Invité
est en ligne
Invité
Arya & William
Can you tell me what the hell happens to you ?
16 juillet, début d'après-midi.
Il était encore tôt lorsque William se leva, tout juste sept heures trente. Il n’arrivait plus à dormir, la chaleur était étouffante pour lui, même si tôt le matin. Il fallait qu’il sorte prendre l’air, mais avant, il se doucha, s’habilla. Pour le petit-déjeuner, il trouverait son bonheur son île, autant en profiter un maximum non ? A moitié ensuqué, il posa les pieds sur l’île et marcha sans but précis. Il acheta des Mallorcas, les grignotant dans la rue. Le monde commençait à s’amasser, que se passait-il ? Rien de méchant, tôt le matin, les commerçants sortaient leurs marchandises sur le marché. Le Kane décida d’y faire y tour, il n’était que huit heures passée. Il y avait des plats, des épices, du riz, des textiles, des vêtements, tout ou presque se trouvait ici. C’est cependant un stand bien particulier qui retint son attention, des dizaines de vieux livres y étaient disposés. Ils avaient pour la plupart une couverture en cuir craquelée et l’anglais pouvait en deviner le parfum rien qu’en les observant. Bien qu’il n’ait du emmené qu’un seul & unique livre sur le bateau, il pouvait bien en ramener un autre, non ? Non ? Bien. De toute façon, le livre qu’il venait d’acheter ne serait pas pour lui mais pour Arya. Il lui envoya un SMS, lui donnant rendez-vous à l’orée de la forêt. Pourquoi là-bas ? Parce que c’était calme, loin de l’agitation qui règnerait en ville. Il lui donna donc rendez-vous en tout début d’après-midi, il se rendit sur place lorsque l’heure fut venue puis attendit. A peine enfoncé dans la forêt, le livre dans son sac, il patientait. Enfin, il vu une fine silhouette se découper parmi tout ce vert ; Arya. Il lui fit un signe de la main et lorsqu’elle fut près de lui, lui demanda ; « Tu as trouvé facilement ? On a déjà vu plus accessible comme chez soi, mais j’aime bien, les voisins sont plutôt cools. » Il leva son visage vers une épaisse branche sur laquelle se tenait un oiseau coloré, qui s’envola peu de temps après. Il haussa les épaules, ajoutant ; « Peut-être un peu timide. » Oui, il était de bonne humeur aujourd’hui.
Il était encore tôt lorsque William se leva, tout juste sept heures trente. Il n’arrivait plus à dormir, la chaleur était étouffante pour lui, même si tôt le matin. Il fallait qu’il sorte prendre l’air, mais avant, il se doucha, s’habilla. Pour le petit-déjeuner, il trouverait son bonheur son île, autant en profiter un maximum non ? A moitié ensuqué, il posa les pieds sur l’île et marcha sans but précis. Il acheta des Mallorcas, les grignotant dans la rue. Le monde commençait à s’amasser, que se passait-il ? Rien de méchant, tôt le matin, les commerçants sortaient leurs marchandises sur le marché. Le Kane décida d’y faire y tour, il n’était que huit heures passée. Il y avait des plats, des épices, du riz, des textiles, des vêtements, tout ou presque se trouvait ici. C’est cependant un stand bien particulier qui retint son attention, des dizaines de vieux livres y étaient disposés. Ils avaient pour la plupart une couverture en cuir craquelée et l’anglais pouvait en deviner le parfum rien qu’en les observant. Bien qu’il n’ait du emmené qu’un seul & unique livre sur le bateau, il pouvait bien en ramener un autre, non ? Non ? Bien. De toute façon, le livre qu’il venait d’acheter ne serait pas pour lui mais pour Arya. Il lui envoya un SMS, lui donnant rendez-vous à l’orée de la forêt. Pourquoi là-bas ? Parce que c’était calme, loin de l’agitation qui règnerait en ville. Il lui donna donc rendez-vous en tout début d’après-midi, il se rendit sur place lorsque l’heure fut venue puis attendit. A peine enfoncé dans la forêt, le livre dans son sac, il patientait. Enfin, il vu une fine silhouette se découper parmi tout ce vert ; Arya. Il lui fit un signe de la main et lorsqu’elle fut près de lui, lui demanda ; « Tu as trouvé facilement ? On a déjà vu plus accessible comme chez soi, mais j’aime bien, les voisins sont plutôt cools. » Il leva son visage vers une épaisse branche sur laquelle se tenait un oiseau coloré, qui s’envola peu de temps après. Il haussa les épaules, ajoutant ; « Peut-être un peu timide. » Oui, il était de bonne humeur aujourd’hui.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
PORTO RICO JOUR 13 Mercredi 16 Juillet - début d'après-midi
Le soleil était déjà levé depuis de bonnes heures quand Arya émergea de son sommeil. Ses yeux avaient du mal à s'ouvrir et elle savait pertinemment pourquoi : la dernière Piña Colada avait sans doute était celle de trop. Avec difficultés, elle descendait de son lit superposé, la chambre était déjà vide de ses colocataires. Inutile d'aller chercher quelque chose à la "cantine", l'heure de manger était passée depuis bien longtemps. Il ne restait plus qu'à descendre du bateau à la recherche de quelque chose à manger. Après avoir pris une douche rédemptrice (enfin c'est ce qu'elle espéra) et mis les premiers vêtements qui lui tombèrent sous la main (un short large blanc et un débardeur noir), la demoiselle prenait son sac besace et se rendait sur l'île. Le temps était lourd même si la mer proche apportait une fraicheur bien nécessaire. Ses lunettes de soleil vissées sur son nez, Arya vivait avec difficulté le moment. Avant d'avoir trouvé de quoi se restaurer, elle recevait un message d'un contact bien connu : William, un de ses seuls amis à Harvard, si ce n'était l'unique personne dont elle était proche. Une invitation qu'elle ne pouvait refuser, à l'orée de la forêt. Le temps de trouver un bar, d'avaler un grand jus d'orange et une assiette de Bacalaitos Fritos, un plat local, elle se rendait à son rendez-vous. Sans trop de difficultés, elle trouvait vite son ami qui lui faisait un signe de la main. Un oiseau aux couleurs magnifiques semblait lui tenir compagnie, comme il le faisait remarquer. Arya enlevait légèrement ses lunettes de soleil pour le voir plus facilement mais même à l'ombre des arbres, le soleil lui agressait toujours les yeux. Elle les remettait vite sur son nez.C'est sympa ici c'est vrai. Et il fait quand même un peu plus frais qu'en pleine ville. Elle laissait tomber son sac par terre. Ça va toi ? Ça fait longtemps qu'on s'est pas vu. Je pourrais croire que tu me fuis depuis le début de ces vacances. Elle souriait. Ce n'était pas dans ses habitudes d'apostropher de cette façon quelqu'un, même un ami, à la première phrase.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Arya & William
Can you tell me what the hell happens to you ?
Le moins que l’on puisse dire quant à cette journée, c’est qu’elle s’annonçait spéciale. D’où sortait cette bonne humeur qui irradiait dans l’anglais ? Bonne question, mais en tout cas, il avait eu l’envie d’offrir un livre à Arya en le voyant sur un marché. Après lui avoir envoyé un message, ils se retrouvaient maintenant dans la forêt et surprise, la bonne humeur semblait contagieuse. C’est une Arya méconnaissable qui salua William, pourtant certain qu’elle n’agissait pas comme ça en temps normal. Bon, certes, lui s’était risqué à un brin d’humour, l’ambiance du Summer Camp aidant, sans doute. Cela devait également avoir déteint sur la jeune femme pour qu’elle agisse de la sorte, la Hopkins qu’il connaissait était plus calme que cela. Peut-être William se faisait-il des idées ? Décidant de passer outre, -elle aussi avait bien le droit d’être joyeuse, il lui répondit ; « Il y a pas mal de cours d’eau, par ici. » C’est vrai qu’il faisait frais, ici. Entre le dense feuillage des arbres qui filtrait la lumière & les nombreux cours d’eau, la terre était humide, fraîche, et cela se diffusait. « Moi, je vais très bien. Je veux dire, regarde où nous sommes. » Il ouvrit ses bras comme s’il supportait toute cette forêt dans ses mains, un fin sourire sur les lèvres. « Tu m’as l’air bien joyeuse, toi. » Le regard quelque peu suspicieux, il se devait de le souligner, peut-être lui cachait-elle quelque chose pour qu’elle soit si guillerette ? « Je ne sais même plus à quand remonte la dernière fois que l’on s’est vus, en effet. Je suis désolé, la fin d’année a été… Mouvementée. » Et c’est vrai, ça faisait une paye qu’il n’avait vu la jeune femme. Entre son pétage de plombs, les examens, les accidents divers & variés… Il avait été pas mal occupé. « Mais j’ai de quoi me faire pardonner. » Il tapota son sac, le lui tendant. A l’intérieur se trouvait le fameux livre sur les civilisations anciennes de l’île, un ouvrage dont le contenu ne pouvait être que plus beau encore que son aspect-même.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
PORTO RICO JOUR 13 Mercredi 16 Juillet - début d'après-midi
Arya avait l'air joyeuse d'après son ami, mais elle n'aurait pas qualifié les choses de cette manière, à son point de vue. Elle avait vécu une certaine libération depuis quelques jours, qui la rendait heureuse certes, mais qui lui apportait aussi un gros lot de questions. Si la fin d'année de William avait été mouvementés, c'était ce début de vacances qui le devenait pour la demoiselle, jour après jour ou, pour être plus vrai, nuit après nuit, et ce depuis la soirée Salsa à Cuba, une soirée mémorable. Arya n'avait plus les détails de cette nuit en tête, ayant additionné les cocktails un par un, ne sentant pas les effets de l'alcool s'installer peu à peu. Son unique souvenir au final, c'était la sensation de bonheur, de liberté, d'infini qu'elle avait ressenti sur la plage. Son ami lui tendit un sac et elle fut surprise. C'est pour moi ? Mais je ne t'ai rien apporté. Elle prit le sac et fouilla à l'intérieur. Sa main tomba sur un objet en cuir et elle reconnut tout de suite la couverture d'un livre. Elle extirpa l'objet du sac et le tourna pour le mettre dans le bon sens, dur labeur en ce début d'après-midi. Elle releva ses lunettes de soleil sur sa tête et inspecta la couverture, puis les premières pages : des lignes, des lignes, des lignes et quelques images, ce n'était pas aujourd'hui qu'elle le lirait, mais le sujet n'en était pas pour autant inintéressant au contraire, cela entrait totalement dans son cursus mineur, la sociologie. Elle le referma, soulevant au passage de la poussière émanant de celui-ci et tacha de remercier son ami. Je ne sais vraiment pas comment te remercier, c'est vraiment un magnifique cadeau. Bon, je ne vais pas le lire aujourd'hui, parce que j'ai plutôt la tête comme une énorme pastèque, mais je vais le garder bien précieusement pour les longues soirées d'hiver à Cambridge. Elle s'avança vers lui pour l'embrasser sur la joue, ce qui ne fut pas chose aisée à cause d'une différence de taille. Elle s'accrocha à ses épaules pour se faciliter la tâche.
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Arya & William
Can you tell me what the hell happens to you ?
Eh oui, William avait fait un cadeau à Arya. Ce n’était pas dans le but d’en recevoir un en retour, qu’elle se rassure. Il secoua négativement la tête, assurant ; « Je m’en fiche, c’est juste un cadeau comme ça. Tu n’as pas à m’en offrir un en retour. » Il lui tendit donc le sac et elle se mit à fouiller à l’intérieur, en extirpant le livre. Il espérait qu’il lui plaise, il le trouvait en tout cas magnifique & avait l’air très intéressant. Il avait eu l’occasion de la voir plusieurs fois totalement absorbée dans ses bouquins à la bibliothèque, si bien qu’elle ne remarquait pas immédiatement sa présence. Alors il jouait les petites souris & attendait qu’elle lève le nez de ses bouquins pour venir la saluer. D’ailleurs, elle examina la couverture de celui-ci avant d’en inspecter l’intérieur, silencieuse, consciencieuse. Lorsqu’elle eut finit, elle referma le livre, laissant un filet de poussière voleter dans la lumière du jour. Au moins, elle avait l’air contente de son cadeau & c’était tout ce qui comptait. Elle lui expliqua qu’elle ne le lirait pas de suite parce qu’elle avait la tête… Comme une pastèque. Hein ? Que se passait-il ? Il ne sentit même pas son baiser sur sa joue, c’est ses mains sur ses épaules qui le firent redescendre sur Terre. Le type pas tactile n’avait pas bronché car les mots de la brune trottaient dans son esprit. Il demanda, soucieux ; « Qu’est-ce qui t’arrive ? » Ce n’était surement pas grand-chose alors il dédramatisa, sifflant ; « Tu as encore fait la fête jusqu’à pas d’heure, avoue-le. » Un petit sourire étira un coin de ses lèvres, il savait pertinemment que ce n’était pas dans les habitudes d’Arya. Soudainement, un détail le choqua ; ses lunettes de soleil. Certes la région était très ensoleillée, mais elle avait remis ses lunettes sur son nez quelques minutes plus tôt très peu de temps après les avoir retirées. Si elle avait mal au crâne & une photophobie, alors l’hypothèse de l’alcool n’était peut-être pas impossible. Qu’importe, elle s’amusait, c’était le principal. Mais qu’elle n’en abuse pas...
(Invité)
Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)
:: Corbeille :: Archives 2012-2019