KARIM ALEXANDRE DUVANEL► NICK BATEMAN

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle vans et j'ai 20 ans. Je suis canadienne et j'ai connu le forum grâce à top-site.  Le forum m'a donné de l'inspiration alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Nick Bateman comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Vans. Je fais environ 750 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ #YOLO
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)

J’ai connu des moments de force et de faiblesse dans la vie. Je ne pourrai jamais me sentir comme un homme qui a la force de superman, mais si je peux faire un geste simple pour changer le monde, je le ferais. Je suis européen. Originaire de la Suisse, une grande partie de ma famille ont connus des années de gloire aux États-Unis avec la passion du hockey. Je n’ai pas grandi à Genève comme la plupart des membres de ma famille. Mon père était un ancien joueur de hockey dans la ligue nationale de hockey. Il était un homme courageux et surtout très patient parce qu’avec le départ de ma mère lors de notre naissance – j’ai une sœur jumelle – mon père a dû faire des choix très difficiles pour nous. Ne voulant pas nous laisser dans une famille adoptive, mon père ne voulait pas nous perdre. Nous avons tous un père ou une mère qui sommeille en nous et chaque jour, je le découvre amplement avec mon neveu, David. Mon père a connu plusieurs équipes dans sa carrière. Il a commencé sa carrière vers l’âge de 18 ans avec les Rangers de New York avant de partir pour les Hurricanes et il terminait sa carrière à Boston. Je suis née à Genève, mais j’ai habité la ville de Boston toute ma vie. J’ai grandi avec le hockey et le baseball parce que c’était les sports que j’aimais le plus. C’était difficile de me tenir tranquille. C’est plutôt grâce à moi aussi si c’est j’ai connu ma belle-mère parce que mon père est tombé amoureux de mon professeur de première année. Ma belle-mère avait eu peur de perdre son emploi parce qu’elle était en couple avec mon père, mais aujourd’hui, c’est très commun de voir un couple travailler dans le même domaine. Vers l’âge de 8 ans, j’ai développé le diabète. Je dois transporter mon insuline partout avec moi parce que ceci est ce qui me tient en santé. Je n’ai jamais eu peur des aiguilles depuis cette découverte parce que j’avais cette peur effroyable des aiguilles. Ma belle-mère m’aidait jusqu’à tant que je sois un peu plus vieux. Mon diabète ne m’empêchait pas de faire des choses que j’aimais le plus, mais ceci m’empêchait de réaliser mon rêve pour devenir un grand joueur de hockey. Une simple faiblesse peu me faire très mal. Ceci m’a permis aussi de me découvrir lorsque je suis débarqué vers mon adolescence. Je me suis concentré sur les sciences et j’ai combiné deux choses qui me passionnaient le plus ensemble. Je jouais au hockey pour le plaisir et je m’entraînais tous les jours. Je fis connaissance avec d’autres sports que j’ai appris à aimer tout comme le hockey. J’avais une grande connaissance et s’était fascinant de voir à qu’elle point que je pouvais m’adapter rapidement. J’avais passé deux ans à Genèvre avec ma famille avant de retourner à Boston pour reprendre mes études. Je m’étais inscrit à Harvard en médecine pour devenir médecin sportif. Une maîtrise qui va m’apporter très loin dans la vie et aussi que j’aimerais travailler avec mon père pour les Bruins de Boston. Après ma première année d’université, ma soeur jumelle a été hospitalisé dans le centre cancérologie. Étant atteinte du cancer du sang (la leucémie), moi et ma famille avions gardé un oeil très protecteur envers elle. J’étais celui qui avait donné la chance à ma sœur de vivre encore plus longtemps. Je ne pouvais pas me sentir seul sans ma jumelle. Nous sommes tous les deux dans la même année d’université aujourd’hui. Ma sœur à une passion pour la criminologie et aussi dans le droit international. Un médecin et une avocate internationale dans la famille, il faut bien avoir du changement dans la vie. Couper les cordes fait toujours du bien et je ne vais pas changer pour le bonheur des autres.