L'absence de parole PV: Despe

Je regarde ce qui m'entoure et tous ce que je vois me donne envis de vomir. La pauvreté de ce pays m'exaspérais, c'était pas leur faute, je le savais bien, avec toutes ces catastrophe qui leur tombe dessus quoi de plus normal que de ce retrouver dans cette pauvreté qui s'étend sous mes yeux. Mais ont-ils cherchaient à améliorer leur depuis cette catastrophe non, ils attendent l'aide des autres pour se remettre d'aplomb et pour cela je les méprise, ils ne sont pas capable de se débrouiller seul. J'avance doucement sur le bord de la route. Les oreilles couper du monde extérieure par des écouteurs bien enfoncer. Une fillette passe devant moi et gamin me dépasse en courant suivit par une petite troupe. Je les regarde qui s'éloigne. Que vais je fairre pour cette fin de journée. Après une journée de bateau sur l'océan immense, on était enfin arrivé à bon port. On avait posé les pieds sur la terre ferme certain avec soulagement. Je ne regarde plus où je vais et ce que je fais, de toute manière si je me perds je saurais demander mon chemin sans probléme. J'avance encore et encore sur ce long chemin, vers un lieu inconnue. Je bouscule quelqu'un, je l'observe et remarque que c'était une jeune femme qui aidait une bonne femme qui avait fait tombé ces courses, je reste un instant interdit, une lueur de mépris passe dans mon regard et je me détourne sans une excuse et sans un mot.

(Invité)

Haiti. Pauvre endroit qui avait connu le malheur, et qui avait du mal à s'en sortir. On voyait bien qu'ils tentaient de se reconstruire du mieux qu'ils pouvaient, mais qu'en même temps, il était dur de tout refaire "comme avant". Je trouvais cela triste, et de mon âme farouche de quincy, je n'hésitais pas à proposer un peu mon aide ça et là, dans quelques tâches que je pouvais réaliser. Ma famille, à l'époque de la catastrophe, avait fait un don, néanmoins, ils n'en avaient pas réitérés depuis. Et je n'étais pas en possession de la carte bancaire nécessaire afin de débourser quelques milliers qui pourraient aider un peu. Alors que j'aidais une femme ayant fait tombé son sac de courses, je fis un bond en avant après avoir été percuté par quelque chose. Ou plutôt par quelqu'un, en réalité, les objets ne frappant pas d'eux même. Le regardant un instant, je lus du mépris dans son regard. Parfait donc, je vois là que l'on est pas fait pour s'entendre, cela dit, je ne supporte pas que l'on agisse de cette manière. Je m'excusais donc à la femme un instant avant de rattraper le jeune homme et de poser ma main sur mon épaule. « Ca te tuerait de t'excuser? » lançai-je d'une voix un peu agressive. Je déteste les personnes qui se croient au dessus de tous, et de tout le monde. C'est vraiment le type de personne que je ne supporte pas, et aussi l'une des raisons pour lesquelles je n'avais pas rejoint les eliots en tant que confrérie, malgré qu'on m'en ai fait la demande. Moi être hautaine? Les moyens je les ais, sauf que moi j'ai un coeur aussi, et pas que de l'air dans le cerveau. Dans la pauvresse ou la richesse, on est des être humains bordel, on a pas à se mépriser les uns les autres.

(Invité)