Avec Elios tu entretenais une relation amicale plutôt basé sur la taquinerie et l’amour vache. Jamais vous n’aviez un mot gentil pour l’autre ou un geste gentil mais au fond vous vous aimiez beaucoup. Et même si tu appréciais Elios comme un véritable ami, tu n’appréciais pas tous les eliots, de nombreux eliots étaient tes ennemis et le resterais à jamais. Mais bon la guéguerre parfois ridicule entre les deux confréries était mise de côté pour l’été, car cet été ta véritable équipe serait la team framboise peu importe qu’il y a eliot, mather ou cabot ça serait ton équipe et tu la mènerais à la victoire coûte que coûte. Alors que tu divaguais légèrement dans ta tête Elios te piquer à manger dans ton assiette en te parlant comme si tout était normal. Tu souriais en l’écoutant te dire des choses qui n’avaient jamais eu vraiment leur place dans votre relation. « Devenir sérieuse ? J’aimerais avoir une vraie motivation de devenir sérieuse mais je n’y arrive. Tout d’abord, je pensais que ça serait Konrad mais ça fait quatre mois que je suis en relation avec un fantôme moi j’en ai marre. J’ai envie de m’amuser, de rigoler, de profiter de la vie. Je suis jeune, un peu beaucoup insouciante. Je n’ai pas envie de m’enfermer dans une relation qui tourne à la routine et qui au final ne me rends pas heureuse. Enfin bref, cet été ont fait un break avec Konrad mais on sait très bien que je vais en profiter. » Tu soupirais doucement, passant l’épisode de la replonge dans la drogue qui risquait plus d’affoler quiconque que le contraire. Elios te serrais alors doucement contre lui. Pendant ce temps, tu rapprochais tes fesses des tiennes afin d’amincir cette distance qui vous séparer alors que le jeune homme tentait de te décrire. « Oui, je suis un peu sanguine. Mais les gens ont qu’à arrêter de toucher à mes affaires. Ce qui est à moi est à moi. » Tu riais doucement. Toi possessive ? Pas du tout, tu ne connaissais pas du tout ce mot. Alors que tu prenais un gâteau Elios tournait son visage vers toi et le gâteau en tombait de ta bouche. Vous étiez vraiment très proche et tu ne pouvais faire autrement que de fixer ses yeux. Tu ne savais pas pourquoi mais il fallait que tu le regardes dans les yeux. « Recoudre les liens ? Qui les a décousues ? Nos différences de confréries peut-être. » Ta voix devenait douce, limite tu changeais de voix quoi et puis un doux sourire venait également s’installer sur tes lèvres alors que tu prenais en bouche le bout de gâteau qu’il te restait.