Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Flashback) Bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux. {Nath'}


(Flashback) Bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux. {Nath'}

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Citation Nathanaiel & Birdy

Bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir

signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux.

Endormie, la jolie blonde dormait paisiblement sur son lit. Ainsi elle rattrapait les heures de sommeil perdues. En effet quelques heures plus tôt voir le jour précédent, Birdy avait été admise aux urgences pour cause de malaise. C'est grâce à Danae qu'elle a pu mettre un mot sur sa maladie. Le diabète. C'était mieux d'avoir ça qu'un cancer ou une leucémie. Ouvrant ses yeux marrons, le visage de la future Cabot ainsi que le cou étaient en sueur. Ayant toujours les affaires de la veille, Mademoiselle Silver se lève accompagnée de sa fichue perfusion qui la gênait dans chaque faits et gestes. Grr, elle avait bien envie de l'arracher comme ça l'affaire serait réglée. Se levant, la femme de vingt-deux ans se dirige vers la salle de bain afin de se passer l'eau sur son visage. Jetant un bref coup sur sa montre, elle vit qu'il était un peu plus de minuit. N'ayant guère envie de se rendormir, tournant en rond dans sa chambre, Birdy décide d'aller marcher dans les couloirs histoire de se fatiguer sans en faire trop. Une main tenait la longue tige en fer où en haut il y avait des crochets afin d'accrocher la perfusion en faisant rouler ce dernier à ses côtés. Son ventre se mit à gargouiller. Observant à droite et à gauche, elle vit cet interne, c'était le seul qui était dans les parages. Arrivant à sa hauteur, la blonde demande.   « Bonsoir excusez-moi, Excuse-moi peu importe, j'ai un petit creux, puis-je avoir des biscottes afin quelque chose à se mettre sous la dent, s'il vous te plaît ?? » Dit-elle en souriant, ne sachant pas si elle devait le tutoyer ou au contraire, le vouvoyez. En effet, le brun aux yeux marrons devait avoir à peu près son âge. De plus, il était bien charmant, mais ça quelque chose à ne surtout pas dire. Car, oui ils ne se connaissent pas. Hormis son nom de famille, qui est De Snowdon. Un nom typiquement anglo-saxon, venant d'une grande famille de bourgeois ou même de la haute aristocratie. Comment Birdy l'avait su ? Danae lui a dit, car cette dernière ne pouvait pas rester car elle avait terminé sa journée. En attendant, la jolie blonde ne put s'empêcher d'observer la carte accrochée sur la veste blanche de l'interne où était inscrit le nom de l'hôpital, pouvant ainsi découvrir son prénom.
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Le changement on aime pas ça, ça nous fait peur. Mais on ne peut pas empêcher les chose de changer. Soit on s’adapte, soit on reste en arrière. Ça fait mal de grandir, de changer. Si on vous dis le contraire c’est un mensonge. Mais la vérité c’est que parfois plus les choses changent plus elles restent les mêmes. Et parfois, parfois le changement a du bon, parfois le changement est la clef, le changement est tout...


Ce maudit réveil n’avait pas fini de sonner. D’un revers de bras, le jeune Anglais le jeta sur le sol. La médecine était son milieu, celui dans lequel il voulait évoluer et enfin réaliser son rêve : devenir cardiologue. Le seul bémol était qu’il n’avait pas fait une nuit complète depuis un bout de temps. Il devait rarement dormir 5 heures par jour. Un cycle de sommeil dont il n’avait pas l’habitude. Or, il était bien obligé de suivre cette formation, elle faisait parti de son cursus. Il était un stagiaire parmi les autres, un autre interne de plus. C’était sans relâche qu’il devait se faire remarquer. Cette musique stridente ne cessait de retentir dans ses oreilles. Quelle idée d’avoir mis une telle musique. Le jeune homme finit par ouvrir difficilement un œil, ce fut le cas de le dire. Commandant tous ses os en même temps, il décida de s’étirer de tout son long. Cette journée, ou plutôt nuit promettait d’être rude. Le jeune homme finit par ramasser son cellulaire, il était près de 20 heures et il n’était toujours pas redescendu pour voir ses patients. S’habillant à tout hâte, il trouva toute son équipe au rendez-vous. Tous avaient reçu les ordres du médecin qui avait déjà fait sa ronde. Le jeune homme s’incrusta dans la masse blanche et regarda tout le monde en essayant de trouver une réponse ou une personne agréable pour l’aider. Personne ne se manifesta sauf la délicate voix de sa tutrice référente. « De Snowdon ! Quand tu auras fini de rêvasser et de te réveiller, pourras-tu enfin te mettre au travail ?! » Le jeune garçon se mit discrètement  à soupirer. Ce qu’elle pouvait l’agacer ! Mais cette femme avait réussi en cardiologie, elle avait son propre cabinet, sa propre clientèle et une place à cet hôpital. Un véritable privilège d’évoluer avec elle. Du moins, c’est ce qu’elle n’avait cessé de lui rabâcher depuis son arrivée ! De son regard de braise, il osa affronter celui du médecin en titre. Son petit regard de porcelet lui donnait toujours envie de rire. Il se pinça la lèvre inférieure, tout en essayant de rester concentré. La nature l’avait gâtée au niveau neurologique, mais pas au niveau physique. Elle avait des cheveux roux usés par le temps. De plus, elle avait raté sa mise en plis. Ne cessant de la scruter, elle finit par mettre fin au manège. « Puisque je te fais rire, tu vas aller faire un tour en médecine ! Tu vas t’occuper de patients qui viennent d’arriver des urgences. Pour toi, la cardiologie, c’est fini pour ce soir ! Que je ne te vois pas trainer dans les parages ! » Le jeune homme se mit  à souffler et tourna les talons ! Quelle honte ! Elle avait osé l’envoyer dans cette unité qui n’était pas du tout sa spécialité ! Il détestait s’occuper de patients avec des petits bobos ! C’était ennuyant, et largement dans ses cordes. Le jeune homme prit la relève d’un infirmier bien trop fatigué par sa journée. Il avait décidé d’entamer sa ronde. Ayant dans ses mains, les différents documents correspondants aux patients, il examina les cas qui se posaient à lui ! C’était d’une facilité enfantine ! D’un air fier et confiant, il commença à faire la connaissance de ses patients confortablement installés dans leurs lits. Échangeant de brefs mots, il continua sa ronde. Il ne lui manquait qu’une seule patiente, une certaine Birdy. Il ne savait pas vraiment à quoi elle ressemblait. Il aurait dû la rencontrer, mais cette dernière s’était absentée, agaçant le jeune homme qui s’installa dans la salle de soins en attendant le retour de la jeune femme. Concentré dans ses rapports, le jeune homme ne fit pas attention aux manèges qui se passaient tout autour de lui. Seul une voix féminine le ramena à la réalité. Cela devait être sa chère patiente ! Levant les yeux, il tomba nez à nez avec une jeune femme blonde d’une vingtaine d’année accrochée à une barre de fer roulante. « Je suppose que tu es ma patiente portée disparue ! Il ne faut pas disparaître ainsi alors que je ne connais pas le service. Je suis un homme si fragile, il ne faut pas me faire de telles frayeurs. Birdy, je me trompe ? » Le jeune homme regarda vite fait ses notes sur la jeune femme, elle était diabétique, rien de plus ? Elle avait faim ? Ils l’avaient mise à jeun ou quoi ? Le jeune homme chercha dans la base de données le nom de la jeune femme. Elle avait été admise dans la journée aux urgences à cause d’un malaise. Le jeune homme se releva pour affronter sa patiente. « Ils t’ont mise à la diète ! Tu peux manger quelque chose, mais sans sucre ! Je ne peux pas te proposer grand-chose mis à part du pain, des biscottes, un yaourt ou une compote ! Sinon je peux t’accompagner à la cafétéria pour manger quelque chose avec toi ! Je commence aussi à avoir faim… » Le jeune homme frotta son ventre, en ayant un grand sourire. En se concentrant sur sa partenaire, il se rendit compte de l’immense beauté qui ornait cette jeune femme. Un teint de porcelaine, des cheveux de la couleur des blés et des lèvres purpurines. Le jeune homme ne pouvait trouver plus belle beauté en cette soirée.

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Citation Nathanaiel & Birdy

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Birdy n'avait prévenue personne qu'elle était à l'hôpital pour la simple et bonne raison que la blondinette ne voulait pas avoir affaire à une personne qui aurait pitié d'elle. Du moins, il faut d'abord la blondinette accepte cette maladie qui est toute récente et qui allait sûrement changer le reste de sa vie. Ne pas manger trop sucré, ou au contraire en faisant attention de prendre un yaourt trop riche par exemple. Sachant que le moindre gramme de sucre est compté. Il lui manquait plus que ça, espérant que cet événement ne va pas l'empêcher d'aller au Summer Camp. Doucement, elle entre dans la salle de soin. « Je suppose que tu es ma patiente portée disparue ! Il ne faut pas disparaître ainsi alors que je ne connais pas le service. Je suis un homme si fragile, il ne faut pas me faire de telles frayeurs. Birdy, je me trompe ? » Rien qu'à entendre Monsieur De Snowdon, la femme de vingt-deux ans ne put s'empêcher d'esquisser un sourire. Pour un interne il avait un sacré sens de l'humour. Imaginant au passage, qu'il avait lu le dossier. Chouette mais il est au courant de son cas, ce qui est tout à fait normal pour un futur docteur. Espérant tout de même que cela ne l'avait pas agacé ou même mit en rogne. Peu importe, maintenant le plus important, c'est que Mademoiselle Silver soit là. Même si elle n'était partie pas loin, juste dans le couloir du service dans l'espoir de retrouver le sommeil. Mais ce dernier était bien décidé à ne pas revenir. Néanmoins, elle répond. « Portée disparue ?! J'ai pourtant pas vu d'affiche dans les couloirs avec ma photo et mon prénom ainsi que mon nom affichés. Pourtant tu es un interne tu es pas censé connaître l'hôpital sur le bout des doigts ? Je suis bien Birdy. » Bon Okay c'était bien nul comme humour.   « Ils t’ont mise à la diète ! Tu peux manger quelque chose, mais sans sucre ! Je ne peux pas te proposer grand-chose mis à part du pain, des biscottes, un yaourt ou une compote ! Sinon je peux t’accompagner à la cafétéria pour manger quelque chose avec toi ! Je commence aussi à avoir faim… »  Oh Non pas à la diète. Les aliments n'ont aucun goût sans sucre et c'est franchement dégueulasse. Ne pouvant pas s'empêcher de soupirer. Adieu les barbe à papa et toutes les bonnes choses. Croisant les bras, le menu que lui proposer Nath était pas très appétissant du tout. Et puis cet homme avait t-il déjà manger la nourriture de l'hôpital qui est dégoûtante. Tiens tiens, comme ça il proposait à la future Cabot de l'accompagner à la cafétéria ?  Ce n'est pas une mauvaise idée. Au contraire, Birdy allait pouvoir se nourrir de bonnes choses enfin du moins que la bouffe ne contient pas ou peu de sucre.  Adieu la gourmande était la blondinette. « Avec plaisir pour la cafétéria, ça t'arrive souvent d'accompagner tes patients à la cafét ?? Sinon je veux bien des compotes au cas où. » Dit-elle en ayant le grand sourire aux lèvres. Ne pouvant s'empêcher d'observer chaque particule du visage de l'interne de façon discrète. Il était pas mal comme homme. Sûrement un homme à femme. Non, c'est juste un médecin comme les autres, mais ses yeux ne pouvait s'empêcher de le contempler comme si ses pupilles étaient attirés par ce joli minois. Commençant à se diriger vers la sortie de la salle de soin aux côtés de l'anglais en tenant toujours d'une main la longue tige en fer qui contenait la perfusion. « Dit, je vais avoir encore longtemps cette perfusion ça me gêne dans chaque fait et geste. » Continuant de marcher le long du couloir en faisant le chemin pour accéder à la cafétéria qui devait sûrement se trouver quelques étages plus bas, ou peut-être plus haut. Entrant dans l’ascenseur, elle se mit au fond en attendant que Nathanael appuie sur le bouton de la machine. Se mordillant la lèvre inférieure, elle tourne la tête en direction du brun aux yeux sombres. « J'ai vu sur ta carte que tu t'appelles : Nathaniel. C'est un joli prénom. » Tais-toi Birdy tu es simplement pathétique. Levant les yeux au ciel, Birdy voulait maintenant être au fond du trou surtout que ce n'est pas un plan drague. D'ailleurs la drague et elle ça fait deux. C'était juste histoire de rompre le silence dans l’ascenseur où il y a les deux personnes.
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bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux.

Le changement on aime pas ça, ça nous fait peur. Mais on ne peut pas empêcher les chose de changer. Soit on s’adapte, soit on reste en arrière. Ça fait mal de grandir, de changer. Si on vous dis le contraire c’est un mensonge. Mais la vérité c’est que parfois plus les choses changent plus elles restent les mêmes. Et parfois, parfois le changement a du bon, parfois le changement est la clef, le changement est tout...


Cette soirée avait plutôt mal commencé ! Nathaniel se demandait encore pourquoi il avait choisi cette voie. Cette mégère ne cessait de le suivre, de lui faire des commentaires et de le traiter comme un incompétent. Depuis qu’il était rentré à Harvard, elle était sa tutrice. Hormis que le dialogue n’était jamais passé entre eux. Il la trouvait trop autoritaire et elle ne laissait jamais ses étudiants prendre des risques, non elle leur donnait le sale boulot. Ce fut le cas ce soir, il devait s’occuper du coin médecine. Certes, il étudiait la médecine, mais sa spécialité était la cardiologie. Là encore, elle le laissait rarement dans le secteur. Quant à elle, elle trouvait ce jeune homme trop prétentieux et sa position royale ne lui plaisait que moyennement. Elle ne le voyait réussir qu’avec l’argent de la couronne. Sauf qu’il ouvrait sans cesse ses bouquins pour se mettre au travail. Les gens tout autour de lui pouvaient bien faire semblant d’étudier, lui ne le faisait pas ! Il restait lui-même, un étudiant soucieux de réussir dans son métier. Il ne voulait pas reprendre par le droit pour devenir un Lord comme dans sa famille. Ce genre de quotidien ne lui plaisait pas, il avait besoin de sauver des vies et de servir à quelque chose. Ce fut sans rechigner qu’il se dirigea en médecine. L’avantage de ce service c’est qu’il le connaissait comme sur les doigts de sa main. Il savait très bien où se trouvait la réserve et les médicaments. Cela faisait cinq ans qu’il venait ici, les infirmiers et les infirmières avaient l’habitude de le voir traîner ici, tout comme les médecins. Malgré la frustration qu’il ressentait de travailler dans ce service, il voulait très bien exécuter son travail. C’était l’essentiel pour lui. Le jeune homme était obnubilé par cet écran qui lui donnait tous les renseignements de ses patients, quand la jeune femme décida de pointer le bout de son nez. En la regardant bien, elle était jolie, voir même très belle. Il avait déjà couché avec des patientes, mais il savait que c’était contre le code de l’hôpital. Certes, il était sérieux, mais nous n’avons qu’une vie, c’est pour cela qu’il avait dû mal à respecter certaines règles. Et même si elle était jolie, il ne pouvait se permettre de se montrer déplacé avec elle. Elle venait tout juste d’arriver dans le centre. « Portée disparue ?! J'ai pourtant pas vu d'affiche dans les couloirs avec ma photo et mon prénom ainsi que mon nom affichés. Pourtant tu es un interne tu es pas censé connaître l'hôpital sur le bout des doigts ? Je suis bien Birdy. ». Le jeune homme se mit à rire. Elle n’avait pas tort, aucune affiche n’était présente, elle avait bien le droit de se balader dans l’hôpital ou même dehors si cela l’enchantait. Mais il ne pouvait être à son service en train de la chercher dans tous les recoins de l’hôpital. « Je suis tout à fait d’accord avec toi ! Tu as bien le droit de te balader. Mais je faisais mon tour de garde, je me demandais où tu étais passée pour que j’établisse ton bilan. Pendant ton absence, j’ai d’ailleurs commencé… Sais-tu que si je t’avais cherché dans tous les recoins de l’hôpital, je n’aurais pas pu m’occuper de mes patients. S’il y avait eu une urgence, j’aurais dû intervenir, mais non j’aurais été en train de te chercher. Tu aurais pu avoir cela sur la conscience… Enchantée Birdy, et bienvenue parmi nous ! »Le jeune homme se redressa pour ranger le dossier qu’il tenait dans ses mains. Il aperçut la grimace de la jeune femme. Ce régime n’était pas évident surtout pour une jeunette qui avait la vingtaine.  « « Avec plaisir pour la cafétéria, ça t'arrive souvent d'accompagner tes patients à la cafét ?? Sinon je veux bien des compotes au cas où. » L’Anglais se retourna vers la jeune femme. C’était un cas d’urgence, il n’avait rien mangé depuis l’aurore et son estomac ne cessait de demander toute sorte d’aliment notamment des glucides pour tenir la nuit. C’est avec un sourire gêné qu’il plaça sa main sur son ventre. « Non pas vraiment… Mais j’ai tellement faim ! Je n’ai rien mangé depuis l’aurore et si l’on veut que je tienne la nuit, il faudrait que j’avale des glucides pour me remettre d’aplomb » lui dit-il avec un clin d’œil. Certes l’accompagner manger n’était pas approprié, il le savait très bien, mais il ne pouvait s’en empêcher. Sa faim ne cessait de grandir et son estomac ne faisait que s’allonger.   « Dit, je vais avoir encore longtemps cette perfusion ça me gêne dans chaque fait et geste. » Le jeune homme réalisa qu’elle se trimbaler toujours cette perfusion au bras. Il passa une main sur son front et soupira. « Désolé, je ne sais pas où j’ai la tête, j’ai complètement oublié ! Je m’en occupe ! » Il commença par retirer le fil qui l’unissait à cette barre de fer pour finalement soigner la petite plaie causée par la piqure. Il plaça un pansement sur le pli de son bras et se débarrassa de la poche de perfusion. Avec un sourire, il décida de l’accompagner dans l’ascenseur. Les deux gens montèrent à l’intérieure. La cafétéria se trouvait au dernier étage de l’hôpital. Le jeune garçon appuya sur le bouton. « « J'ai vu sur ta carte que tu t'appelles : Nathaniel. C'est un joli prénom. » Le jeune homme fut aussitôt étonné de la remarque de la jeune femme. C’est avec mécanisme qu’il regarda son badge. Comment pouvait-elle trouver ce prénom joli alors que lui l’avait toujours détesté ? Il n’était pas assez original à son goût ! « Je te remercie ! Mais j’ai toujours détesté mon prénom ! Je le trouve banal, on en croise souvent ! Et encore, tu ne connais pas mon nom complet ! C’est une horreur. En revanche, le tiens est plus intéressant, il est très joli et fort original ! »L’ascenseur finit par ouvrir ses portes. Le jeune homme laissa la jeune femme passer en premier par galanterie mais également pour l’observer ! C’est exact, elle était tout à fait son type ! La peau claire, le regard angélique illuminait et des lèvres purpurines magnifiques ! Ses formes étaient minces, mais jamais il n’avait aimé les femmes avec de trop grosses formes. Non elle était tout à fait parfaite ! Il ne pouvait pas l’expliquer, mais il était complètement obnubilé par son corps et ses yeux !
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Citation Nathanaiel & Birdy

Bien souvent courir après ce qui nous fait plaisir

signifie abandonner ce qui est juste à nos yeux.

Plantée devant le jeune homme, celui-ci ne l'avait pas tout de suite remarqué, trop occupé à regarder l'écran. La jolie blonde avait bien le droit de se promener un peu même si à cette heure tardive, il valait mieux rester dans sa chambre. Rester longtemps dans la même n'était pas le fort de Mademoiselle Silver, il fallait qu'elle bouge tout le temps. Quand l'interne tourne enfin le regard vers sa direction, elle ne pouvait s'empêcher de le fixer pour contempler chaque particule de son visage. Nathaniel était terriblement attirant. Elle ne pouvait pas le nier, néanmoins elle chasse cette idée. De toute façon si cet homme lui avait faite cette proposition, la femme de vingt-deux ans aurait refusé de passer la nuit avec lui. Parce que c'était contre ses principes & contraires aux règlements de l'hôpital. Afin dé dédramatiser son retard, les deux personnes étaient en train de plaisanter sur ça.  « Je suis tout à fait d’accord avec toi ! Tu as bien le droit de te balader. Mais je faisais mon tour de garde, je me demandais où tu étais passée pour que j’établisse ton bilan. Pendant ton absence, j’ai d’ailleurs commencé… Sais-tu que si je t’avais cherché dans tous les recoins de l’hôpital, je n’aurais pas pu m’occuper de mes patients. S’il y avait eu une urgence, j’aurais dû intervenir, mais non j’aurais été en train de te chercher. Tu aurais pu avoir cela sur la conscience… Enchantée Birdy, et bienvenue parmi nous ! » Si l'homme de vingt-trois voulait jouer la carte de la culpabilité, c'était perdue. En effet, les médecins sont censés rester dans leur service pendant le temps de travail sauf pendant la pose. Quand elle entendit le « bienvenue parmi nous », elle lève les yeuxle ciel. Le brun était sérieux de lui souhaiter ça ? Rentrer à l'hôpital n'était une partie de joie. Au contraire, néanmoins son sourire trahit l'humeur de la Cabot. « Tu as raison, mais je pense que tu as pas le droit de quitter le service dans lequel tu travailles sous peine de faute professionnelle ou une sanction de ton chef. Peut-être pas avec vos bippers.  De toute façon, j'allais revenir à un moment ou à un autre. Même si j'aurais pu partir en douce de l'hôpital. » Dit-elle en faisant une tête sérieuse avant d'éclater de rire en soulignant entre deux éclats de rire. « Ce n'est pas du tout mon genre. » Le visage renfermé de Nate ne pouvait que l'amuser. Peut-être l'avait t-il cru ? Ou pas. C'est vrai que Birdy a une tête d'ange, mais parfois les apparences sont trompeuses. Peu à peu son sourire s'efface afin d'écouter l'étudiant en médecine. « Non pas vraiment… Mais j’ai tellement faim ! Je n’ai rien mangé depuis l’aurore et si l’on veut que je tienne la nuit, il faudrait que j’avale des glucides pour me remettre d’aplomb » L’américaine ne pût d'approuver d'un signe de tête, car son ventre réclamait aussi à manger. Et pour son plus grand malheur ce dernier se mit à faire de drôles de bruits, ce qui la rend très mal à l'aise. Pourquoi avait t-il on ? Parce qu'il comptait rester à ses côtés pendant le temps de son insomnie ? Cela l'intriguait beaucoup, mais n'ose poser la question. Les yeux marrons / verts viennent croiser ceux du brun ténébreux pendant qu'il lui faisait un clin d'oeil ce qui a le don ou le malheur de la faire rougir. « Je comprend ce que tu veux dire car j'ai moi-aussi faim. Laisse-moi devenir tu va prendre un énième café pour éviter de t'endormir. » Bon Okay c'était facile et assez logique comme devinette. Nerveusement la jeune femme se touche les mains, maintenant que Mademoiselle Silver allait devoir suivre un régime très stricte pour éviter de manger trop ou pas assez de glucides. « Désolé, je ne sais pas où j’ai la tête, j’ai complètement oublié ! Je m’en occupe ! » Enfin. Birdy était soulagée que Nath enlève la perfusion. Ceci allait lui faire un poids en moins et être libre de ses mouvements. Depuis leur récente rencontre, la rose n'arrêtait pas de sourire à l'Eliot. La femme de vingt-deux ans laisse le jeune interne faire son travail. C'est-à-dire enlever la perfusion, retirer l'aiguille de son bras et pour terminer mettre un pansement. Pourtant il ne l'avait juste effleuré quand il avait mit le pansement, mais bizarrement l'étudiante en design de mode et photographie avait apprécié. Après cette petite mésaventure, les deux Harvadiens se dirigèrent vers l’ascenseur afin de se rendre à la cafétéria qui se situait au dernier étage. Fixant le regard vers l'indicateur d'étages, elle vit quelques chiffres défilaient, quand l'homme âgé de 23 ans reprit la parole pour dire. « Je te remercie ! Mais j’ai toujours détesté mon prénom ! Je le trouve banal, on en croise souvent ! Et encore, tu ne connais pas mon nom complet ! C’est une horreur. En revanche, le tiens est plus intéressant, il est très joli et fort original ! » Maintenant Birdy était intriguée de savoir son nom. Il n'aurait  pas dû dire ça. Se mordillant les lèvres elle répond du tac au tac. « Si ça peut te rassurer je ne connais pas beaucoup de gens qui ont le même prénom que toi. Je peux savoir quel est ton nom de famille ? C'est juste de la curiosité mal placée. Promis je te rechercherai après l'avoir su (rire). Merci mais je te dis pas les nombreux surnoms que j'ai. Piou, Piou, L'Oiseau entre autres. » Lançant un regard à son interlocuteur, elle attendit de voir sa réaction concernant sa petite blague. Soudain la lourde machine se fit plus lourde tandis qu'un bruit très court indiquait qu'ils étaient arrivés à bon port. Comme le voulait Monsieur De Snowdon, Birdy passe devant lui, une fois les portes ouvertes, et se dirige vers la cafétéria. Il y avait deux. Une pour le personnel et l'autre pour les familles & patient(e)s. La demoiselle s'arrête et attends un signe, une parole pour savoir si Birdy devait le suivre ou au contraire aller dans la deuxième cantine. Secrètement, l'américaine espérait que l'anglais allait lui demander de le suivre afin de manger avec lui et faire plus ample connaissance. Quitte à se faire réprimander et partir par le corps professionnels de médecine. Ce n'est pas bien grave. C'est tentant de pas respecter les règles de temps en temps.
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Le changement on aime pas ça, ça nous fait peur. Mais on ne peut pas empêcher les chose de changer. Soit on s’adapte, soit on reste en arrière. Ça fait mal de grandir, de changer. Si on vous dis le contraire c’est un mensonge. Mais la vérité c’est que parfois plus les choses changent plus elles restent les mêmes. Et parfois, parfois le changement a du bon, parfois le changement est la clef, le changement est tout...


Ce n’était pas la peine de penser prendre une pause. Le jeune Anglais devait absolument prendre connaissance de ses patients avant de faire quoi que ce soit d’autre. Une seule avait manqué à l’appel ! Il s’agissait de la jeune Birdy Silver, une jeune femme âgée de 22 ans, cette dernière était atteinte de diabète. Une maladie sans risque mais qui représentait quelques complications pour les jeunes gens vis-à-vis de leur alimentation qui n’était pas toujours très saine. La jeune femme était arrivée à lui sans qu’il ne la cherche bien longtemps. Rapidement, il se rendit compte de l’incroyable beauté qu’elle possédait. Ses yeux avaient dû mal à ne pas être rivés sur autre chose que ses yeux. Sa peau de porcelaine était translucide, presque transparente. Ses lèvres étaient d’un rosé de poupée, elles étaient fines et bombées. Quant à ses yeux, ils étaient marrons et verts. D’une grande banalité pour certains. Pourtant, Nathaniel les voyait différemment ! Il les trouvait vifs, expressifs et charmeurs. Elle avait ce visage angélique digne d’une poupée de porcelaine, mais son regard la trahissait. Ils étaient le reflet de son âme. Plus coquin, plus diabolique qu’on ne pouvait le penser. Pour connaître l’expression de ce regard, il fallait davantage la connaître. Or pour le jeune Anglais, il fut difficile de ne pas penser avec autre chose que son cerveau. Il était plus intrigué par la jeune femme. Il ne disait pas non pour la mettre dans son lit. Tout était fait pour que tout se passe sans aucun souci. Peu de personne passait dans les couloirs à cette heure-ci. Le règlement interdisait formellement une relation entre un membre de l’hôpital et les patients. Le jeune homme n’avait en aucun cas peur des règles. Bien au contraire, il avait été si cadré durant son enfance, qu’il avait tendance à aller jusqu’au bout de ses limites, sans trop réfléchir aux conséquences. Son métier passait avant le reste, mais cette fois c’était différent. Son attirance envers la jeune femme était si cristalline qu’elle aurait pu s’en rendre compte en se jetant un peu sur le jeune homme. Il ne cachait jamais ses sentiments, ni même ses expressions. C’était différent dans le sens qu’il voulait qu’elle le connaisse pour sa véritable personnalité et non pas à cause d’un titre à la noix qui faisait bien saliver les jeunes femmes. Surtout qu’il était successeur au trône d’Angleterre. Bien des femmes avaient joué avec lui pour une telle chose et il avait su leur rendre. Le jeune homme voulait qu’elle le connaisse bien, qu’ils deviennent de proches amis sans forcément y avoir une quelconque ambigüité. « Tu as raison, mais je pense que tu as pas le droit de quitter le service dans lequel tu travailles sous peine de faute professionnelle ou une sanction de ton chef. Peut-être pas avec vos bippers. De toute façon, j'allais revenir à un moment ou à un autre. Même si j'aurais pu partir en douce de l'hôpital. » Le comte de Snowdon osa la regarder de haut en bas avec un petit sourire en coin des lèvres. Il titilla de ses doigts fins le fil de la perfusion qu’il finit par saisir entre ses doigts. « Soyons sérieux une minute, crois-tu que tu aurais pu aller bien loin avec cette chose ? Tu n’aurais pas même tenu une heure de marche avec tellement c’est énervant à transporter. Puis réfléchis bien, si une personne t’avait vu avec un tel accoutrement, tu crois qu’elle n’aurait pas trouvé ça bizarre de trouver une jeune fille avec une perfusion accrochée à elle ? Remarque, tu aurais pu leur faire peur en leur faisant croire que tu venais d’un hôpital psychitrique. »( « Tu as raison, mais je pense que tu as pas le droit de quitter le service dans lequel tu travailles sous peine de faute professionnelle ou une sanction de ton chef. Peut-être pas avec vos bippers. De toute façon, j'allais revenir à un moment ou à un autre. Même si j'aurais pu partir en douce de l'hôpital. ». Un rire cristallin finit par se faire entre les murs de la salle de soins. C’était l’humour anglais du jeune homme. On ne pouvait pas lui en vouloir, ses origines ne l’aidaient pas vraiment. Sans perdre une minute de plus, il alla chercher son matériel pour enlever cette satanée perfusion à la jeune femme. Cela faisait bien un moment qu’il n’avait pas grignoter quelque chose. Ce métier était l’un des plus beaux qui pouvait exister à ses yeux, mais contraignant. Il était dur d’avoir une vie de famille et de pouvoir avoir du temps pour soi. Son temps il devait le consacrer aux autres et il était heureux de partager sa bonne humeur avec les autres même si pour cela il mangeait rarement à des heures convenables pour son estomac. « Je comprend ce que tu veux dire car j'ai moi-aussi faim. Laisse-moi devenir tu va prendre un énième café pour éviter de t'endormir. » Le jeune homme leva la tête vers la jeune femme en lui faisant un petit sourire. Il est vrai que tous les membres de l’hôpital fonctionnaient à la caféine. Elle était devenue la meilleure amie du jeune garçon. Durant ses examens, elle lui permettait de tenir dans ses révisions. Au boulot, elle lui permettait de tenir la nuit s’il était appelé pour faire une nuit. Il ne pouvait pas s’empêcher d’en boire plusieurs tasses par jour. Il était au-dessus de la limite pour sa santé. Il était devenu accroc à cette chose. Maintenant, il ne pouvait se lever sans boire une tasse et encore moins prendre cinq minutes de pause sans boire un café. En comptant bien, il devait en consommer plus d’une dizaine dans la journée. A cette vitesse, il devait se calmer avant que cela n’empire. « Tu as bien raison ! Je dois en prendre plus d’une dizaine par jour, cela peut même être un repas pour moi. Ces derniers temps, j’ai rarement de temps pour moi-même. C’est triste à dire mais c’est devenu mon principal moteur. Mais je compte bien manger quelque chose sinon je ne pourrai pas tenir toute la nuit ! Le jeune homme retira l’aiguille implantée en la jeune femme, et déposa un pansement sur la marque de sa piqûre. Posant son matériel à côté de lui, il regarda la jeune femme en lui faisant un grand sourire. « Tu dois être un peu plus libre dans tes mouvements ! J’espère ne pas t’avoir fait trop mal ! » Les deux étudiants finirent par rejoindre l’ascenseur, le jeune homme finit par passer ses mains sur le visage pour se frotter les yeux en se retenant de bailler de fatigue. Cette nuit allait être longue, mais il voulait en profiter pour être un maximum de temps avec la jeune femme. Son bipper dans la poche, il ne risquait pas de manquer grand-chose sauf si cette chose se mettait à faire du bruit. « Si ça peut te rassurer je ne connais pas beaucoup de gens qui ont le même prénom que toi. Je peux savoir quel est ton nom de famille ? C'est juste de la curiosité mal placée. Promis je te rechercherai après l'avoir su (rire). Merci mais je te dis pas les nombreux surnoms que j'ai. Piou, Piou, L'Oiseau entre autres. » La question fatale arriva. Elle ne risquait pas trop de connaître sa famille, seul les Anglais de purs souches pouvaient connaitre son père et sa place dans la royauté. Mais il suffisait qu’elle sache un peu plus sur la royauté pour que ses espoirs soient anéantis. En dehors de cela, il ne manqua pas de rire à tous les surnoms peu originaux que bien des personnes avaient dû lui trouver. « Tout ça n’est pas bien original dis-moi ! Alors j’ai un nom bien pompeux, du style vieille école vois-tu ! Je m’appelle Nathaniel William Robert Aiden de Snowdon. Il fallait que je te donne mon nom complet pour que tu te rendes compte du cadeau de mes parents ! Original, non ? « Le jeune homme avança derrière sa patiente, il prit la direction de la cafétéria du personnel, c’était la seule qui fonctionnait non-stop. Il était sûr qu’ils pourraient quelque chose à manger. « Suis-moi, il faut aller à celle du personnel ! C’est ici qu’on trouvera le plus à manger, puis ce sera meilleur ! Je t’invite ! Tu n’as qu’à prendre ce que tu veux ! » Le jeune homme fit un sourire à la jeune femme et alla chercher deux plateaux. Les deux jeunes gens allaient enfin pouvoir manger et prendre tout leur temps pour se connaître.
(Invité)

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