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abby ~ don't worry pretty, I'll be there until the sky fall

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Don’t worry pretty, I’ll be there until the sky fall
le parc, 9h” Réveil matin : 15 heures, j'me réveille comme une fleur. Marguerite dans le macadam a besoin d'un Doliprane. Réveil matin : 15 heures, j'me réveille comme une fleur. Ça va les gars ? Bien dormi ? Pas d'réponse tant pis ! Je baillais, éteignis mon réveil. L’alarme était prévue pour 8h, le temps que j’émerge des bras de Morphée et que je me prépare. Je clignais des yeux. Putain, on était samedi en plus. Le regard rivé au plafond, je soupirai. Elle ne me donnait pas le choix. La directrice m’avait donné la garde si l’ont peut dire d’Abby Tempel au début de l’année. J’étais censé l’aider à s’intégrer, la surveiller, la conseiller, bref, agir comme un papa poule. Sauf que ma petite princesse me fuyait depuis peu, et je ne pouvais décemment pas laisser une autre année s’écouler ainsi. J’avais donc décidé de remédier à cet obstacle. Fort heureusement, le fait d’être psychologue incluait de prendre les numéros de téléphone des patients, autant pour les rendez-vous que pour les suivis psychologiques en cas de force majeure. Ce qui était justement le cas. Je lui envoyais donc un sms, lui demandant de me rejoindre au parc à 9h samedi, afin d’avoir une discussion. Sérieuse.

Quoiqu’il en soit, tout dépendait d’Abby désormais. A elle de voir si elle choisirait de fuir à nouveau, et ce donc pour le reste de sa vie, ou bien si elle se allait se résoudre à confronter ses problèmes. Bien que personne ne m’ait jamais dit que je sois une gêne. J’avoue que c’est une première pour moi. Savoir qu’on me déteste alors qu’on m’appréciait beaucoup est relativement perturbant. Je veux dire, en général, ceux qui me haïssent ressentent ce sentiment pour une chose précise, souvent parce qu’ils n’ont été que des coups du soir alors qu’ils espéraient plus. Enfin je ne m’étendrais pas sur ce sujet, mais au moins ceux-là avaient une raison. Pas elle. Normalement. A moins que ce ne soit ma réputation qui m’ait joué un tour. Je grognais. Il allait falloir que j’arrête cette sale manie de draguer tout e qui bougeait. Ou pas. Me brider en tout cas, au moins un peu. Mes relations étaient soit sexuelles soit paternelles, y avait de quoi se poser des questions. Quoique… Mes collègues profs tiens ! Il ne me semblait pas avoir couché avec eux. Ni même les considérer comme mes enfants. Parfait, je ne marche donc pas en système binaire.

Je me relevais énergiquement, décidé à faire bonne impression. Je me glissais sous la douche pendant dix bonnes minutes, prenant soin de laver également mes cheveux, plutôt longs pour un homme. J’hésitais un instant devant la glace, mais décidai finalement de garder ma barbe de trois jours, qui me conférait indubitablement un côté sexy et paternel. On va surtout dire paternel dans ce cas-là. Puis se posa le problème de la tenue. Qu’est-ce qui ferait sérieux et pas pédophile ? Pas mal de choses sans doute. Le costard-cravate semblait soudainement très pervers, et de toute manière impensable vu la chaleur. Oh puis merde. Je pris un t-shirt et un jean. Elle pourrait bien supporter ça non ? Je m’attablais devant mes œufs brouillés au bacon, déterminé. En mangeant, je tentais de préparer mon discours. Je ne savais même pas ce que j’étais censé dire. « Je ne vais pas te violer tu sais ? » me semblait assez mal foutu vu les circonstances.

J’inspirai un grand coup. Alekseï, tu es prof de psychologie merde, tu vas gérer. Tu la connais bien, tout roule, il suffit de comprendre ce qui se passe. C’est un peu comme ta gosse cette petite, tu vas pas la laisser dans la mouise. Tiens, comment réagirais-je si j’avais une fille ? Je ne m’étais jamais posé la question. Et je n’avais pas le temps. Je réfléchirais en route. Je sortis de la maison, fermais à clé, mon téléphone dans la poche, et marchait jusqu’au parc de Cambridge Common. Une petite marche à pied, y a que ça de vrai ! Ce qui me fit penser qu’on ne s’était pas donné de point de rendez-vous exact. Soit. Je l’attendrais à l’entrée. J’avisais un marchand de glace, non loin. Les enfants aimaient ça non ? En tout cas, je me souviens que c’était mon cas. Aussi pris-je une boule caramel au beurre salé pour moi et une italienne chocolat-vanille pour Abby. Tiens, justement elle arrivait ! Et c’est en la voyant que je me rappelais qu’elle n’était vraiment plus une enfant. Oh puis merde.

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La jeune fille ne dormait pas depuis plusieurs jours, ou quelques heures. Se matin elle avait dormi 2 heures c’était son maximum en ce moment. Elle ne mangeait pas non plus grand-chose rien ne restait dans son estomac. Cela faisait plusieurs fois qu’elle repoussait son prof référent, alors que d’habitude il s’entendait bien. Mais compte tenue des circonstances elle avait une peur bleu de l’approché, elle avait déjà repoussé ses rendez vous un certain nombre de fois. Il fallait bien qu’elle l’affronte. Autrement lui ferait tout pour la voir contre son gré et cette situation serait bien pire. La jeune fille avait parlé du viole a quelque ami très chère a son cœur. Son prof avait l’âge se son oncle quand il a osé la violé, comment pouvait elle arrivé a encore lui parlé s’en voir la tête de son oncle et forcément aire le rapprochement avec son viole. La jeune fille ressemblait plus a un mort vivant que quelqu’un en vie. Elle prit sa douche et s’habilla simplement avec un jean et un simple débardeur en se faisait un chignon, bien sur elle n’oublia pas son accessoire obligatoire ses dernier jours sa paire de ray ban miroir, cela la faisait paraître plus normal. En effet ses yeux était explosé a force de peut dormir et de pleuré. La jeune fille descendit les escaliers et attrapa un fruit au pif dans la panière, c’était la seul chose qui passait. La jeune fille pénétra dans son garage, ou y était entreposé au moins 20 voiture différente, elle la choisissait selon la saison son humeur et son envie. Aujourd’hui elle décida de prendre son Audi a5 noir au vitre sans tain. C’était sa voiture quand sa allait pas.

Elle se mit au volant pour se rendre au parc elle avait rendez vous avec son prof a 9h, il était 8h20, elle allait être pile a l’heure. La jeune fille arriva au lieu du rendez vous elle était stressé de le revoir et de devoir l’affronté, le peut de fois qu’elle l’avait croisé après cette terrible nouvelle Abby l’avait fuie en baissant les yeux. Ou allait elle trouvé la force de lui faire face alors qu’elle n’avait même pas la force de mangé. La jeune fille descendit de la voiture pour rejoindre son prof’. Il avait 2 glace a la main, même si Abby était trop bien élevé pour refusé elle y était obligé parce que en se moment elle n’avalait rien. Elle arriva a sa hauteur, sa main tremblais, elle était extrement tendu, elle essaya de cacher sa main derrière son dos, et de gardé le mieux possible le contrôle. Abby chassait le mieux possible la ressemblance entre lui et son oncle. Elle décrocha enfin un :
« Bonjour »
La jeune fille était très mal a l’aise et il n’y avait pas besoin d’être psy pour s’en rendre compte.
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au parc, 9h03” Elle lui décocha un bonjour plat, sans saveur. Alek sentit immédiatement que quelque chose n’allait pas. Sans compter sa soudaine timidité, cette gêne qu’ils n’avaient jamais connue jusqu’à présent. Constatant qu’elle ne prendrait pas sa glace, il la garda en main et l’invita à s’asseoir sur un banc. Tant pis, il avait encore faim, il pourrait bien manger les deux. Et s’il n’y arrivait pas, il la donnerait à un enfant, voilà tout. Il prit une grande inspiration, le temps de goûter sa glace, savourer le doux parfum du caramel, cette saveur qui était si familière. Il avait l’air fin comme ça. Se trimballer avec deux cornets comme ça… Plus du tout l’air sérieux. Il se tourna vers Abby. « Bon, dis-moi franchement, qu’est-ce qu’il y a ? »

Comme entrée en matière, y a pas plus simple. Franchement, qu’est-ce qu’elle allait répondre à ça ? Un couple passa non loin d’eux. Des enfants jouaient dans l’herbe pas très loin. C’était calme, reposant, familial, et pourtant il avait cette tension entre eux, cette électricité qui pourrissait l’air. Il croqua dans sa glace. L’émail de sens dents protesta face au froid auquel il les confrontait, mais il ne s’y attarda guère. Il avait besoin de résoudre cette situation au plus vite, dissiper cette tension… Alors qu’il terminait sa glace caramel, il passa sa main désormais libre dans les cheveux d’Abby, les ébouriffant d’un geste bourru et tendre à la fois. C’était comme ça que son père faisait. Ça pourrait bien marcher avec elle non ?

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Abby venait d’arrivé au rendez vous avec son professeur, elle était mal a l’aise avec lui depuis la nouvelle. Même si c’était quelqu’un avec qui elle parla bien avant maintenant elle s’en sentait incapable. Il ressemblait beaucoup trop a son oncle. Elle voulait le fuir, mais lui avait bien fait comprendre qu’il ne la laissera pas seul, surtout il ne la laissera pas s’enfuir. L’homme en face d’elle avait bien compris que rien n’allait. Sa plus grande peur serai qu’il la touche, elle avait déjà du mal a s’approché de lui et a rester en sa compagne, elle ne sait pas comment elle réagira si il la touchait. Il ne pouvait pas savoir, comment lui en vouloir s’il tentait. Alek la mena sur un banc. Quand il commença a mettre sa main dans ses cheveux, la chose a ne pas faire, Abby se recula d’un coup, fallait pas qu’il l’a touche, elle se crispa encore plus. Abby faisait beaucoup d’effort pour ne pas le fuir, elle ne savait pas comment lui dire, juste quelque ami le savait, et elle avait explosé en larme fasse eu, Abby ne pleurai pas dans un endroit publique. A cette instant elle était le plus au bord du banc possible le plus loin de lui qu’elle pouvait.
Les images du viole lui revenait en tête ; la jeune fille commença a paniqué. Elle ne se contrôla plus elle commença a hyper ventilé, elle venait de commencé sa crise. Son souffle commença a se saccadé, ses mains tremblais ….
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sur un banc, 9h15” Elle recule. Elle panique. Je la regarde, abasourdi. Est-ce qu’un simple contact peut réellement la perturber à ce point ? Un enfant passe non loin, je lui confie la glace alors qu’il me fait de grands yeux. Je n’ai pas le temps de m’occuper de ce que tu penses gamin, bouffe-la, jette-la, je m’en fous, j’ai mieux à faire. Je m’accroupis devant Abby. Elle commençait à manquer de souffle, haletait. Ses mains tremblantes ne savaient plus où se poser. Je les pressais un bref instant dans les miennes. J’avais déclenché ça, je me devais de réparer cette connerie. Et en comprendre la source.

Ma pauvre puce semblait terrorisée. En même temps, elle était en pleine crise d’hyperventilation. Il fallait commencer par la calmer. « Tout va bien Abby, je suis là, il ne va rien t’arriver, je te le promets. Tu comprends ? Si tu comprends presse ma main. Bien. Maintenant je vais t’aider à respirer. Tu me fais confiance hein ? Je vais former une coquilles avec mes mains autour de ta bouche et ton nez, et toi tu vas essayer de respirer normalement, d’accord ? Inspire, expire. Encore. » J’avais joint les gestes aux mots, priant pour que cela ne s’aggrave pas. Elle n’était normalement pas agoraphobe, même si elle était stressée à son arrivée. Non, il semblerait que je sois la source directe de son problème. Mais je ne savais pas comment gérer ça.

J’attendis qu’elle se calme, lui murmurant des paroles de réconfort et d’encouragement, la regardant droit dans les yeux. Elle avait besoin de comprendre que j’étais là pour elle. Il fallait qu’elle le comprenne. Et que je ne lui ferais jamais de mal non plus. Je veux dire, je sais que je passe mon temps à draguer les étudiants, mais elle fait partie des exceptions qui confirment la règle. « Tu veux qu’on aille autre part ? » Après tout, elle n’était pas obligée de me parler devant tout ce monde, libre à elle de changer le lieu de rendez-vous. J’espérais simplement qu’elle ne fuirait pas de nouveau.

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Abby était en compagnie de Alek, sa ressemblance avec son oncle était loin de la rassuré, et le faite qu’il est essayé de la touché l’avait fait perdre le peut de contrôle d’elle-même qu’elle avait tenté de gardé jusque là. L’homme en face d’elle en temps que psy qu’il est prit les devant quand elle commença a hyper ventilé, vu que en même temps la jeune fille avait déconnecté avec se qui se passait autour d’elle. Elle le laissa faire en faisant se qui lui disait. Abby c’était calmé mais comme après chaque crise elle était vidé de toute son énergie. Après elle était rassuré quand il lui demanda si elle voulait changer d’endroit. La jeune fille avait pris la décision de ne pas le fuir et elle lui répondit,
« Allons dans ma voiture »
La jeune fille avait pesé le pour et le contre de se retrouvé seul avec lui ou être la personne que tout le monde regarde dans un parc. Il l’avait calmé alors elle avait cessé de paniqué. Elle se leva pour rejoindre la plage arrière se sa voiture, ou elle se calla dos a la portière fermer et remonta ses genoux sous son menton elle tremblait encore mais elle se sentait quand même mieux. Elle attendait que Alex le rejoigne, Abby ne savait toujours pas comment lui parlé. Elle ouvrit la fenêtre coter conducteur pour laisser circuler l’air. Elle attendait Alek.
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dans une voiture, 9h17” Abby accepta volontiers mon offre, préférant visiblement le calme de sa voiture à la tranquillité passive du parc. Je la suivis tandis qu’elle s’enfermait dans la voiture, dos à la portière. Elle ouvrit la vitre côté passager, inspira une bouffée d’air frais. Je me glissais en face d’elle, assis en tailleur pendant qu’elle resserrait ses jambes contre elle. Je vis qu’elle tremblait encore, fit mine de ne pas m’en être aperçu. Elle avait choisi de se battre, mieux valait ne pas la déstabiliser davantage. Je lui adressais un sourire rassurant. Le silence s’installa, et j’en profitais pour détailler l’habitacle. Luxueux. Décidément, elle collectionnait les problèmes ma pauvre princesse. L’argent était loin d’être utile dans la vie, ou tout du moins de mon point de vue, tout comme l’influence parentale. Ça servait juste à se protéger inutilement des aléas qu’on pouvait rencontrer, et qui pourtant forgeaient notre caractère et notre personnalité.

Je m’adossais plus confortablement, ignorant la poignée qui s’enfonçait dans mon dos, tentant de ne pas grimacer. Le temps semblait s’étirer de plus en plus au fur et à mesure que ma petite protégée gardait le silence, que je décidai finalement de rompre. « Je ne vais pas te forcer à parler tu sais, je préfère te laisser prendre ton temps. Je ne vais pas non plus te juger, je veux juste comprendre, et t’aider. » Ou du moins, dans la mesure du possible. Les enfants de riches, une fois lâchés seuls dans la nature, se retrouvaient confrontés à eux-mêmes et paniquaient, incapables de se débrouiller seuls dans ce quotidien qui leur était inconnu. Ils n’arrivaient pas à affronter des situations que l’on pourrait considérer comme banales. Or, ce cas précis me semblait tout sauf banal. En temps normal je lui aurais simplement donné quelques indications mais je pense que cette fois-ci elle a réellement besoin d’aide. Je penchais la tête en arrière, inspirai en grand coup. La brise qui passait par la fenêtre jouait dans mes cheveux, me faisant un doux massage crânien. Je fermais les yeux l’espace d’un instant. Les rouvris, pour les planter dans ceux d’Abby.

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Abby était recroviller du coté passager, elle arrivait pas a décroché un mot, elle ne regardait même pas Alek, elle n’arrivait pas a le regardé dans les yeux.  Quand il lui dit qu’il était la pour l’aider et non pour la juger. Elle se détendit un peut. Il commença a planté ses yeux dans ceux d’Abby se qui eu pour effet de tournée la tête. Et commença a parlé.
« Mon psy a voulu que j’aille voir un hypnotiseur a cause de ma timidité, qui devait venir de mon enfance… »
Abby avait une boule qui se formait dans la gorge mais elle ne s’arrêtait pas pour autant, elle savait très bien que si elle s’arretai la elle n’arriverait jamais a lui dire la suite.
« Enfaîte, mon oncle m’a violé quand j’avais 7 ans…. Ma mère la protégé …  »
Elle revoyait les images du viole dans sa tête. Elle frotta ses yeux pour se les sortir de sa tête, ses larmes ne cessaient de couler, elle n’en pouvait plus cela faisait plusieurs jours qu’elle était au fond du gouffre, qu’elle ne voyait pas la lumière. Son sourire avait disparut depuis la nouvelle et elle n’arrivait pas a le retrouvé.
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Ses yeux font un aller-retour entre la porte et la jeune fille qui lui fait face. Ne pas s’excuser, surtout pas. C’est pitoyable et inutile. Il ne faisait aucun doute qu’elle l’assimilait indirectement à son oncle. Il retient un soupir. Pas étonnant qu’elle l’évite. Les souvenirs devaient affluer en sa présence. Et rester enfermée seule avec lui n’arrangeait pas les choses. Elle était bien partie pour une crise de claustrophobie. Elle a évité son regard, visiblement gênée d’avoir à en parler. Il ne comprend pas ce tabou sur le viol. Bien qu’il ait toujours refusé de savoir si sa sœur en avait été victime, il continue à penser que les jeunes filles devraient en parler, se libérer. Il sait que c’est dur. Mais merde, elles ont besoin de vivre ! Quitte à créer l’association des violées anonymes. Quoiqu’il est certain que cela ferait un tabac. Mais il se retient de dire le fond de sa pensée, pour quelques instants encore.

« Et tu comptes jouer l’animal blessé encore longtemps ? Tu ne crois pas qu’il est temps de sortir de ton trou et d’affronter la vie ? Abby, regarde-moi. Regarde-moi je te dis. Ça ne sert à rien de te planquer. C’est un événement traumatisant, je te l’accorde, mais maintenant tu as le choix : faire avec et vivre ta vie pleinement ou bien te torturer avec ce truc et te renfermer sur toi-même pour le restant de tes jours. » Il ne peut pas passer sa vie à la pouponner. Elle doit grandir. Elle est encore jeune, elle a beaucoup à vivre. Pas le temps de se tuer pour ça. Il est dur, abrupt, il le sait, et au fond il se déteste de réagir comme ça. Mais parfois certains ont besoin qu’on les secoue, et le plus tôt est le mieux. Il espère sincèrement qu’elle choisisse la première option, et dans le cas contraire sait qu’il l’y forcera. Quand bien même elle le haïra, le traitera de tous les noms, le fuira. Elle ne comprendra pas, il s’en doute. S’en fout. Il fait ça pour elle. Un jour viendra où elle se remémorera ses paroles et se dira que putain, il avait raison. C’est tout ce qu’il lui souhaite.

L’atmosphère est devenue pesante dans la petite voiture. Il regarde par la fenêtre, visiblement contemplatif d’une affiche vantant les mérites du nouveau burger de Mc Donald’s. Fronce les sourcils. Minute. Qui refuserait une glace un samedi matin en début d’été ? Une glace italienne chocolat-vanille ? Sa tête pivote de nouveau vers l’étudiante. Il la scrute, inquiet. Des anorexiques, il en a connu des tas, qu’il s’agisse de la version mentale ou ventrale si l’on puit dire. Et il est absolument hors de question qu’elle tombe dedans. Qui que soit son psy, il avait des méthodes douteuses et des résultats pas franchement concluants. Alekseï se promit d’aller faire un saut à son un de ces quatre. Décidemment, il avait fort à faire.

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Ils étaient tout les deux dans la voitures de Abby, sans un endroit discret pour lui dévoilé, tout ça. L’atmosphère devenait pesant quand Alek le rompa. Elle ne s’attendait pas a ça de lui. Il lui sorti une phrase, elle n’en revenait pas c’était le premier a lui dire ça. Il avait raison certes , mais il était tellement dure Abby était beaucoup trop fragile a cette instant précis qu’elle se mi a pleuré de plus belle. Elle n’arrivait pas a l’affronté pas a le regardé. Elle sorti de la voiture. Après ce qu’il venait de lui dire, elle avait mal, elle ne savait plus a qui elle devait faire confiance si sa propre famille avait pu lui faire ça . C’elle qui lui avait donné le jour c’était rendu complice de son viole comment se reconstruire après ça ? A qui faire confiance ? Trop de question tournais dans ça tête, elle en pouvait plus, c’était le bout. La jeune fille s’écroula contre le bord de sa voiture, elle était dans un état encore pire que a son arrivé. Elle était tellement mal.
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