus inoffensif sur terre -ou pas- La bouteille, je la regardais boire. Je l'avais déjà bien descendu. En même temps, une fois que je m'y mets, j'ai du mal à m'arrêter. Pire qu'une drogue. "Je n'irais pas jusque là" Disais-je en levant les yeux. Il manquerait plus que je lui avoue que je l'aime bien ! Et puis quoi encore. "J'ai juste pas envie que tu meurs de déshydratation à côté de moi" Répliquais-je froidement tandis que je reprenais la bouteille dans mes mains afin de boire. J'avais fini par m'asseoir à côté d'elle -grand miracle- pour mieux la partager.
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