Only when we are no longer afraid do we begin to live. [Abby]

Haïti, plutôt inusité comme arrêt, car c’était un pays extrêmement pauvre et qui n’attirait pas le plus de touristes au monde, malgré les plages phénoménal. Aujourd’hui, j’avais dit à Ado que j’allais resté sur le bateau, car je ne me sentais pas trop bien. Je lui avais dit un petit mensonge, car je devais absolument parler à Abby, la cousine d’Adonis. Adonis avait une extrême phobie des filles et je ne savais pas trop pourquoi. J’avais eu une idée d’en parler avec sa cousine et peut-être elle pourra l’aider. J’avais déjà rencontré Abby avec Adonis et j’allais tenter d’instaurer mon plan avec elle. J’avais pris le numéro d’Abby dans le portable d’Adonis sans qu’il ne s’en rende compte. J’avais été vilain d’aller dans son portable sans lui dire. J’avais envoyé un texto à Abby pour qu’elle me rejoigne sur une plage. J’étais déjà arrivé et j’étais couché sur le sable et me faisait bronzer. Le soleil était très chaud. J’étais un peu nerveux de rencontrer Abby seul pour la première fois. Finalement je la vis arrivé et je m’assieds sur le sable brulant. « euh…. Sa..Salut Abby…. Ça va ? Tu veux quelque chose à boire ?» J’étais un peu mal à l’aise, car je ne la connaissais pas beaucoup.

La jeune fille venait d’arrivé a Haïti, elle devait rejoindre Lukas, c’était le copain de Adonis son cousin qu’elle venait de découvrir il y a peu grâce à l’investigation de son Andrew, qui voulait retrouvé la famille éloigné a cause de son père qui les avait estimé indigne d’être de leur famille, Andrew voulait se rattrapé ainsi que Abby. Il voulait la voir pour parlé de Adonis, elle savait que le jeune homme avait un problème avec els fille c’était claire la tension était palpable lors de leur première rencontres, déjà que Abby était d’une nature timide cela compliquait encore plus les choses. Elle arriva que les lieux du rendez vous ou Lukas était couché.
« Salut, Lukas, tu voulait me dire quoi ? »

J’avais encore une sale gueule. J’avais encore une blessure sur la joue que Matthew m’avait faite à Cuba. Je ne l’avais pas encore revue et c’était pour le mieux. J’essayais d’éviter de le voir. J’avais demandé à Abby de me rencontrer sur la plage question d’essayer de régler le problème qu’Adonis a avec les filles. Pour une raison, il en avait peur. Quand Abby arriva à la plage, elle s’approchait de moi et me demanda ce que je voulais lui dire. Je lui avais proposé quelque chose à boire et elle ne m’avait pas répondu. Je pris quand même deux Sex on the Beach pour elle et moi et l’invitai à s’asseoir avec moi au soleil. Je lui donna son cocktail et la regardai un peu. «Tu as l’air en forme, comparé à moi !» Je rigolai un peu et j’abordai le sujet d’Adonis. «Alors, on dois parler un peu d’Adonis. Nous devons trouvés un plan pour qu’il ne craint plus les filles et puisque tu es sa cousine et probablement la seule personne avec qui je m’entends dans sa famille, je pensais que nous pourrions l’aider. »

Abby voyais que Lukas avait une sale tête. Après Abby n’allait pas lui parlé d’une chose qu’il ne voulait pas parlé surement. Il commença a lui parlé de son cousin qui avait la phobie des filles. Quand il commença a dire qu’elle était la seul de la famille avec qui il s’entendait. Abby se demanda dans quoi elle c’était embarqué. Si Andrew ne lui faisait pas confiance pourquoi le devrait-elle. Oui elle faisait plus confiance au jugement d’Andrew qu’au sien. Mais bon elle était la pour son cousin. Même si elle commençait a flippé d’être toute seul avec lui.
« heuuuu…. »

C’était un peu inconfortable d’être avec Abby. Du moins, moi je ne me sentais pas à l’aise. Elle n’était pas très bavarde et très timide ou peut-être que Matthew et Andrew avait dit du mal sur moi. Je n’étais pas un connard comme ils avaient bien pu lui dire. Je lui avais parlé et elle me répondit qu’avec un heuuuu. Je ne savais pas trop quoi rajouter à cela. Elle ne me rendait pas la vie très facile. Je bus un peu de mon Sex on the Beach que j’avais acheté à Abby et moi. Je pris un peu de sable dans ma main et le laissai retombé sur le sol. Je ne savais pas quoi dire. Je regardai le ciel en attente d’une réponse, mais toujours rien. Je devais prendre encore une fois l’initiative d’initier la conversaiton. Je me tournai vers elle et lui demandai calmement et amicalement : «Qu’est-ce que en pense ?»

Abby se trouvait avec Lukas, le copain de son cousin Adonis dont elle venait de connaitre l’existante. C’était une branche de sa famille que Andrew venait de découvrir et qui apparemment avait été regnié. Ce fameux Adonis elle ne l’avait vue qu’une fois. D’après les dire de Lukas il avait peur des filles. Lukas venait aussi de lui annoncé qu’elle était la seul a avoir accepté de le voir, parce que apparemment les autre ne l’appréciait pas. Abby serait les dents, dans les autres était comprit Andrew. Dans 99,9% des cas elle faisait confiance a Andrew quand il s’agissait de se méfier d’une personne. Abby n’était pas vraiment rassuré de se retrouvé seul avec lui. C’était pour son cousin. Mais alors après il s’agissait aussi du faites que Abby est super timide, alors comment se lancé dans la conversation alors que lui apparemment a la phobie des filles. Si Adonis la repousse elle va avoir peur, elle ne voudra plus l’approché. Mais comment annoncé sa a son petit ami qui essaye de l’aidé. ?
« JE suis pas la bonne personne pour se genre de chose. »

Je bus un peu de mon cocktail en expliquant la situation à Abby. Elle n’avait pas l’air de vouloir m’aider, bah du moins c’était ce qu’elle m’avait fait ressentir. Je n’étais pas certain si elle me détestait à cause de tout les propos que Matthew et Andrew aient pu tenir à propos de moi ou tout simplement Abby était une fille timide. Notre conversation était vraiment comme une rue à sens unique. Elle ne répondait pas à ce que je lui demandais et c’était comme si je parlais au sable. C’était dommage, car j’aurais aimé avoir au moins une relation de bonne dans la famille d’Adonis. Je ne savais vraiment pas si cela allait fonctionner, car elle venait de me dire que ce n’était pas la bonne personne pour ce genre de chose. Je pensai un peu sans vraiment savoir quoi dire. Il y avait toujours des longs silences dans notre conversation et je n’aimais pas trop. «Bah…. Ok… je trouverai quelqu’un d’autre. Je ne vais pas tout de même te forcer à m’aider, surtout que tu dois avoir entendu plein de mal sur moi.»