LYDIA A. KOSTAS ► Dianna Agron

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle Aurélie ou Lilou et j'ai 08 ans mentalement. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart.  Il est très beau alors j'ai décidé de m'inscrire. J'utilise Dianna Agron comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par bombshell. Je fais environ nombre mots par RP et mon personnage est un personnage plus ou moins inventé.

Mot de la fin ? ▲ Ajout libre.
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?) participer au Summer Camp (?)

"Elle est morte!" Sa voix résonne encore entre tes oreilles. Morte comment? Putain! Mais qu'est-ce qu'il a encore foutu. Tout ce que tu arrivais à faire, c'est fixer ce corps inerte qui jonchait le sol face à tes pieds, tu n'avais rien compris à ce qui venait d'arriver, la minute d'avant, tu buvais encore dans cette putain de bouteille de vodka à danser pieds nus sur le canapé et la minute d'après tout c'était stoppé. C'était bagdad dans ta tête, ton cœur battait la chamade, tes yeux explosé étaient rivés sur cette tignasse brune échouée au sol. "Merde Ly' bouge ton cul!" Tu n'avais pas saisi tout ce qu'il avait dit avant, tu cherchais un sens à cette histoire, tu ne savais pas quoi faire, tu restais comme une pauvre imbécile fixe sur ton canapé, tu étais tellement à l'ouest que tu n'arrivais plus à penser, ce qui était bon à faire ou non. Appeler les flics? Une ambulance? Cette simple idée ne t'était pas venue en tête, non, tu te laissas seulement tirer par cette main masculine qui t'avait chopée le poignet afin de quitter cette chambre de motel. Tu ne  t'étais pas retournée, tu l'avais laissée là, agonissant au sol, enfin elle était dorénavant bel et bien morte, elle ne soufrait pas, percuter cette tête contre cette table lui avait brisée d'un coup sec la nuque ne lui laissant alors aucune chance d'en survivre. Toi, telle une lâche tu avais fuit toute responsabilité, à vivre ta putain de vie parmi tant d'autres, personne ne se doute que ton amie est morte sous tes yeux, que ton copain de l'époque t'avait arraché de cet hôtel, ce petit con tu as fini par le quitter ou c'est lui qui l'a fait, rien à faire c'était un crétin fini. Quelle personne pouvait abandonner une autre? Tu n'as aucune excuse, tu n'avais qu'à te conduire comme une adulte, chose que tu n'arrives toujours pas à être aujourd'hui. Résultat, on peut dire que tu t'en sors bien et pourtant ça finit par te ronger peu à peu de l'intérieur et la culpabilité resurgi.

Allongée sur ton lit, des milliers de petites étoiles venaient de se dessiner sur ton plafond, non tu n'avais pas collé ces stupides stickers qui s'illuminent dans la nuit, c'était seulement ton imagination qui te jouait un sale tour. Tu es seule au monde, c'est ce que tu ressens au fond de toi, depuis que tu as déménagé avec ton père, tu as cette constante impression d'avoir un trou au fond de toi, un manque, l'absence d'une personne qui t'es chère. Rien ne tournait rond dernièrement, les hommes avec qui tu pensais finir ta vie t'ont lamentablement arraché le cœur sans remords. Tu sais ces fois où tu te retrouves à pleurer comme une madeleine sur ton lit, les yeux rouges, le nez qui coule, ces fois où tu ressembles à un hamster clown, car tu pleures tellement que ton cerveau semble prêt à exploser, tu te vides de toute ton eau que tu as besoin de chopper rapido une bouteille d'eau afin de te réhydrater afin de ne pas crever si possible entre deux larmes. Tes mouchoirs jonches le sol, tu es vide, ton cœur est parti, tu as juste envie de... dormir, pleurer ça crève mine de rien! Tu sais pertinemment que le lendemain ça ira mieux, mais le vide ne sera pas comblé et tu te retrouveras encore en train de chialer la nuit. Les hommes sont cons, oui phrase typique de la femme au cœur brisé, on n'échappe pas à la règle, tu t'étais dit que plus jamais tu tomberais amoureuse, jusqu'au prochain beau-gosse qui croisera ton chemin. Peut-être qu'un finira par faire la différence, ouais tu en rigoles encore aujourd'hui en y repensant. Tu préfères te perdre dans tes films pourris de gonzesse et tes livres, vivant ton amour parfait entre ces lignes Il n'y a pas à batailler, jusqu'à présent, tu es une collectionneuse de connards. Un jour mon prince viendra, un jour un s'aimera... foutaises.

Te tenant derrière ton écran d'ordinateur en compagnie de ta sœur, tu vins à refermer cette fenêtre, large sourire sur les lèvres, toi et ta demi-sœur étiez heureuses, vous veniez de raccrocher avec la sœur jumelle de celle-ci. Voilà bien longtemps que ta sœur ne cesse de parler d'elle, te faisant part de ses désires de la retrouver un jour. Tu aurais très bien pu te sentir à l'écart, après tout, depuis le temps que tu vis avec elle, vous êtes très proche, mais tu comprends ce désire ressenti de retrouver sa moitié. Cette partie manquante comme elle te l'avais si souvent répétée, c'est sa sœur, normal qu'elle lui manque durant tout ce temps. Tu étais euphorique, une excellente idée vous étiez venue en tête, tu l'avais déjà soumise à ta demi-sœur à nombreuse reprise, mais le plus dur restait à faire, convaincre votre père. Dernier obstacle sur la route. Il n'est pas du genre à laisser si facilement filer ses filles comme ça, tu as déjà eu bien du mal à ce qu'il t'accorde quelques vacances d'été dans un pays étranger... La tâche allait être rude! Après avoir aidé ta sœur à convaincre votre père, lorsqu'il céda enfin, tu étais contente que le rêve de ta sœur puisse enfin de réaliser son rêve... Tu n'arrives pas à croire qu'il te laisse partir à ton tour avec elle, tu ne sais pas ce qu'il lui est passé par la tête, toi qui a longtemps espérée pouvoir suivre tes études à l'étranger, voilà qui étais fait. Tu t'envoles en compagnie de ta demi-sœur pour Cambridge, contente de pouvoir faire connaissance avec cette autre sœur qui t'es alors totalement inconnue. Tu es née un an plus tard qu'elles, issue d'une liaison extraconjugale, tu es peu fière de cette histoire qui a provoqué la séparation de leur deux famille. Tu as longtemps entendu parler de Malia, ta sœur n'a jamais cessé d'en parler depuis qu'elles se sont retrouvée sur Skype. Une nouvelle vie s'offre à toi et tu comptes profiter de ta jeunesse, tout en restant bien évidemment concentrée sur tes études, tu as toujours été une bosseuse afin d'être la meilleure, tu as toujours eue ce petit esprit de compétition afin d'être la fierté de ton père.