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NOLYA ✱ Come on barbie let's go party

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Come on barbie let's go party  
[b] C'était une toute nouvelle journée aujourd'hui, j'avais besoin de sortir, de passer du temps avec mes amis et qui de mieux que Nolan pour me changer les idées ? Le stresse avait envahi l'entiereté de mon être, coulant ainsi non stop dans mes veines. J'étais d'ordinaire ce genre de femme  à qui la situation n'échappe jamais, qui ne se laisse  jamais submerger par les événements et encore moins par ses émotions ou du moins en apparence. Sauf que j'avais craqué et devant Kenny qui plus est. D'une certaine manière, j'étais heureuse de ne pas le voir pendant une semaine, une veille tradition familial qui voulait que les futurs époux passent quelques jours l'un de l'autre histoire de tester leur sentiment. Mes questions affluaient de toute part, mais au fond, tout au fond, une petite voix me disait que ce n'était que l'anxiété de ce grand événement, que cet homme était celui de ma vie. Je n'aimais que lui, je n'avais aimé que lui. Nous étions des âmes soeurs, n'est ce pas ce qu'il m'avait dit ? Je souriais à cette pensée en terminant de peigner mes cheveux avant de me mettre une touche de mascara. Je n'avais pas besoin de plus et je le savais (aa) Mes parents étaient arrivés hier de Russie et la seule chose à laquelle je pensais c'était le moment de leur départ. Arrrf, c'était juste affreux , des remarques en veux-tu en voilà, des reproches ... oui parce que le côté affectueux ce n'était pas auprès d'eux que j'allais l'avoir. Anya n'oublis pas de dire à Nolan de venir me voir je levais les yeux au ciel avant de claquer la porte pour rejoindre la voiture de mon meilleur ami. Si tu passes pas voir ma mère en rentrant je crois qu'elle va faire une attaque alors je t'en pris j'ai pas envie qu'elle me prenne la tête jusqu'au mariage, on dirait le retour du fils prodige, bordel tu lui as fait quoi ?   soufflais-je tout en m'attachant avant de déposer un baiser sur sa joue. Okay m'sort pas une de tes blagues vaseuses ça ira riais-je , oui je les connais les mecs et je sais bien le genre de chose qu'il allait me dire après la perche que je lui avais tendue.


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Moins Nolan passait de temps dans son appartement, mieux il se sentait. Il avait été prit de cours en débarquant ici et par conséquent il s'était retrouvé dans un studio encore plus petit que le dressing sa mère, dans leur maison familiale à Washington. Nolan ayant toujours baigné dans l'excès, il n'était pas le moins du monde habitué aux espaces réduits. Heureusement, il avait sa voiture et était donc parfaitement libre de se balader tranquillement, faisant de son appartement simplement le lieu ou il s'endort et prend une douche. Pour l'heure, Nolan était sensé retrouver sa meilleure amie pour du shopping. Tant mieux, voilà qui ne pouvait que lui faire du bien. En fait, depuis son arrivée, c'était peut-être la première fois qu'il se sentait vraiment de bonne humeur. Sans doute car il savait qu'il n'y allait pas avoir le moindre soucis. Non, le temps qu'il passait avec Anya n'avait jamais été source de frustration, bien au contraire. Ca semblait même ridicule de s'imaginer que quoi que ce soit pourrait aller de travers. Le pire qui pouvait se passer, ce serait de ne rien trouver à acheter, mais c'était le genre de soucis auquel Nolan n'avait jamais été confronté en vingt-quatre ans. Il se gara devant chez Anastasiya et se tâta pour ce qui était de rentrer ou pas. En un coup d'oeil, il vit cependant qu'il était pile à l'heure et sa meilleure amie n'était pas franchement du genre à faire attendre qui que ce soit, alors il attendit dans sa voiture. Cela ne fut pas une erreur car quelques instants plus tard, la porte de la voiture s'ouvrait  sur Anya qui se glissa sur le siège passager. « Si tu passes pas voir ma mère en rentrant je crois qu'elle va faire une attaque alors je t'en pris j'ai pas envie qu'elle me prenne la tête jusqu'au mariage, on dirait le retour du fils prodige, bordel tu lui as fait quoi ? » Même si elle avait l'air exaspérée, il ne put s'empêcher de sourire avant de lui faire la bise. Il allait ouvrir la bouche pour rétorquer quelque chose, mais elle le devança. « Okay m'sort pas une de tes blagues vaseuses ça ira » Il fronça légèrement les sourcils. Lui demander de se taire, c'était beaucoup lui demander. « Je dirais juste que tout le monde m'adore, c'est naturel » rétorqua-t'il joyeusement avant de mettre le contact pour partir. Il s'assura que personne n'était derrière et s'engagea sur la route. Il tourna le bouton de la radio, un peu trop forte pour qu'ils puissent discuter. « Comment ça va toi ? Tu tiens le coup ? » Demanda-t'il. Elle allait se marier. C'était merveilleux bien sûr, mais en pleine période de préparations, c'était surtout du stress et en plus, en ce moment, elle devait supporter ses parents, ce qui n'était pas forcément facile non plus. Pour sortir d'un an de colocation avec sa soeur, il ne pouvait que compatir.
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