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(Flashback) The awakening of the beast ► Devyn & Motya

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The awakening of the beast

 
 

 

 Je déteste ce moment de l'année où tout le monde tire une tronche macabre. C'est l'hiver et comme tout le monde, c'est rarement la période où je suis me sens follement heureux. En plus d'être embarqué dans la monotonie des cours, je suis obligé de me coltiner la vision des gens que j'aime pas au quotidien. Ce matin, et ce comme chaque matin, je me lève à 5h histoire d'avoir le temps de me préparer et d'être prêt pour 7h, le maquillage, la coiffure et la tenue réclament beaucoup de travail. Une fois prêt je prends mon sac à main avec les quelques cours pour la journée. Encore heureux, je vais en cours pour étudier mon futur métier, sinon je suis pas sûr de prendre la peine de me lever tous les matins. Comme tous les jours, il pleut, ce qui ne m'aura pas empêché de sortir en talons et de prendre le risque de glisser n'importe où. Il faut dire que ma seule préoccupation était mes cheveux, si une seule goutte d'eau les touche, ce sera l'apocalypse. J'arrive finalement sain et sauf dans le bâtiment où je suis censé avoir mon premier cours de la journée. Le bâtiment est presque vide pour une fois, et tant mieux. Je suis avec deux de mes amies et la journée commence plutôt bien, en espérant que ça dure.
 
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Fichu temps pourri. Ce n'était pas que tu n'aimais pas l'hiver, tu n'en fichais à vrai dire mais, même si tu étais londonien, tu n'appréciais pas particulièrement la pluie. Tu t'étais donc couvert assez chaudement avant de mettre à la fois ton imper gris et une écharpe multicolore grise, bleue et violet : rien de très extravagant cela dit, tu en avais vu habillé pire que cela. Tu avais ensuite mis ton sac à bandoulière sur ton épaule, et te voilà parti en direction de ton premier cours de la journée, pour ton cursus de théâtre. Tu n'étais pas très en avance, surtout à cause de la pluie... et tu en avais même réussi à oublier ton parapluie. Quand tu arrivas donc dans le bâtiment, tu ressemblais donc à un chien mouillé au niveau de tes cheveux plutôt qu'à un être humain. Peu importe, tu voyais l'heure défiler, et si'l y avait bien quelque chose que tu détestais, c'était d'arriver en retard. Ceci expliqua donc que tu bousculas quelqu'un, et que tu vis son sac au sol. T'arrêtant quelques secondes, tu pris le temps de lever les yeux et là... Ce fut le choc. Cette personne avait véritablement un look très extravagant, et ne semblais pas réellement apprécier. Je suis réellement désolée mademoiselle, vraiment ! Je vais vous aider à ramasser ! Tu t'accroupis donc, histoire de ramasser quelques affaires qui étaient sorties du sac.
 
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 C'était agréable d'avoir pour une fois l'occasion d'entamer la journée sans avoir à me confronter à la foule d'Harvard. J'avais l'impression d'être un peu en retard, mais qu'importe, j'aime me faire désirer, c'est mon côté diva. Cependant, une personne avait l'air d'être plus préoccupée par son retard que moi. En se précipitant, un garçon s'est permit de me bousculer sur son chemin, faisant tomber mes affaires. Je déteste me faire bousculer, et encore moins dès le matin, et encore encore moins lorsque ça entraîne la chute de mon sac à main. Je suis réellement désolée mademoiselle, vraiment ! Je vais vous aider à ramasser ! Il a dût voir mon visage snob et hautain pour s'excuser de la sorte. Au moins il n'a pas fait le sauvage en continuant sa route sans même se retourner. Normalement c'est monsieur, mais mademoiselle me convient aussi. Si vous pouviez vous dépêcher ce serait pas mal, j'ai cours. Je lui parlais avec un ton sec et hautain comme il m'arrive de le faire quand on fait quelque chose qui me déplaît. Alors qu'il ramasse mes quelques affaires, une vision d'horreur apparaît devant moi.
... AAAAAAAAAAAAAAAAAAHH !! Je n'ai pas d'autres mots ! C'est pas possible, c'est un cauchemar éveillé ! Il a osé me briser un ongle ! Mon pauvre annulaire droit privé d'ongle ! MAIS REGARDEZ CE QUE VOUS AVEZ FAIT ESPÈCE DE SAUVAGE, VOUS VOUS RENDEZ COMPTE ?! J'étais fini, foutu, désespérée. Je n'oserai même plus me montrer maintenant qu'un de mes ongles avait disparu. J'étais en panique totale sur le moment, on a osé défigurer ma main droite, et rien que pour ça l'inconnu en face de moi était sur ma liste noire désormais.
 
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Monsieur... Monsieur ?! Tu eus un temps d'arrêt lorsqu'il t'annonça cela comme si de rien n'était. Non, tu n'avais pas rêvé, il ressemblait bien à une fille, entre la coiffure et l'habillement, associés au maquillage... Tu n'avais jamais vu d'homme de la sorte, et tu ne savais pas véritablement où te mettre. Ton ton arrogant n'était pas non plus pour te plaire, mais tu ne répliquas rien : après tout, c'était toi qui l'avais bousculé, et qui t'était également trompé dans son identité, chose à laquelle il ne semblait cependant pas trop accorder d'importance. Tu n'étais pas pour autant son esclave et, si tu avais eu un peu plus d'audace et de courage, tu l'aurais laissé planter là. Tu avais déjà eu la politesse de t'arrêter pour l'aider alors que tu étais en retard, il ne fallait tout de même pas exagérer.
Cela aurait pu s'arrêter là, mais l'homme se mit à pousser un cri strident, digne d'une folle hystérique. Sursautant, tu te retrouvas les fesses par terre, et à lui jeter un regard surpris. Qu'est-ce qui lui prenait, à hurler de la sorte ? Il te qualifiait de sauvage, et tu n'avais pas l'impression qu'il te parlait du sac, il l'aurait fait avant sinon. Ce fut lorsque tu regardas la main qu'il pointait vers toi et que tu compris le "problème" : un ongle manquait, apparemment cassé vu son apparence actuelle. En gros, un véritable problème de filles, que tu ne savais pas régler. Tu tentas cependant, tout en te relevant et en reculant dans la direction de ta salle. Cela peut sûrement se réparer, non ? Au pire, un faux... non ? J'en suis réellement navré. Mieux valait aller dans son sens, cette personne ne semblait pas être à contrarier. 
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 J'avais du mal à réaliser la gravité de ce qu'il venait de se passer. J'ai jamais subit une telle humiliation. Et comme si son cas n'était pas assez critique, le mec en face de moi me suggère, comme si c'était si évident, de mettre un faux-ongle, ou encore de le réparer. Si la solution était si simple, je ne serai pas dans un tel état. À moins que vous connaissiez une solution miracle qui fait repousser les ongles instantanément, ça ne se répare pas non ! Et plutôt crever que de m'humilier en portant des faux-ongles. Je restais là sans bouger, et lui qui était planté devant moi comme une asperge. Bon bah restez pas planté là, je pense qu'on s'est suffisamment vu pour la journée ! De mon côté, je partais complètement déboussolé par cet évènement. En espérant ne pas le recroiser dans la journée.
 

HG : Je pense qu'on pourrait faire une deuxième rencontre de ce genre un peu plus tard dans la journée, histoire qu'il y ait une réelle dispute ! (Flashback) The awakening of the beast ► Devyn & Motya 1881463262
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Il voyait rouge, littéralement. Tu n'étais même pas sûr que toutes les filles fassent pareil si elles se retrouvaient avec un ongle cassé. Certes, tu n'avais pas eu la meilleure idée du siècle en lui suggérant de se le faire réparer, vu que cela n'existait apparemment pas... Dommage, cela t'aurait épargné ses cris de chouette. Les faux ongles, par contre, cela te semblait être la meilleure des solutions, vu que cela ne se verrait pas... mais Monsieur voulait avoir tout de naturel et rien de faux. Tu manquas en rire d'ailleurs : ses cheveux étaient naturels peut-être ? Son attitude aussi ? Pas vraiment. Ce fut certainement pour cela que, lorsqu'il te disait de partir, avec l'air d'une reine, tu lui obéis, même si tu en avais quelque peu honte.
La journée se passa relativement normalement par la suite, jusqu'à l'heure du déjeuner. Tu étais parti à la cafétéria, comme d'habitude, histoire de manger plus rapidement et de repartir réviser un cours d'arts visuels, pour l'après-midi. Alors que tu partis t'asseoir avec ton plateau encore rempli, tu fonças sans le vouloir sur une personne qui était apparu dans ton champ de vision, trop rapidement pour que tu me puisses l'éviter. Voici donc cette dernière mouillé dans l'eau, par la sauce de ton plat, et tout le reste du contenu par terre. Tu allais t'excuser, te maudissant pour ta deuxième maladresse du jour, avant de reconnaître la personne. Cette fois, tu étais réellement mal barré... vu que tu étais retombée sur l'homme bizarre du matin même.
 
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Encore bouleversé par ce qui venait de se passer, je ne prêta attention à aucun de mes cours de la matinée, sauf peut-être le cours de Design de mode. À midi, je devais me rendre au réfectoire pour déjeuner, ce qui signifiait que je devais passer devant la foule d'Harvard avec mon ongle abimé. Je sais que je suis très observé de par mon extravagance, et je ne veux pas que l'on me voit dans cet état. La seule solution était le pansement, je fis donc croire que je m'étais blessé à l'annulaire droit, pour rendre la situation crédible. Si Harvard est réputé pour son excellence, ça ne s'applique pas à la nourriture. Avec mes amies, nous sortons rapidement du réfectoire histoire d'aller en ville manger quelque chose de potable. Le plateau en main, je m'avance vers la sortie, jusqu'au moment où quelqu'un me percute, lâchant sur moi toute la bouffe qu'il avait laissé, comprenant sauces et autres liquides puant et salissant. AAAH PUTAIN ! J'étais plus que furieux, c'était la deuxième fois qu'un abruti venait gâcher ma journée ! Quand j'ai relevé la tête pour voir la prochaine victime de mes foudres, j'étais loin de me douter que ce serait le même que ce matin. Ni une ni deux, je lui mit une gifle assez remarquable pour que tout le réfectoire se tourne vers nous, l'air abasourdi. ENCORE TOI ?! CETTE FOIS C'EN EST TROP ! J'étais persuadé que c'était volontaire, on ne s'acharne pas deux fois sur la même personne par accident. Par paranoïa ou simple réalité, je commençais à penser que mon "personnage" le dérangeait. Si tu as un problème avec moi, dis le directement plutôt que de t'acharner de cette façon ! Comme si cela ne suffisait pas, nous nous donnions en spectacle devant tous les autres. Cette journée est définitivement bonne à oublier.

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Mais pourquoi étais-tu retombé sur le même homme que tout à l'heure, pourquoi ? Et pourquoi avait-il fallu que ce soit une réelle diva ? Genre, il y avait des milliers d'étudiants, un seul pareil et il fallait que ce soit sur celui-là que tu sois maladroit deux fois dans la même journée. Tu aurais voulu fuir à toutes jambes, quitte à laisser le plateau là et revenir plus tard pour t'excuser auprès du personnel, mais tu n'en eus guère le temps. Tu reçus une baffe monumentale, qui te fit trébucher et reculer, étourdi par le coup. Tu n'étais pas quelqu'un de très résistant, et il n'y avait pas été particulièrement doucement. Comme si cela n'avait pas suffi, le bruit que la claque avait mis avait été assez fort pour que les étudiants présents se tournent vers vous, ce qui suffit à te faire rougir encore plus, déjà que le point d'impact l'était. Toi non plus ce n'était pas ton jour...
C'en était trop ? Mais pour toi aussi, c'en était trop ! Tu savais ne pas mériter cette gifle, tant bien même que ses vêtements seraient tâchés. Tu n'avais même pas eu le temps de t'excuser qu'il t'avait quasiment sauté à la gorge, encore plus que ce matin, et tu sus aussitôt que tu avais déjà perdu. Tu n'étais pas combatif pour un sou, et préférait fuir les conflits plutôt que de répondre. Tu étais resté avec la main sur ta joue, hébété, alors que tu te mangeais aussi en pleine figure tous ses reproches. Un seul, cependant, retint ton attention, dans une vague tentative de défense.Mais je n'ai rien contre toi, je m'en fiche de toi, je ne t'ai juste pas vu arriver, désolé ! C'est une méprise !
 
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