NATHANIEL W. DE SNOWDON ▶ BEN BARNES

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Darkanas et j'ai 20 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Le design est magnifique ! Le concept est un contexte que j'adore jouer. Malgré l'activité qui intimide, les membres sont supers sympas !    alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Ben Barnes comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bazzart. Je fais environ 1000 mots par RP et mon personnage est un personnage inventé.

Mot de la fin ? ▲ Mouahahahahah           
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)

Newcastle upon Tyne est une ville moyenne d’Angleterre, nichée près de la rivière River Tyne. C’est ici que le comte et la comtesse de Snowdon ont une grande propriété qu’ils se servent uniquement en été. Cette fois-ci, ce fut différent ! Alexandra Roosenfield était enceinte de 7 mois, ne pouvant plus supporter les mondanités et l’oppression de la grande capitale, elle avait décidé de rejoindre leur résidence secondaire pour se reposer. En ce 9 avril 1991, elle eut la grande surprise de donner naissance à son enfant. C’était bien trop tôt pour elle, elle n’était qu’à son huitième mois de grossesse quand elle perdit les eaux. Son mari prit aussitôt l’avion pour la rejoindre. Elle n’eut pas le choix, elle devait accoucher au sein de leur propriété pour ne pas entraîner des complications. Après plusieurs heures de travail, des pleurs, des cris et des insultes balancées à son mari venu de Londres, le petit héritier venait de pointer le bout de son nez. Les deux époux ne se concertèrent pas longtemps sur le nom du petit garçon. Il allait s’appeler Nathaniel William Robert Aiden De Snowdon. L’héritier de la famille De Snowdon était à son tour membre de la famille royale d’Angleterre. La royauté au sein de cette famille s’exerçait depuis de nombreux siècles. Cette tradition continuait de se perpétuer au fil des générations. Le comte De Snowdon Junior était un prétendant au trône placé à la vingtième place, sans réellement d’importance, mais en monarchie il était nécessaire de le préciser. Les jeunes parents étaient tous les deux de familles monarchiques. Alexandra était membre de la famille royale d’Espagne sans réelle place sur le trône. Elle était la dernière d’une famille de six enfants. Elle avait juste hérité du titre. Elle ne travaillait pas, elle gérait la fortune de sa famille. Quant à John, il était également le Comte De Snowdon. Sa famille avait toujours eu sa place au sein de la monarchie britannique. A son tour, il était devenu Lord et possédait une grande industrie d’hôtels prestigieux à travers le monde. Les deux jeunes gens n’avaient pas échappé à un mariage arrangé, sans s’aimer, ils s’étaient mariés pour la coutume et avaient déjà une fille aînée qui s’appelait Katherine Linda Carlson De Snowdon. La petite n’avait pas de titre en particulier, elle n’allait pas hériter du domaine familial, mais de celui de sa mère en Espagne. La venue du petit Comte avait été très attendue par le personnel du manoir, mais également par la famille. A la suite de sa naissance, Nathaniel fut transporté jusqu’à Londres pour que la reine lui donne le titre de Sa Majesté Royale le Comte De Snowdon. C’est à partir de ce moment que les mondanités du petit homme commencèrent.

A l’âge de six ans, le jeune Comte avait eu droit à sa première apparition en public. Ce fut le jour de l’enterrement de la princesse Diana. Un évènement qui toucha profondément l’Angleterre. Le jeune garçon avait suivi ses parents sans réellement comprendre le drame. Ces derniers lui cachaient pas mal de choses pour le préserver du monde extérieur. C’était le petit Comte, il fallait le protéger et l’éviter de trop le montrer à la lumière du jour. C’est dans un petit costume de marque de couleur noire que le petit garçon défila en donnant la main à sa mère. En levant les yeux vers cette dernière, elle afficha un mouchoir devant ses yeux pour éponger les larmes qui ne cessaient de couler le long de son visage. Son père était droit et ne laissait paraître aucune émotion. Ne comprenant pas très bien la situation, le garçon se tourna vers sa sœur de deux ans son aînée. « Kat’ qu’est-ce qui s’passe ? »La petite fille tenait entre ses mains un bouquet de roses blanches et marchait droit devant elle. « La grande princesse est morte, et là on est à son enterrement, tu comprends ? » Le petit garçon regarda tout autour de lui. De nombreuses personnes ne cessèrent de pleurer, ou même de regarder le cortège. Ne comprenant pas trop la situation du monde extérieur, il regarda sa sœur avec un grand sourire. « Oh ! Mais tu as vu tout ce monde ! Qu’est-ce que j’aimerais qu’on me fasse un tel cortège ! » Sa sœur se mit à rigoler. Les deux jeunes enfants comprenaient sans trop comprendre la situation. Cela les faisait plus rire qu’autre chose. Une grande complicité se dégageait entre les deux jeunes. Sauf que le Comte lui-même finit par remarquer l’attitude détestable de ses enfants et inappropriées. C’est en devenant rouge qu’il prit sa fille par le bras pour la diriger à ses côtés. « Ayez un peu de respect vous deux ! Ce n’est pas une aire de jeu, mais un enterrement ! Surveillez vos manières, je vous prie ! »Le petit garçon toisa du regard son paternel, il avait une peur bleue de ce dernier. En effet, il n’arrêtait pas de les corriger sans cesse, sans que les deux jeunes ne puissent respirer. Nathaniel avait toujours préféré sa mère qui était une femme plus douce et plus attentive aux demandes de son fils. Elle avait tendance à trop le gâter ce qu’adorait le petit garçon.

C’est à l’âge de dix ans que le jeune garçon intégra une école pour garçons dans le centre de Londres. Une école privée pour jeunes garçons. Ces derniers recevaient une éducation de rêve ! Ils étaient près à devenir de parfaits petits gentlemans afin de ne pas salir le nom de leurs aînés. Nathaniel n’avait jamais été à l’école, il avait toujours eu un précepteur qui s’occupait de lui en le faisant travailler à la maison. Mais cette année, son paternel avait décidé de le coller dans cet établissement pour lui apprendre les bonnes règles et surtout avoir une éducation parfaite. Il échappa au pensionnat à la demande de sa mère, ce qui ne dérangea pas son père. Le petit garçon rentrait chaque soir de l’école par l’intermédiaire du chauffeur familial. Mais chaque soir était différent. En plus des cours qu’il recevait à son école, il avait le droit de suivre des cours de danse de salon, de bonne conduite, de langages, mais aussi de sports. Le petit garçon n’avait jamais une minute à se consacrer, toute sa vie de petit Comte était réglée à la minute près. Sans jamais désobéir, il exécutait toutes les tâches qu’on lui donnait. Mais il ne pouvait jamais prendre cinq minutes pour jouer avec sa sœur ou même monter à cheval. Il était forcé de tout exécuter sans râler et rapidement. Pour ses parents, l’apprentissage d’un petit Comte devait être impeccable ! Personne ne devait formuler aucune remontrance à son égard. Mais ses parents lui donnaient trop d’importances, ce qui avait tendance à créer des jalousies avec sa sœur aînée qu’on oubliait. « Tu es le chouchou de la famille, il ne faudrait pas abimer le prodige de la famille ! » Le petit garçon ne cessait de prendre ce genre de raisonnements de sa sœur aînée. Eux qui étaient si proches, maintenant ils étaient des étrangers. Elle le méprisait, le faisait punir à sa place et le manipulait. Le petit garçon ne comprenait plus trop cette situation, elle était sa sœur, elle ne pouvait pas le détester, c’était impossible ! Et pourtant si, elle avait décidé de lui pourrir sa vie jusqu’au jour où il ne serait plus de ce monde. C’est avec de telles querelles que le petit homme dû apprendre à grandir.

Six ans plus tard, le jeune garçon était devenu un beau jeune homme. Le teint de porcelaine, les yeux d’une couleur sombre et une chevelure brune, il pouvait faire craquer toutes les jeunes filles du lycée privé du centre de Londres. Maintenant, tout le monde mettait un nom sur le nouveau Comte De Snowdon, tout le monde connaissait Nathaniel et a situation. Une véritable opportunité pour toutes ces jeunettes qui ne cessaient de vouloir l’approcher ou de sortir avec lui pour profiter de sa richesse. Le jeune homme était un peu naïf, il se laissait approcher par tout le monde sans avoir d’arrières pensées. Sa grande sœur passait ses examens à l’étranger ce qui leur permettait de ne pas trop se voir. Leur relation était devenue mauvaise avec le temps, elle l’accusait d’avoir été un homme et de garder l’attention de ses parents. Une chose qu’il n’avait jamais comprise, car il l’aimait. Elle était sa grande-sœur, celle sur qui il prenait exemple. Être détesté de sa part était la pire chose qui puisse exister sur cette planète. En classe, le jeune garçon était exemplaire, il travaillait sans cesse et obtenait des résultats brillants. Tous ses amis étaient toujours proches de lui, mais ce dernier l’était moins, il détestait partir faire des soirées avec ses amis sous prétexte qu’il n’en avait pas le droit. A chaque fois, il trouvait des excuses pour ne pas assister à ses évènements. Personne ne lui en voulait car il était très généreux et surtout il faisait partie de la famille royale, ce que tout le monde savait. Le jeune homme n’était sans reproche jusqu’au jour où ses parents divorcèrent. Sa mère avait trouvé un nouvel homme avec qui elle avait trompé son père durant des années sans que personne ne puisse se douter de rien. Elle avait décidé de quitter son père sur un coup de tête. Le divorce venait d’être prononcé quand le jeune homme fut au courant. Celle qui avait été sans cesse son héroïne venait de le laisser tomber. Sortant de la propriété, il la vit grimper dans cette grande voiture noire. Avant qu’elle ne puisse démarrer la voiture, ce dernier se mit devant. Sa mère décida de sortir de la voiture pour le confronter. « Comment oses-tu nous faire ça ? Comment oses-tu me laisser ici pour partir avec cet homme que je ne connais même pas ?! Tu partais comme une voleuse sans me donner d’adresse, ni même de nouvelles ! Comment peux-tu faire ça à ton fils ! » Sa mère croisa les bras, elle savait qu’elle était en faute, mais elle en avait marre qu’on lui dicte sa vie. Ce n’était pas son fils qui avait à lui dire quoi faire ! Il ne manquait plus que cela ! « Tu n’as pas à me dicter ta vie Nathaniel ! Je fais encore ce que je veux ! Je n’ai aucun compte à te rendre. Je ne peux plus avoir à faire à toi, et je ne veux pas ! Tu ressembles tellement à ton père que je ne peux pas te regarder dans les yeux sans ressentir de dégoût ! » Ce dernier tomba des nus. Jamais il n’aurait pensé que sa mère puisse le détester. Il avait toujours fait ce qu’elle voulait. Il l’avait toujours aimée, respectée et écoutée. Jamais elle n’avait eu à se plaindre de lui. C’est les larmes aux yeux que le jeune homme regarda sa mère, laissant ses bras tomber le long de son corps, il ne sut exprimer le moindre mot. « Maintenant, je peux te dire adieu ! Tu n’auras plus jamais à faire à moi ! C’est comme si j’étais morte à tes yeux, ne cherche pas à me retrouver, je ne voudrai pas de toi. Tu dois faire ta vie sans moi, et moi également. Adieu Nathaniel ! » Ce fut les dernières paroles de sa mère. Il regarda la voiture partir au loin, sans qu’il ne puisse la rattraper. Il était tétaniser sur place, c’était comme si une force le retenait sur place. Il ne pouvait plus respirer, ni même regarder devant lui. Les larmes vinrent submerger son visage d’ange. Le jeune homme s’écroula sur le sol en pleurant. Mais une douleur au sein de sa poitrine se déclencha. L’empêchant de respirer, il se tourbillonna dans tous les sens, sans pouvoir réussir à respirer. C’était comme si on l’en empêchait. Le chauffeur de la famille s’en rendit aussitôt compte en ramenant le Comte d’un rendez-vous professionnel. Les deux accoururent vers lui pour le placer dans la voiture et le conduire aux urgences. Le jeune homme fut rapidement pris en charge par les médecins, son état s’était aggravé ! Il n’arrivait pas à se calmer. Les médecins découvrirent chez lui une crise d’hyperventilation qui était due au départ de sa mère. Les médecins arrivèrent devant le Comte pour lui annoncer la nouvelle. « Monsieur le Comte, votre fils souffre d’un syndrome causé par le stress, on appelle cela l’hyperventilation. Il est en manque de dioxyde de carbonne et son système respiratoire s’affole. Ce n’est pas une maladie très grave mais qu’il faudra surveiller ! Il devra toujours être muni de son traitement, mais également d’une poche de papier lui permettant de contrôler sa crise et de respirer l’air qu’il lui manque. Vous pouvez aller le rejoindre. Il vous attend dans sa chambre. »Le Comte remercia les médecins, et pressa le pas vers la chambre de son fils. C’est à ce moment précis qu’il remarqua que son fils n’était plus le même. Il semblait avoir changé, être différent. Il semblait être devenu un être sarcastique qui ne faisait plus confiance à personne.

En cette soirée du 4 juillet 2009, le jeune homme fêta son diplôme de fin du secondaire qu’il venait de recevoir. Il avait décidé de faire une réception pour lui et ses amis dans sa grande résidence. Tous les élèves de terminale étaient de la partie, ils étaient tous venus à la fête du jeune Comte. Ce dernier avait beaucoup changé depuis ses seize ans. Il était devenu plus musclé. Ses airs masculins avaient pris le dessus. Il était devenu un homme magnifique que la nature avait gâté. Malgré tout, même son caractère avait changé, surtout au niveau des femmes. Il ne leur faisait pas confiance, il voulait juste les séduire pour les utiliser. Jamais il n’était tombé amoureux. Jamais il n’avait ressenti une quelconque affection envers elles. Elles étaient justes là pour le combler une nuit de plus. Un rôle qui plaisait beaucoup certaines, il savait choisir ses proies, les manipuler et se montrer détestable avec elles. Il était sans scrupule et faisait toujours ce qu’il fallait pour avoir une fille dans son lit ! Elle acceptait que pour une seule chose : son argent ! Les jeunes hommes avec qui, il traînait, étaient les prototypes des hommes musclés et intelligents. Ils étaient tous conscients de leur beauté, et aucun d’eux ne voulait une relation sérieuse, ils avaient décidé de profiter de leur vie sans se soucier des conséquences. Une ligne de conduite que le jeune homme avait décidé d’adopter. Durant cette soirée, de nombreuses jeunes femmes tentèrent de s’approcher de lui, mais le jeune homme avait déjà choisi sa proie. Il s’agissait d’Angélica, une jeune Française, venue étudier en Angleterre pour apprendre la langue anglaise. Elle avait toujours été attirée par le jeune garçon. Puis, elle était devenue une proie très facile depuis qu’elle avait bu ce huitième ou neuvième verre de vodka. « Ta soirée est formidable Nath’ ! Je te remercie de m’avoir invitée ! » Le jeune homme lui sourit et lui offrit un nouveau verre. « Je t’en prie, c’est un grand plaisir d’être en ta compagnie ! »Au fur et à mesure de la soirée, la jeune femme se laissa aller dans les bras de Nathaniel, dansant près de lui. La soirée fut tellement arrosée, que la jeune femme ne se laissa pas prier pour passer la nuit dans le lit du jeune homme. Ce fut une nuit chaude, mais sans importance aux yeux du jeune homme qui était déjà réveillé aux aurores. Ce genre de vie lui convenait très bien. Il ne se souciait de rien. Plus rien ne l’importait que de réussir sa vie professionnelle. Demain, il allait intégrer l’université prestigieuse d’Harvard où il allait étudier la médecine pendant pas mal d’années. Il était enfin prêt toutes ses affaires avaient été livrés, il ne restait qu’à prendre l’avion pour se diriger dans sa nouvelle ville. Sa nouvelle vie venait de commencer et il n’espérait qu’une seule chose : la réussir par ses propres moyens.
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