Anzhelaï ❥ Les Khalski enfin réunis.

Anzhelina & Nikolaï

Je hais les vacances, je hais le Summer Camp. Lorsque ça va mieux avec Sharon, voilà que son crétin de meilleur ami me jette la tête la première contre un mur, me défigurant par la même occasion. Heureusement que Zalïa était là, sans mon ex pour prendre soin de moi ce jour-là, je me serais certainement évanouie en voulant rentrer. Tout est tellement compliqué en ce moment, j'aime Sharon, mais je suis toujours aussi fou amoureux de mon ex. Aujourd'hui je voulais donc rester au calme dans ma chambre, allongé sur mon lit j'essayais d'envoyer un énième sms à ma mère, mais bizarrement ces derniers jours elle ne répond plus à mes messages, je ne comprends pas, mais j'insistais jusqu'à ce que j'ai une réponse. Plongé dans mes pensées, j'entendis quelqu'un frapper à la porte. Je soupirais, qui peut bien me déranger ? Sans plus attendre je sortais de mon lit en râlant, le visage toujours couvert de bleus. Et en ouvrant la porte ce fut un choc, tellement que je n'arrivais même pas à aligner deux mots. C'était la plus belle, la plus merveilleuse, la plus incroyable des femmes, ma mère avec ses valises. Qu'est-ce qu'elle fait ici ? J'étais sous le choc et il m'a fallu quelques longues secondes avant de pouvoir enfin parler, un large sourire comme rarement j'en ai eu ces derniers jours apparut sur mes lèvres. Maman ?! Qu'est-ce que tu fais là ? Disais-je totalement surpris de voir la plus merveilleuse des femmes devant la porte de ma cabine. J'étais tellement euphorique de la voir que je ne pensais même pas à la prendre dans mes bras ou l'embrasser, non je restais debout face à elle, la regardant toujours aussi surpris.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH

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Nikolaï & Anzhelina
les Khalski enfin réunis
En finir avec ma vie passée à Kiev n’a pas été de tout repos. Une véritable déflagration.
Pour être honnête, j’y suis un peu pour quelque chose… En une semaine, j’ai vendu ma voiture, quitté mon appartement et un petit plan d’un soir sans intérêt. Et même si j’ai rassuré mes parents, super protecteurs, en leur assurant que je savais ce que je faisais, je suis arrivée à l’aéroport seule et je n’ai contacté personne. Je souhaitais que ma venue soit une surprise pour mon fils et mon ex. Je savais que Nikolaï était au Summer Camp pour l’été et je voulais à tout prix le rejoindre. Je pris donc un taxi en direction de ma progéniture. En vingt minutes seulement, j’étais arrivée devant la porte de son logement. Mes valises en mains, je frappais à la porte. J’aperçus mon fils, le plus beau du monde. Il n’avait pas changé, toujours aussi charmant avec son visage doux et son regard mystérieux. Déjà un an qu’on ne s’était pas vus. Le temps passait trop vite… Je devais vite y remédier. J’étais si heureuse de le voir. « Tu n’embrasses pas ta mère ? » Ni une, ni deux ; je m’enlaçai dans ses bras et lui sauta au coup, comme avant lorsqu’il était avec moi. J’étais tellement émue de le voir que je me suis mise à verser quelques larmes de bonheur, de joie. Il était dans mes bras, mon bébé, mon fils adoré. « Tu m’as atrocement manqué ! Plus jamais loin de l’autre, promis ? » Je l’aimais à en mourir. Il était contre moi et le temps s’était arrêté. J'en faisais même perdre mes valises. Je lui glissais dans l'oreille ces quelques mots... « Je t'aime mon fils »

BY .TITANIUMWAY

Anzhelina & Nikolaï

Ma mère, c'est ma raison de vivre. Sans elle et sans son soutien lors de ma période autodestructrice, je me serais sans l'ombre d'un doute suicidé. Mais non, elle a toujours été là pour moi et parfois je m'en veux d'être un si mauvais fils. Par contre aujourd'hui, toute ma culpabilité disparaissait, étant bien trop heureux de retrouver ma mère qui vint se jeter dans mes bras. Je déposais un baiser sur sa joue, avant de la serrer très fort dans mes bras, n'ayant aucune envie de la lâcher. Pour ça faudrait que je te fasse une place dans ma valise pour que tu puisses venir avec moi à Cambridge. Disais-je en souriant. Car dans ma tête la seule raison de sa visite si soudaine, c'est pour prendre simplement quelques jours de vacances à mes côtés, or si ça ne tenait qu'à moi, elle viendrait avec moi à Harvard, malheureusement sa vie est à Kiev, loin de moi. En la serrant dans mes bras, elle me fit savoir qu'elle m'aimait, un amour bien évidemment réciproque, car aucune femme n'aura une place aussi importante que la sienne dans mon cœur. Moi aussi je t'aime ma'. Je caressais doucement son dos, sentant quelques trémolos dans sa voix due à l'émotion et si elle se met à pleurer, je crois que j'en ferais autant. Finalement je m'écartais d'elle pour la regarder, mon Dieu qu'elle m'a manqué durant cette année. Tu restes ici jusqu'à la fin du Summer Camp ou du reste simplement deux trois jours ? Lui demandais-je en espérant qu'elle reste le plus longtemps possible, bien qu'au fond j'étais un peu honteux de lui montrer mon visage rempli de bleus.

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