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Retour aux sources. - Avec Lorenzo (PV)

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Le lendemain de mon appel, je m'étais entièrement préparée pour aller en Italie. Je savais le temps qu'il ferait à peu près, préparant ainsi des maillots de bains au cas où mais aussi quelques gilets, il ne faisait pas très chaud la nuit, et dans l'avion, sans la climatisation, il allait faire un froid de canard, malgré que j'avais proposé à Lorenzo de me réchauffer. J'étais impatiente d'y être, j'avais envie de sortir un peu pendant le mois de vacances avant les examens de fin d'année, j'espérais pouvoir m'amuser sagement, avec la présence d'un de mes amis les plus proches. Lorenzo était à l'image de Keanu ou Andy, un ami très proche avec qui j'adorais passer du temps, on s'entendait tellement bien après tout, je n'avais pas hésité à lui demander le tour de l'Italie à ses cotés. Je n'avais pas mis longtemps à venir le chercher dans les alentours de cinq heures du soir, j'étais tellement heureuse de le voir, dès que je l'avais vu, je n'avais pu m'empêcher de sauter dans les bras de mon ami, de le serrer fort contre moi. Je ne savais pas pourquoi, après cet appel, je ressentais le besoin de le prendre dans mes bras, peut-être que le souvenir de ma mère y était pour quelque chose. Sentir la chaleur de son corps contre le mien, son odeur corporel, sa présence, tous ça me détendait, me faisait du bien. Durant tout le trajet jusqu'à l'aéroport, je m'étais blottis dans ses bras à l'arrière de la limousine, espérant toujours plus de réconfort. La douleur était encore encrée, et pour la première fois que j'en avais parlé à quelqu'un, je ressentais le besoin d'affection, de tendresse. Mon amitié avec Lorenzo pouvait panser cette plaie, car lui et moi étions si proches, nous étions intime, nous étions nous même, pas les vils séducteurs qui s'amusaient à chercher la petite bête avec les personnes que nous fréquentions. Et même lorsque j'étais sortie de la voiture, directement, j'avais glissé mes doigts entre les siens, c'était mon assurance, mon besoin d'être. J'avais réussi à oublier la peine que je ressentais depuis des années, mais je « rechutais » encore une fois. La drogue et l'alcool ne suffisaient donc pas pour l'oublier ? Je me tournais alors vers mon interlocuteur, alors que l'avion était devant nous, prêt à nous accueillir et nous emmener en Italie, notre pays natale. Comme par hasard, il y avait quelques gardes en costard qui surveillait autour de nous, mon père avait du avoir vent que je comptais venir en Italie, j'avais vraiment aucune vie privée, ou alors, il faisait ça car j'étais en présence d'un garçon, il craignait encore qu'un « rapace » essaie de voler la richesse de sa famille. Je ne leur prêtais pas attention, offrant un sourire faussement joyeux à mon ami. Je pourrissais vraiment mon voyage avec ma petit déprime, je n'arrivais vraiment pas à passer à autre chose, mais au moins, il était là, c'était le principal.
    TEO « Je suis contente que tu sois là. On va pouvoir s'amuser, se détendre, boire un peu si tu me le permets. »

Un des hommes vint à prendre nos bagages, alors que je courais jusqu'à la passerelle de l'avion, laissant voler ma robe qui s'amusait à se relever quand je courais, le froid frappant ma peau, j'étais pressée de rentrer dans l'appareil. Et étrangement, une fois que j'avais mis pied dans l'appareil, je ne constatais pas une différence de température, il faisait aussi froid dehors que dedans. Je fis un signe à Lorenzo pour qu'il me suive dans l'avion. J'entrais un peu plus, m'asseyant alors sur un des sièges de l'appareil. Je préférais garder mon manteau, il faisait bien trop froid. Lorsque je vis mon ami dans mon sillage, je lui rendis un sourire tendre, affectueux.
    TEO « Je suis sensé être riche, pouvoir tout avoir mais avoir une climatisation qui marche ça semble impossible d'en avoir une, décidément, je crois pas être plus malheureuse sur le coup. T'as intérêt d'être un bon radiateur! »

Je me mis à rire, j'imaginais trop la scène, moi qui me blottissait dans ses bras, sous la couette, essayant d'avoir le plus chaud possible, limite je l'engueulerais pour qu'il me frictionne le dos. Mais pour l'instant, je n'en étais pas à là. Je me pinçais la lèvre en le regardant, souriante, au fur et à mesure, j'arrivais à me concentrer uniquement sur Lorenzo, et oublier ma mère, sa mort, le malheur d'une famille entière. La voix de l'hôtesse nous indiqua de nous asseoir, que le jet allait décoller.
    TEO « Tu préfères aller dans le lit tout de suite ou après le décollage ? »

Je ne cherchais pas à le chauffer, même s'il fallait avouer que le visage que j'arborais, coquin, pervers, pouvait faire penser à ça.

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Quelle délicieuse invitation que celle-ci. Revoir sa mère, revoir son père, revoir son pays. Rien n'aurait pu faire plus plaisir à notre très cher Lorenzo. Invitation laissée par la sublime Teodora Leonetti, une des amis les plus proche de l'estropié. Les deux jeunes gens se connaissaient depuis un petit peu plus de trois ans à cette époque, et, en tout temps, ils avaient été proches. La jeune femme avait été abordée par le rouquin au sourire angélique dans le but d'être séduite, mais, il y trouvit une personne remarquable, douce, agréable, et surtout ... Italienne. Parler dans sa langue natale n'avait pas de prix, si bien que, dès le début, Lorenzo se sentait si bien en sa présence, qu'il n'arrêtait pas de sourire comme un idiot. Cette sensation de bien-être lui fit très vite oublier ses premières intentions. La jeune femme qui semblait aux premièrs abbords une mangeuse d'Homme s'était en fait préservée, ayant encore sa fleur, et ce malgré ses agissements et sa beauté sans fin. L'homme à la canne fut profondément touché par cela, et, ne tenta jamais rien, il trouvait cela sincèrement beau, et ne voulait pas lui ôter.

C'est donc dans cette grande complicité que trois années plus tard, ces deux étudiants étaient très proches, même si, tout deux vennaient d'un monde complètement différent. La belle, elle était fille d'un mafieux influent, et possédaient de très grandes ressources financières. Lui, de son côté, était né dans une famille des plus pauvres, et avait manqué de nouriture, et de presque tout dans sa jeunesse. Alors qu'il était étudiant, il ne s'habillait que très pauvrement, afin de ne pas dépenser d'argent, pour tout envoyer à ses parents pour les aider, nottament pour les médicaments de sa mère, qu'il n'avait pas vu depuis maintenant quatre ans.

De fait, l'invitation était arrivée comme un signe de Dieu par la belle. La veille un simple coup de fil avait reussi à lui faire verser des larmes. Déjà, qu'elle vienne à penser à lui pour ce voyage était fabuleux, mais qu'en plus elle lui propose de passer à Turin pour voir sa mère, cela n'avait pas de prix.

Le jour du départ, il avait mit avec beaucoup d'attention ses affaires dans son vieux sac, remarquant par la même occasion que, tout ses habits commençaient à se faire vieux. Une certaine peur se créa au fond de lui. La peur que sa douce mère ne comprenne qu'il se serrait la ceinture pour lui envoyer le plus d'argent possible. Elle pourrait très bien le prendre mal, et lui mettre une bonne tartine malgré sa maladie. Elle lui dira sans doutes qu'il ne doit pas faire ce genre de choses, et prendre soin de lui. Bien entendu lui, n'aura pas droit à la parole, et, les retrouvailles seront bien moins joyeuses.

Sur les coup de cinq heures, on sonna à sa chambre. C'était avec un grand sourire que le jeune homme récupéra son sac usé, tout en attrapant sa canne qui traînait sur son lit, avant d'aller ouvrir tout souriant à son amie. A peine le vit-elle qu'elle lui sauta au bras, faisant ainsi forcer sur sa jambe, en lui offrant un assez gros rictus de douleur, mais, pas un seul gémissement ne s'échappa de lui, il ne voulait en rien gâcher ce moment qui semblait si important pour Teodora. De sa main libre il lui caressa le dos avec grande douceur, tout en la serrant légèrement contre lui. Assez rapidement, les deux jeunes gens furent assis à l'arrière d'une limousine, mais, leur proximité physique ne changea pas d'un pouce, en effet, tout le long du trajet, la jeune femme s'était blottie contre lui, cherchant comme un peu de réconfort. Sentant cela, et, ne pouvant absolument rien refuser à une jolie demoiselle, l'handicapé s'occupa avec grande joie de la tâche qui lui incombait, la prennant avec tendresse dans ses bras lui caressant avec amour le dos et ses cheveux tout en approchant sa tête contre son épaule.

L'aéroport était ... Complet. Des hommes en costumes ça et là près du jet. Etait-ce des hommes de main de son père? Voulait-il sa peau? Ne supportait-il pas l'idée que sa fille voyage avec un garçon? Lorenzo était quelques peu ... Terrifié par tout ceci. Il descendit difficilement de la limousine, se servant de sa canne pour se relever. Teo lui prit alors la main, mélangeant leur doigts avant de lui sourire d'une façon bien étrange, avant de lui dire qu'elle était contente qu'il soit là, qu'ils allaient pouvoir se détendre, et boire s'il le permettait. La seule réponse du jeune homme fut un large sourire illuminé.

Un homme de main vint finalement s'occuper des baggages pour les emmener dans la soute sous le regard ébahi de l'estropié, qui ne remarqua même pas que la belle l'avait quitté pour courir vers la passerelle, et remarqua encore moins sa robe qui se relevait alors qu'elle courrait. C'est dommage, c'était un beau spectacle. Un fois à l'intérieur, la jeune femme finit par attirer son attention grâce à quelques signes et lui en fit un pour lui dire de venir. Lorenzo s'exécuta, mettant tout de même plus de temps qu'elle pour se rendre à l'intérieur de la machine, ayant du mal dans les escaliers d'accès avec sa canne. Une fois à l'intérieur, elle exposa le fait que même si elle était riche, avoir une clim qui marchait était trop demandée, puis, elle ironisa en lui disant espérer qu'il serait un bon radiateur. De nouveau, il sourit, d'un air gêné. A cela se dégageait une pointe de tristesse. Non pas que falt de dormir avec elle soit triste, bien au contraire. Il repensait à sa mère, voilà tout.

Perdu dans ses pensées, ce fut la voix de l'hôtesse qui le remmena à la réalité. L'avion allait décoller. Alors, sa compagne de voyage lui demanda s'il préférait aller au lit maintenant, ou plus tard. Cherchait-elle à l'allumer? Il préféra ne pas en faire cas. Celui-ci s'assit sur un siège en bouclant sa ceinture, avant de poser sa canne au sol. Puis, avec un grand sourire il lui adressa la parole.

« On aura bien le temps de faire des cochoneries plus tard. Ne voulais-tu pas boire? »
A peine eut-il finit ses mots, qu'il se plongea complètement dans son fauteuil, un air triste, les yeux humides, une larme prête à couler.

« Je heu ... Je voulais te remercier encore pout tout ça, tu ... Tu peux pas immaginer à quel point je suis heureux. Malgré tout ... L'idiot que je suis, auurai une faveur à te demander ... »

La fameuse larme s'extirpa de l'oeil et dégoulina le long de sa joue, bientôt suivie par une poignée d'autres.

« Je te l'ai déjà dit mais ... Ma mère est très malade, et ses médicaments sont chers. L'argent que je gagner avec mon travail, ce n'est pas grand chose mais, après le loyer et la nouriture de payée, je ... »

De nouvelles larmes firent leur apparition.

« J'envoie tout chez moi, et, je n'achète jamais rien pour moi. C'est ... C'est pour ça que mes habits sont dans cet état. Quand elle me vera comme ça, elle ... Elle comprendra que je me prive pour elle et ... Le vivra très mal. »

Il essaya de s'essuyer les larmes de la paume de sa main avant de reprendre.

« Je ... Pourrais-tu m'aider? Je ne veux pas que ma mère se sente mal à cause de moi. Peut-être pourrais-tu m'aider pour me payer la location d'un costume, je .... Je n'ai même pas assez pour ça... »

Il s'effondra en larmes.

« Je ... Je suis désolé ... Je suis un misérable ... Je ne devrais pas te demander une telle chose après tout ce que tu fais pour moi ... Mais ... *snif* Je n'ai qu'à toi à qui demander. »
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J'avais pas vraiment cherché à le séduire, mais à passer un moment tendre avec lui, à passer du temps pour que ça me fasse du bien, qu'on pense à autre chose. Il semblerait que mon invité n'est pas envie de passer un moment agréable, quelque chose devait le troubler. Je le regardais s'asseoir, un peu déçue, et même refroidie par ce qu'il venait de se passer. J'avais envie de passer à autre chose, parler avec lui de quelque chose de bon, d'amusant. Je le regardais, assis à coté de moi, je fis un petit mouvement de tête négatif lorsqu'il me disait qu'il croyait que j'avais soif. C'est alors qu'il me surpris, soudainement, il se mit à me remercier de ce que je venais de lui offrir, et aussi, à me demander une faveur. J'étais un peu surprise, je ne m'attendais pas, je souris, acquiesçant alors pour l'écouter. Lorenzo vint à m'expliquer sa situation avec sa mère, je le savais malade, je savais qu'il se donnait du mal et je ne regardais pas vraiment la façon dont il s'habillait car lui & moi, c'était autre chose que tous les autres garçons, comme avec Keanu & Andy, ce n'était pas de la drague, ce n'était pas une question de « fesses » mais d'un amitié forte. Il m'expliquait sa vie en générale, j'en avais presque honte moi-même de la mienne, il se privait pour sa mère, ça me gênait. Je ne venais jamais en aide à mes amis issus de milieux peu aisés, histoire qu'ils ne finissent pas à rester avec moi à cause de mon argent, mais là, pour ce genre de chose, je ne pouvais que sentir mon coeur se retourner, je me sentais mal pour Lorenzo. Il voulait juste emprunter un vêtement, faire quelque chose pour que sa mère soit fière de lui. Au fur et à mesure que je sentais que son monologue approchait de la fin, j'enlevais ma ceinture. Nous avions encore un peu de temps pour que l'avion décolle. Je me mis à genoux devant Lorenzo, prenant ses mains dans les miennes, je le regardais droit dans les yeux, tendant mon bras vers lui pour essuyer les larmes qui coulaient sur son visage.
    TEO « Arrêtes de pleurer s'il te plait. Déjà parce que ta mère voudrait pas te voir pleurer, que ce n'est pas sexy pour un homme, et que même sans pleurer, je l'aurais fais rien qu'en arrivant en Italie, sérieusement, j'allais pas te laisser te présenter à ta mère de cette façon... Tu es un bel homme, et les bels hommes sont dans de beaux vêtements. J'appellerais mon couturier pour qu'il t'en prépares quelques uns, et on filera directement vers Turin. »

Je lui souris et lâchant ses mains, je glissais les miennes vers sa taille pour retirer la ceinture de son fauteuil, je pris sa canne pour la mettre dans ses mains, pour le tirer de sa chaise, me retrouvant face à lui, sentant la chaleur de son souffle frappé ma peau. Je rougis un peu par ce contact si soudain, je glissais juste ma main autour de son ventre pour la poser sur sa hanche.
    TEO « Allez, viens. Il vaut mieux passer un bon moment, que je continues à te faire pleurer. »

Je glissais ma main dans la sienne, entremêlant nos doigts pour l'attirer vers le fond de l'appareil, vers l'endroit où j'avais prévu de passer la nuit à ses cotés. Je refermais la porte derrière nous, j'avais un peu froid, mais j'allais être malade si je restais en blouson. Je le jetais dans un coin de la cabine, me retrouvant alors en robe, je me mis à genoux sur le lit, jetant à présent mes chaussures. Je me glissais sous la couverture, c'est déjà un peu mieux que l'atmosphère que je trouvais glacé à cause de la climatisation qui ne marchait pas.
    TEO « Allez, rejoins moi! Je crois que tu m'avais promis de me servir de radiateur, et je vais attraper un rhume si tu viens pas à mon secours. J'ai trop froid... »

J'étais allongée dans le lit, confortablement posée, je le regardais en faisant une petite mine boudeuse. J'avais envie qu'il me prennes dans ses bras, qu'il se remette de ces émotions et qu'il panse la douleur des pensées que m'apportait ma mère.

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Au fur et à mesure que le jeune italien avançait dans son monologue, et qu'il continuait à pleurer, la belle Teodora semblait de plus en plus touchée par ce qui se disait, si bien que, à un moment, elle se détacha pour aller le rejoindre, se mettant à genoux devant lui, mettant ses mains dans les siennes, en le regardant avec tendresse avant de lui essuyer ses larmes d'un doigt fin et élégant, tout en disant quelques mots. Elle lui demandait d'arrêter de pleurer. Sa mère ne voudrait pas le voir ainsi, et, cela n'avait rien de sexy pour un homme. Il en rit. Elle rajouta que, même s'il ne lui avait pas demandé, elle ne l'aurait pas laissé se présenter comme ça devant sa mère. La belle avoua qu'il était bel homme, ce qui le fit sourire, et que de tels hommes devaient porter de beaux habits. Ainsi, elle appelerait son couturier pour lui faire des vêtements. De nouvelles larmes coulèrent le long de sa joue, le jeune homme lui attrapa la tête avec tendresse pour l'emmener jusqu'à lui, pour lui offrir un doux baiser sur le front.

"M ... Merci. Tu ... Tu es un ange."

La jeune femme lui offrit un doux sourire, ce qui le fit lui aussi sourire, puis, elle retira lui retira sa ceinture avant de mettre sa canne dans les mains, puis, la jeune femme glissa sa main dans son dos pour le tirer vers lui, lui disant qu'il vallait mieux s'amuser que rester là à pleurer. Que voulais-t'elle dire par s'amuser? Lorenzo avait bien des idées, mais aucune ne collait à la jeune femme qui était face à lui. Elle le prit alors par la main, et l'emmena dans la chambre, avant de commencer à se déshabiller. Dieu qu'elle était belle! Lorenzo resta là, bouche bée, à la regarder faire. Aphrodite elle-même devait en être jalouse. Elle se glissa alors sous les couvertures, le regardant d'une mine boudeuse, lui demandant de la rejoindre, et de tenir sa parole d'homme-radiateur.

Il sourit avec tendresse, laissant tomber sa canne au sol, pour se mettre en caleçon, avant de se glisser sous les couvertures, pour la prendre dans ses bras. Son odeur était exquise. La proximité était ennivrante. Un bras joignait les deux épaules de la jeune femme, tandis que le second lui, la maintenait par la taille. Au bout d'un moment, ses mains commencèrent à bouger, descendre dangereusement, jusqu'à toucher un sein. A ce moment là, il se retira en vitesse, et sortit du lit. Si l'on y regardait bien, cette excitation avait provoqué un afflux sanguin non désiré. Lorenzo finit par s'asseoir sur le lit, mettant son visage dans ses mains.
"Je suis désolé ... Cette proximité, cette chaleur sous les couettes ... Je ... Je ne peux pas m'en empêcher. Dormir ensemble n'est pas une bonne idée je pense."
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J'avais préféré passer un moment intime, chaleureux avec lui que de le voir pleurer de cette façon, je ne supportais pas voir quelqu'un pleurer, j'étais nulle pour réconforter les gens. Je m'étais glissés sous les draps, je l'attendais sagement. J'avais envie d'un peu de tendresse, juste être dans ses bras me réconforterait surement. Je l'attendais, j'admirais le corps de mon ami, jusque là inconnu pour moi, je le regardais se déshabiller, à présent en caleçon. Je frissonnais lorsque je le sentis contre moi, dans ses bras. Je fermais les yeux sous le plaisir de ce réconfort, ça me faisait du bien de le sentir contre moi. J'étais bien à présent, il était là pour moi, et je ne pouvais rêver mieux. Seulement je sentis sa main descendre sur ma poitrine, je fus prise d'un petit frisson lorsqu'il touchait ma chair. A vrai dire, je ne lui en voulais pas de l'avoir fait, mais vraiment pas du tout. Il se retirait du lit, soudainement, brusquement, sans me laisser le garder contre moi. J'avais froid, je ne voulais pas qu'il s'écarte pour un geste. Je le regardais, il s'excusait d'avoir eu envie de me caresser, voir même je le soupçonnais d'avoir envie de bien plus que ça. Je soupirais, me relevant pour m'approcher de lui, entourant ses épaules avec mes bras. Je posais ma joue contre la sienne, le lovant dans mes bras.

    TEO « hey Lorenzo... ce n'est pas grave, tu sais. Ça ne me dérange pas que... tu ai eu envie de moi. Je... c'est plutôt flatteur tu sais... »


A vrai dire, moi je me croyais moche, je croyais que je n'intéressais pas vraiment les garçons, que j'étais trop banal pour eux. Sentir Lorenzo me désirer, ça me faisait plaisir, je me sentais belle, ça me rassurait. Je caressais son bras quelques instants, avant de me reculer un pour faire une pression en arrière sur ses épaules pour le faire allonger sur le lit. A genoux sur le lit, je pris ses lèvres pour l'embrasser rapidement, juste un petit baiser déposé sur ses lèvres avant d'aller jusqu'à son cou, puis son torse que je m'amusais à torturer de mes lèvres, je continuais à avancer, je m'amusais à le taquiner, à taquiner cette peau que je trouvais un peu froide à être rester en dehors de la couette. Une fois que j'eus approché la barrière de sa peau et son caleçon, je me redressais, m'allongeait à ses cotés, dans le même sens que lui, posant ma tête sur son épaule, j'attrapais la couette pour la mettre au dessus de nous. On était à présent dans le noir, tous les deux, et même presque nu, lui plus que moi; je portais encore ma robe et mes sous vêtement. Alors que je pouvais profiter de la semi nudité de mon ami pour caresser son ventre.

    TEO « Lorenzo... »


je posais ma main sur sa joue, la caressant avant de m'approcher pour déposer mes lèvres sur les siennes mais cette fois, pour l'embrasser vraiment, pour glisser ma langue sur la sienne, pour prendre sa lèvre inférieure entre les miennes pour le taquiner. J'aurais aimé qu'il me câline, qu'il me prennes dans ses bras. Je voulais du réconfort, c'est tout. Je rompais notre baiser, déposant un autre baiser sur sa joue avant de reprendre parole.

    TEO « Allez, viens, tu dois remplir ton devoir de radiateur humain. J'ai les pieds en dehors de la couette, fais froid ! » dis-je en riant.


Je quittais ses bras pour me mettre dans le bon sens du lit, attendant qu'il revienne avec moi, sentir l'amitié entre nous se renforcer, comme depuis des mois. J'avais envie de retenter une aventure, de tenter le diable, de jouer avec le feu. J'avais envie de glisser ma main entre mes cuisses pour retirer mon sous-vêtement, lui montrer pour lui dire que je voulais faire l'amour avec lui. Après tout, je n'étais plus vierge, je ne pouvais plus avoir peur comme avant, et je savais qu'au pire, il saurait me mettre en confiance... et je le fis, je l'enlevais, la jetant contre le mur pour finalement tomber sur le sol et rejoindre mes chaussures. Je le regardais fixement, espérant qu'il m'offre un peu de son amitié.
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