tessy r. magyar ► victoria justice

Bonjour tout le monde ! Sur internet on m'appelle parisianlux et j'ai 18 ans. Je suis française et j'ai connu le forum grâce à bazzart je crois...  Je suis déjà présent sur le forum sous les traits de Gaïa V. C.-Di Fabio. J'utilise Victoria Justice comme avatar, d'ailleurs les images ont été faites par LADYFAME. Je fais environ 250 mots par RP et mon personnage est un scénario crée par royce a. magyar.

Mot de la fin ? ▲ un smiley ça suffit ?   
Je souhaite ▲ (ajoutez "checked" pour cocher une case)
être parrainé (?) adhérer un flood d'intégration (?)
participer à la roulette RP (?)

DON'T YOU EVER GROW UP, JUST STAY THIS LITTLE.
Je suis née à Balantonfüred, près du grand lac Balaton en Hongrie. J'ai passé toute mon enfance là-bas. Je n'ai pas été malheureuse, même si ce n'était pas la fête tout les jours à la maison. Ma mère était, est est toujours, une femme absolument adorable. Le problème c'est qu'elle était bien trop stressée à cause du comportement de mon paternel. D'aussi loin que je puisse m'en souvenir, il a toujours été plutôt autoritaire, et même assez violent, surtout avec mon frère aîné, Royce, qui semblait trouver un malin plaisir à le chercher en se rebellant contre tout lorsqu'il était adolescent. Moi j'étais plutôt la petite fille modèle, qui essayait de faire plaisir à ses parents, et qui essayait surtout de ne pas les énerver davantage. Moi j'étais l'enfant calme, tandis que Royce occupait la place du rebelle qui paraissait se foutre de tout. J'ai toujours admiré mon frère, malgré tout ce qu'il faisait. Mais lui, il paraissait ne pas me voir, alors que je faisais absolument tout ce que je pouvais pour attirer son attention. Pour un regard, un sourire, ou même un simple petit mot gentil. Au lieu de ça, il m'ignorait totalement. Parfois c'était dur a accepter, et parfois je m'en fichais totalement. Et puis j'en ai pris l'habitude.
Mon enfance à donc était assez banale, sans l'être totalement. J'étais le genre de petite fille qui s'intéressait à tout, qui posait des questions sans arrêt jusqu'à en énerver son entourage. À l'école, j'ai toujours été plutôt bonne, sans être la meilleure. À vrai dire je me suis toujours plus intéressée à l'art plutôt qu'à la littérature ou aux mathématiques. J'étais excellente en arts plastiques, en théâtre, en chant aussi. Sans pour autant trop me mettre en avant. Je crois que j'ai toujours préféré organiser plutôt que de jouer. Pourtant je savais que mes parents auraient préféré que je me concentre plus sur les matières dîtes plus générales. Alors j'ai essayé, pour leur faire plaisir, comme toujours..

BE THE GOOD GIRL YOU ALWAYS HAD TO BE.
Je crois que ma vie a pris un autre tournant lorsque j'avais environs douze ans. Après plusieurs examens médicaux, on diagnostiqua une bipolarité à mon père et à mon frère. Cela expliquait donc leur comportement parfois agressif, le fait qu'il soit l'un comme l'autre d'une lunaticité déconcertante et parfois même effrayante pour moi. Combien de fois les avais-je vu se battre ? Combien de fois avais-je supplier mon père de ne pas frapper Royce après que ce dernier ait encore fait une connerie ? Je croyais que c'était la fin des problèmes, que tout finirait par s'arranger, et que les disputes familiales allaient enfin cesser. Malheureusement, mon frère refusait catégoriquement d'aller voir un psy. Nouvelle cause de conflit entre lui et les parents. Et moi j'étais au milieu de tout ça, essayant une nouvelle fois d'être le plus irréprochable possible pour ne pas déranger, pour ne pas causer davantage de soucis.
Pour en remettre une couche, mes parents ont décidé de divorcer quelques mois plus tard. Un choc pour moi, car même s'ils passaient leur temps à se disputer, je refusais qu'ils se séparent. Je voulais vivre avec mes deux parents en même temps. J'en ai voulu à Royce, pendant longtemps. Je lui ai mis le divorce des parents sur le dos, ne cessant de lui répéter que tout était de sa faute et que je le détestais. Que je ne lui pardonnerai jamais ce qu'il a fait. Ce n'était pas entièrement de sa faute, mais j'avais besoin d'un coupable, quelqu'un à blâmer. Le truc avec Royce, c'est que je ne savais même pas si ça lui faisait quelque chose. En tout cas, j'ai refusé de lui parler pendant quatre semaines. Jusqu'à ce que j'ai besoin de lui pour me consoler lorsqu'on a quitté la maison familiale. Et pour une fois il a été là pour moi. Il m'a serré contre lui pour que j'arrête de sangloter. J'avais peut-être enfin retrouvé mon grand-frère.

I'M JUST TRYING TO MAKE IT IN AMERICA.
Après le divorce de mes parents, je suis allée vivre avec Royce et maman aux Etats-Unis. Elle venait de se remarier avec un riche américain que j'appréciais énormément malgré le fait que je lui en voulais de remplacer mon père dans le cœur de maman, et peut-être dans le mien aussi. Je ne pouvais qu'apprécier cette nouvelle vie. Tout était si différent ici. Pas de disputes à répétition, des parents on ne peut plus présents pour moi, un mode de vie agréable. Maman était de nouveau heureuse, et ça se ressentait. Royce semblait enfin avoir décidé de soigner son problème. Et mon beau-père était un homme absolument charmant, qui nous considérait comme ses vrais enfants. J'ai donc passé mon adolescence tranquillement. J'étais toujours une élève sérieuse, bien que plus intéressait par le monde du spectacle, et par l'art. Au lycée je ne faisais pas vraiment partie des populaires, mais j'étais appréciées à ma juste valeur, ce qui me plaisait vraiment.
Et puis je fus acceptée dans la brillante université qu'est Havard, tout comme mon aîné quelques années plus tôt. Cela fit la fierté de ma mère et de mon beau-père, ainsi que de mon père a qui j'avais annoncé la nouvelle au téléphone. C'est sans surprise que je choisis de choisir de faire des études d'arts visuels. Maman pouvait se venter d'avoir deux artistes à la maison. Ma première année se passa bien. Et ce fut également le cas de ma deuxième année. Je me plaît vraiment ici, peut-être même plus que chez moi. Et puis j'ai l'occasion d'essayer de me rapprocher de mon frère, même s'il est aussi distant envers moi qu'avant. Peut-être parce que je connais ses secrets..