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C'est le 15 juin 1993 à Paris, France, que les membres de la famille Klein m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Honorine Evy. Je suis célibataire et fière de l'être -ou pas- et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière. Je viens d'une classe sociale aisée. Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de médecine et psychologie depuis 2 (la première année étant en France) ans et travaille en parallèle de mes études en tant que mannequin débutante (facultatif). Et pour terminer, je voudrais intégrer les eliot ou les cabot.
Pourquoi ELIOT ou CABOT ?
ELIOT HOUSE.
Pourquoi les Eliot ? Et bien tout simplement parce que l'argent pour moi c'est presque vitale, j'ai toujours vécu dans un milieu aisé à vrai dire mon père ayant toujours eu des postes haut placés en politique, je ne vous cache donc pas le fait que le luxe et moi ça fait un. Je suis une grande dépensière, cependant je sais vous ne me trouverez presque jamais voire même jamais dans les magasins bon marché, à part pour le supermarché mais bon l'apparition de supermarché gold n'a pas encore eu lieu malheureusement. On dit que les Eliots sont les élites n'est-ce pas? Tout comme moi.
CABOT HOUSE.
Les Cabots pourraient aussi très bien me correspondre, je suis une fille qui n'a rien à se reprocher sans vouloir me vanter bien évidemment mais il faut bien l'avouer la nature m'a bien gâtée, j'aime prendre soin de moi vous ne me verrez jamais en mode jogging visage défoncée, cheveux en bataille, à moins que ce soit la fin du monde et encore ! J'aime être présentable tout simplement, toujours à la pointe de la mode mon dressing n'a rien à envier aux autres. Et puis j'ai pu remarquer que les filles faisant parti de cette confrérie sont de grandes séductrices pour la plupart, ça tombe bien puisque la séduction et moi on est meilleur ami depuis un bon moment maintenant.
Pourquoi les Eliot ? Et bien tout simplement parce que l'argent pour moi c'est presque vitale, j'ai toujours vécu dans un milieu aisé à vrai dire mon père ayant toujours eu des postes haut placés en politique, je ne vous cache donc pas le fait que le luxe et moi ça fait un. Je suis une grande dépensière, cependant je sais vous ne me trouverez presque jamais voire même jamais dans les magasins bon marché, à part pour le supermarché mais bon l'apparition de supermarché gold n'a pas encore eu lieu malheureusement. On dit que les Eliots sont les élites n'est-ce pas? Tout comme moi.
CABOT HOUSE.
Les Cabots pourraient aussi très bien me correspondre, je suis une fille qui n'a rien à se reprocher sans vouloir me vanter bien évidemment mais il faut bien l'avouer la nature m'a bien gâtée, j'aime prendre soin de moi vous ne me verrez jamais en mode jogging visage défoncée, cheveux en bataille, à moins que ce soit la fin du monde et encore ! J'aime être présentable tout simplement, toujours à la pointe de la mode mon dressing n'a rien à envier aux autres. Et puis j'ai pu remarquer que les filles faisant parti de cette confrérie sont de grandes séductrices pour la plupart, ça tombe bien puisque la séduction et moi on est meilleur ami depuis un bon moment maintenant.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case)
APRÈS LA BOMBE
A vrai dire lorsqu'il y a eu la bombe à Harvard je n'étais pas trop concerné, je ne connaissais pas encore l'existence de mes frères dans cette dernière, je n'étais donc pas à Harvard et puis cela m'étonnerait que pendant mon coma j'ai pu m'informer des actualité.
EXTRAVERSION - INTROVERSION
SENSATION - INTUITION
| PENSÉE - SENTIMENT
ORGANISATION - ADAPTATION
|
APRÈS LA BOMBE
A vrai dire lorsqu'il y a eu la bombe à Harvard je n'étais pas trop concerné, je ne connaissais pas encore l'existence de mes frères dans cette dernière, je n'étais donc pas à Harvard et puis cela m'étonnerait que pendant mon coma j'ai pu m'informer des actualité.
Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle blue wings et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à moi même ça fait loooongtemps que je le connait . Il est tout simplement MA-GNI-FI-QUE alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Carolina Sanchez comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par PVTTI SMITH. Je fais environ 15-70 lignes par RP et mon personnage est un scénario crée par Jorden Alexandre Klein.
Mot de la fin ? ▲ Bloup :explosion: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)
Mot de la fin ? ▲ Bloup :explosion: .
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)
Il était une fois...
« Je suis un être sans réelle importance.
─ Dis pas ça, Hono. T'es un peu comme un soleil dans ma vie.
─ Mais toi, tu seras pas toujours là. Toi t'es quelqu'un, comme ça. C'est mal, mais c'est la vérité. Toi tu vas partir. Tu vas faire tes études à l'étranger. Tu m'oublieras sûrement avec une autre.
─ Pourquoi tu veux pas juste profiter des instants présents? Tu vois, comme on est, là. Tu es triste et je te réconforte. C'est pas tout ce qui compte?
─ Tu me dis ça en m'annonçant que tu partiras sûrement au Brésil faire tes études après le bac. Profiter des instants présents, Adrien. Je ne le peux pas.
─ Prends l'enveloppe posée sur la commode, et lis. Lis jusqu'au bout, sans jamais détourner les yeux. Je ne partirais peut-être pas maintenant ou peut-être pas du tout mais j'ai envie que tu saches sincèrement ce que tu es pour moi. »
Dans l'attente d'autres paroles, je finis par me lever, attrapant au passage la lettre sur la commode. Je me demandais de quoi il parlait, impatiente de rentrer chez moi, de l'ouvrir, de me saisir de ses sentiments, de plonger dans ses pensées, il était mon premier amour, le seul à qui j'avais pu ouvrir mon coeur.
« On parle trop peu de certaines personnes, parce qu'on souhaite peut-être qu'elles s'en aillent, ou qu'on souhaite trop qu'elles restent pour les dévoiler à la face du monde. J'ai une petite, un rayon de soleil. De celles qui peuvent chasser les idées noires avec leurs sourires rayonnants, de celles dont les pleurs ne sont que la mélodie de ses sentiments. On l'appelle Honorine Evy Klein, dans ce bas monde. C'est une française au père américain certes, mais une fille de France. Le genre qui parle français avec un petit accent bourgeois et dont les manières raffinées séduiraient le pire des charretiers. Elle est née ici, elle a vécu ici, elle a souffert ici, elle a rit ici. Dans cette ville, cette capitale, dont elle a arpenté chaque rue, plusieurs fois au moins. Avec ses beaux cheveux dans le vent et ses yeux bleus qui captivent l'horizon. Parce qu'elle est belle Honorine. Un peu trop parfois. Elle rayonne et elle fait des journées grises quelque chose de beau. Sa beauté, elle la tient sûrement de sa mère. Elle grandissait, encore, et encore, ayant les meilleurs résultats possibles, cherchant la dignité de sa famille. Moi, je l'admirais, son courage. Et son ambition, qui se lisait dans ses yeux azurés. Avec ses traits fins et ses lèvres pincées. Son regard droit et sa peau de poupée. Au lycée, c'était celle qu'on regardait de loin. Trop attirante, intimidante. Avec ses manières posées et ses notes excellentes, elle était devenue une idole, une idylle. Celle qu'on touche avec les yeux pour ne pas la heurter. Dieu sait pourtant que Hono, elle adorait parler. Intarissable bavarde, pour pas un sou elle ne voudrait s'arrêter. Et elle en avait, des choses à dire. Parce qu'elle était cultivée, intelligente, curieuse, que tout l'intéressait, tout lui faisait de l'oeil. Et puis un jour, je lui ai dit. Que je m'en allait, bientôt. Alors elle, elle est heureuse pour moi, bien sûr, elle le serai toujours, même si au fond je sais qu'elle prends cela comme un abandon. Parce que pour moi, elle restera toujours mon premier coup de foudre et réciproquement. J'aimais sa personnalité, vive, intéressée. Son physique de déesse, et sa simplicité. Son humour hésitant, son humeur lunatique. Ses petites manières, son accent dramatique. Elle est comme ça, Honorine Evy Klein. Un peu de l'est, et de l'ouest aussi. C'est un mélange de vingt diamants d'orfèvres. Je l'aimais drôlement, et jamais de la même façon. Et je n'aurai jamais l'occasion de le lui dire, parce que sûrement trop con pour avouer mes sentiments en face. Je veillerai à ce qu'il ne lui arrive jamais rien, parce qu'elle est ma perle, mon petit secret à moi. Personne ne peut lui faire du mal, personne ne peut la heurter. C'est une âme complexe, mais magnifiquement ordonnée. »
Et je relis cette lettre, une fois encore, une autre pour la route. Et les mots me manquent pour exprimer ce que je ressens. Parce que j'aurai dû garder cette vie si paisible que j'entretenais à Paris. Que rien ne va maintenant. Un jour après avoir lu cette lettre, j'étais allé voir Adrien afin de lui montrer que tout ce qu'il avait dit dans cette lettre était réciproque, comme une envie de partager avec lui ces derniers moments paisibles ensemble avant son départ. Mais rien ne se passe jamais comme prévu dans la vie, tout peut arriver, n'importe où, n'importe quand et surtout venant de n'importe qui, n'importe qui pouvant s'avérer être une personne ayant le même sang que vous coulant dans ses veines. Les jours paisibles que je rêvais de passé avec Adrien partirent en flambeaux tout comme ma vie qui ne tenait à ce moment plus que sur un fil. Un coma de deux ans, deux longues années où ma famille trop occupée à espérer ma survie ne venait que rarement, deux longues années où un inconnu venait sans cesse me voir souhaitant de tout son coeur mon rétablissement, deux longues années où j'étais restés inactives plongés dans le sombre complet. J'avais raté toutes ces choses que les jeunes adorent faire, notamment savourer leur été après les résultats du baccalauréat, j'avais passer mon bac à peine 1 semaine avant de sombrer dans le coma, et je l'avais eu mais trop inactive pour m'en rendre compte ou bien faire la moindre réaction. Vous me direz sûrement que l'essentiel est de survivre à un coma, mais les gens qui disaient cela ne voyaient pas ce qu'il y avait derrière un réveil de coma, j'avais perdu 2 ans, j'avais donc mis des mois et des mois avant de pouvoir me considérer à nouveau comme une personne normale. C'est comme ci j'avais été en pause pendant 2 ans sans me soucier de la vie qui m'entouré. Adrien était parti à Sao Paulo continuer ses études me laissant alors uniquement sa lettre. A mon réveil j'avais dû ré-apprendre la vie, et cette vie je ne la voyais plus de la même façon. J'avais changé, oui, j'avais changé. Le peu de distance qui m'avait séparé de la mort m'avait fait réalisé que la vie était un cadeau précieux, un cadeau que nous devions apprécier à sa juste valeur, une vie qui méritait d'être vécue comme il se doit et savouré. Je n'étais plus la même Hono', je n'étais plus la Hono' qui passait sa vie à s'occuper de ses études, la Hono' qui refusait toute approche de la gente masculine, la Hono' qui préférait passer ses soirées à réviser plutôt que d'aller s'amuser. J'étais la nouvelle Hono', celle qui croquait la vie à pleine dents sans pour autant se rapprocher à nouveau de la mort. Mais rien n'allait encore une fois. J'apprenais quelques temps après ma survie que Arthur n'était pas le seul frère que j'avais, je n'avais pas uniquement cet ordure en tant que frères, voila que je me retrouvais avec deux autres frères, des jumeaux apparemment. Je pouvais dire au revoir à Paris et bonjour à Harvard. Je me devais de dévoiler mon existence à Jorden et Charly, même si pour cela je me devais de suivre Arthur à Harvard, peut importe.
─ Dis pas ça, Hono. T'es un peu comme un soleil dans ma vie.
─ Mais toi, tu seras pas toujours là. Toi t'es quelqu'un, comme ça. C'est mal, mais c'est la vérité. Toi tu vas partir. Tu vas faire tes études à l'étranger. Tu m'oublieras sûrement avec une autre.
─ Pourquoi tu veux pas juste profiter des instants présents? Tu vois, comme on est, là. Tu es triste et je te réconforte. C'est pas tout ce qui compte?
─ Tu me dis ça en m'annonçant que tu partiras sûrement au Brésil faire tes études après le bac. Profiter des instants présents, Adrien. Je ne le peux pas.
─ Prends l'enveloppe posée sur la commode, et lis. Lis jusqu'au bout, sans jamais détourner les yeux. Je ne partirais peut-être pas maintenant ou peut-être pas du tout mais j'ai envie que tu saches sincèrement ce que tu es pour moi. »
Dans l'attente d'autres paroles, je finis par me lever, attrapant au passage la lettre sur la commode. Je me demandais de quoi il parlait, impatiente de rentrer chez moi, de l'ouvrir, de me saisir de ses sentiments, de plonger dans ses pensées, il était mon premier amour, le seul à qui j'avais pu ouvrir mon coeur.
« On parle trop peu de certaines personnes, parce qu'on souhaite peut-être qu'elles s'en aillent, ou qu'on souhaite trop qu'elles restent pour les dévoiler à la face du monde. J'ai une petite, un rayon de soleil. De celles qui peuvent chasser les idées noires avec leurs sourires rayonnants, de celles dont les pleurs ne sont que la mélodie de ses sentiments. On l'appelle Honorine Evy Klein, dans ce bas monde. C'est une française au père américain certes, mais une fille de France. Le genre qui parle français avec un petit accent bourgeois et dont les manières raffinées séduiraient le pire des charretiers. Elle est née ici, elle a vécu ici, elle a souffert ici, elle a rit ici. Dans cette ville, cette capitale, dont elle a arpenté chaque rue, plusieurs fois au moins. Avec ses beaux cheveux dans le vent et ses yeux bleus qui captivent l'horizon. Parce qu'elle est belle Honorine. Un peu trop parfois. Elle rayonne et elle fait des journées grises quelque chose de beau. Sa beauté, elle la tient sûrement de sa mère. Elle grandissait, encore, et encore, ayant les meilleurs résultats possibles, cherchant la dignité de sa famille. Moi, je l'admirais, son courage. Et son ambition, qui se lisait dans ses yeux azurés. Avec ses traits fins et ses lèvres pincées. Son regard droit et sa peau de poupée. Au lycée, c'était celle qu'on regardait de loin. Trop attirante, intimidante. Avec ses manières posées et ses notes excellentes, elle était devenue une idole, une idylle. Celle qu'on touche avec les yeux pour ne pas la heurter. Dieu sait pourtant que Hono, elle adorait parler. Intarissable bavarde, pour pas un sou elle ne voudrait s'arrêter. Et elle en avait, des choses à dire. Parce qu'elle était cultivée, intelligente, curieuse, que tout l'intéressait, tout lui faisait de l'oeil. Et puis un jour, je lui ai dit. Que je m'en allait, bientôt. Alors elle, elle est heureuse pour moi, bien sûr, elle le serai toujours, même si au fond je sais qu'elle prends cela comme un abandon. Parce que pour moi, elle restera toujours mon premier coup de foudre et réciproquement. J'aimais sa personnalité, vive, intéressée. Son physique de déesse, et sa simplicité. Son humour hésitant, son humeur lunatique. Ses petites manières, son accent dramatique. Elle est comme ça, Honorine Evy Klein. Un peu de l'est, et de l'ouest aussi. C'est un mélange de vingt diamants d'orfèvres. Je l'aimais drôlement, et jamais de la même façon. Et je n'aurai jamais l'occasion de le lui dire, parce que sûrement trop con pour avouer mes sentiments en face. Je veillerai à ce qu'il ne lui arrive jamais rien, parce qu'elle est ma perle, mon petit secret à moi. Personne ne peut lui faire du mal, personne ne peut la heurter. C'est une âme complexe, mais magnifiquement ordonnée. »
Et je relis cette lettre, une fois encore, une autre pour la route. Et les mots me manquent pour exprimer ce que je ressens. Parce que j'aurai dû garder cette vie si paisible que j'entretenais à Paris. Que rien ne va maintenant. Un jour après avoir lu cette lettre, j'étais allé voir Adrien afin de lui montrer que tout ce qu'il avait dit dans cette lettre était réciproque, comme une envie de partager avec lui ces derniers moments paisibles ensemble avant son départ. Mais rien ne se passe jamais comme prévu dans la vie, tout peut arriver, n'importe où, n'importe quand et surtout venant de n'importe qui, n'importe qui pouvant s'avérer être une personne ayant le même sang que vous coulant dans ses veines. Les jours paisibles que je rêvais de passé avec Adrien partirent en flambeaux tout comme ma vie qui ne tenait à ce moment plus que sur un fil. Un coma de deux ans, deux longues années où ma famille trop occupée à espérer ma survie ne venait que rarement, deux longues années où un inconnu venait sans cesse me voir souhaitant de tout son coeur mon rétablissement, deux longues années où j'étais restés inactives plongés dans le sombre complet. J'avais raté toutes ces choses que les jeunes adorent faire, notamment savourer leur été après les résultats du baccalauréat, j'avais passer mon bac à peine 1 semaine avant de sombrer dans le coma, et je l'avais eu mais trop inactive pour m'en rendre compte ou bien faire la moindre réaction. Vous me direz sûrement que l'essentiel est de survivre à un coma, mais les gens qui disaient cela ne voyaient pas ce qu'il y avait derrière un réveil de coma, j'avais perdu 2 ans, j'avais donc mis des mois et des mois avant de pouvoir me considérer à nouveau comme une personne normale. C'est comme ci j'avais été en pause pendant 2 ans sans me soucier de la vie qui m'entouré. Adrien était parti à Sao Paulo continuer ses études me laissant alors uniquement sa lettre. A mon réveil j'avais dû ré-apprendre la vie, et cette vie je ne la voyais plus de la même façon. J'avais changé, oui, j'avais changé. Le peu de distance qui m'avait séparé de la mort m'avait fait réalisé que la vie était un cadeau précieux, un cadeau que nous devions apprécier à sa juste valeur, une vie qui méritait d'être vécue comme il se doit et savouré. Je n'étais plus la même Hono', je n'étais plus la Hono' qui passait sa vie à s'occuper de ses études, la Hono' qui refusait toute approche de la gente masculine, la Hono' qui préférait passer ses soirées à réviser plutôt que d'aller s'amuser. J'étais la nouvelle Hono', celle qui croquait la vie à pleine dents sans pour autant se rapprocher à nouveau de la mort. Mais rien n'allait encore une fois. J'apprenais quelques temps après ma survie que Arthur n'était pas le seul frère que j'avais, je n'avais pas uniquement cet ordure en tant que frères, voila que je me retrouvais avec deux autres frères, des jumeaux apparemment. Je pouvais dire au revoir à Paris et bonjour à Harvard. Je me devais de dévoiler mon existence à Jorden et Charly, même si pour cela je me devais de suivre Arthur à Harvard, peut importe.
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