Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityShadows of my life • Spencer
Le deal à ne pas rater :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
35 €
Voir le deal


Shadows of my life • Spencer

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité



SPENCER & EROS
Are you afraid ?

▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪ ▪

Encore une fois j'étais là, à l'attendre, à l'arrière du bar, par là où sortais les employés. Une porte de sortie qui donnait sur une ruelle sombre où personne ne passait, bref l'endroit idéal où terrorisé une femme. En plus elle faisait la fermeture ce soir, je savais qu'elle serait seule, aucun autre employé pour qu'elle puisse m'ignoré ou se sentir en sécurité, elle serait complètement seule avec moi et je jubilais déjà en imaginant son visage lorsqu'elle me verrait. Sa faisait un petit moment que je jouais à ça avec elle, depuis qu'elle avait foutu en l'air un de mes plans pour me faire une nana sous prétexte qu'elle était ami avec Luhànn ... Ce n'était pas si grave que ça en soi, je m'étais assez énervé sur le moment pour ne pas en vouloir plus, mais quelque chose de plus fort que moi me poussais à revenir ici, l'attendre, la voir. Quelque part j'étais attiré vers elle, je ne pouvais pas le nier, la mettre dans mon lit ne me déplairais pas. Et puis elle me fascinait, elle avait tout d'une battante. Mais pour le moment le seul moyen que j'avais de l'approcher c'était ça ... Lui foutre la trouille, et il fallait aussi avouer que cela me plaisait aussi, que j'en tirais un plaisir malsaint. Alors encore une fois j'étais là à l'attendre.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Spencer&Eros

Whydoyoudothis?


Ce soir, je faisais la fermeture du bar et je dois admettre que je n’aimais pas particulièrement ça. Je devais partir d’ici très tard dans la nuit et passer par cette foutue ruelle à l’arrière qui me faisait peur chaque fois. C’était souvent sans raison, il faut l’admettre, mais j’étais certaine qu’un jour il m’y arriverait un truc que je ne pourrais oublier. Combien de filles s’étaient sûrement fait violer ou agresser ici? Je n’en savais rien et il valait mieux que je n’y pense pas. Ramassant le dernier verre sur le comptoir et aidant ce pauvre homme à rejoindre la porte avant, je sortis avec lui sur le trottoir. « Vous aimeriez que je vous appelle un taxi? » « Non! Cha iraaaa… Che… Che vais marchhhher ma cholie! » Je souris en secouant la tête. Tant qu’il ne partait pas en conduisant, le reste m’importait peu. J’entrai à l’intérieur pour aller éteindre les lumières et compter ma petite caisse. J’avais déjà nettoyé le comptoir et fait la vaisselle alors que l’homme buvait son dernier verre donc, avec un peu de chance, je pourrais rentrer rapidement chez moi et rejoindre le confort de mon appartement.

Enfilant mon manteau qui m’arrêtait aux genoux par-dessus mon petit haut moulant et ma jupe, je resserrai les pans autour de moi en verrouillant et en sortant par cette fameuse porte à l’arrière. Mes yeux mirent un moment à s’adapter à la noirceur environnante et je m’arrêtai d’avancer pour ne pas foncer dans ces bacs à ordures géants devant moi. Hésitante, je finis par avancer doucement. Un coup de vent s’engouffra dans la ruelle et je frissonnai. J’avais un mauvais pressentiment.

(Invité)