Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJacob is my slave, and more ? - Avec lui-même (a).
Le Deal du moment :
LEGO Icons 10331 – Le martin-pêcheur
Voir le deal
35 €


Jacob is my slave, and more ? - Avec lui-même (a).

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Les Enchères venaient de se terminer pour moi, je venais d' « acheter » un de mes amis les plus précieux, et cela, juste pour moi, il devait se dévouer à moi. Des filles auraient pu en profiter, personnellement, je n'allais pas essayer de coucher avec Jacob, c'était un ami, nous avions couché ensemble plusieurs fois mais depuis que j'étais avec Edenshaw, je ne cherchais que des amitiés. D'ailleurs, il fallait peut-être que j'en parle avec Jacob, lorsqu'il m'avait rejoint, il m'avait embrassé sur la bouche, je n'avais rien dis car mon couple n'était pas encore au grand jour, personne n'allait rapporter à Edenshaw ce qu'avait fait Jacob, je ne voulais pas que mon petit ami et un ami à moi se dispute. J'avais pris Jacob par la main, l'emmenant alors dans sa chambre, histoire qu'on puisse discuter tous les deux. J'étais encore un peu fatiguée par ma journée, mes heures de danses étaient plutôt éreintantes. Je lui lançais des regards amicales, accompagnés de petits sourires complices, je ne cherchais pas à le séduire, je cherchais juste à lui montrer que je l'appréciais. Je prenais même pas la peine de demander et je nous emmenais dans sa chambre, riant pour me détendre.

    CHUCK « Je suis fière de moi d'avoir eu le plus bel homme de la maison des Winthrop! » Je riais.


Je m'approchais de Jacob pour le prendre dans mes bras. L'étreinte d'un ami ça faisait du bien. Je le regardais dans les yeux, espérant qu'il comprennes que je voulais juste passer du temps avec un ami, sans plus. Je n'osais pas lui parler d'Edenshaw, inconsciemment, j'avais peur que ça change notre amitié.

    CHUCK « Et toi tu es content de m'avoir en maitresse ? » Je riais, ça faisait limite on couchait ensemble, j'étais sa maitresse et lui son amant. Quelle ironie. « Toute manière, tu as pu le choix. »


Je lui tirais la langue, gentiment, avant d'aller m'allonger sur son lit, piquant alors son oreille pour poser ma tête dessus et le second pour le blottir contre moi.




(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’étais content, même très heureux que Chuck m’ait acheté à la vente aux enchères. Depuis un moment tout était prétexte à passer du temps auprès d’elle, sa compagnie m’enchantait, d’autant plus qu’elle et moi partagions vraiment quelque chose. Quand on couchait ensemble c’était beaucoup plus que physique, nous étions réellement en symbiose, comme deux vieux amis s’étant retrouvé après une longue absence nous découvrions les désirs de l’autre à mesure où nous les devancions. D’autant plus qu’entre nous c’était beaucoup plus que seulement du sexe, il nous arrivait de passer de longue soirée à seulement discuter, à rêvasser ensemble, à délirer et même à pleurer. En même temps d’être mon amante, elle était un peu comme ma petite sœur, je savais que je pouvais toujours compter sur elle, qu’elle serait toujours là si jamais le besoin se faisait ressentir. Grâce à elle j’avais même oublié Blake et Ombeline, j’avais arrêté de coucher un peu partout, il m’arrivait même de me surprendre à penser à elle alors que je parlais à d’autre femme. En d’autre mot elle obnubilait mes jours et éclairait mes nuits, je crois que j’en étais amoureux, moi qui m’était promis de ne plus jamais aimé. Non j’en étais certain, je l’aimais et je ferais tout pour son bonheur.

À peine étais-je descendu de l’estrade, à peine avais-je déposé un chaste baisé sur ses lèvres, qu’elle me trainait pas la main. Je la suivis sans me poser de question, devinant rapidement son objectif alors que nous prenions les marches pour monter à l’étage. Rapidement nous étions dans ma chambre, seul, n’étant chaperonné que par notre raison et la bonne fortune.

-Faut croire que tu as bon goût, mais à vrai dire l’étiquette est parfois trompeuse. Répondis-je d’abord amusé puis faussement sérieux.

Elle me prit ensuite dans ses bras, d’une étreinte chaleureuse, que j’aurais voulu éternelle. Quelque chose troubla mon esprit, Chuck semblait avoir la tête ailleurs, mais je relayai rapidement cette impression au second plan alors qu’elle me demanda l’effet que mon achat me faisait, surtout en considérant que j’allais être à nouveau son esclave.

-Je l’ai déjà été une première fois, j’ai adoré l’expérience, j’espère que cette fois encore ce sera aussi agréable, de plus que depuis ce temps notre relation ne s’est que renforcé. Dis-je tout simplement souriant, heureux, totalement bien. Et qu’est-ce qui te fait croire que j’ai envi de me désister ? Finis-je rigolant.

Partant d’une grimace invitante elle se jeta sur mon lit, s’abritant sous un oreiller. Je la regardai perplexe sans trop savoir comment réagir, bien-sûr j’avais envi d’elle, mais elle semblait attendre d’autre chose de moi. Je vins donc m’assoir à ses cotés, perpendiculairement à elle.

-Je vois que tu es à ton aise. Dis-je en passant une main dans ses cheveux blonds, si soyeux qu’on aurait dit provenant directement du paradis. Tu as quoi en tête, maitresse, pour le reste de la soirée ? Ajoutais-je en lui prenant la main.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J'avais besoin de m'écarter de lui. Ma relation avec Edenshaw était trop « fraîche », j'avais peur de ne pas résister, de faire l'erreur que j'avais commise pendant quatre ans, de peur qu'il soit blessé que je le refuse sans lui dire pourquoi. Au moins, je savais qu'il allait bien, qu'il était content que ce soit moi sa « maitresse », que notre lien ne s'était que renforcer. Je voulais le croire, contrairement à la plupart des garçons avec qui j'avais couché, Jacob restait l'un de ceux avec qui j'appréciais de passer du temps, avec lequel je pouvais faire autre chose que coucher, à présent que j'étais en couple. Allongée sur le lit, je le regardais du coin de l'œil en souriant. Lorsqu'il s'assit près de moi, je relevais la tête.
    CHUCK « J'adore m'allonger dans un lit qui n'est pas le mien aussi! »

Je souris, fermant les yeux lorsqu'il passa sa main sur mes cheveux, avec une douceur agréable. C'est alors qu'il me demandait ce qu'on allait faire, sur le coup, je n'y avais pas vraiment penser. Je me relevais entièrement pour venir poser mes jambes sur ces cuisses, et passer mon bras autour de son cou, tout en posant ma tête sur son épaule. Une façon tendre de le prendre dans mes bras, ça me faisait du bien, après tout ce qui s'était passé depuis mon retour, et même depuis ma tentative, j'avais besoin de me changer les idées.
    CHUCK « Si on regardait simplement la télé ? Et … j'ai besoin de me détendre, tu me ferais un massage ? »

Je me mis à rire, j'avouais en profiter vraiment là. Je déposais un bisou sur sa joue, le poussant sur le lit pour qu'il s'allonge, j'attrapais la télécommande et je vins à m'asseoir à califourchon sur son ventre. J'allumais la télé, m'amusant de la situation. C'était peu commun ce genre de situation, je savais même qu'Edenshaw serait jaloux de la posture que j'avais adopté, mais je savais que je faisais rien de mal, on s'amusait juste entre « amis ». Je soupirais, il n'y avait rien d'intéressant à la télévision. Je m'allongeais à coté de Jacob, enlevant soudainement ma robe pour être en sous-vêtement, afin de pouvoir me faire chouchouter toute la soirée.
    CHUCK « Allez, go me masser! Sur le champs ! » lui dis-je avec un petit air taquin.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
J’étais assis près de Chuck, me contentant simplement de sourire d’un air hébété. Je la regardais, la trouvant si jolie, si femme. J’attendais le bon moment pour aborder un sujet de conversation plus intime, mais je ne voulais pas non plus brusquer les choses. C’est alors qu’elle me confia qu’elle aimait beaucoup s’allonger dans un lit qui n’était pas sien.

«Tu sais, je ne te l’ai jamais caché, j’aime bien quand tu es couché dans le mien.» Répondis-je souriant.

En ce moment, j’étais heureux comme un pape, rien ne pouvait gâcher ce moment, j’étais seul à seul avec la fille qui me faisait rêvé. Soudain, pour ajouter à mon bonheur elle me prit dans ses bras. Cette tendresse spontanée me fit chaud au cœur, j’ai, sur le coup, eu envi de l’embrasser, mais je me retiens, il était encore tôt pour ce genre de rapprochement. J’espérais encore profiter un peu de cette relation fraternelle avant de retourner au lit avec elle. C’était bien d’être comme ça tout les deux, mais ce serait bien de faire quelque chose aussi, ce à quoi la belle blondinette me répondit qu’elle avait envie de mâter la télévision. Chose assez cool de mon point de vue étant donné le caractère platonique de la chose, témoignant de la connexion entre nous deux, nous ne nous voyions pas que pour le sexe en voilà la preuve.

«Ouais c’est bien la télé.» J’avais répondu ça faute de mieux ensuite je renchéris avec le sourire; «Et puis rien ne nous empêche de faire d’autre truc en même temps.»

Elle me regarda avec un sourire qui faisant damné les anges, je resté béat devant son si beau visage. Elle me demanda de lui faire un massage. Présentement elle aurait pu me demander de voler le trésor national je l’aurais fait. Je me contentai donc d’acquiesçai d’un hochement de tête grommelant mon accord. La télécommande à la main, elle, la belle Chuck Davis, était à présent à califourchon sur moi, éveillant en moi les charnelles des envies. Je déposais instinctivement les mains sur son bassin, cherchant à caresser ses cuisses encore couvertes de tissus, alors que soudain elle se coucha près de moi en enlevant sa robe. À ce moment j’étais certain qu’on allait encore une fois coucher ensemble, ou plutôt devrais-je dire faire l’amour, mais non. Elle m’ordonna, de façon taquine de la masser.

«Oui madame !» Me contentais-je de répondre en frottant mes mains ensemble.

Je l’adossai contre moi, découvrant sa nuque de ses longues nattes blonde. Je commençai à masser tranquillement, mais en appliquant une pression conséquente. Puis je descendis au niveau de ses omoplates et finalement au milieu de son dos. Je me souvenais d’avoir reçu des leçons de massage de mon ex, en espérant que j’avais été bon élève. Je déposai un chaste baisé sur sa nuque tout en appuyant une pression le long de sa colonne vertébrale.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Je ne me rendais pas vraiment compte de ce que je faisais présentement avec Jacob. Pour moi, c'était pas tellement grave de me retrouver dans ce genre de situation avec lui, j'avais l'habitude de me retrouver nue avec lui, même pour des choses banales comme un massage, ce n'était rien. Et je devais l'avouer, ça faisait vraiment du bien. Je me demandais ce qu'il pensait à ce moment là, après tout, nous avions été des amants parfaits, son corps m'avait permis d'oublier le fait que j'aimais Edenshaw, que j'en souffrais énormément à ce moment là. A présent heureuse aimée d'Edenshaw, je ne savais pas comment faire pour dire que j'avais quelqu'un à présent, j'avais l'impression que si je lui disais, ça allait changer les choses. Soudainement, je me tournais me retrouver allongée sur le dos, prenant ses mains pour y glisser mes doigts dans les siens.

    CHUCK « Je dois te parler, Jacob. »


Sur le coup, j'avais peur de lui dire, que j'aimais Edenshaw, que nous pouvions plus faire l'amour comme avant. Que jamais il ne retoucherait à mon corps, à moins qu'Edenshaw ne m'aime plus, qu'il me déteste un jour, ce qui j'espère, ne se passe jamais. Je laissais tomber ses mains pour poser les miennes sur son torse pour les remonter jusqu'à ses épaules, et le faire basculer à mes cotés, qu'il soit à coté de moi.

    CHUCK « Tu sais... je t'aime beaucoup... je tiens à toi, comparé aux autres garçons que j'ai pu connaître, tu es l'une des personnes avec qui j'ai crée une amitié. Tu me suis ? »


je me pinçais la lèvre inférieure, inquiète. J'espérais qu'il comprennes où je voulais en venir. Que je l'appréciais, mais … je n'osais pas encore dire que je ne lui ferais plus plaisir. Pourtant, je ne pouvais pas mentir qu'avoir passer du temps avec lui était merveilleux, comme à Cancun le dernier soir, nous avions passé une nuit formidable. J'espérais qu'il comprendrait...

    CHUCK « Je... c'est dur à expliquer... »
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)