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Memories are insane. Just like you. | William.

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Cette journée aurait pu être tout à fait agréable. Petits poneys, arc-en-ciel, soleil, paillettes, nuages cotonneux dans le ciel et compagnie. Bonheur. Mais le sort en décida autrement. Charlie, pour l'heure, était absolument inconsciente et ne savait pas qu'elle allait faire une rencontre plutôt désagréable. Elle finissait de répéter une mélodie sur sa harpe dans sa chambre quand elle eut une envie de scones. Ça lui prenait toujours en un instant. L'Irlandaise était spontanée autant dans ses réactions que dans ses envies, c'est ainsi qu'elle rangea soigneusement sa harpe avant de se précipiter au foyer de la Lowell, vide. Parfait, les fourneaux étaient à elle ! Fouillant pour trouver la farine et le reste des ingrédients, elle mélangea avec un plaisir enfantin tous les ingrédients jusqu'à les mettre dans le four. Les scones, à Cambridge, ils ne savaient pas les faire. Aucun ne valait ceux de Londres qu'elle achetait adolescente le week-end. Et ils valaient encore moins ceux qui étaient fait maison ! Alors que la fournée sortait du four, Charlie entendit des pas dans le foyer. C'était une homme brun qu'elle n'avait encore croisé que vaguement à la Lowell, un bizut donc très certainement. Toujours soucieuse d'intégrer les gens, elle lui demanda avec un grand sourire : « Tu veux des scones ? Je viens d'en faire ! » Pauvre petite rousse naïve, elle allait sûrement regretter sa gentillesse.
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Charlie & William


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Depuis quelques jours, plus rien ne fonctionnait correctement pour William. D’habitude, ça cogitait non-stop dans sa petite tête, il tachait de se montrer sous un meilleur jour –en général du moins- etc, etc. Mais à présent, il ne parvenait plus à ça. Il ne parvenait plus à être gentil, malgré qu’il sache pertinemment qu’il était à Harvard pour changer. Il ressentait une étrange sensation, désagréable puisqu’il ne pouvait l’expliquer. C’était simplement terrible. C’est donc de mauvaise humeur qu’il traversa le salon des Lowells, voulant rejoindre sa chambre. Il avait passé la matinée dehors, se disant que sortir lui changerait les idées, mais en vain. Alors qu’il se dirigeait vers sa chambre, une voix féminine le héla, et il ne reconnut pas cette voix. Il ne lui parlerait pas, il n’en avait pas envie. Pourquoi l’agressait-elle avec sa bonne humeur ? Il se raidit, figé sur place. Il déglutit péniblement, articulant ; « Non, merci. » Il avait l’impression qu’en lui une bataille épique faisait rage ; celle qui opposait le William ordinaire au nouveau William. Ce dernier aurait peu de chances de s’en tirer si son humeur morose persistait, pourtant il semblait tenir bon, restant debout coûte que coûte. Par curiosité, il se tourna une seconde vers la jeune femme qui lui avait proposé des scones quelques instants plus tôt. Et là, il resta de nouveau immobile. Ces cheveux roux, les traits doux, la peau comme de la porcelaine & ce regard de chat. Il connaissait la rouquine, mais quelque chose clochait, il l’avait rencontré quand il n’était âgé que d’une dizaine d’années et déjà elle semblait avoir cet âge là, une petite vingtaine. Possédait-elle une pierre philosophale ? Sinon, comment expliquer qu’elle se retrouvait ici à présent ? Et puis, quel était son nom, bon sang ? Il était impossible pour le Lowell de s’en souvenir sur le moment, trop choqué de sa découverte. En temps normal, il aurait déjà trouvé qui elle était. Mais là, rien n’était normal. Il allait falloir qu’il remette en route ses méninges pour trouver la réponse.
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Alors qu'elle proposait très gentiment des scones à l'inconnu, il déclina la proposition. Avec... Brutalité comparé à la joie éternelle de Charlie. Qui ressentit plus fort que n'importe qui d'autre la sécheresse du ton du jeune homme, parce que, vivant dans un monde de joie très manifeste, elle était vite interdite face à la moindre marque de mécontentement. À son intonation, on aurait dit qu'elle avait commis un crime en lui proposant ses pâtisseries. Y'avait pire dans le monde, hello. La rousse reposa à reculons le plat de scones sur la table tout en maugréant un : « C'était juste une proposition polie, pas la peine d'être si désagréable, je n'allais pas t'agresser. » C'était des scones, pas des couteaux suisses, bon sang. Malgré la manifeste antipathie de l'inconnu-pas-gentil à la coiffure bizarre, il restait planté là devant elle. À ne rien faire. Bloqué sur elle. Euuuh... Oui ? Elle avait de la farine sur le visage ou quoi ? Par précaution, l'Irlandaise s'essuya la figure mais le brun restait toujours fixe. Elle avait perçu un accent londonien quand il avait parlé. Les Anglais, ça aimait les scones. Peut-être qu'il regrettait d'avoir dit non et qu'il n'osait pas en redemander ? Elle allait le proposer pour lui ! « Tu es sûr que tu n'en veux pas ? » redemanda-t-elle alors avec un grand sourire, persuadée de la timidité du jeune homme. « Tu viens de Londres, je ne me trompe pas ? » Passer ses week-ends à Londres, ça aidait à repérer l'accent. Ça n'avait jamais effacé son sacré accent irlandais cela dit, qu'elle conservait après six ans de vie à Cambridge.
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William avait vu que le salon des Lowell était désert, c’était sans compter sur la présence d’une unique jeune femme dans la cuisine. Il voulait simplement aller dans sa chambre, s’isoler un peu pour mettre ses pensées à plat, du moins essayer une nouvelle fois. Mais la jeune femme lui proposa des scones, il avait décliné sa proposition comme il l’avait pu. Sur les nerfs, la pauvre rousse allait subir sa colère si elle continuait d’insister de la sorte. C’était sans compter sur le fait qu’il la connaissait. Elle était une Lowell, certes, mais il l’avait déjà vu bien des années plus tôt, il y a de cela vingt ans environ. A moins que la jeune femme n’ai une recette antirides miracle ainsi que de gros problèmes de concentration en cours, elle ne pouvait à la fois être la même personne qu’il ai vu il y a des années et la fille qui lui proposait des scones. Ce devait être sa sœur, sa fille, quelque chose comme ça. Il sentit ses problèmes s’envoler, il était repartit pour un tour, la pauvre rousse ne savait pas ce qui l’attendait. Il arbora un léger sourire, s’excusant platement ; « Je suis désolé, j’ai eu une longue journée. » Il s’approcha de la rouquine, se présentant ; « William, William Kane. » Son sourire s’élargit lorsqu’elle lui demanda s’il venait de Londres, ajoutant ; « Tu as vu juste. » Il fallait croire que des personnes pouvaient encore différencier l’accent anglais de l’américain. La plupart du temps, elle s’en fichait bien. Lui avait cependant remarqué que la jeune femme n’avait ni l’accent américain, ni l’accent anglais. Il demanda ; « Tu viens du Nord ? » Il en était presque sûr, mais il préférait s’en assurer. Si elle répondait oui à cette question, une grande partie de ses doutes se dissiperaient. Restaient maintenant à connaître son nom. Peut-être se présenterait-elle à son tour ?
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Le jeune Lowell parvint enfin à se dérider et c'est même avec un sourire qu'il s'excusa tout en se présentant. Ah, voilà ! On allait pouvoir commencer à parler. Charlie lui fit un grand sourire. « Je comprends, ce n'est pas facile tous les jours ! » Enfin elle disait ça mais même quand elle n'allait aps bien, elle souriait. C'était son remède. Alors au fond, non, elle ne comprenait pas qu'on puisse se montrer désagréable avec des inconnus qui ne sont pas blessant, mais elle ne voulait pas alimenter les contrariétés du jeune... William Kane. Un nom bien anglais, ça, William ! Haha, elle l'avait bien repéré. La rousse lui sourit - elle passait son temps à faire cela - avant de lui répondre. « Je viens de Dublin, mais j'allais souvent à Londres. Moi c'est Charlie ! Charlie Lestwood, si tu veux tout savoir. » Il lui avait dit son nom de famille, ce n'était pas très courant entre jeunes du même âge, alors bon, elle avait fait de même. Tant qu'à faire elle aurait pu préciser que son vrai prénom était Violet mais elle n'allait pas dévoiler sa vie à un inconnu, faut pas exagérer. « Tu es nouveau à la Lowell, non ? »
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