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∞ Discussion autour d'un café |
Alejandro et Cora
Si on le lui disait, Alejandro serait bien surpris d'apprendre que Cora, son amie Cora, Cora la veuve, l'endeuillée, a des plans culs. Il ne le croirait et se montrerait sans doute assez... mécontent envers celui qui lui dirait une telle chose.
Ce qui ne l'empêchait pas de souhaiter qu'elle rencontre des hommes. Des hommes bons, des hommes qui l'aideront à reprendre goût à la vie, en qui elle pourra avoir confiance. Des hommes qui devront quand même passer son test d'approbation si on peut dire, parce que Cora ne mérite pas n'importe qui et n'importe qui ne mérite pas Cora.
La belle blonde disait d'abord s'en sortir, décrivant Harvard comme "pas si mal". Certes, ce n'est pas Paris. Spencer, son fantôme du moins, ne tardait pas à refaire surface. Alejandro hochait doucement de la tête.
-Parfois, je pense encore à lui tu sais... À ce qu'il aurait dit, ou penser. Parfois, cela me fait sourire. Je pense qu'il serait très heureux de voir que tu t'en sors malgré tout.
Puis, Cora lui retournait gentiment la question. L'Espagnol prit quand même la peine de boire un peu le café, esquissant une grimace. Le café aux États-Unis... sans commentaire, vraiment, rien de comparable à ce qu'on trouve dans son pays natal!
-Ah, tu me connais, je n'ai jamais eu de difficulté à me faire des amis, même si parfois, j'ai un petit choc culturel auprès de ses "Americanos". J'avais un projet de club latino, mais il n'a pas été approuvé par le doyen, mais ce n'est pas bien grave, j'ai d'autres projets en tête... Sinon, côté étude, tout va pour le mieux, j'ai réussi à maintenir la moyenne que j'avais à Barcelone.
Puisque Alejandro étudiait à l'université de Barcelone avant de venir poursuivre ses études en droit commercial ici. Son grand-père est l'homme le plus riche d'Europe selon le magazine Forbes, alors il a intérêt à bien faire. Aucune mention sur sa petite amie, Shayanes? Hey non... C'est bien connu, si Alejandro s'entiche vite d'une femme, il s'en lasse tout aussi rapidement. Aucune jusqu'ici n'a vraiment su maintenir son intérêt sur plus de six à huit mois. Nouvelle gorgée de café, nouvelle grimace.
-Je m'excuse, j'ai encore de la difficulté avec le café américain. Disons que... ce n'est pas comme chez nous, n'est-ce pas?
Ce qui ne l'empêchait pas de souhaiter qu'elle rencontre des hommes. Des hommes bons, des hommes qui l'aideront à reprendre goût à la vie, en qui elle pourra avoir confiance. Des hommes qui devront quand même passer son test d'approbation si on peut dire, parce que Cora ne mérite pas n'importe qui et n'importe qui ne mérite pas Cora.
La belle blonde disait d'abord s'en sortir, décrivant Harvard comme "pas si mal". Certes, ce n'est pas Paris. Spencer, son fantôme du moins, ne tardait pas à refaire surface. Alejandro hochait doucement de la tête.
-Parfois, je pense encore à lui tu sais... À ce qu'il aurait dit, ou penser. Parfois, cela me fait sourire. Je pense qu'il serait très heureux de voir que tu t'en sors malgré tout.
Puis, Cora lui retournait gentiment la question. L'Espagnol prit quand même la peine de boire un peu le café, esquissant une grimace. Le café aux États-Unis... sans commentaire, vraiment, rien de comparable à ce qu'on trouve dans son pays natal!
-Ah, tu me connais, je n'ai jamais eu de difficulté à me faire des amis, même si parfois, j'ai un petit choc culturel auprès de ses "Americanos". J'avais un projet de club latino, mais il n'a pas été approuvé par le doyen, mais ce n'est pas bien grave, j'ai d'autres projets en tête... Sinon, côté étude, tout va pour le mieux, j'ai réussi à maintenir la moyenne que j'avais à Barcelone.
Puisque Alejandro étudiait à l'université de Barcelone avant de venir poursuivre ses études en droit commercial ici. Son grand-père est l'homme le plus riche d'Europe selon le magazine Forbes, alors il a intérêt à bien faire. Aucune mention sur sa petite amie, Shayanes? Hey non... C'est bien connu, si Alejandro s'entiche vite d'une femme, il s'en lasse tout aussi rapidement. Aucune jusqu'ici n'a vraiment su maintenir son intérêt sur plus de six à huit mois. Nouvelle gorgée de café, nouvelle grimace.
-Je m'excuse, j'ai encore de la difficulté avec le café américain. Disons que... ce n'est pas comme chez nous, n'est-ce pas?
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Parfois, je pense encore à lui tu sais... À ce qu'il aurait dit, ou penser. Parfois, cela me fait sourire. Je pense qu'il serait très heureux de voir que tu t'en sors malgré tout. Ses mots m'arrachent un sourire, mais me brise le coeur un peu plus qu'il ne l'était déjà. Rien que d'y repenser, de repenser à lui me faisait du mal et je n'arrivais pas à prendre bien le fais de m'en sortir malgré tout. J'étais là, encore en vie alors que lui non. Dans quel monde vivait-on ? Tu sais... Parfois je me dis que je n'aurais pas dû le laisser prendre l'avion... Que j'aurais dû inventer une excuse ou le lui faire rater... J'aurais pu faire quelque chose tu ne crois pas ? Je ricanais en silence, même si rien de tout ça n'était drôle au fond. C'était horrible, c'était une sensation horrible. Insoutenable. Il fallait que je pense à autre chose, rapidement. Ah, tu me connais, je n'ai jamais eu de difficulté à me faire des amis, même si parfois, j'ai un petit choc culturel auprès de ses "Americanos". J'avais un projet de club latino, mais il n'a pas été approuvé par le doyen, mais ce n'est pas bien grave, j'ai d'autres projets en tête... Sinon, côté étude, tout va pour le mieux, j'ai réussi à maintenir la moyenne que j'avais à Barcelone. Je lui souris, j'étais contente d'entendre qu'il s'en sort si bien à Harvard. Parfois ça pouvait vraiment être la zone ici, franchement. Ils sont marrant les américains, ils sont un peu sauvage et très différent mais ils sont marrant. Je suis contente d'entendre que tu t'en sors. Barcelone ça doit te manquer hein ? En tout cas moi parfois, Montpellier ça me manque.. Mais je n'étais pas longtemps nostalgique, juste le temps qu'il faut et après je profite du temps que je passe ici, en Amérique. Je m'excuse, j'ai encore de la difficulté avec le café américain. Disons que... ce n'est pas comme chez nous, n'est-ce pas? Je ricane, il avait pas totalement tord. Le café, les pâtisseries, ici rien n'est comme chez nous ! Je lui fais un clin d'oeil. Alors, est-ce qu'une américaine fais battre ton coeur ?
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Alejandro et Cora
Alejandro avait voulu féliciter Cora et lui dire que son homme serait fier d'elle, mais cela ne provoqua pas tout à fait la réaction qu'il attendait et le jeune homme s'en mordait les doigts. La blonde française se demanda plutôt si elle n'aurait pas pu et dû empêcher le décès de son petit-ami, que nul pouvait prévoir ou empêcher d'ailleurs. Alejandro la dévisagea brièvement en la voyant rire. Il ne voyait pas ce qu'il y avait de drôle.
-Je ne crois pas non que tu aurais pu faire quoique ce soit, mais ça ne sert à rien d'en parler. On ne peut pas revenir en arrière.
Même s'il peut comprendre qu'elle aimerait bien, lui aussi d'ailleurs, mais il était mort, c'était ainsi. De son côté, il était plus réaliste et se remettait moins en question, il allait de l'avant. Alors ils parlèrent de tout et de rien, échangeant sur les Américains. Regrettait-il Barcelone?
-Barcelone? Plus ou moins, parfois oui, parfois non. C'est presque aussi Cosmopolite ici, il y a des gens de partout, mais moins de personnes... comment dire... ouvertes d'esprit? Mais A Coruña me manque, mais je fais avec. Disons que la période difficile aura été l'hiver... Et toi?
La Corogne est sa ville natale, le fief de sa famille, pas étonnant qu'il l'évoque donc, mais d'un autre côté, le paradoxe veut qu'il n'y passe jamais beaucoup de temps. Quand il n'est pas en train d'étudier à l'extérieur, il fait des voyages, toujours assez mobiles. Nouvelle gorgée de ce café "ignoble" et Alejandro doit maintenant évoquer Shayanes, ce qu'il fit sans avoir les yeux brillants ou un sourire éclatant. C'était presque une chose banale.
-Pas une Américaine, une Brésilienne et tout juste divorcée de surcroit. Je ne sais pas pourquoi au juste je me suis lancé dans cette relation... Je suis sorti avec Jales-Suelen, une Américaine, juste avant et elle est retournée à New-York, on s'est laissé et puis ça a cliqué avec Shayanes.
-Je ne crois pas non que tu aurais pu faire quoique ce soit, mais ça ne sert à rien d'en parler. On ne peut pas revenir en arrière.
Même s'il peut comprendre qu'elle aimerait bien, lui aussi d'ailleurs, mais il était mort, c'était ainsi. De son côté, il était plus réaliste et se remettait moins en question, il allait de l'avant. Alors ils parlèrent de tout et de rien, échangeant sur les Américains. Regrettait-il Barcelone?
-Barcelone? Plus ou moins, parfois oui, parfois non. C'est presque aussi Cosmopolite ici, il y a des gens de partout, mais moins de personnes... comment dire... ouvertes d'esprit? Mais A Coruña me manque, mais je fais avec. Disons que la période difficile aura été l'hiver... Et toi?
La Corogne est sa ville natale, le fief de sa famille, pas étonnant qu'il l'évoque donc, mais d'un autre côté, le paradoxe veut qu'il n'y passe jamais beaucoup de temps. Quand il n'est pas en train d'étudier à l'extérieur, il fait des voyages, toujours assez mobiles. Nouvelle gorgée de ce café "ignoble" et Alejandro doit maintenant évoquer Shayanes, ce qu'il fit sans avoir les yeux brillants ou un sourire éclatant. C'était presque une chose banale.
-Pas une Américaine, une Brésilienne et tout juste divorcée de surcroit. Je ne sais pas pourquoi au juste je me suis lancé dans cette relation... Je suis sorti avec Jales-Suelen, une Américaine, juste avant et elle est retournée à New-York, on s'est laissé et puis ça a cliqué avec Shayanes.
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Je ne crois pas non que tu aurais pu faire quoique ce soit, mais ça ne sert à rien d'en parler. On ne peut pas revenir en arrière. Il avait raison, je devais me mettre ça dans la tête. Même si demain je culpabiliserais encore, je devais essayer chaque jours qui viennent de me dire que ce n'était pas de ma faute, peut-être que ça rentreras. Tu as raison. On passait rapidement à autre chose de toute façon, quelque chose de plus joyeux.. Ou pas. Barcelone? Plus ou moins, parfois oui, parfois non. C'est presque aussi Cosmopolite ici, il y a des gens de partout, mais moins de personnes... comment dire... ouvertes d'esprit? Mais A Coruña me manque, mais je fais avec. Disons que la période difficile aura été l'hiver... Et toi? Je me demandais se qu'il me manquait le plus, parce qu'il est vrai que beaucoup de chose me manquait quoi... Bien sûr que ça me manque.. Presque tout me manque à vrai dire. Je soupirais, ma vie était d'un pathétique parfois. Il fallait que je me change les idées, vraiment, à commencer par parler de la vie sentimentale d'Alejandro, et puis on avait aussi prévu une petite sortie plus tard alors... Pas une Américaine, une Brésilienne et tout juste divorcée de surcroit. Je ne sais pas pourquoi au juste je me suis lancé dans cette relation... Je suis sorti avec Jales-Suelen, une Américaine, juste avant et elle est retournée à New-York, on s'est laissé et puis ça a cliqué avec Shayanes. Ouuuh, une brésilienne j'aimais les brésiliennes. T'es complètement fou d'elle hein ? Amoureux à fond ? dis-je en souriant.
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Alejandro et Cora
Cora, qui est une femme intelligente, admit qu'il avait raison et ils passèrent alors à un autre sujet, quelque peu plus joyeux, pour ainsi dire, même s'ils vivaient tous les deux avec un deuil, plus léger dans le cas d'Alejandro. Du reste, Alejandro ne s'ennuyait pas trop de Barcelone, mais de chez lui, oui. C'était un peu pareil pour Cora, à qui tout manquait, selon ce qu'elle venait de dire et qui fit sourire le beau brun.
-Dans ce cas, il est vraiment temps que tu sortes. Heureusement que je suis là, au moins, tu peux parler français avec quelqu'un.
Le français d'Alejandro est quand même bien, non? Comme il parlait de sa petite amie et de sa rencontre avec celle-ci, sans omettre son ex', le bel Espagnol sirotait son café, qui diminuait rapidement vu que c'était un expresso. Il sera fini en un rien de temps. Haussant des épaules à la question de Cora, il n'avait pas l'air si enthousiaste.
-Je ne sais pas trop... Pour s'abandonner, il faut que la personne nous donne envie de s'abandonner, qu'elle s'abandonne elle aussi. C'est ça la folie, la passion, non?
Alors dans ce cas, il n'était pas certain d'être follement amoureux de sa petite amie. Peut-être avait-il confondu de l'amitié ou un simple désir pour autre chose, mais en tout les cas, cela ne trouverait pas réponse avec Cora. Alejandro finit son expresso, pour le peu qui en restait.
-Prêtes à venir te balader?
-Dans ce cas, il est vraiment temps que tu sortes. Heureusement que je suis là, au moins, tu peux parler français avec quelqu'un.
Le français d'Alejandro est quand même bien, non? Comme il parlait de sa petite amie et de sa rencontre avec celle-ci, sans omettre son ex', le bel Espagnol sirotait son café, qui diminuait rapidement vu que c'était un expresso. Il sera fini en un rien de temps. Haussant des épaules à la question de Cora, il n'avait pas l'air si enthousiaste.
-Je ne sais pas trop... Pour s'abandonner, il faut que la personne nous donne envie de s'abandonner, qu'elle s'abandonne elle aussi. C'est ça la folie, la passion, non?
Alors dans ce cas, il n'était pas certain d'être follement amoureux de sa petite amie. Peut-être avait-il confondu de l'amitié ou un simple désir pour autre chose, mais en tout les cas, cela ne trouverait pas réponse avec Cora. Alejandro finit son expresso, pour le peu qui en restait.
-Prêtes à venir te balader?
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