Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilitySUZY C. CIGANER ► Bethany Mota
Le Deal du moment : -17%
(Black Friday) Apple watch Apple SE GPS + Cellular ...
Voir le deal
249 €


SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'est le 8 Juillet 1994 à Seattle, que les membres de la famille Ciganer m'ont accueillie dans leurs bras, ils m'ont prénommée Suzy Colleen.  Je suis célibataire (pizza) et fort heureusement, mais si vous voulez tout savoir je suis hétérosexuelle et j'en suis fière (bof, ce n'est pas forcément quelque chose que j'ai choisi). Je viens d'une classe sociale moyenne,si on peut appeler ça comme ça.... Sinon, dans la vie de tous les jours je fais des études de sociologie (majeur) et mathématiques appliquées (mineur) depuis un an et travaille en parallèle de mes études en tant que serveuse dans un petit café. Et pour terminer, je voudrais intégrer les Quincy House ou les Cabot House.

Pourquoi MAISON 1 ou MAISON 2 ?
GROUPE 1.
Suzy est une enfant très prudente, elle ne s’aventure pas  chez les fous-fous buveur d’alcool, ce qui elle l'admet, ne joue pas réellement en sa faveur. surtout à l'université.  Elle essaie  de s'abstenir de quelconques préjugés.  Durant sa première et unique année en lycée public, elle était celle qu'on regardait d'une ou deux tables plus loin à la cafétéria, à cet âge il est compliqué de rencontrer des gens de confiance et de se créer une petite place parmi tous les élèves -déjà- très bien intégrés. Elle n'a pas vraiment de vice, elle est plutôt simple d'esprit, et se range du côté de la religion.  Très idéaliste, elle rêve d'un monde où les injustices se limiteraient à des vols de bonbons. Le plus drôle est qu'elle n'en parle jamais..Prenez-vous au jeu, la brune sera très prenante d'idées ou de conseils. Communicative de sa joie de vivre, si vous le permettez en vous ouvrant à elle, Suzy pourra peut-être vous laisser une petite trace dans votre longue vie. Qui sait ? Pour revenir aux choses  concrètes - prévenez-la lorsqu'il faut s'arrêter- la jeune femme a surtout besoin d'un environnement calme et posé, sa vie émotionnelle est assez tangente ces derniers temps  , elle est très vite chamboulée. A  20 ans, elle aimerait s'épanouir près de gens solides.

GROUPE 2.
En parlant de gens solides, la confrérie féminine Cabot House serait la plus appropriée. Ces femmes à caractère fort n'ont pas l'air de se laisser atteindre par qui que ce soit. Cette confrérie prônant les bienfaits de la solidarité et de l'entraide féminine n'apporterait que du positif dans la vie de la jeune femme. Il y a de fortes chances qu'en fréquentant les jeunes Cabot, Suzy apprendrait à avoir confiance en elle. Son épanouissement se ferait très bien au sein d'un environnement aussi chaleureux et dévoué que celui-là.
Mon personnage c'est le plus beau
(ajoutez "checked" pour cocher une case)
EXTRAVERSION - INTROVERSION
Expansif Tranquille
Audacieux Réservé
OuvertSecret

SENSATION - INTUITION
Factuel Abstrait
Pragmatique Innovateur
TraditionnelOriginal
PENSÉE - SENTIMENT
Impartial Empathique
Détaché Compatissant
LogiqueSubjectif

ORGANISATION - ADAPTATION
Structuré Souple
Circonspect Spontané
ConformisteNon-conformiste

APRÈS LA BOMBE
Je n'étais pas sur le campus à ce moment-là, ma grand-mère atteinte d'un cancer généralisé j'avais pris quelque jours pour l'accompagner à chacun de ses rendez-vous médicaux à Seattle. Mes parents n'étaient pas au meilleur de leur forme, nous avions tous besoin de se ressourcer en famille. Je passais le plus clair de mon temps à l'hôpital, et il m'arrivait même de sympathiser avec certaines des infirmières. Huit heures entière dans un hôpital aux murs blancs qui peuvent vous rendre fou, je décidais alors d'allumer la télévision, je ne m'attendais à rien de spécial pour tout vous dire. J'attrapais la télécommande et la chaîne d'informations officiel apparut à  l'écran. Une reportrice faisait un bref bilan de la situation actuelle à Harvard puis des images des dégâts causés par la bombe se succédèrent.  Je n'étais pas réellement familière  avec les salles  de l'université, mais le hall si, forcément. Je traînais seulement dans quelques unes d'entre elles, et j'étais toujours accompagnée donc je ne faisais pas réellement attention à la décoration ou bien même aux noms de ces  salles.
« Suzy.. Ces salles.. Et ce hall ? Ne serait-ce pas ton université ? Je me souviens, on a fêté ton entrée dans cette université. Tu te souviens ? » Je n'ai pas pu me retenir. Je me suis juste mise à pleurer. Sa manière de m'adresser la parole m'avait littéralement frappée. Je scrutais chacune des images puis peu à peu je me souvenais de la structure de l'établissement mais aussi des salles. Et à ce moment là, je priais intérieurement en espérant du fond du cœur qu'aucun étudiants ne fussent gravement touchés. - Le bilan à l'air critique. finis-je par déclarer d'une voix tremblante. Ma grand mère eut un visage muet d'expression, reprit sa respiration durant quelques secondes et avec spontanéité elle finit par dire :
« Tu devrais y retourner, tu sais ? »
Ce qui était drôle chez ma Grand-mère était qu'elle avait tout le temps les mots justes. Le problème était que j'avais peur, j'avais vraiment peur. Je ne savais pas réellement à quoi m'attendre, les dégâts allaient forcément être présents, mais je passais outre les dégâts je voulais savoir comme se portait les étudiants. La catastrophe était encore à l'écran mais je décidais de vérifier mes e-mais ce que je n'avais pas fait depuis des décennies. Avec hésitation mais aussi peur, j'ouvris un e-mail de la part d'Harvard. C'était le plus récent de ma liste.
L'e-mail m'informait sur le nombre de blessés, la plupart était des étudiants ainsi que les quelques morts, une pensée pour mes camarades de classe surgit aussitôt, je les avais quitté un jour plus tôt pour revenir à Seattle et profiter de quelques heures avec ma famille qui se portait très mal ces derniers temps, que ce soit sur le plan physique ou moral. Je finis ma lecture par un bilan détaillé des dégâts concernant les bâtiments. Je pris la décision de revenir un peu plus tôt que prévu de mon petit séjour familial à Seattle. Le voyage Seattle-Cambridge était terrible, je passais des coups de fils à chacun de mes camarades histoire de mqu'ils aillent bien, certains d'entre eux n'avaient pas été touché du tout et d'autre touchés par des blessures superficielles. Je rafraîchissais la page facebook officielle de l'université chaque quinze secondes par stress.  Arrivée à Harvard, je conclus que les étudiants étaient à présent en sécurité (encore heureux n'est-ce pas?) mais les sequelles se voyait sur les visages des élèves. Je finis par ressentir la même chose et pourtant je n'étais pas présente lors du drame. Je ressentais la peine et la perte.  

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Luv. / Nènèèèss et j'ai 17 n'ans. Je suis Française et j'ai connu le forum grâce à Google en-fait xD.  Je trouve le forum accueillant, soigné et plutôt sympathique  SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 3850463188  alors j'ai décidé de m'inscrire OU Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de pseudos de vos comptes actuels (+ maison). J'utilise Bethany Mota comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par Tumblr. Je fais environ 500/600 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé .

Mot de la fin ? ▲ Love   SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 3461777222 
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il était une fois...
« Calev ! Calev ! »  Le père ne bronchait point, sa femme était sur le point de perdre les eaux, l'écoulement était brusque. Elle cria un bon coup afin que ce dernier réagisse, mais Calev Ciganer ne prêtait aucune attention aux cris de Rachel Ciganer, sa compagne. Calev se rongeait les ongles un à un tout en réfléchissant dans son fauteuil  velours, une couleur lourde à son sens. Calev était un pseudo-philosophe très émotionnel mais avant tout perdu, il considérait les situations graves comme des situations fantômes. « J'ai l'impression de faire des choix, tu sais ces choix? Ces choix qui mènent à des conséquences presque mortes. Je ne ressens rien. C'est à moi de décider si ce que je vis est grave ou non. » Rachel perdait son sang froid peu à peu, mais se rappelait ses exercices de respiration, elle prit alors elle même l'initiative d'appeler une ambulance. Calev Ciganer était muet, il contemplait sa femme depuis son fauteuil d'un regard vide. « Je t'aime, tu sais. » il murmura ces mots en hébreu puis éclata en sanglots. Il ne pouvait rester , il avait des choix à faire lui aussi.

Ils attendirent l'ambulance ensemble et Calev récitait des prières tout au long du périple qu'était ma naissance, il se blottissait doucement près de ma mère comme il le faisait souvent pour s'excuser et chuchota ces mots : « Ne dis rien. J'ai fini par comprendre. »
Je tiens à préciser qu'à ce moment là, je compris très vite que ma vie allait être une sorte de comédie romantique ratée quoi que sans romance et moi seule riant à mes propres blagues. Mes parents, mais surtout mon père avaient un don inné pour dramatiser chaque geste anodin du quotidien, ce dont je pris vite l'habitude, spoiler : oui mes amis, l'humain s'adapte. Calev Cinager aka mon père était un bon père, il m'endoctrinait souvent l’esprit avec des idées selon lesquelles si je ne suivais pas les préceptes du livre Saint je n'aurais pas ce que je veux dans la vie, ni de dessert. Imaginez dire cela à une petite fille de six ans ? J'essayais tant bien que mal de devenir une bonne juive et ce avec toute la motivation de ce monde, durant toute mon enfance je n'ai fréquenté que des établissements scolaires juifs et c'est ma mère aka Rachel Ciganer paysanne dans l'âme- elle avait grandi dans les campagnes israéliennes, elle avait connu la famine et le soi-disant manque d'éducation! (fin, c'est ce que tous les parents immigrés vous raconte pour vous faire culpabiliser de vos accidentelles ou bien répétitives mauvaises notes)-  - qui m'y obligeait.

Mon enfance fut une période assez calme, malgré les questionnements quasi incessants de mon père sur le sens de la vie, qui rendait ma mère parfois folle. Mon père était un océan, oui je le comparais à un océan remplit de vague lorsque j'étais enfant, je ne le comprenais pas. Tous ces gestes qu'il faisait avec ses mains, sa façon maladroite de s'exprimer, ses idées toutes liées à la religion étaient les premières choses qui avaient plût à ma mère Rachel. Quoi qu'à mon âge, mon père était source d'auto-conflit. Il me faisait penser à un océan. Un océan de vagues qu'il ne pouvait contrôler ou qu'il a peut-être dû créer lui même et cela sans vraiment s'en rendre  compte. Les seuls souvenirs bien précis que j'ai de mon enfance étaient mes leçons en hébreu que ma mère me faisait tout le temps réviser et mon père 'l'océan' que j'essayais chaque jours de décrypter.  

A l'étonnement de ma mère, je grandissais merveilleusement bien. Le peu que mes parents gagnaient ne me posait pas particulièrement de problème, à vrai dire, lorsqu'on ne connaît pas autre chose que ce que l'on vit, on a tendance à ne pas trop regarder ailleurs. De plus, l'éducation stricte que mes parents m'imposaient ne permettait aucune transgression  au 'règlement de la famille' et je passais le plus clair de mon temps chez mes grands-parents après les cours, cet environnement paraissait plutôt sain, quoi qu'il pouvait être facteur d’oppression, assez pour une jeune fille de seize ans. Le lycée était ce que je chérissais le plus étant adolescente, je pouvais y retrouver mes camarades de classe et nous pouvions  discuter ouvertement de nos petits problèmes durant les cours de religion, et je n'aurais échangé mon lycée privé juif -l'investissement le plus gros de ma famille- contre aucun lycée laïque des États-Unis. Mes journées étaient principalement constituées de prières et de visites chez mes grands-parents paternels. Une vie simple sans réel chamboulement. Mon père avait fini par comprendre que dans la vie, il faut 'laisser du temps au temps' et ses prises de têtes étaient de moins en moins fréquentes. Je me souviens très bien des visites de mes grands-parents tous les vendredis après-midi, ma mère leur avait dédié une chambre à eux  seuls, et nous passions nos après-midis dans notre petit salon à rire et à revenir sur les bons souvenirs que nous avions du village Israélien où ma Mère et mes Grands-parents avaient grandi, jusqu'au moment où père vint chercher ma mère pour l'épouser ainsi que ses parents afin de tous les ramener aux États-Unis, et de les loger dans ce petit appartement F3 à Seattle où j'ai moi-même grandi. Puis il y avait la lecture journalière des mémoires de mon arrière grand-père mort d'un cancer généralisé par ma Grand-mère, nous en profitions pour prier et méditer, ces soirées furent des moments très précieux à l'époque et le sont toujours. Je crois que ces instants forgèrent mon côté 'idéaliste enthousiaste', assez naïf voir immature. J’espérais un nouveau monde (de préférence meilleur) chaque soirs.

C'était le trimestre d'Automne au Lycée et il était temps que les lycéens expriment leurs vœux  d'affectations. Je n'avais personnellement pas de soucis à me faire pour ce qui était des notes mais comme l'établissement que je fréquentais  était privé,  je devais impérativement changer de lycée afin d'intégrer une université public d'après l'administration de mon ancien lycée religieux. Une logique que je n'assimilais pas. Mais si c'était la chose à faire afin d'illuminer le visage de mes parents  alors j'étais motivée à me rendre à l'établissement qu'ils n'arrêtaient pas d'évoquer à table: Harvard. C'était mon année de Terminale, j'étais une Senior, je pouvais le faire même si  cela imposait un changement radical. Effectivement, es cours religieux ne touchait pas forcément toutes les religions, et le lycée devait être mille fois plus grand. Il m'était impossible de me faire une place, j'étais celle qu'on regardait loin et je parlais mieux hébreu qu'anglais. Avec beaucoup de recul j'en ris maintenant, mais à dix-huit ans, j'étais très renfermée.

Je pris la décision de tout reprendre en main, je pris des cours d'anglais le soir afin perfectionner mon apprentissage.  les mathématiques étant le langage universel je décidais de me concentrer plus sur ce sujet. En deux mois je retrouvais alors mon anglais, et cela m'a permis de m’ouvrir aux autres ,  je fis quelques connaissances et je joignais diverses groupes de révisions. Mais le plus important, j'essayais d'aider mon prochain le plus possible, avant tout les personnes ayant des difficultés dans les matières où je m'en sortais le plus. Je ne recevais pas grand chose en retour mais la réussite des autres me plaisait tout autant que la mienne. En fin d'année, j'étais fin prête à intégrer Harvard  enfin presque. Il fallait passer le test d'admission.

Mes parents me fixait. L’enveloppe blanche était posée sur le meuble couleur miel où se trouvait les mémoires de mon arrière grand père, c'était presque symbolique . Je décidais de m'approcher peu à peu et à ce moment j'entendis un cris  d'étonnement retenu de la part de ma Mère. Chacun de mes mouvements étaient analysé jusqu'à ce que mon père éclate en sanglots, identiquement comme le jour de ma naissance.
« Quelle chochotte celui-là. » soufflait Rachel Ciganer, ma mère.
Je souris et d'un coup de cuter, j’ouvris la fameuse enveloppe blanche déteneuse de ce qu'il adviendrait de mon avenir. Et là..
« OH NON MA CHÉRIE, NOUS SOMMES TELLEMENT FIERS DE TOI »
L'avais-je fait ? Avais-je enfin accompli quelque chose ? Mon père allait-il arrêter de pleurer ?
Tout ce que je savais était que ce jour là, nous étions heureux, vraiment heureux. Mes grands parents paternels virent prendre un dîner festif en notre compagnie, nous rîmes beaucoup et l'ambiance était relaxante. Ce soir là, nous oubliâmes le 'budget à respecter' et achetèrent de la nourriture et des boissons à caractère festif et inhabituel comme du saumon ou encore du champagne.

Je ne savais pas à quoi m'attendre pour ce qui était de la rentrée mais absolument tout me terrorisait: l'évolution, le changement mais surtout les étudiants. J'étais et- je  suis toujours- du style discrète mais prête à aider n'importe qui, le majeur problème était l'appréhension. Je pris sociologie en enseignement approfondi et mathématiques appliqué en enseignement mineur, cela me correspondait plutôt bien. J'avoue avoir été très heureuse les jours précédents ma rentrée, même si mon intégration n'est pas entièrement -très loin de là- faite, j'appelais mère chaque soirs qui elle avait pris en charge mes frais scolaires à l'aide de plusieurs travails en plus afin de me loger près du campus, même si je savais très bien qu'il allait falloir que je me débrouille seule, je décidais de travailler dans un petit café, histoire de commencer. Et cela aussi me plaisait. Mais un soir, lorsque j'étais sur mon ordinateur à checker mes e-mails je reçus un appel alarmant de la part de ma mère:
« Su'.. Ta grand-mère va mourir.  »
Pour être alarmant, je le confirme, la situation était assez critique. Je ne voulais même pas entendre parler de l'état de mon père à ce sujet. La nouvelle était brutale. Personne n'est à l’abri des crasses, c'est con. Je surpris des larmes couler sur mes joues en raccrochant.

Je n'allais pas m'écrouler, il en était hors de question. J'allais me lever moi aussi, et prouver au monde à quel point lui aussi aura besoin de ma présence. De plus je venais tout juste de bien entrer dans le moule des cours, la sociologie était un enseignement qui m’intéressait et même si  mess premiers résultats étaient un peu juste par manque de concentration ces derniers temps, j'allais me battre. Je suis encore en deuil et je fais des allers-retours Seattle-Harvard très fréquemment afin de passer du temps en compagnie de ceux que j'aime. Pour toi aussi Suzy, il est temps de grandir.

.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenuuuuuue et bon courage pour ta fiche  hanwii 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci beaucoup  SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 73120010 SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 2511619667 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenuuuuuuuuuuuuuuuuuuue hanwii bon courage pour ta fiche Vic
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenuuuuuuuuuuuuuuue parmi nouuuuuuuus hanwiihanwii
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci à tous les deux SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 2032734886 hanwii 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bethaaaaaaaaaaany hanwii super choix

bienvenuuuue Vic
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Merci perfection  SUZY C. CIGANER ► Bethany Mota 1001568715 
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
bienvenuuuuue chez les fouuuuus hanwii
bon courage pour ta fiche :happy:
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)