Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Caleyna) I try to hold on a time where nothing mattered
-43%
Le deal à ne pas rater :
-100€ Pack rééquipement Philips Hue Play : 3 barres lumineuses ...
129.99 € 229.99 €
Voir le deal


(+ Caleyna) I try to hold on a time where nothing mattered

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
On vit présentement dans un monde où les gens adorent raconter n'importe quoi pour se rendre intéressant. Souvent ça sort de l'esprit déranger de quelqu'un et ça se répand, finissant par mettre le doute dans l'esprit des personnes même les plus pures. Voilà ce qui se passait présentement avec notre jolie Leyna nationale. Elle détestait les ragots, selon elle ça n'avait été inventer que pour que les gens sans grand intérêt aient quelque chose à dire. Pourtant ces derniers temps il y avait une rumeur qui circulait qui piquait sa curiosité. Selon l'ennuyeuse population de Cambridge, le beau Calvin Mikaïlovitch serait de retour de la Russie. Ça lui semblait absurde parce que bon avant son départ ils étaient quand même... proche disons, alors s'il était revenu il le lui aurait dit. Ça paraissait logique. Pourtant d'un autre côté il avait disparu comme ça sans préavis. Le seul moyen d'en avoir le coeur net c'était de se rendre à son ancien appartement. Parce qu'elle le connaissait son russe, il ne pourrait pas simplement retourner vivre ailleurs s'il revenait ici. La jeune femme se rendit donc dans Central Square et cogna à la porte de l'appartement dudit Calvin. Une partie d'elle n'avait pas vraiment envie de le voir ouvrir cette porte en fait. Que pourrait-elle lui dire ? « Bonjour, on s'est fréquenté durant des semaines jusqu'à en perdre une amie proche et maintenant je compte même plus assez pour toi pour que tu me préviennes de ton retour » ? Akward moment. Son coeur battait vite.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Revenir dans un endroit que l’on avait quitté à la hâte, vous laissait toujours une impression étrange. Pour la première fois de mon existence, c’était dans cette ville que j’avais connu la douleur. Jamais encore, je m’étais risqué à m’attacher à une femme. Pourtant, c’était ici que j’avais franchis cette limite. Voilà pourquoi, j’avais éprouvé le besoin de revenir vivre en Russie. Là-bas, j’étais loin du monde anglophone et de son agitation. Dans la mêlée, je m’étais pliée aux exigences de ma famille en me mariant avec une jeune femme. Le plus ironique, était que mon père, avait trouvé le moyen de me dire que même si je suis mal, ça ira mieux. A ce moment-là, je m’étais dit : depuis quand mon père est psychanalyste ? Sincèrement, je n’avais rien vu venir. Je ne savais même pas comment il avait fait pour deviner ma perte. Donc, pour en revenir à ce que je disais : je me suis marié avec une jolie blonde aristocrate et même si elle était jolie, elle me paraissait fade à côté de Milena. Ma mère bien sûr, la tout de suite adopté. Bien que nous soyons mariés, j’avais refusé qu’elle me rejoigne ici, prétextant une concentration optimale pour mes cours et que j’avais beaucoup de travail avec l’entreprise.  Perdu dans mes pensées, ce fut le frappement sonore sur ma porte d’entrée qui m’en sortait. Qui pouvait bien sonner sans s’être présenté au gardien de l’immeuble au préalable ? Me dirigeant vers la porte, je fus étonné de voir Leyna apparaitre dans l’objectif de la caméra. « Leyna » disais-je surpris en lui ouvrant la porte. « Comment tu as sus ? »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Dire qu'il y a 3 mois, ils étaient gentiment entrain de se faire des caresses sur la plage de Punta Cana afin d'oublier leurs petits problèmes de coeur et aujourd'hui ils avaient l'air de deux statue l'un face à l'autre. Leyna avait eut beauxoup de mal à accepté que Calvin soit parti comme ça du jour au lendemain, après tout ils étaient de bons amis en plus d'être amants. Ça fait toujours mal de voir une personne à qui on tient disparaître de votre vie comme ça sans prévenir ni donner de nouvelles durant tout ce temps. Et ça fait encore plus mal de se retrouver devant son appartement avec la peur au ventre à l'idée qu'il ouvre cette foutue porte. La demoiselle n'avait pas eut à s'identifier à l'entrée, le gardien la connaissait pas mal bien depuis le temps où elle venait là. Des pas avançaient dans l'ancien appartement de Calvin, des pas qui venaient en sa direction. Elle n'avait qu'une envie là tout de suite, se retourner sans regarder derrière et ne jamais savoir s'il était revenu. Malheureusement c'était trop tard. Son coeur fit un bon en croisant son regard, en l'entendant prononcer son nom aussi sereinement. Un mélange de joie et de colère s'empara de son être, à un point tel qu'elle ignorait quoi répondre à sa question. Les gens parlent à Cambridge. Elle le regarda dans les yeux durant des secondes qui lui semblèrent des heures avant de le dévisager. C'est ce qu'elle redoutait s'il ouvrait cette porte : ne pas savoir quoi lui dire. Elle avait l'impression de se trouver face à un inconnu en fait. C'est marrant j'ai fais un rêve pendant que tu étais parti... J'ai rêvé qu'on avait déjà été amis. Est-ce que la demoiselle essayait de faire culpabiliser Calvin ? Totalement, et il le méritait d'ailleurs.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Les gens parlent à Cambridge. » Ainsi dont, les gens avaient déjà commérés à mon sujet. J’avais oublié à quel point tout allait très vite sur le campus. Je n’étais là que depuis quelques jours et déjà, une bonne poignée d’étudiant disait m’avoir aperçu. Sans plus de cérémonie, je lui demandais comment est-ce qu’elle avait su pour mon retour. [i] « C'est marrant j'ai fais un rêve pendant que tu étais parti... J'ai rêvé qu'on avait déjà été amis. »[/color] Comme je devais m’y attendre, elle ne m’accueillait pas avec le sourire. Pour tout avouer, je ne comprenais pas pourquoi est-ce qu’elle le prenait aussi mal. Ok, on était ami et après ? Elle se doutait bien que mon départ n’était pas réellement voulu. Elle mieux que personne, savait que ma rupture avec Milena, m’avait affaibli. « Tu veux boire un verre ? » Je ne la laissais pas parler pour repartir vers le salon. Elle savait parfaitement ce que cela signifiait : je lui en dirais plus, lorsqu’elle aura refermé la porte. Tout en pénétrant dans le salon, je me dirigeais vers le bar pour nous servir deux verres. Ce soir, l’heure allait être à la discussion et je savais, que cela risquais de tourner mal avec une fille comme Leyna en adversaire. Quelques secondes plus tard, je sentais la présence de Leyna derrière moi. « Tu sais que tu peux retirer ta veste »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le cœur de Leyna arrêta de battre en voyant Calvin ouvrir la porte de son appartement. Alors comme ça c’était vrai, il était bel et bien revenu. Elle ignorait si elle était heureuse ou en colère présentement, un mélange des deux sans doute. Après tout s’il avait fait cela il avait ses raisons, elle ne pouvait pas vraiment le juger sur ses actions. Seulement voilà la brune n’était pas non plus le genre de fille à faire profil bas quand quelque chose la titillait c’est pourquoi elle ne se gêna pas pour lancer sa petite pique. C’est alors que l’ancien professeur l’invita à boire un truc mais elle savait que c’était plutôt une invitation à en savoir plus. Voilà pourquoi Ley’ ne répondit rien, préférant plutôt le suivre à l’intérieur et refermer la porte derrière elle. C’était étrange ce froid qui planait, ils étaient si proches pourtant avant. Je préfère la garder comme ça je serai prête quand tu vas repartir. Croisant les bras sur sa poitrine, elle ne le lâchait pas du regard. Honnêtement la jeune femme n’avait rien à lui dire, elle était plutôt venue au contraire pour avoir des réponses. C’était une chose d’être parti, ça Leyna le comprenait bien à la limite. Mais s’en était une autre de ne lui avoir donné aucune nouvelle comme si elle n’avait été qu’un plan cul ordinaire. En tout cas c’est clair qu’il n’était pas prêt de reposer ses mains sur elle… À moins de trouver un moyen de se faire pardonner.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« Je préfère la garder comme ça je serai prête quand tu vas repartir » Leyna était en colère, mais croyez-le ou non, cela m’amusais. J’aimais les défis et Miss Carlson en était un à elle toute seule. « Voyons, tu vas me vexer, si tu restes là » Sans plus attendre, j’allais dans le salon pour servir un verre de martini et un autre de whisky. Mon verre en main, j’allais m’assoir sur mon fauteuil. « ça ne te va pas d’être aussi froide Leyna » susurrais-je, un sourire narquois aux lèvres. Combien de temps est-ce qu’elle allait se comporter de cette manière enfantine ? Je m’étais absenté quelques mois et je ne lui avais pas donné de nouvelle, mais qu’est-ce que cela pouvait lui faire ? Nous étions amis, non ? Ne pouvait-elle pas comprendre que j’avais été occupé ? « J’ai été occupé Leyna, alors épargne moi le comportement d’une petite amie en crise »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Une Leyna en colère ce n'est pas toujours doux et mignon. Au contraire, ça grogne, ça a la rage, ça mord et ça balance les quatre vérités. Elle comptait bien garder sa veste puisque de toute façon sa visite sera brève. Du moins c'est ce qu'elle tente de se faire croire à elle-même. Mais Calvin à raison, le froid ne lui va pas, c'est une femme qui a le sang chaud en général. Et elle n'a pas de véritables raisons d'être en colère si ce n'est qu'elle se sentait comme un animal à qui on enlève son jouet. La jeune femme commença donc par s'asseoir face à lui. « T'as raison désolé... C'est juste que... J'avais besoin de toi... Serait-on entrain de faiblir ma belle ? Que voulez-vous l'être humain est un animal, et le regard du russe posé sur elle continue de la faire fondre sur place même après tous ses mois. Mais non, il ne faut pas que ça se ressente car le connaissant il risquait de bien s'en amuser. Tant pis elle trouverait bien le moyen de profiter de lui en retour comme avant ! D'ailleurs Ley se permet effleurer la cuisse du garçon devant elle du bout de ses doigts.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
« T'as raison désolé... C'est juste que... J'avais besoin de toi... » J’avais bien entendu, Leyna m’avouais avoir eu besoin de moi. Plutôt étonnant de sa part. S’asseyant en face de moi, elle effleurait volontairement ma cuisse de sa main. Etait-ce de la manipulation ? Avec Leyna, on ne pouvait jamais être sûr de ce qu’elle pensait. « Ah oui ? » Je me reculais légèrement pour pouvoir m’appuyer contre le dossier du fauteuil avec nonchalance. « Dans ce cas-là, il fallait m’appeler. Tu peux être en colère contre moi, tu n’as rien fait non plus pour prendre de mes nouvelles » Buvant une lampée de ma boisson, je reposais le verre sur la table basse, avant de me pencher vers Leyna. Prenant son menton entre mes doigts, je relevais son visage vers moi. « Ta provoque ne fonctionne pas avec moi. Tu sais très bien que ça te rend bien trop attirante pour que je te repousse » Sur ses mots, je l’embrassais. On se connaissait très bien et jouer l’inconnu commençais à me lasser.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Le truc entre eux, c'est que ni l'un ni l'autre n'a la langue dans sa poche alors quand ils décident de se faire la tête ça tourne rapidement dans une situation totalement ridicule. Et à l'inverse, ils sont tous deux aussi très orgeuilleux donc quand une telle situation l'un décide de lancer un truc plus ou moins gentil, on se méfie. C'est sans doute pour cette raison que dans un premier temps, Calvin ne répondit pas aux avances de la belle Leyna qui se montrait désormais douce comme un agneau. Les faits étaient là, même si elle lui en voulait d'être parti, d'avoir été lâche et de l'abandonner dans une période de sa vie où elle aurait eu besoin de lui, il était toujours beau comme un Dieu. Et il avait raison, sa colère l'avait empêcher de prendre de ses nouvelles en retour. Le truc c'est que la jeune femme avait peur de se prendre un vent ce serait tellement la honte. Jamais le russe ne l'avait repousser avant. Son coeur débattait très fort et ne fut complètement satisfait que lorsqu'il vint poser ses lèvres sur les siennes. On peut dire ce qu'on veut mais rien n'équivaut à ce moment, c'était parfait et bon dieu que ça avait manqué à Leyna. C'est pourquoi elle lui rendit son baiser, entourant sa nuque de ses bras en mêlant sa langue à la sienne.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)