LAURITZ R.X. RUOSTE ► Valentin Marceau

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle etoly et j'ai 21 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à autre.  Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Éléanore du Bailli (Students). J'utilise Valentin Marceau comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par crédits. Je fais environ 100 à 300 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲ Merci d'avoir accepté ma demande =)
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)

L’histoire de Lauritz commence au début de l’année 1992, en plein cœur de l’hiver. Il voit le jour dans la capitale de son pays : Helsinki en Finlande. Son père, plus tout à fait jeune est content de voir naitre un héritier capable de reprendre son entreprise, c’est d’ailleurs pour ça qu’il avait épousé une femme assez jeune. Cette dernière ne travaillant pas elle a donné à Lauritz tout l’amour qu’elle avait le gâtant et lui ouvrant le monde sans pour autant que son éducation de futur homme du monde ne soit le moins du monde laissé pour compte.  

Enfant il ne va pas à l’école, non ce serait d’un manque de goût, il a donc un précepteur qui vient chaque jour lui donner des leçons, aussi bien théorique pour apprendre à lire, écrire et compter mais également tout ce qu’il doit savoir pour se tenir en société, maintiens, savoir-vivre, courtoisie, tradition. Lauritz apprend, comprend, n’est pas toujours d’accord, fait comme tout enfant normal des bêtises.

Il entre dans l’adolescence, il n’est pas bien grand mais sa mère ne cesse de lui dire qu’il est beau, son père le trouve assez mature et lui permet de rejoindre un établissement scolaire, privé et de grande renommée bien sûr. Lauritz y découvre la vie en communauté, se fait des amis, découvre que l’amitié est une chose subjective que les gens sont dans le font profiteur, et il s’y adapte, ne se liant que quand il peut y trouver un avantage, son père s’enorgueillit de ce comportement, se disant que c’est le début d’une probable grande carrière.

De son manque de contact sociaux durant sa jeune enfance, Lauritz garde un souvenir flou, il a été attiré par la musique dès cette époque et montre un talent surprenant pour tout instrument à corde, son préféré restant sa guitare, un des rares cadeaux lui venant de son père, ce qui lui donne au yeux du jeune homme une valeur toute particulière.

A 18 ans Lauritz annonce qu’il veut partir à l’étranger, pour l’Amérique et ses grandes écoles de renommées mondiales. Il est bon élève et envoi de nombreux dossier, il veut reprendre l’entreprise de son père et sait que la gestion est tout un art, il veut donc l’apprendre. Les réponses reviennent, certaines négatives, mais d’autres positives, le choix est ardu mais au final le brun décide que son avenir s’écrira à Harvard, ou un cursus de comptabilité et d’économie l’intéresse au plus haut point.

Il vient d’achever sa première année et sait qu’il a fait le bon choix, il sait que son avenir sera celui qu’il choisira et cet avenir commence ici, dans cette grande et magnifique école qu’est Harvard.