[Adonis] En quête d'un frère sois disant décédé

Matthew venait de  finir de passé ses examens. Après plusieurs mois d’absence du a la bombe et ses séquelles, le jeune homme avait eu le déclic et c’était mit a travaillé depuis son retour maintenant il voulait se crée un avenir voir plus loin que le bout de son nez. Il renterai chez lui a pied après avoir rendu visite a un ami. Quand il passa devant un bar  son vieille ami de beuverie, le jeune homme avait un passé bien chargé avec se genre d’endroit, mais maintenant c’était juste pour boire du non alcoolisé, il voulait se reprendre en main. L’hôpital lui avait permis de se sevré de l’alcool et de la drogue.  Il décida de s’y arrêté, il se rappelait que dans se bars la il avait commencé à boire pas qu’il croyait avoir reconnu son frère normalement décédé il y plusieurs année. Peut être était –il t’en d’en avoir le cœur net ? Maintenant qu’il était sevré il avait les idées claire il pouvait déterminer si la personne qui l’avait cru prendre pour son frère était vraiment lui ou non, après tout il avait été supposé mort mais aucun corps n’avait été retrouvé.
Matthew poussa la porte du bar, il alla s’installé au comptoir.  Il regardait autour de lui pendant plusieurs minutes, quand il vit le portrait cracher de son frère il avait les même yeux le même corps, il le fixait, son frère le petit qu’il avait toujours protégé, pour qui il donnerait sa vie, Matthew devait en avoir le cœur net, c’était fini le temps ou il restait a se persuadé qu’il était décédé.  Il se leva sans prendre le temps de commandé, il attrapa le jeune homme par le bras et l’emmena dans un coin plus discret du bar.
« Comment tu t’appel ??? D’où tu viens ?  »
Le jeune homme était un peu brutal mais sa faisait déjà 5 ans que son frère devait être mort 5 ans qu’il avait tout fait pour l’oublier. Etait ce vraiment lui le petit frère chérie qu’il avait protégé toute son enfance ? Pourquoi ne n’aurait-il pas reconnu Matthew ? Qu’avait-il fait pour survivre pendant 5 ans ?
Les questions se bousculaient dans la tête du jeune homme et c’était légitime.

Cette soirée allait être assez mouvementée, je le sentais. Pour bien commencer, le bar était relativement plein, ce qui n’était pas bon signe. Si quelqu’un se retrouvais éméché, la soirée allait tourner au vinaigre. Il fallait donc être particulièrement vigilent, d’autant plus que ce serait pour ma pomme à coup sûr s’il fallait sortir quelqu’un de bourré. Beaucoup de personnes entraient, peu ressortaient, et bientôt, le café était bondé. Je courrais à droite et à gauche, je prenais et donnais des commandes dans le secteur qui m’était attribué pour la soirée. J’espérais simplement que la soirée se passerait convenablement.

Je sentais un regard peser sur moi. Les poils de ma nuque se hérissaient. La personne était dans mon dos. Discrètement, je regardais dans sa direction. Son visage ne m’était pas totalement inconnu, mais il n’était pas dans ma zone et j’étais très occupé. Je détournais donc le regard et m’appliquais dans ma tâche. Où l’avais-je vu ?

Concentré sur mon travail, je ne le vis pas approcher. Il me saisit le poignet et m’emmena dans un coin plus tranquille du bar. Il me demanda un peu violemment comment je m’appelais et d’où je venais. Qui était ce dégénéré ? Que me voulait-il ? Il me faisait mal.

-Je m’appelle Adonis, c’est marqué sur mon badge. Lâchez-moi, vous me faites mal !

Je me dégageais de sa poigne.

-J’ai un service à terminer vous savez.

Matthew se trouvait dans un bar, il avait décidé de prendre le taureau par les cornes, c’était dans se barres qui lui semblait avoir vu son frères normalement décédé depuis 5 ans. C’est se qui l’avait fait plongé dans une spirale infernale entre alcool et drogue pour oublié. Depuis plusieurs mois le jeune homme était parfaitement sobre et comptais bien faire face au jeune homme qui ressemblait énormément a son petit frère Adonis. Il l’avait trouvé et trainé dans un coin du bar plus tranquille. Matthew y était allé avec toute la délicatesse du monde comme a son habitude. Quand le jeune homme lui répondit que son prénom était Adonis il en resta abasourdit, comment c’était vraiment lui ?
« Adonis de la Torre ? »
Quand il lui demanda de le lâché il s’exécuta mais il ne voulait pas qu’il se sauve pas maintenant, 5 ans, 5ans sans nouvelle, 5ans qu’il le croyait mort. C’était forcement lui combien de personne pouvais s’appelé Adonis et lui ressemblé a se point la ?
Matthew avait sa main qui tremblais était ce réel ? Mais forcement que oui il l’avait touché, il l’avait vu il lui avait parlé. Quand il lui annonça qu’il avait un service a finir il lui répondit
« Quand tu auras répondu a mes questions je te laisse repartir »
Le jeune homme ne contait pas le laissé partir toute suite sa faisait 6 ans qu’il ne l’avait pas vu.

Je travaillai au bar depuis des années, et il y avait toujours ces soirs que je détestais où on ne pouvait plus respirer tellement il y avait du monde. Je l’avais bien vu, ce mec qui me lorgnait. Certes, j’étais en couple avec un mec, mais ce n’était pas une raison pour me faire reluquer de la sorte. Cependant, je ne m’en formalisai pas, j’avais d’autres chats à fouetter. Mais je n’avais pas prévu qu’il me dérangeât pendant mon service. Il me prit par le poignet et me traîna à l’écart. Je me débattais un peu, mais il était bien plus musclé que moi. Il me demanda mon nom. Un brin hargneux, je lui répondis qu’il était inscrit sur mon badge. Ce qui m’étonna plus, ce fut qu’il connaissait mon nom de famille. Je ne m’en ventais pourtant pas étant donné que je ne savais absolument pas qui pourrait faire partie de ma famille. Il y eut un instant de flottement avant que je ne ressaisisse. Je rentrais à nouveau dans le moule de la colère, mais j’étais plutôt perturbé maintenant. Je lui demandais de me lâcher, il me faisait mal. Il s’exécuta et je lui lançai un regard mauvais. Que me voulait-il ce détraqué ? Je déclarai que j’avais un travail, et qu’actuellement il m’attendait. J’allais me faire virer si je ne contentais pas les clients, et j’étais trop dans la merde financièrement pour me permettre pareil écart de conduite. Vivre sous le seuil de pauvreté présentait en effet quelques inconvénients, mais je m’y étais accommodé. Il me retint en me disant que je pourrais partir quand j’aurais répondu à ses questions. Il allait vraiment me faire virer !

-Oui, Adonis de la Torre, c’est mon nom. Pourquoi ? On se connaît ?

Le jeune homme était entré dans se bar car c’était la qu’il se rappelait avoir vu son frère avant  de tomber dans sa spirale infernale.  Maintenant qu’il était totalement sevré de ses anciens démon il comptait bien retrouver son frère du moins exploré cette piste.  Quand il était tombé nez a nez avec lui dans se bar. Son coter zen avait totalement disparue, en effet le jeune homme se tenait devant Adonis, le jeune homme lui ressemblai et énormément, il avait le même prénom il était persuadé que c’était lui, cela ne pouvait pas être quelqu’un d’autre. Comment son frère n’avait pas pu le chercher depuis 5 ans ? Il lui avait demandé son nom, il lui avait sorti son nom de famille leur nom de famille. Matthew était sous le choc il n’en revenait pas c’était son frère c’était bien lui il ne l’avait pas revu depuis 6 ans.  Pourquoi Adonis ne reconnaissait pas Matthew ?
« Je suis ton frère …  Je peux attendre la fin  de ton service pour qu’on parle si tu préfère  »
Matthew le laissa partir il ne voulait pas attirer des ennuie a son frère. Le jeune homme avait bien conscience qu’il venait de lâché une bombe a Adonis.  Les questions redoublaient dans l’esprit du jeune homme, comment ne pouvait-il pas l’avoir reconnue ?  Il était si proche avant, la culpabilité de Matthew était revenue a la surface, la culpabilité d’être partit pendant 1 an et de ne pas avoir pu le protégé, que c’était-il vraiment passé pendant cette année ?  Comment avait il vécue pendant 5 ans ?  C’en sortait il ?
Si Adonis avait le moindre problème il l’aiderait, c’était à la fois un soulagement et une suite de question qui se déroulait dans l’esprit de Matt.

La cadence infernale du travail ne m’avait pas empêchée de remarquer le jeune homme de sans doute quelques années mon aîné qui me reluquait comme un morceau de viande. Je ne savais pas trop comment réagir, mais je n’avais pas que ça à faire, il n’était pas dans ma zone et j’avais beaucoup de travail. Or, ce même jeune homme s’était levé pour m’empoigner et me tirer à part, dans un coin tranquille. Il m’avait demandé mon nom, et dès lors que je lui eus donné mon prénom, il devina mon nom. Etrange… Ce type était peut-être un psychopathe qui me suivait à la trace ? Cependant, lorsque je lui avais demandé de me lâcher parce qu’il me faisait mal, il obtempéra. L’inconnu avait l’air sous le choc. J’avais envie de claquer des doigts devant lui pour voir s’il réagissait ou s’il méditait, mais j’étais pressé. Cependant, juste avant que je ne partisse, il déclara être mon frère.

Mon frère ?! Et puis quoi encore ?! Que les poussins naissaient tous avec une dent pour casser leur coquille ?! Mauvais exemple, c’était vraiment le cas, et leur dent tombait après. Il dit qu’il pouvait attendre la fin de mon service pour que l’on puisse parler. Il m’effrayait. Mais j’acquiesçais avant de m’éclipser rapidement, comme une petite souris. Je ne pouvais pas rester avec lui, il me libérait, il fallait que j’en profitasse, que je me cachasse dans la foule et qu’il ne pût pas me reprendre. Je ne voulais pas que mon corps soit retrouvé demain à la première heure dans une ruelle, j’avais encore tant de choses à voir, à faire, et à me souvenir. Et j’avais Lukas. Il fallait que je quittasse mon service plus tôt pour le rejoindre à l’appartement. Lui, je savais qu’il me protégerait. Sauf qu’il valait mieux que je me fasse renvoyer pour la soirée. Je retournai donc en cuisine prendre une commence, et juste avant de passer le pas de la porte, je simulais un malaise. Je fis tomber les cocktails sur moi et pris garde en tombant à ne pas me blesser sur les morceaux de verre. J’étais assez bon dans ce rôle, mon sang avait vite fait de quitter mon visage et je devenais tout pâle. Il ne me restait qu’à faire croire que mon cœur s’était emballé et pour cela, je respirais plus vite.

Immédiatement, on vint me voir pour me demander ce qu’il y avait. Je répondis que je ne savais pas, et le patron sortit. Il déclara que je n’étais plus bon à rien ce soir et il me renvoya sans ménagement. Il n’était pas tendre, mais j’avais eu ce que je voulais. Je sortis du bar après m’être changé et avoir repris mes effets personnels, mais, manque de chance, je croisais le psychopathe. Je resserrais le col de ma veste (les nuits étaient fraîches pour moi) et je passai mon chemin sans lui accorder un regard. M’avait-il vu ?

Matthew était rentré dans se bar pour cherché son frère normalement décédé 5 ans au par avant. Il savait très bien qu’il l’avait vu 4 ans avant dans se bar. C’était se qui avait été l’événement déclenché sa descente en enfer, dans les fond de la drogue et de l’alcool se qui avait duré plus de 4 ans. Maintenant qu’il  était sobre il comptait bien confier que se soit son frère ou non, mais il lui fallait une réponse. Resté autant d’année sans réponse avait été une torture de chaque instant pour Matt. Maintenant qu’il était face a lui il n’en revenait pas quand le jeune homme lui avait dit qu’il d’appelait Adonis de la Torre, c’était une chose de le croire vivant c’en était une toute autre de l’avoir sous les yeux après tant de temps.  Matthew avait laissé partir son frère il ne voulait pas non plus qu’il perde son travail. Matthew venait de se rendre compte qu’il l’avait effrayé, l’Adonis qu’il avait laissé y a 6 ans n’é tait pas si peureux, que c’était-il passé pendant ses 6 dernières années. C’est a cet instant qu’il mi sa main dans sa poche pour sortir son porte feuille,  c’est la qu’il se rappela qu’il avait une photo de Adonis ses parents et lui datant d’il y a 7 ans, et une de adonis et lui, il les avait mi la pour ne jamais les oublié quand il  était partit pour Harvard.  LE jeune homme attendait que son frère sorte de son travail pour lui parlé, il ne le laisserait pas s’en aller comme sa, sans une adresse sans un numéro. Il le vit passé devant ses yeux.
« Adonis attend, s’il te plaît laisse moi te prouvé que je suis ton frère, regarde ses photos»
Le jeune homme comptait bien lui montré les photos qu’il avait si précieusement gardé dans son porte feuille.
Il lui tendit les 2 photos qui les représentait eu 4 et la photo ou lui et son frère souriait l’un a coter de l’autre. Pour Matt’ ces photos était tellement vieilles.

Trop… C’en était trop… Beaucoup trop… Comment cet inconnu avait-il osé me « séquestrer » alors que j’étais en plein travail ? Et de quel droit se permettait-il d’affirmer qu’il était mon frère. J’avais vécu quasiment dans la rue pendant six ans ! Six ans de galère, et seul Lukas m’était venu en aide ! Etrangement, peu après que je me sois mis en couple avec lui, j’ai découvert un cousin et un frère. Je commençais à croire qu’ils n’en avaient que pour le fric de mon petit ami, par je ne savais quelle magouille qui me visait directement. Six ans de calme plat, de néant sentimental, pas de souvenir, pas d’histoire, pas de vie…

Il fallait que je sortisse. Vite. Alors je simulais un malaise à la sortie de la cuisine. Le patron m’avait viré comme le malpropre que j’étais. Je voulais voir Lukas. Il ne devait pas s’inquiéter, il n’était que minuit et demi et mon service se finissait normalement à trois heures. Je voulais rentrer à pied jusque chez lui, toquer à sa porte, me blottir dans ses bras et tout oublier. Plus rien ne comptait si ce n’était Lukas.

Je me dirigeais donc dehors, mais par un coup du sort, il se tenait dehors. Je passai tout droit, espérant qu’il ne me vît pas, mais c’était peine perdue. Il m’interpela, et je m’obligeais à me retourner vers lui. Je voulais lui demander une dernière fois de me laisser tranquille de manière gentille. Après, j’allais être obligé de me fâcher. Mais à cet instant, il sortit deux photos de son portefeuille. J’apparaissais sur les deux. Sur la première, on me voyait avec les deux adultes qui étaient mes parents. Sur la seconde, je souriais, chose rare, mais en plus, j’étais à côté de Lui. Je ne pouvais pas en détacher les yeux, je tremblais. Je sentis mon cœur battre de plus en plus fort dans ma poitrine. Je le connaissais, avant… Je souriais avec lui, je l’aimais bien. Qui était-ce ? Mon frère ?

Je fus projeté loin, très loin dans le passé. Il faisait sombre, et je sentais les draps sur ma peau à nue. Il était à côté. J’entendais sa voix. On alluma une GameBoy, une vieille GameBoy Color violette. Je pus voir son visage s’illuminer. Il me prêta l’objet, et nous avions passé la nuit à jouer à Tetris. Je me souvenais juste de ce moment.

-Matthew… Ton nom, c’est Matthew…

Ma respiration se bloqua. Je le regardai sas comprendre. Je ne pouvais plus bouger, j’étais tétanisée. Je tombai à genoux sur le sol dur et froid. Comment un simple souvenir pouvait-il faire cela ? Je ne pouvais pas supporter l’espèce de chape de plomb qui me tombait dessus. Mon frère ! Il m’avait abandonné ! Pendant six ans de ma vie, j’étais seul, alors qu’il était à deux pas. Ma respiration ne se débloqua cependant pas. Je mis les deux mains sur ma poitrine, comme si me gratter pourrait me débloquer les voies respiratoires. J’étouffai littéralement, et je ne savais pas pourquoi. Je commençais à voir flou, et puis… Le trou noir. Je me sentis seulement basculer en avant.

Matthew venait de retrouvé son frère supposé décédé il y a maintenant 5 ans, mais en réalité il se tenait devant lui comment était ce possible ? Matt’ l’avait cru mort pendant des années, mais en réalité il était bien vivant son frère chérie, celui qu’il avait toujours surprotégé, la personne avec qui il jouait le plus, son ami de toujours. Il voyait que Adonis allait fuir il le refusait sa faisait 6 ans qu’il ne l’avait pas vue, jamais il ne le laisserait partir comme sa, sans savoir ou il habite, si il va bien, si il a des sous, si il s’en sort, Matt ne pourrait pas supporté que son frère est des difficultés encore moins maintenant qu’il l’avait retrouvé après tant d’année ou il l’avait abandonné ou il n’avait pas été la pour le protégé.
Adonis passa devant lui mais il s’arrêta quand il lui montra les photos le jeune homme semblais le reconnaitre et se reconnaitre sur les photos
Adonis le regarda et lui sortit son prénom. Pourquoi ne l’avait-il pas reconnue avant ? Avait-il perdu la mémoire ? C’était une explication plausible vue qu’il n’avait pas cherché a le retrouvé pendant 5 ans, Matt’ ne pouvait accepter d’autre explication c’était impossible Adonis ne l’aurait pas laissé tomber comme ça. C’et a cette instant que son frère s’écroula quand il le vit s’écroulé en avant, il se jeta pour le rattrapé il n’allait pas le laissé s’éclaté le crâne sur le béton, après avoir demandé qu’on lui amène un verre d’eau, lui versa l’eau fraiche sur le visage en espérant que son frère reviendrait a lui. Pourquoi c’était il évanouie comme ça ? Il ne pouvait pas le savoir, c’était peut être le faite de réalisé qu’ils étaient réellement frères.
« Adonis, Ado réveille toi »

Comment était-ce possible ? Si seulement j’avais pu me préparer psychologiquement à une telle nouvelle ! J’avais un frère, qui m’avait abandonné au moment où j’avais le plus besoin de lui ! Pendant six ans de ma vie, j’ai dû trimer jour et nuit pour garder un minimum de fierté et pouvoir me regarder dans la glace. Mais lui… Visiblement il n’avait aucun problème pécuniaire. Alors pourquoi n’avait-il pas tout mis en œuvre pour me retrouver ? Sur cette photo, je souriais. Ça voulait bien dire que je l’appréciais, que je lui faisais confiance… avant. Un souvenir me revint : lui et moi en train de jouer sur une GameBoy alors que nous aurions dû dormir. C’en avait été trop pour moi, je ne pouvais plus tenir le coup. Tous mes muscles se tétanisèrent, se raidirent, ma respiration se bloque. Dans ma tête, c’était comme écrire à l’eau sur un tableau blanc : on ne voyait rien, rien n’apparaissait. Tout devint blanc et vide. Je tombais à genoux sur le béton. Je n’avais pas envie de crever là, moi ! Lukas m’attendait… J’amenai mes mains à ma poitrine et grattai le temps que je pus, comme si ça pouvait arranger quelque chose. Mais mes yeux se fermèrent lentement. Je ne parvenais plus à respirer. Je pensais à Lukas qui devait dormir, je voyais son visage détendu, j’entendais son souffle régulier,… Combien de fois l’avais-je regardé dormir à son insu ? En fait, chaque nuit que nous passions ensemble, je prenais toujours un moment pouvoir son visage angélique apaisé. Je fermai les yeux et me laissai aller dans le noir… jusqu’à me prendre un truc froid sur le visage ! J’entendis une voix familière et pas si lointaine que ça ! Elle me demandait de me réveiller. J’étais bien, pourtant, quoi que le matelas fût un peu dure et rugueux… En palpant un peu, je me rendis compte que c’était du béton. J’ouvris un œil, le refermant juste après. Pourquoi j’étais allongé sur le sol, moi ? Que venait-il de se passer. J’ouvrais cette fois ci el et bien les yeux. Ah oui, Lui.

-Ne crie pas, Matthew, je t’entends

Je me redressais quelques peu, et prit ma tête dans mes mains. Un frère… Comment j’allais bien pouvoir accuser le coup, moi ?